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Alice au club de Foot

Chapitre 1

Avec plusieurs hommes
Alice va au club de foot :
L’histoire suivante raconte comment je me suis retrouvée dans un club de foot pour vider les couilles d’une quinzaine de jeunes joueurs.L’entraîneur avait promis une bonne pute aux joueurs pour les remercier d’une excellente saison.Sa recherche restée vaine, il contacte Robert, une vieille connaissance.
— J’admire le travail que tu fais dans ce club de foot.
Je vais tenter de t’aider. Je connais une femme nommée Alice. C’est une bonne salope, elle aime la queue. Elle n’est pas très jeune, mais elle accepte tout. Elle a des seins qui tombent avec de grosses tétines et elle aime qu’on lui tire dessus. Comme on dit chez nous, c’est une bonne serpillière. Tu peux tout faire avec Alice. Tu as carte blanche. L’affaire est faite. Je dois venir un samedi après-midi. Il dit à ses gars qu’une salope va venir et qu’ils ont carte blanche et peuvent tout me faire comme si j’étais une poupée gonflable. Robert ne manque pas de dire que j’aime me faire défoncer comme une truie en chaleur.
J’arrive le samedi et je vois tous ces jeunes âgés entre 18 et 21 ans qui bavent en se disant qu’elle va bien se faire défoncer cette pute. Pas de pitié pour des salopes comme ça et avec ses mamelles qui pendent, on va bien s’amuser.
Cela part tambour battant, un me défonce la chatte, un autre que je suce puis un autre derrière ne se prive pas pour me la mettre dans mon cul. Les mouvements deviennent très rapides.Ils se relaient comme dans un 4x100 m et me prennent la poitrine pour prendre appui et bien me la mettre à fond. Je suis secouée comme une poupée gonflable.Ces jeunes ne se privent pas de me traiter de tous les noms :
— Sale chienne.— Vide couilles.
...Les injures fusent.Je passe de main en main, ou plus précisément de queue en queue.Mes orifices sont visités de multiples fois.
Le sperme coule sur mes cuisses.Ma bouche est déformée par les queues qui m’ont été introduites sans ménagement.Je suis recouverte d’une quantité de foutre incroyable, ils ont des réserves, ces petits gars.Une fois qu’ils sont tous passés sur moi, ils me mettent sur la table à quatre pattes pour jouer, comme ils disent, avec mes deux belles mamelles qui pendouillent.Ils tirent dessus, les sucent. Ils essaient de me traire, comme le fermier peut faire avec ses vaches, mais rien ne sort. Mes mamelles sont bien vides.
— Faut la fister cette pute, vu que c’est un garage à bites.
Tous les jeunes attirés par cette pratique mettent leur main dans ma chatte qui déborde de jus.
— On va lui élargir le cul.
Mes deux orifices sont maintenant visités d’une tout autre façon.Ils ne prennent pas de gant pour me les dilater sans ménagement.

L’un deux prend des photos de leur exploit pour pouvoir les exhiber comme trophée.Un autre, tenant une cannette de bière à la main, dit :
— On va la remplir d’une autre façon.
Je le vois mettre la canette dans ma chatte. Il la pousse. Cela rentre comme dans du beurre.Une autre canette prend le chemin de mon cul et se trouve aussi insérée avec facilité.
— Cette salope les a prises sans problème et bien à fond !— On peut mettre tout ce qu’on veut là-dedans, elle est tellement dilatée et ouverte !— Elle est super, cette chienne d’Alice.
Ils décident de me mettre par terre.
— Salope, tu vas nettoyer notre vestiaire avec tes mamelles comme deux bonnes serpillières. Au moins, elles seront utiles.
Ils me traînent alors par les pieds et font le tour de la pièce.
A la fin du nettoyage, un grand mince trouve une autre idée :
— On va à la pissotière pour bien l’arroser.
Je suis à nouveau traînée sur ma poitrine et par les pieds.Arrivés au chiote, ils me posent dans la pissotière, passent un par un et répètent :
— Ouvre la bouche.
Ils se soulagent ainsi en pissant dans ma bouche.Certains mettent leur queue molle dans ma bouche pour uriner.Ça coule partout, je suffoque.
— Tu vas servir d’urinoir.
Finalement, tous passent me pisser dessus.Mon corps est arrosé avec leur urine.
— C’est une belle salope, on peut tout lui faire.— C’est super une chienne comme ça, à la maison, comme vide couilles.
Je les vois me pisser sur la tête, sur les seins et sur tout le corps. Ils ne se privent pas.
— Maintenant, à la douche !
Ils me traînent dans la pisse jusqu’à la douche.
— Il faut bien la laver.
Rebelote pour une séance de tripotage. Mes seins sont déjà bien rouges par le nettoyage du sol du vestiaire et par le passage à la pissotière. Les jeunes tirent dessus et les tordent comme pour essorer une serpillière. Ils utilisent aussi mes mamelles comme on peut jouer au pied avec un ballon de football. Ils prennent plaisir à frotter et fouiller mes orifices pour que je sois propre.Une fois qu’ils ont tous fini de jouer avec leur poupée gonflable, ils félicitent Robert en lui disant que j’ai été une bonne salope et une bonne chienne comme vide couille.
— J’ai bien apprécié le spectacle et j’ai pu faire de belles photos et vidéos de vos exploits.— Et Robert, est-ce qu’elle peut venir pour l’anniversaire d’un copain dans 15 jours. On ne sera que quatre.— Pas de problème, note mon numéro de téléphone pour le rendez-vous.
Je remets ma petite robe et Robert me ramène à la maison où je me repose.Au bout d’un moment, sortie de mes rêves, je pense aux deux cannettes qu’ils m’ont introduites dans mes orifices.Je retourne à la douche et je suis obligée de bien dilater et masser mes orifices pour pouvoir faire sortir les deux canettes qui se trouvent bien calées au fond. Je pousse fort et au bout d’un moment, les objets sortent, mais j’ai dû bien pousser pour les extraire. Dur ! dur !Ils m’ont bien défoncée et remplie de partout, ces jeunes vigoureux !Je suis rincée. Il me faut une bonne nuit au moins pour bien me remettre de ses émotions de baise débridée.Bises.Alice...
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