C’est décidé, cette fois, je ne me dégonfle pas.Je m’approche des toilettes pour femmes en tremblant comme une feuille, tout en jetant des regards à droite et à gauche afin de repérer une potentielle connaissance, mais la journée tire à sa fin de les locaux semblent déserts. Une voix me fait soudain sursauter : « Tu as de quoi payer ? » Je me retrouve nez à nez avec Laura, qui ouvre des yeux comme des soucoupes, visiblement effarée de me voir là. Je m’appelle Alexandre, et s’il y a bien une chose à dire sur moi, c’est que je ne suis pas le garçon le plus viril de la fac, avec mon mètre soixante-cinq, mes lèvres trop charnues, mes traits trop fins et mes hanches trop larges. Juchée sur ses talons, Laura me dépasse de quinze bons centimètres. C’est une jeune femme brune qui respire la vulgarité, que ce soit par sa tenue vestimentaire provocatrice à souhaits ou par son maquillage excessif, mais dont le corps tout entier appelle au sexe. Son bonnet C est moulé dans un débardeur qui me laisse apercevoir son nombril, et ses jambes parfaitement proportionnées se terminent par une paire de fesses à se faire damner un saint. Remise de sa surprise, elle esquisse un sourire moqueur. « Je... oui, j’ai de quoi payer... » bafouille-je en fouillant maladroitement mes poches et en lui en tendant le contenu. Elle saisit les billets, les fourre dans son soutien-gorge et s’approche de moi en se déhanchant exagérément. Elle saisit alors mon entrejambe par dessus mon pantalon, ce qui a pour effet de me faire détourner le regard. « Alors Alexandre, on veut devenir un homme ? » Me demande-t-elle, l’air goguenard. Il est de notoriété publique à la fac que je suis vierge, ce qui n’a rien de surprenant vu mon physique peu avantageux. Elle lâche son emprise et me fait un signe de la tête.« Bah vas-y, rentre qu’est-ce que tu attends ? -Je... oui » Elle laisse échapper un petit ricanement. Je suis cramoisi quand je pousse la porte des toilettes qui se trouvent derrière elle. Dans la cabine, une autre fille attend, assise sur les toilettes, vêtue d’un short qui ne couvre pas plus de chair qu’un string, et d’un haut encore plus court que celui de Laura. Lauren est l’alter-ego de cette dernière, si ce n’est qu’elle arbore une chevelure blonde, des lèvres plus pulpeuses et une taille de bonnet supplémentaire. Elle a l’air tout aussi surpris en me voyant que son acolyte. Sans détourner ses yeux de moi, elle me lance : « Baisse ton froc » Je tremble tellement que je peine à retirer ma ceinture. L’air visiblement agacé elle s’agenouille devant moi et mon jean se retrouve à mes pieds ainsi que mon caleçon en l’espace d’une seconde. A la vue ce qui se trouve entre mes jambes, elle ne peut s’empêcher de rire. Je suis loin d’être bien membré, et dans mon état de honte, incapable de bander. « Allez, détends-toi » m’intime-t-elle tout en gratifiant ma queue d’un coup de langue bien placé. Je pousse un gémissement timide et me met à bander instantanément. Elle continue de laper mon gland avant d’avaler mon membre tout entier (ce qui n’est pas compliqué à vrai dire). Mes yeux se révulsent, je pousse un gémissement de pucelle et expédie une giclée de sperme au fond de sa gorge, puis, me retirant, une seconde sur son visage. Elle me regarde un instant, l’air amusé, et essuie ma semence de son index afin de la mettre dans sa bouche. Elle joue un instant avec, la faisant glisser sur sa langue, puis l’avale. « Rhabille toi » me dit-elle tout en se levant et en se dirigeant hors des toilettes, ses talons claquant sur le sol carrelé. Lorsque je sors à mon tour, je vois Lauren glissant quelque chose à l’oreille de Laura. Celle-ci esquisse un sourire et m’arrête. « Tu sais, normalement pour qu’on avale il faut payer un supplément.-Mais je n’ai plus d’argent, je t’ai tout donné...
-C’est soit ça, soit tu acceptes de me faire une faveur.-Que... une faveur ?-Oui, retrouve moi Samedi chez moi à quatorze heure.-Quoi ? Samedi ? Mais pourquoi...-Ne pose pas de question, t’avais qu’à te retenir de foutrer dans la bouche de Lauren. A Samedi Alex » Elles gloussent toutes deux alors que je sors des toilettes en pressant le pas. - Le reste de la semaine se passe le plus normalement du monde si ce n’est quelques regards appuyés de Lauren qui ne manque pas de passer sa langue sur ses lèvres lorsque je la regarde trop longtemps. Le Samedi fatidique arrive, et c’est nerveux que je frappe à la porte de l’appartement de Laura. Celle-ci m’ouvre et me fait entrer. Je la suis jusqu’à sa chambre, ne détachant pas mes yeux de son string qui dépasse outrageusement de son mini short. Dans sa chambre, j’aperçois Lauren allongée lascivement sur le lit qui me lance un regard plein de sous entendus lorsqu’elle m’aperçoit. « Assieds-toi ! Me dit-elle en me poussant sur le lit. Lauren a beaucoup apprécié ton petit cadeau de l’autre jour, et pour te remercier, on a décidé de t’en faire un nous aussi. »Joignant le geste à la parole, elle vient s’assoir à califourchon sur moi et me retire mon t-shirt. Elle plaque alors mes bras sur le matelas, m’immobilisant sans peine, et j’entends un cliquetis métallique au dessus de ma tête. C’est Lauren, qui vient de menotter ma main droite au Lit. Je lui jette un regard inquiet et bafouille :« Hé... arrête... qu’est-ce que tu... »Un second bruit se fait entendre, et je sens le métal froid se refermer sur mon poignet gauche, cette fois.« Mais qu’est-ce qui vous prend ?...-On te l’a dit, murmure Lauren dans mon oreille, on va te faire un petit cadeau nous aussi. »Je vois alors Laura sortir une seringue de sa table de chevet. J’essaie de me débattre sans succès.« Fais de beaux rêves Alex » me dit-elle avant de m’injecter le contenu de la seringue dans l’épaule. Je m’évanouis. A mon réveille, je sens quelque chose d’anormal. Je suis toujours menotté au lit, et mes bras me font mal, mais je remarque autre chose. Ma poitrine semble légèrement gonflée. Je secoue la tête, ce qui a pour effet de la faire balloter doucement. A ce moment, Laura entre dans la chambre. « Ah tu es réveillée, me dit-elle en souriant, tu as bien dormi ma belle ?-Qu’est-ce que vous... »Je m’arrête net de parler en entendant la voix fluette qui sort de ma bouche. Qu’est-ce qui m’arrive...« Hmmmm... on dirait que tu n’es pas complètement transformée. Dommage, il faudra recommencer.-Recommencer ? Laissez-moi partir ! -Oh je ne crois pas que tu veuilles vraiment t’en aller ma jolie... » Me lance Lauren tout en entrant dans la pièce, pianotant sur son portable qu’elle me tend. Je vois alors avec horreur défiler plusieurs photos de moi allongé sur le lit, tantôt nu tantôt vêtu de sous vêtements féminins. « A partir de maintenant tu devras faire ce qu’on te dit si tu veux préserver ta dignité, menace Laura tout en me détachant, alors dis-moi, que pense tu de ton nouveau corps ? » Je me lève doucement et m’observe dans la glace. Je ne me reconnais qu’à moitié. Mes cheveux et ma poitrine ont poussé, les traits de mon visage semblent s’être affinés, mes hanches ont encore pris en volume et ma queue... elle est encore plus ridiculement petite. Je place mes mains devant dans un ultime élan de pudeur, rougissant plus que jamais. Laura vient alors se placer derrière moi et commence à peloter doucement mes « seins ». « Encore quelques injections et tu auras une vraie paire de seins et un joli petit cul .-Et tu auras une belle chatte et un vrai clito à la place de ta petite queue. » ajoute Lauren en écartant mes mains de devant mon pubis et en s’agenouillant à nouveau devant moi. Elle se met alors à lécher ma queue qui bande fébrilement tandis que Laura me pince délicatement les tétons, ce qui me fait soupirer de plaisir. Lauren prend alors ma queue entre son pouce et son indexe et commence à la branler doucement, tout en prenant le gland entre ses lèvres. Je ne tarde pas à jouir sous le traitement de ces deux jeunes femmes aux corps si parfaits et aux mains si expertes, mais à ma grande surprise, je n’éjacule pas. Je ferme les yeux, pousse un long soupir dé ma nouvelle voix féminine, et mes jambes flanchent. Laura m’allonge alors sur le lit et se positionne au dessus de moi. Lorsque j’ouvre à nouveau les yeux, je vois son bas ventre épilé juste sous mon nez. « A toi de t’occuper de nous maintenant Alex. » Je me met alors à lécher consciencieusement l’entrejambe de Laura, tandis que Lauren guide ma main jusqu’à son pubis. Mon cunni semble plaire à Laura qui se met à gémir de manière obscène, et son acolyte ne tarde pas à l’accompagner lorsque je la pénètre de mon majeur. Soudain, Laura se retire de ma bouche et se met à masser frénétiquement son clito juste au dessus de moi. Elle pousse alors un cri de plaisir et je reçois plusieurs giclées de cyprines sur le visage. Lauren impose son rythme, remuant son bassin sur les trois doigts que j’ai réussi à rentrer en elle et ne tadre pas à jouir elle aussi. Je sens les parois de son vagin se resserrer, et elle s’écroule sur le lit, agitée de soubresauts, la respiration haletante.Je reste allongé sur le lit, abasourdi par ce qui vient d’arriver. Laura se relève la première. « Allez, ne fait pas ta sainte nitouche. Reviens samedi prochain pour ta deuxième injection, sinon, on diffuse les photos à l’ensemble de la fac » me lance-t-elle en même temps que mes vêtements. « Et puis... ajoute-t-elle, tu as un beau potentiel de salope, ça serait dommage de gâcher ça. » Je me rhabille difficilement, mon jean étant devenu trop juste au niveau de la taille, et mon t-shirt laissant apparaître un léger relief au niveau de ma poitrine, et je rentre chez moi, encore sous le choc de tous ces évènements.
