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L'Algérie

Chapitre 9

Gay
Ce jour-là a été consacré à la visite du domaine, dans toute son étendue, avec la diversité des cultures, orangers, palmeraie, céréales et potager avec certains légumes que je ne connaissais pas.
J’avais cru comprendre que c’était l’arrière-grand-père du Patriarche qui l’avait découverte, en avait pris possession légalement et il avait dû avoir la main de Fatma avec lui. Dans ce coin de désert, l’eau y était abondante et l’était encore. L’oasis était à l’origine de l’aisance financière de la famille et chacun d’entre eux en bénéficiait, mais aussi, y participait.
Nous sommes rentrés en fin d’après-midi, où je me suis rendu au bâtiment en dur, prendre une douche rapide sous les recommandations de Rachid, sans oublier toutefois de bien nettoyer l’intérieur de mon corps. Même si un système de recyclage sommaire avait été installé depuis peu, l’eau restait précieuse.
Le thé revigorant a suivi, puis un repas aux saveurs... indescriptibles... La cuisine algérienne était épicée, relevée, mais pas piquante, pas de piments forts qui emportaient la gueule... C’était juste... Suave et tellement inconnu pour moi... !!!Lorsque les fruits frais, les dattes et les pâtisseries sont arrivés, Farid s’est approché de moi, sa main sur mon épaule.
— Mes cousins et mon oncle voudraient te connaître aussi... Tu accepterais de venir prendre le thé dans notre tente ?
J’aimais beaucoup Farid et j’avais été tellement bien accueilli, que je ne voyais pas comment j’aurais pu refuser.
— Je veux bien Farid, mais qu’en pense Rachid ? Il sera là aussi ?— Si tu es d’accord, il est d’accord aussi, et il ne sera pas là, il a besoin aussi d’être avec ses cousins.
Je l’ai suivi vers une autre tente, un peu plus grande, où trois hommes nous attendaient. Deux environ de l’âge de Farid et un autre, un peu plus âgé, mais pas de beaucoup, et très bien conservé, avec une très belle silhouette. Ils arboraient un magnifique sourire, manifestement ravis de ma venue, et se sont empressés de m’accueillir parmi eux, me servant ce thé, dont le goût particulier me rappelait celui que j’avais bu la veille, avec les garçons.
De grands tapis, plus beaux les uns que les autres, couvraient le sol de la tente au milieu desquels un brasero rempli de braises se consumait, dégageant une odeur prenante d’herbes et d’épices avec dessus, une sorte de bouilloire chauffait l’eau destinée au thé. Nous avons pris cercle autour de ce feu, moi, assis entre Farid et Hassan. Leur position m’a surpris, genoux relevés proche de leur torse, laissant apparaître leur virilité, exhibée sans pudeur aucune, d’un volume à la hauteur de leur sang bleu.
Le début de la soirée a été hyper-convivial, dégustant le thé, parlant, dans un français difficile pour eux, mais traduit aussitôt, de la France, de l’Algérie et surtout, de leur histoire à eux. Aussi bien que le breuvage, je buvais littéralement leurs paroles, réalisant que j’étais hyper-privilégié de partager, ne serait-ce que pendant quelques jours seulement, leur vécu, leurs origines, tout ce que l’immense majorité des Français ne connaissait pas, ni même les pieds noirs.
Pendant cette conversation, Farid et Hassan s’étaient rapprochés de moi, me choyant négligemment jusqu’à faire descendre le fin tissu qui me recouvrait, pratiquement jusqu’à mon nombril. Ils m’ont un peu penché, pour que je puisse dévoiler ma fente ourlée aux regards des autres, caressée par chacun d’eux avec des doigts qui me semblaient assez gras. Il ne m’en fallait pas davantage pour ouvrir mon puits d’amour à leur concupiscence, et face à moi, mes yeux ont dévoré l’ampleur grandissante de leurs sexes, ce membre viril que je vénérais, que je considérais comme une pure merveille de la nature, dont je savais que je ne pourrais plus jamais m’en passer.
Chatte enduite de cet onguent spécial destinée aux femmes pour leurs premiers accouplements avec ces hommes hors normes, leur oncle s’est approché, s’est mis à nu et s’est allongé sur moi. Cette barre de chair s’est frottée contre mon orifice, en cherchant l’entrée, et une fois que son énorme gland l’ait trouvé, il m’a envahi, de toute sa puissance, écartant mes cuisses au maximum, pour me pénétrer le plus profondément possible. Au même moment, deux colonnes ont frotté mes lèvres et se sont emparées de ma bouche. Je les suçais avidement et alternativement pendant que des coups puissants défonçaient ma grotte à plaisir des hommes.

Tous les cinq ont pris possession de mon corps pendant cette soirée, par tous les orifices possibles. J’avais l’impression qu’ils se défoulaient, qu’ils prenaient un plaisir qu’ils ne devaient que rarement connaître, avec une fougue, retenue au début, mais qui s’était lâchée complètement, au vu de mon acceptation et de ma jouissance. Leurs sexes étaient gros, très gros, mais aucun d’entre eux ne rivalisait avec celui de Farid, qui reste encore, à l’heure actuelle, le seul de cette taille que j’ai pu connaître.
Fourbu, mais comblé, Farid m’a raccompagné au bâtiment où était ma chambre avec Rachid, mais contrairement à ce que je pensais, c’est dans la sienne qu’il m’a conduit.
Douche prise, thé noir, je dis bien thé noir simple, avalé, nous avons commencé à parler tous les deux. J’avais beaucoup d’affection pour cet homme, si droit, si simple, si franc et si honnête.
— Marc, je comprends que tu sois surpris, un peu désemparé par tout ce que tu vis depuis ta venue dans notre pays. — Surpris oui, bien sûr... Je ne m’attendais pas à ça, mais désemparé, non. — L’Algérie reste encore repliée sur elle-même, remplie de tabous, et particulièrement au Sud.— Explique.— Chez nous, les Touaregs, une femme ne suce pas, elle se fait encore moins prendre par le cul, et doit montrer qu’elle subit un rapport sexuel avec son mari, comme une épouse soumise, au risque de passer, à ses yeux comme une putain si elle y prend du plaisir. — Attends Farid, c’est la nature ça... Je comprends pas bien. — Tu peux pas comprendre Marc, c’est le poids d’une culture ancestrale, remplie de traditions, de tabous, de préjugés, de religion et d’interdits. — Farid... Tu ne crois pas que notre soi-disant si belle religion chrétienne ne soit pas bourrée d’autant de limites.— Je sais Marc, mais pas autant.— Ce dont je suis sûr, c’est que, quelles que soient nos origines, elles m’empêcheront jamais de vivre heureux avec celui que j’aime. — Rachid ? — Oui.— J’ai envie de toi Marc, envie de faire l’amour avec toi, même si je sais que ton cœur ne m’appartiendra jamais et ce n’est pas ce que je cherche.
J’aimais cet homme, pas d’amour, mais de tendresse, d’une affection sans borne et je savais que j’avais été capable de lui procurer un plaisir, à ma grande stupeur lors de notre première fois, qu’il ne pouvait savourer que rarement. Je me suis donné à lui avec fougue pour sceller notre complicité si riche.Le lendemain matin, il est arrivé avec un plateau de petit-déjeuner bien fourni, café, crêpes, genre de brioche, tartines avec du miel, que j’ai dégusté avec avidité.
Il me regardait manger avec un regard doux, protecteur, juste une simple caresse sur mes joues, sa main sur ma cuisse, sans intention aucune.Une fois le plateau enlevé, ses yeux se sont dardés sur moi, et je me suis jeté dans ses bras en pleurant tous les sanglots de mon corps. Rien ne parvenait à me calmer... A sécher ce flot intarissable... Hoquetant, tremblant, me calmant, et repartant aussi sec à pleurer, déversant toutes les larmes que mon corps pouvait produire, jusqu’à son complet tarissement.
— On retourne à Oran demain, et dans trois jours, je rentre à Nice... Je peux pas Farid... Je peux pas... !!!
Il m’a pris dans ses bras puissants, m’a foutu sous une douche froide d’abord, puis progressivement tempérée en m’intimant l’ordre de me préparer pour aller rejoindre Rachid et Karim qui m’attendaient, sous la tonnelle du parc.
Je me suis avancé à pas lents vers eux, contemplant tout ce que j’allais perdre dans quelques jours, les yeux rivés sur l’homme que j’aimais, que j’adulais, que je vénérais et que j’allais perdre très bientôt.Il s’est approché de moi, me prenant dans ses bras sous les yeux bienveillants de son père et m’a serré tellement fort contre lui que mes pleurs n’ont pu surgir.
Karim a approché un café de moi sur la table et s’est mis à me parler, avec son sourire... indéfinissable.
— Dis-moi Marc, j’ai un projet en tête et j’aurais bien besoin de toi pour le réaliser... Pourrais-tu m’aider ? — Ma foi, si je peux, avec plaisir Karim.
En lui répondant dans un état second.
— Je voudrais mettre en place un échange scolaire, puis après universitaire, avec la France. Accueillir des Français dans notre pays pour en découvrir la culture et la langue, et faire bénéficier aussi les jeunes de notre pays... Qu’en penses-tu ? — Mais... Mais... C’est génial ça... Quel merveilleux rapprochement entre nous avec des jeunes peu impliqués dans le passé... !!! — Tu voudrais bien m’aider Marc ? — Avec grand plaisir Karim... Comment ? — Je suis l’adjoint du ministre de la Culture, qui est parent éloigné de notre clan, mais aussi et surtout, le beau-frère de notre Premier ministre. Tu accepterais de venir les rencontrer avec moi ? — Oui, mais je dois rentrer jeudi, je ne sais pas si nous aurons le temps. — C’est vu avec Lucie et tes parents. Si tu es d’accord, tu restes avec nous et ton visa est prolongé d’un mois.
J’étais estomaqué d’une telle nouvelle. De toutes mes forces, je ne voulais pas quitter ce pays que je sentais de plus en plus devenir le mien.
— Karim... je peux en parler avec Rachid seul à seul ? — Bien sûr Marc... Au fait, n’oublie pas que dans mon projet, il faut impérativement une famille d’accueil pour nos échanges, de part et d’autre.
De son bras ferme, il m’a conduit, un peu chancelant jusqu’à notre chambre et m’a allongé sur le lit. Son regard scrutant me perçait, ses mains telles de caresses subtiles envahissaient ma peau, ses lèvres purpurines parcouraient mon corps après m’avoir mis à nu.
Mon homme, Mon Rachid adoré était dans mes bras et j’étais dans les siens... Enfin...
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