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Alice, esclave publique

Chapitre 1

Une jeune fille désoeuvrée décide d'être utile à la société en devenant esclave sexuelle

Trash
Depuis presque dix ans, l’Union européenne et les États-Unis avaient décidé, de par leur idéologie commune de créer une nouvelle institution internationale : le SESSB, ou Social Enslavement System for Social Benefit. Cet organisme a un but : empêcher que les femmes ne soient pas utiles à la société, étant donné que dans tous ces pays, leur taux de chômage avait atteint des niveaux critiques. L’autre utilité était d’augmenter la reproduction, afin de permettre de lutter contre la natalité chutant toujours.
Alice était une jeune Française sans-emploi. Elle était blonde, petite, avec des seins et des fesses de taille moyenne. Étant donné qu’elle ne trouvait pas de sens à sa vie, elle décida un jour de se soumettre au programme de réinsertion par l’asservissement du SESSB. C’était une thérapie de rééducation incluant une rétrogradation à un état de citoyenneté inférieur, un lavage de cerveau complet et une modification totale du corps féminin afin d’arriver aux stricts standards des esclaves publiques.
Alice décida donc de franchir le pas et quitta son appartement afin de se rendre au centre de thérapie d’asservissement de sa vile. Après avoir expliqué sa situation au standard, elle fut amenée dans une petite salle avec seulement un stylo et un contrat. Il stipulait qu’à partir du moment où elle l’aurait signé, il n’y aurait pas de retour en arrière. Tous ses biens, à comprendre son appartement, les vêtements qu’elle portait actuellement et le reste appartiendraient dorénavant au gouvernement. Son compte bancaire serait fermé après avoir vidé par le SESSB. Son passeport et sa carte d’identité seraient détruits et un dossier à son nom serait créé dans l’administration française en tant qu’esclave n’ayant qu’un seul droit : personne ne pourrait lui causer de dommages physiques permanents.
Elle n’aurait plus le droit de rien posséder, pas de droit de vote, pas le droit de disposer comme elle l’entendrait de son corps ou de son esprit, pas le droit de choisir ses partenaires sexuels et pas le droit de voyager seule dans le pays.
De l’autre côté, le SESSB lui promettait un bonheur indépassable, et, plus important à ses yeux, une place utile dans la société. Le document finissait par une affirmation chiffrée : « Malgré le fait que plus de quatre millions de femmes adultes soient entrées dans nos centres de rééducation, le nombre de femmes ayant voulu en sortir est de zéro ».Après un court moment de réflexion, Alice se dit qu’elle n’était pas assez égoïste pour préférer son libre arbitre à l’intérêt commun. Elle apposa donc sa signature en bas de page.
Une fois Alice ayant signé le contrat, deux hommes musclés, envoyés par l’accueil, entrèrent dans la pièce. Elle essaya de leur demander la raison de leur présence, mais quand ils commencèrent à la déshabiller, elle comprit que la loi de dépossession prenait court immédiatement. Elle s’en réjouit, se disant que son utilité à la société et son plaisir allaient sûrement arriver plus tôt qu’elle ne le pensait. Les deux hommes se permettaient de tâter ses seins et ses fesses en rigolant et en faisant des commentaires grossiers, et la jeune fille les laissait faire, étant donné qu’elle essayait de s’habituer le plus vite possible à son nouveau statut de meuble servile. Une fois la jeune fille nue, l’un des deux hommes sortit de sa poche un épais collier électronique. Il lui passa autour du cou et le referma. Lors de la fermeture, Alice sentit une légère piqûre dans sa nuque, et comprit que le collier allait sûrement lui injecter quelque chose.
Avant qu’elle ait le temps de poser des questions à propos du collier et de la piqûre, les deux hommes l’amenèrent dans une salle bien plus vaste. Des dizaines de femmes nues et avec un collier au cou étaient assises, et devant elles une scientifique en blouse blanche expliquait l’utilité des colliers électroniques.
— Bonjour à toutes. Étant donné que vous avez toutes décidé de céder gracieusement le droit de posséder votre corps et votre esprit au gouvernement français et au SESSB afin d’agir pour le plus grand bien, je vais vous expliquer à quoi servent vos colliers. Ils feront de vous de belles esclaves dévouées au bonheur d’autrui. C’est la pierre angulaire de votre entraînement et de votre rééducation en tant qu’esclaves publiques. Premièrement, il s’agit d’un système électrique qui permet de vous envoyer des décharges électriques d’amplitudes variables avec une simple télécommande, car les chocs électriques font partie de la thérapie. Cependant, l’utilité principale du dispositif est d’injecter des hormones variées dans votre système sanguin.
La scientifique passa alors aux explications techniques. Alice retint dans les grandes lignes l’usage fait du complexe cocktail d’hormones utilisé :
— Quand l’esclave était exposé à un stimuli sexuel ou à un sentiment d’humiliation, de multiples hormones étaient relâchées et généraient un plaisir intense qui simulait au niveau du cerveau une sorte de fierté et de contentement indescriptible, tout en augmentant la sensibilité de tout le corps. Cela déclenchait aussi une salivation intense (afin que l’esclave bave) et humidifiait le vagin. C’était du conditionnement : comme le chien de Pavlov salivait quand il entendait la cloche, à la fin de l’entraînement, l’issue était certaine : les esclaves publiques supplieraient avidement afin d’avoir accès n’importe quelle bite, étant donné le plaisir intense associé, et saliverait comme des chiennes face à un pénis à sucer. Elles seraient comme des chiennes en chaleur en permanence.— Un autre point était l’effet abrutissant : les hormones n’affectaient pas le QI de façon permanente ou dangereuse, mais mettaient l’esclave dans un état de servilité, ceci afin d’éviter les réflexions inutiles et l’ennui. C’était la technique parfaite afin de former des soumises humbles et dociles (en addition de la technique de conditionnement).— Le collier agissait aussi comme un contrôle menstruel, car grâce à un afflux stratégique d’hormones féminines, toute ovulation était évitée. Si on voulait engrosser l’esclave publique, il suffirait d’appuyer sur une télécommande afin de déclencher instantanément une ovulation et une montée en chaleur extrême de la femelle. — Finalement, le collier était aussi impliqué dans l’aspect physique de la thérapie : il permettait d’évacuer tout gras superflu tout en provoquant une croissance importante des seins et des fesses. Il induisait aussi la production de lait, afin de traire les esclaves pour amoindrir les coûts importants de la transformation.
Une fois la présentation terminée, la scientifique s’assura que tout le monde avait bien compris et demanda si certaines souhaitaient faire marche arrière. Toutes assurèrent qu’elles étaient ravies de la présentation et avaient hâte de voir comment leur collier et les entraînements fournis par le centre allaient leur forger une nouvelle personnalité bien plus utile et agréable à vivre. Alice se prit à rêvasser en s’imaginant avec un corps de déesse servir avidement un homme, et elle se rendit compte qu’elle mouillait et salivait déjà : le conditionnement avait commencé.
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