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Alexis / Alexia

Chapitre 1

L'examen

SM / Fétichisme
Alexis est un jeune garçon venant tout juste d’entrer à l’école supérieure Jeanne d’Arc qui prépare un BTS d’un genre très particulier. Il l’a intégré au mois de décembre suite au décès de ses parents. Il ignore que cet établissement supérieur privé a été crée par un mouvement féministe pour expérimenter de nouvelles méthodes d’éducations où les garçons sont soumis aux filles.

— Jérémy : 2 égal à lui-même. David: 4, Jonathan 5............ Emma 11 pourrait mieux faire............. Sophie 18 excellent comme d’habitude, et pour finir Alexis 20. Félicitations jeune homme, lui dit la professeure de mathématiques.

Rempli de fierté par ces compliments, Alexis ne vit pas le regard noir que lui lançait une des filles. Après la fin des cours :
— Félicitations, lui dit une superbe blonde accompagnée de plusieurs camarades féminines. — Merci, c’est très gentil de ta part.— Je m’appelle Sophie. Tu es vraiment extrêmement fort en mathématiques. Pourrais-tu m’aider à résoudre un problème assez ardu ?— Moi c’est Alexis. Je serais ravi de pouvoir t’aider.— Je te remercie. Voilà les données de mon problème : je mesure 1,75 m, pèse 61 kilos, et fais de la gymnastique et du karaté depuis 12 ans. Ma question est la suivante : combien de coups de pied devrais-je te donner dans les couilles avec le bout pointu des superbes bottines vernies que je porte, pour de faire éclater un testicule ?
La jeune fille avait prononcé la phrase lentement en prenant soin de bien de détailler chaque mot.
— Ne réponds pas tout de suite. L’essentiel est que tu trouves la solution d’ici le prochain examen.
Sophie repartit tranquillement après lui avoir fait un clin d’œil.
— Non, mais tu as vu ce qui vient de se passer ? demanda Alexis à Anthony, l’unique personne avec qui il avait eu le temps de sympathiser. Elle est complètement dingue cette fille, je vais aller voir la prof.
Son ami lui répondit :
— Mais ça va pas la tête, tu es fou ou quoi ? Comment un type qui a eu 20 en mathématiques peut être aussi stupide.

Je te conseille de ne rien raconter du tout à personne !
— Mais tu as entendu, elle m’a menacé de me frapper dans les couilles si j’avais de nouveau une meilleure note qu’elle. Elle n’a pas le droit ! — Lequel, de te menacer ou de te balancer son pied dans les couilles ? Non, mais de quelle planète tu viens ?— Ici les filles ont tous les droits sur les garçons. Avant que tu n’arrives, Sophie était la meilleure élève de toute la classe. Elle est en colère et a voulu te faire comprendre que si tu avais de nouveau une meilleure note qu’elle, elle allait te castrer. Je te conseille de prendre cette menace au sérieux. — Mais enfin, je ne vais quand même pas rester comme ça sans rien faire ? — Si tu tiens à tes couilles, c’est exactement ce qu’il faut faire. Fermer ta gueule et faire en sorte qu’elle ait de meilleures notes que toi lors des prochains examens. Je vais même te dire que tu as une sacrée chance de ne pas être en train de te rouler au sol en te tenant les burnes. Ici en général, les filles frappent d’abord et parlent ensuite, enfin... si elles daignent t’adresser la parole. — C’est injuste. On ne peut pas la laisser faire !— Mais tu es vraiment con toi. Tu sais au moins qui est cette fille ?— Bah, je sais juste qu’elle s’appelle Sophie. — Sophie, oui, Sophie LEPESTIER pour être exact. Et si tout le monde la surnomme Sophie "LA PESTE ", c’est qu’il y a une raison figure-toi !
Anthony enchaîna : — Tu n’as pas vu les exemples de punitions qui sont affichés dans le hall. Tu n’as pas lu l’histoire du pianiste qui a eu la main broyée d’un coup de talon et les boules éclatées à coup d’escarpins ? Et bien la fille qui lui a fait cela, c’était Sophie LEPESTIER !— Si j’ai vu, mais c’est marqué qu’il l’avait gravement insultée. rétorqua Alexis.— Gravement insultée, mon cul oui. Ca c’est la version officielle. Mais la vérité que tout le monde sait, mais que personne ne dira jamais, est complètement différente.
Il venait de gagner le concours de musique, et Sophie qui était arrivée deuxième lui a cassé la main exprès pour l’évincer. Et comme si ce n’était pas suffisant, il a été reconnu coupable d’offense et a été condamné à recevoir 10 coups de pieds dans les couilles en public. C’est également Sophie qui a exécuté la sentence avec ses escarpins les plus pointus.
— Ah, je ne savais pas. Mais là c’est différent. Tu as vu et entendu tout ce qui s’est passé. Tu pourrais me servir de témoin ! — Moi, témoin ! Ne compte pas là-dessus. Si on m’interroge, je dirais que je n’ai rien vu.
Le pianiste aussi avait un témoin si tu veux savoir. C’est même un très bon ami à moi.
— Il n’a pas été entendu ? demanda Alexis.— Oh si. Il est resté près d’une heure dans le bureau de la directrice, mais il a confirmé la version des filles.
Quand il est ressorti, on aurait dit un cadavre tellement il était blanc. Il était mort de trouille. Il m’a fallu des semaines pour qu’il me dise ce qui s’était réellement passé.
— Vas-y, dis !
Anthony raconta toute l’histoire :
— La directrice a demandé à la prof de punitions corporelles de venir dans son bureau. C’est elle qui exerce également la fonction de bourrèle pour les punitions publiques.
A la demande de la directrice, elle a expliqué à mon pote comment les menteurs étaient punis.
— Et c’est quoi la punition prévue ? — On leur piétine la langue avec des talons aiguilles ! — Mais c’est ignoble ! Je comprends pourquoi ton pote a eu peur de témoigner.— Oui. Comprends-tu maintenant la chance que tu as que Sophie se soit juste contentée de te mettre en garde ? Ce n’est pas dans ses habitudes. A mon avis, elle a un faible pour toi. Tu devrais sauter sur l’occasion, surtout qu’elle est jolie.— Oui, c’est vrai qu’elle est pas mal. — Comment ça « pas mal » ? Ne dis jamais à une fille qu’elle est « pas mal » ou ce sera la dernière connerie que tu diras. Ici, les filles sont toutes belles, charmantes, intelligentes, drôles... Enfin tu comprends ce que je veux dire. — Oui, je pense. — Et mec, je déconne pas là. C’est sérieux. Il faut que tu trouves une maîtresse attitrée, et c’est préférable pour toi que tu lui plaises. Les types qui n’ont pas de protectrice finissent mal. — C’est quoi encore ce truc ? — Il faut vraiment tout t’expliquer toi. Le règlement permet aux filles de prendre en charge un garçon. Elle devient sa maîtresse et lui son esclave.— Mais je n’ai envie de devenir l’esclave de personne !— Cesse de m’interrompre sans arrêt et écoute ! Crois-moi, il vaut mieux être l’esclave d’une seule maîtresse qu’être à la merci de toutes les filles. Quand un mec a une maîtresse, c’est elle qui est chargée de son éducation et les autres filles le laissent tranquille. Alors que s’il est seul, il est à la merci de la première bande de filles qui vont s’amuser avec lui. Il y a des filles qui se sont fait une spécialité de faire la chasse aux "célibataires".

Pendant ce temps, à l’autre bout de la cour, SOPHIE discutait avec ses amies.
— Je ne te reconnais pas Sophie. Tu as l’habitude d’exploser les couilles des garçons pour moins que cela. Tu ne serais pas en train de te ramollir ? lui dit Sonia en désignant Alexis qui discutait avec son pote. — Faut-il qu’on te surnomme maintenant Sophie la magnanime ? renchérit Lydie en riant. — Moi je pense qu’elle a un faible pour lui. Il faut reconnaitre qu’il n’est pas vilain, reprit Sonia. — Oui c’est vrai qu’il est mignon. Il a un petit côté androgyne avec ses longs cheveux blonds. — C’est ce qui doit lui plaire ! pouffa Béatrice.
Sophie fit semblant de se mettre en colère.
— Vous avez fini les filles ! Vous n’y êtes pas du tout. J’adore toujours autant éclater les couilles des garçons, mais il faut parfois aussi trouver des idées de punitions plus originales. Alexis m’a humiliée devant toute la classe avec son 20 en mathématiques. Il faut que je trouve une punition plus humiliante pour lui qu’un simple passage à tabac.— Oh toi, tu as une idée derrière la tête. lui dit Sonia. — Peut-être, peut-être. répondit Sophie en souriant.
Tout en répondant à sa copine, Sophie repensait à ce qu’avait dit Béatrice sur le côté androgyne d’Alexis.
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