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Alexis / Alexia

Chapitre 4

chagrin d'amour

Travesti / Trans
En la croisant dans le couloir, Mme D constata que Sophie, pourtant d’habitude si enjouée, avait ce jour-là l’air bien triste.
— Mlle Sophie, qu’est-ce qui passe ?— Rien Mme la directrice, tout va bien.— Ne me racontez pas d’histoires. Je vous connais bien, et vous savez que je vous apprécie beaucoup. Je vois bien que quelque chose ne va pas.— C’est Alexis...— Ne me dites pas qu’il a fait quelque chose de mal ! Il a rendu un énorme service à la cause des femmes et cela m’ennuierait beaucoup de devoir le punir. C’est un brave garçon, et je tiens à vous dire que vous y êtes pour beaucoup.— Merci Madame. Il ne s’agit pas du tout de cela. Je ne suis pas en train d’imaginer un nouveau moyen de l’humilier.
Je vois bien maintenant que c’est un chic garçon, mais je m’en suis rendu compte trop tard. J’ai été très injuste avec lui, très sévère, souvent méchante et cruelle.Sophie avait maintenu la tête baissée en disant tout cela.
Mme D lui releva le menton :
— Vous Mademoiselle, vous êtes tombée amoureuse ! Mais c’est merveilleux, il n’y a rien de plus beau que l’amour !— Oui, s’il est partagé.— Qu’est-ce qui vous fait croire qu’il ne partage pas les mêmes sentiments que vous ?— Après tout ce que je lui ai fait subir ?
Il doit me haïr à mort ! Je ne peux pas lui en vouloir d’ailleurs, je ferais de même à sa place... Et puis, de toute façon, il doit être devenu homo... Par ma faute en plus !
La directrice tenait à remonter le moral de son élève:
— Je suis certaine qu’Alexis n’est pas homosexuel. Pour ce qui est du reste, sachez que la haine et l’amour se rejoignent souvent. Ne désespérez pas.— Soyez franche avec moi, Madame. Si vous deviez me décrire, que diriez-vous de moi ?
— Tout d’abord que vous êtes très jolie. Sinon à part cela, je dirais que vous êtes, méchante, cruelle, vicieuse, perverse, maligne, capricieuse, mauvaise perdante et... Je crois que ce n’est déjà pas mal.— Merci Madame, vous me remontez beaucoup le moral.— Mais vous ne voyez pas que je vous taquine ?— Oui, peut-être, mais au fond, tout ce que vous venez de dire est vrai. Comment un garçon pourrait tomber amoureux de moi ?— Oh, vous savez, la psychologie masculine est beaucoup plus complexe qu’elle n’y parait. Pour beaucoup d’hommes, vous êtes la femme parfaite, et je ne m’étonnerais pas que ce soit le cas pour Alexis."— Vous continuez à me taquiner Madame."— Absolument pas, je vous le promets. Gardez confiance. Et puis chassez-moi ces mauvaises pensées et redevenez la petite PESTE que j’apprécie tant !"

Quelques semaines plus tard :
L’année scolaire est terminée et chacun se presse dans la salle des fêtes pour assister à la remise des diplômes des élèves de 2eme année. L’événement revêt un caractère d’autant plus particulier que l’école ayant ouvert ses portes depuis seulement 2 ans, il s’agit de la première promotion terminant ses études.
Tous les élèves et professeurs de l’établissement, quelle que soit leur année, sont réunis dans la salle. Comme il se doit, les garçons sont assis à même le sol et servent de reposoir pour les pieds de leurs maîtresses respectives, qui elles sont confortablement installées dans des fauteuils moelleux. Les professeures donnent également l’exemple en tenant en laisse leur mari.
Après avoir réclamé le silence, la directrice prit la parole :
— MESDAMES MESDEMOISELLES et messieurs. C’est avec une grande émotion que je prends la parole ce soir...
Après un long discours, les résultats furent proclamés. Chaque lauréate fut appelée dans le sens inverse du classement et monta sur l’estrade pour recevoir son diplôme. Les applaudissements, d’abord timides, montèrent crescendo au fur et à mesure que l’on grimpait dans le classement, et finirent en standing ovation pour les premiers. Enfin, il faut plutôt dire premières, car pas un seul garçon ne figurait dans le top ten.
La directrice attendit que les d’applaudissements cessent pour reprendre la parole.
— Avant de clore cette cérémonie et de passer au bal, j’aimerais récompenser 2 élèves de première année qui ont eu un comportement particulièrement exemplaire. Je demande aux deux personnes suivantes de bien vouloir venir me rejoindre sur la scène :
Tous les élèves retinrent leur souffle en attendant les noms des élues.
— Mlle SOPHIE LEPESTIER, et Alexis DUBOIS.
Alexis crut avoir mal compris et resta tétanisé. Sophie fut obligée de le secouer et dut pratiquement le tirer par la main jusqu’à l’estrade.
— Mlle LEPESTIER. De toutes les élèves ici présentes, vous êtes certainement celle qui a le mieux compris comment devaient être traités les membres du sexe masculin. Votre cruauté, votre perversité et votre imagination sans pareilles ont permis des rappels à l’ordre dont toute la gent féminine a profité. Vous êtes un exemple à suivre pour chacune de vos camarades.
Mme D calma de la main la salle qui avait déclenché un tonnerre d’applaudissements.
— Ce n’est pas tout. Il y a maintenant 7 mois, vous avez pris sous votre aile un jeune garçon arrogant, prétentieux, et regardez ce que vous avez réussi à en faire ! dit-elle en désignant Alexis.— Pour tout cela, j’ai le plaisir de vous décerner la médaille d’honneur de l’école. Toutes mes félicitations Mlle. Vous êtes la première à qui elle est décernée.
Mme D s’adressa ensuite à Alexis :
— Comme je viens de le dire, il y a quelques mois vous étiez un jeune homme arrogant et prétentieux. Grâce à la prise en main de Mlle SOPHIE, vous voici une tout autre personne.
Mais tout le talent de votre maîtresse n’aurait pas été suffisant si vous n’aviez pas vous-même fait preuve d’un courage et d’une abnégation hors du commun. Malgré les quolibets et les moqueries, vous avez su rester digne et n’avez jamais baissé les bras.
La directrice marqua une courte pause.
— J’ai la réputation d’être une femme dure, implacable, impitoyable, et j’en suis fière. Par contre, je ne suis pas une ingrate !
Je sais à quel point vous avez contribué à la cause féminine, ainsi que tous les efforts que vous avez faits pour ressembler à une vraie femme. Pour tout cela, je vous félicite et vous remercie sincèrement.Jeune homme, c’est la dernière fois que je vous appelle sous le nom d’Alexis. Par votre comportement et vos actes, vous avez largement mérité d’être considéré comme une femme. A compter de ce jour, vous êtes officiellement ALEXIA DUBOIS.
Après avoir laissé à toutes le temps de prendre la mesure de ses paroles, Mme D demanda à Alexia de poser un genou au sol et de lever la main droite.
— Jurez-vous de prôner avec fierté la supériorité féminine ?— Je le jure.— Jurez-vous de punir sans faiblesse vos soumis.— Je le jure.
S’adressant maintenant à l’ensemble de la salle.
— Mlles..., Alexia est désormais l’une des vôtres. Je vous demande de l’accueillir sous un tonnerre d’applaudissements !
C’est un véritable standing ovation que reçut Alexia de la part de ses nouvelles camarades. Il est vrai que depuis le temps qu’Alexis était travesti sans se plaindre, beaucoup de filles l’avaient peu à peu pris en sympathie.
Mme D reprit :
— Quant à vous messieurs, il me semble inutile de vous rappeler ce que cela signifie. A compter de cet instant, Mlle Alexia est une de vos maîtresses et pourra se comporter comme telle.
Les garçons qui s’étaient copieusement moqués d’Alexis baissaient les yeux. Il leur semblait déjà sentir le prix de sa vengeance dans leur bas-ventre.
— Mlle ALEXIA, souhaitez-vous d’ores et déjà prendre un soumis sous votre coupe ?— Oui Mme la directrice, Roger Delarue.— M Delarue. Venez vous agenouiller devant votre nouvelle maîtresse !
Le jeune homme s’avança tête baissée et vint s’agenouiller devant Alexia.
— Lèche ! lui dit-elle sèchement en désignant un de ses escarpins.— Suffit maintenant ! En position !— Sache Roger, que les filles aussi ont des défauts. Le plus grand est sûrement celui d’être très rancunières !
Le coup de pied qu’elle lui décocha dans les couilles l’envoya rouler au sol.
Satisfaite du déroulement de la soirée, Mme D tendit ensuite le micro à Sophie.
— Je voudrais vous adresser à toutes mes plus sincères remerciements. Je suis extrêmement touchée par l’honneur que vous m’avez fait.
Sophie s’adressa ensuite à Alexia d’une voix étranglée, pleine d’émotions. Mme D qui se trouvait près d’elle, put même voir les larmes qui lui montaient aux yeux.
— Alexia... Je sais que je n’ai pas été très gentille avec toi, c’est le moins qu’on puisse dire... On peut même dire que j’ai été une vraie salope...
Sophie avait du mal à articuler.
— Je voulais juste que tu saches que ta présence va me manquer. Je comprendrais que tu refuses, mais j’espère que tu accepteras d’être mon amie.
Sophie fut incapable d’en dire davantage. Mme D lui reprit le micro qu’elle tendit maintenant à Alexia.
— Ce soir est le plus beau de ma vie. Vous m’avez fait un immense honneur en m’acceptant comme une des vôtres. Je ne pourrais jamais assez vous remercier.
Après un temps d’attente, Alexia s’adressa à son ancienne maîtresse :
— Sophie, je ne veux pas de ton amitié!
Un vent glacial parcourut la salle. Alexia posa de nouveau un genou à terre.
— Sophie, je suis tombée amoureuse de toi dès le premier jour ou tu m’as adressé la parole. Je ne regrette pas un seul des instants que j’ai passés en ta compagnie.
Acceptes-tu de m’épouser ?
Sophie fondit dans ses bras en pleurant. Toute la salle était en délire. Même Mme SMITH avait une petite larme à l’œil.
Mme D s’adressa de nouveau à Alexia :
— Il y a-t-il encore quelque chose que l’on pourrait faire pour vous ?— J’ai bien une idée, mais je pense que ce serait ni faisable, ni très digne d’une jeune femme.
Alexia se pencha vers la directrice et lui dit à l’oreille :
— j’aimerais descendre dans la salle et asséner un bon coup de pied dans les couilles à chacun des hommes présents !
Mme D se mit à rire et lui répondit de la même façon :
— Effectivement, cela ne serait pas très convenable, mais surtout irréalisable. Je vous rappelle qu’il y a environ 250 paires de couilles dans cette salle... Par contre, vous me donnez une idée.
Reprenant le micro, la directrice s’adressa à la salle.
— Pour clôturer en beauté ce spectacle et fêter le futur mariage d’Alexia et de Sophie, je vous demande à toutes un....... BALLBUSTING GENERAL !"
Hurlements de joie des filles, bientôt suivis de hurlements de douleurs des garçons. Toutes s’étaient mises en devoir d’appliquer la demande de la directrice. Même les professeures frappaient à cœur joie l’entrejambe de leur mari, qui ne faisaient pourtant pas partie de l’école, sous le prétexte qu’elles devaient donner l’exemple à leurs élèves. Certains garçons en couple depuis longtemps essayèrent bien d’amadouer leurs maîtresses en jouant sur la corde sensible: "Mais chérie, on s’est marié il y a 3 semaines" qui se vit répondre un "j’espère que tu ne t’es pas marié avec moi pour éviter les coups de pieds dans les couilles ?... Non..., je préfère. Alors qu’est-ce que tu attends pour écarter les cuisses ?" ou alors un " tu m’avais pourtant dit que tu m’aimais !" auquel la jeune fille répondit par "Mais oui je t’aime mon chou, mais j’aime encore plus t’éclater les burnes !"
Mme D s’adressa aux couples d’amoureuses :
— Avez-vous déjà vu un spectacle aussi beau ?— Non Madame, c’est mieux que le plus magnifique des feux d’artifice.
Alexis et Sophie eurent ensuite envie de fuir le tumulte, et sortirent dans le parc main dans la main.
— Je pense que Roger Delarue a du souci à se faire.— Je le pense aussi... Surtout que je compte sur toi pour m’aider à le punir.
Sophie sourit.
— Ce sera avec un grand plaisir ma chérie.— Le pauvre, ma rancune et ta cruauté réunies contre lui. Il commence presque à me faire de la peine, se moqua Alexia.
Sophie précisa :
— Mais à une condition, que tu m’apprennes à sucer.
Les deux amantes s’embrassèrent.
— Tu sais, lui dit Sophie, au début, quand j’ai constaté que cela ne semblait pas te déranger d’être habillé en fille, je me suis demandé si tu jouais la comédie ou si tu étais une tapette.— Ah oui, et alors ? lui demanda Alexia, intriguée.— Maintenant, j’ai la réponse. Tu n’étais déjà qu’une petite tafiole !— Quand je pense que c’est une petite salope comme toi qui me dit ça, ça me fait mal où je pense !
Sophie reprit un ton plus sérieux.
— C’est vrai que je suis qu’une salope, cruelle et perverse comme tout le monde le dit ? lui demanda-t-elle en espérant intérieurement qu’Alexia la contredirait.— Dire le contraire serait un mensonge. En fait, moi qui te connais bien, je peux dire que tu es pire encore... Mais surtout, ne change pas. C’est comme cela que je t’aime !
Sophie l’enlaça amoureusement.
— Espèce de petite maso vicieuse !— Petite garce adorée, lui répondit Alexia à l’oreille.— Ne crois pas que le fait que je t’épouse va m’empêcher de continuer à casser ton joli petit cul ! lui dit-elle sur un ton mutin.
Alexia lui répondit en souriant :
— Mais j’espère bien. Pourquoi crois-tu que je t’ai demandé en mariage ? — Attention, si tu me cherches, tu vas me trouver ! Prépare-toi à souffrir !— Si c’est sous tes talons, je suis prête à souffrir toute ma vie.
FIN
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