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Alexandra, histoire d'une soumission

Chapitre 2

SM / Fétichisme
Je me lève, je prends ma douche puis m’habille pour aller travailler, costume cravate obligatoire. Je travaille comme commercial dans une société de services, le personnel se connaît et est relativement jeune, moins de 40 ans de moyenne. Quant à moi, je suis un jeune homme de 32 ans, un peu rondouillard qui bien que célibataire, a déjà eu quelques aventures. Malgré mes rondeurs, j’ai un visage sympathique et souriant qui plaît et donne confiance. J’ai un profond respect de la gent féminine et j’avoue être un peu intimidé par les femmes. J’aime les tenues féminines, robes, jupe, chemisier, pull, même si je n’éprouve pas l’envie d’en porter. Les femmes peuvent passer d’un style à un autre très facilement. Les hommes ont peu de manières de se distinguer, bien que cela commence à changer. Depuis quelque temps, je rêve que je suis une femme soumise, je ne sais pas pourquoi. Je n’ai jamais eu de penchant de soumission ni même de désir d’être une femme.
Je suis très assidu à mon travail et très bien noté par mes supérieurs. Ma matinée de travail se passe sans problème majeur, mais beaucoup de dossiers à gérer. Juste après le déjeuner avec mes collègues, je me rends dans la pièce commune où se trouve un canapé, et je m’allonge pour une petite sieste, histoire de bien reprendre l’après-midi. Je m’endors rapidement. Maîtresse Alexandra est debout devant moi, magnifique dans sa robe en cuir et ses cuissardes. Son regard sévère et tendre à la fois me fait fondre. Je m’agenouille face à elle et lui baise les pieds.
— Merci ma belle, je n’ai pas beaucoup de temps, aussi nous allons faire vite. Tiens, prends ces pinces et pose-les sur tes mamelons.
Elle me tend sa main qui contient deux pinces dorées. Les pinces sont petites et discrètes, je soulève mon pull et les place lentement une à une sur chaque téton. Une petite douleur se fait sentir, je serre les dents, et une fois les deux pinces en place, je baisse mon pull.
— Attends, laisse-moi vérifier qu’elles sont bien mises. Approche et lève ton pull.
Maîtresse tire un peu sur les pinces, ce qui me fait pousser des petits cris de douleur
— Allons, ne fais pas ta chochotte, tu vas garder ces pinces toute la journée, maintenant, lève-toi et viens me lécher la chatte.
Elle écarte ses cuisses et je me dirige à quatre pattes vers elle. Qu’est-ce qu’elle est belle ma maîtresse lorsqu’elle est dans cette position. Je m’approche, me mets à genoux et passe ma tête sous sa jupe. Ses lèvres sont déjà humides quand je pose ma langue et commence à lécher. L’excitation commence à monter en moi et je ressens une petite douleur au niveau des seins. Ma langue parcourt ses lèvres à la recherche de son petit bouton, j’aime le goût et l’odeur qui se dégage de sa vulve. Ma bouche se colle à ses lèvres pendant que ma langue s’insinue dans sa grotte humide. Elle pousse des petits cris qui me prouvent qu’elle aime ce que je lui procure.
— Soulève ta jupe ma soumise, je veux voir tes fesses.
Tout en faisant tourner ma langue dans son minou, je soulève ma jupe, laissant apparaître mes grosses fesses. J’entends ma maîtresse soupirer de plus belle quand ma bouche enserre son clito. Une forte douleur se fait sentir au niveau de mes fesses en même temps qu’un claquement de fouet.
— Plus vite, chienne, bouffe-moi bien la chatte.
Elle m’administre plusieurs autres coups qui, une fois la douleur passée, me procurent une grande excitation.Ma langue passe lentement sur ses lèvres humides à la recherche de son clito, mes lèvres se posent dessus et je le suce comme un petit bonbon. Je la sens se crisper et j’ouvre alors grand la bouche, prête à recueillir son nectar. Un liquide chaud inonde mon palais.
— Avale tout, chienne, et après, tu iras prendre ta place près du canapé.
Après avoir léché le restant de cyprine sur les lèvres de ma maîtresse, je me retire de dessous sa jupe et me dirige à quatre pattes vers le canapé où se trouve un collier.
— Mets ce collier autour de ton cou et attache la laisse au pied du canapé.
Je m’assois sur le sol, ma maîtresse vient se placer sur le canapé, face à la télévision et me caresse les cheveux. Elle allume la télévision et regarde les informations.
— Mets-toi face à moi et caresse-toi.
Je me place à genoux, cuisses écartées, passe mes mains sous mon pull, commence à me caresser la poitrine. Je fais attention aux pinces, il ne faudrait pas qu’elles tombent sinon Maîtresse me punirait.
— Écarte plus tes cuisses, je veux voir ta culotte mouiller, ma petite salope.— Oui, Maîtresse.
Elle me fixe de son regard brûlant et je baisse la tête tout en continuant mes caresses sur ma poitrine. La douleur au niveau des mamelons commence à se faire sentir et ma maîtresse le remarque.
— Tu sens les pinces, n’est-ce pas ? Je vois ta culotte qui mouille, ôte-la et mets-la dans ta bouche, et enlève aussi ton pull, je veux voir tes seins.
Je soulève ma jupe et passe le tissu sur mes genoux puis sur mes chevilles, je le roule en boule et l’enfonce dans ma bouche. JE pose ensuite mon pull à côté de moi. Je reprends ensuite ma position de soumise et continue de me caresser. Ma maîtresse se penche vers moi, prend les pinces entre ses doigts et tire dessus d’un coup sec sans qu’elles se détachent de mes mamelons. Je pousse un cri de douleur étouffé par le bâillon improvisé. Ma maîtresse sourit et se lève.
— Bon, j’ai un rendez-vous, repose-toi un peu et profite bien de mon cadeau.
Elle se lève et s’éloigne.
— Oui, Maîtresse.
Je m’allonge sur le sol. Je me réveille, allongé sur le canapé.
— Merci Maîtresse, à bientôt dans un prochain rêve, dis-je en moi-même. Je commence à aimer ce genre de rêve, peut-être que, inconsciemment, je suis de nature soumise.
Je réajuste ma cravate et ma veste et je sens une douleur au niveau du torse, je tâte mon torse et je sens deux pinces sur mes tétons...
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