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L'Algérie

Chapitre 6

Gay
(Comme pour la partie 4, je voudrais ajouter un commentaire personnel. Il est possible que ce récit choque certains d’entre vous, qu’ils soient Français ou Algériens. Sachez que tel n’est pas mon but, je voue un profond respect, aussi bien à nos deux pays, qu’à nos deux cultures. Il s’agit d’une simple histoire, de sexe certes, mais postée sur un site dédié et si vous l’avez lue, c’est que vous le connaissez. Je laisse toute liberté à votre esprit pour en démêler le vrai du faux, le réel de l’imaginaire... Mais après tout, c’est propre à tout auteur « Bien grand mot pour ce qui me concerne », de laisser planer le doute... Si mon personnage fétiche s’appelle Marc, c’est parce que c’est en partie mon vrai prénom, et si je décris toujours des hommes hyper-virils, velus à souhait, et membrés comme des taureaux, la raison en est simple, j’ai connu mon premier plaisir avec ce type de mâle, que je vénère maintenant.
(Je vous souhaite une bonne lecture en espérant que vous l’appréciez, je me donne du mal pour ça et vos commentaires sont les bienvenus, sachez que j’y réponds toujours)
Après un déjeuner de poissons grillés pris sur le Port, Farid m’a ramené chez son frère où Rachid m’attendait, seul. L’immuable thé servi, ils ont parlé en arabe tous les deux. Comatant à moitié sur le canapé, je n’ai pas vraiment porté attention à leur conversation, d’autant plus que je n’y comprenais strictement rien.
Suite au départ de son oncle, il m’a serré contre lui...J’étais dans les bras de mon homme, de celui que j’aimais, mes mains parcourant son corps velu, et mes narines se remplissant de son odeur. J’étais épuisé par les assauts de Farid, mais j’étais avec Rachid, contre lui, avec lui, sentant son désir puissant contre ma cuisse. Il n’osait rien entreprendre, à part me couvrir de baisers et de caresses, prenant néanmoins ma main pour la poser sur sa virilité qui avait atteint toute l’ampleur que je connaissais si bien. J’étais fourbu, chatte défoncée, tout juste à peine refermée, merci la crème, mais mon désir de lui était le plus fort. Je me suis empalé sur lui, savourant la fusion de nos deux corps, cherchant et provoquant un accouplement d’une force amoureuse dont j’avais trop besoin. Une fois, deux fois, trois fois sa jouissance a jailli dans moi m’abandonnant, m’offrant à son plaisir, avec autant de fougue que celle qu’il avait à me posséder...
Pour notre plaisir... !!! Il m’a pris dans ses bras pour me déposer sur son lit.
— Repose-toi mon Marc adoré... Tu en as besoin... Et ce soir, soirée à la plage, au port, à la cabane après. Les garçons sont très contents de te revoir. J’ai fait comme tu m’as dit... C’est toi qui les invites pour les remercier, je me suis occupé de tout.— Rachid, je suis très content, ça me fait trop plaisir. Ce n’est pas moi seul qui leur rends l’invitation, mais nous deux... OK ? — Oui Chéri... J’ai tout acheté et on va tout préparer... — Habibi... (Il m’avait appris ce mot), juste soirée amicale, rien de plus... d’accord ? — Promis... Juré... Et après ? — Juste toi et moi à la maison, pour nous reposer... Enfin... on verra bien...
J’ai plongé dans le sommeil immédiatement, après qu’il ait déposé un bisou chaste et tendre sur mes lèvres. Encore endormi, il est venu me réveiller vers 19 heures, doucement, avec caresses et baisers, m’intimant « l’ordre » d’aller sous la douche pendant qu’il préparait mes affaires. En sortant de la salle de bains, j’ai vu une Gandoura masculine, longue et blanche avec des babouches tout aussi blanches et à côté, la même tenue, un peu plus grande évidemment en faisait la paire.
— C’est notre tenue traditionnelle Marc, moins élaborée que celle que l’on porte à la mosquée, mais c’est celle qu’on revêt lorsqu’on veut faire honneur à nos invités. — Elles sont blanches toutes les deux, blanc comme le symbole de pureté et de ce fait, aucun de nos amis ne pourra avoir le moindre geste déplacé à ton égard, malgré ce qui a pu se produire la dernière fois.
Une vraie franche camaraderie, avec blagues, bières que je ne pensais pas trouver lors de cette soirée, que je n’ai pas touchée d’ailleurs, ayant horreur de ça, mais des superbes desserts qu’ils avaient choisis et apportés en mon honneur.Rentrés à la maison assez tard, j’ai retrouvé son lit, trop heureux de cette magnifique soirée, si simple, mais si amicale.

— Prends-moi... Prends-moi fort... Très fort... !!!!
Quand il a été au fond de moi, son corps sur moi, sa barbe piquante sur mon cou :
— On prend l’avion après demain pour Tamanrasset avec Farid et Papa et on y reste 4 jours, notre famille sur place est prévenue.
Le lendemain, promenade tous les deux dans Oran, Le Front de Mer bien sûr, mais à nouveau le Marché Michelet, les quartiers environnants avec toutes leurs senteurs et surtout, une amabilité, une courtoisie des gens à laquelle je ne m’attendais pas du tout. C’était à qui voulait me faire goûter un fruit, un gâteau, du thé, les Européens étaient quand même rares en Algérie, mais Oran avait toujours eu une attache particulière avec l’Europe, que ce soit avec les Français ou les Espagnols. Il y avait, à l’époque beaucoup d’écoles mixtes, même si chacun d’eux retournait dans ses quartiers après la classe.
Arrivés à la Place des Victoires, j’ai profité du fait que Rachid discutait avec quelques amis, pour m’éclipser et aller commander à un fleuriste qui me semblait bien achalandé, un magnifique bouquet que je destinais à Samira. Prêts à rentrer, je suis allé le récupérer avec lui et il en a été tout étonné :
— C’est pour Maman ? Tu sais Marc, chez nous, c’est hyper-rare qu’un homme offre des fleurs à une femme, si ce n’est son mari. — D’abord, je ne suis pas un homme, je suis encore un ado... Tu crois que je vais la gêner et vexer ton père ? — Mes parents connaissent suffisamment la culture française. Crois-moi, Maman va adorer et je pense que ça fera plaisir à papa aussi.
Samira est devenue rouge comme une pivoine quand je lui ai tendu mon bouquet, avec des pivoines aussi, rouges que ses joues.
— Elles sont merveilleuses, Marc, mais je vais te gronder... Il fallait pas... !!! — J’en offre aussi de temps en temps à ma mère... C’est une marque d’affection pour nous.— Je sais Marc, c’est pour ça que ça me touche beaucoup.— C’est tout simplement pour te faire plaisir et de te remercier de toute ta gentillesse.
Mais aussi, et ça, je pouvais pas lui dire, de me pardonner de coucher avec son fils et avec son mari aussi.

Pendant le repas, succulent comme d’habitude, nous avons longuement parlé du voyage à Tamanrasset le lendemain après-midi, mercredi donc, le « Week-End » en Algérie à cette époque était le jeudi et le vendredi. Karim avait obtenu les deux jours suivants pour que nous puissions prendre le vol retour de l’Aéropostale du dimanche.
Petite promenade digestive sur le Front de Mer, assortie d’un arrêt imposé par Samira, chez un des meilleurs glaciers de la ville. Je crois que tout mon entourage connaissait mon pêché mignon... !!!
J’ai pris un regard comblé de satisfaction par ce que je savourais avec ma cuillère, mais mon vrai délice était Rachid... Assis face à moi, avec sa virilité insolente, il avait très bien saisi le message, très clair. Ma langue jouait sur la glace pour lui montrer que la fin de mon dessert serait son nectar.
Une fois rentrés à la maison, tous réunis au salon pour le thé digestif, et mis au point le voyage du lendemain. L’avion devait décoller vers 18 heures, pour atterrir environ 3 heures après. Farid nous conduirait à l’aéroport avec sa voiture, et leur famille nous attendrait à l’arrivée. Pour la première fois de ma vie, j’allais prendre l’avion... Décidément, j’allais de découverte en découverte dans ce pays, qui n’était pas le mien, mais dans lequel je me sentais si bien.
Nuit câline, d’amour, de possession, de don l’un de l’autre avec mon Rachid, nous avons pris notre petit-déjeuner tous les deux. Je me suis rendu compte que ce garçon, beau comme un Dieu, avait fait voler en éclats tous mes tabous, avait brisé tous mes interdits de jeune français bien correct sous tous rapports. Que lorsque je rentrerai à Nice, ma vie ne serait plus jamais la même.
— Je t’avais promis de te faire connaître un hammam... Tu veux qu’on y aille ? — Oui, j’aimerais bien voir ça aussi... Ça se passe comment ? — Dans celui où on va aller, ça se passera... comme tu le voudras.
Et nous voilà partis, en fin de matinée, dans ce lieu où beaucoup d’hommes et de femmes se rendaient régulièrement pour se laver, purifier leur peau, les salles de bains à domicile étaient encore assez rares. Evidemment, soit les entrées étaient séparées, soit les hammams n’étaient que masculins ou que féminins.
Rachid m’a conduit dans cette sorte de « rituel », avec les bains de vapeur très chaude, en me versant de l’eau sur mon corps, puis a fait appel à un masseur, qui m’a enduit de savon noir et trituré dans tous les sens. Ça craquait, ça faisait mal parfois, mais que je me sentais bien après... !!! Nous sommes allés ensuite dans une autre salle, tout aussi humide de vapeur, mais beaucoup moins chaude, destinée plutôt à la relaxation, les hommes, vêtus d’un simple slip ou caleçon parlant entre eux.
— Il y a une autre salle à côté... disons... un peu plus... proche pour les hommes... Tu veux qu’on y aille ? — Si c’est avec toi, oui...
Nous nous sommes dirigés vers une pièce embaumant l’eucalyptus, sans être prenant toutefois, où une quinzaine d’hommes de tous âges étaient présents, se caressant, se suçant aussi. Dans un coin, deux copulaient, un jeune défonçant violemment le cul d’un mec plus âgé pendant qu’il en suçait un autre. Toute leur sexualité bridée semblait se lâcher dans cet endroit où le sexe régnait en maître. Ça pouvait aller de simples caresses, jusqu’à de fortes pénétrations, assez rares toutefois, ceux qui acceptaient de se faire prendre étaient peu nombreux. Des regards de convoitise se portaient vers moi, jeune européen accompagné d’un mâle arabe hyper-viril, sûrs que j’adorais le bon gros zeb, ce qui n’était pas faux. J’étais tellement excité par ce spectacle de plaisirs masculins que je me suis tourné vers Rachid, lui baissant son caleçon pour prendre son pieu en bouche. Les autres regardaient, sans vraiment oser approcher.
— Moi seul ou les autres aussi ? — Tu veux quoi ? — Si je t’ai amené ici, c’est pour que tu connaisses le plaisir d’être pris à fond, d’être la Kahba des hommes en manque. Tu as devant toi, tous âges, toutes tailles de sexe, à toi de voir si tu veux rester ou si tu veux qu’on parte.
Je n’ai pas eu vraiment le temps de prendre ma décision. Pendant que je le dégustais, un membre de bonne taille s’est emparé de mon cul, les mains sur mes hanches me saisissaient pour une pénétration totale et profonde. Rachid m’a laissé seul pendant 2 heures avec tous ces hommes, profitant tous de l’aubaine de défoncer un jeune européen, de se laisser aller au plaisir sans contrainte avec moi.
Après environ deux heures de baise où tous mes orifices avaient été visités et remplis de semence, Rachid est venu me récupérer pour me remmener vers la partie « normale » du hammam où j’ai pu me décrasser de tout ce stupre et cette luxure.
Une fois arrivés à la maison, après une petite heure de repos, j’ai préparé mon sac pour ce périple dans le Sud. Karim et Farid sont arrivés vers 16 h 30 pour nous récupérer et nous rendre à l’aéroport. Les formalités d’embarquement avaient été très simples, d’abord du fait du statut de Karim, et ensuite, parce que ce n’était pas un vol commercial, seulement un simple contrôle de mon passeport, en tant que Français, pour vérifier la validité de mon visa.
Je partais à la découverte de la région d’origine des trois hommes qui m’avaient procuré autant de plaisir, avide de la connaître, fier aussi d’être, sans doute, un des rares Européens à s’y rendre depuis tant d’années.
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