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Alice, esclave publique

Chapitre 3

Apprendre à obéir aux ordres

Trash
Après l’épisode de la trayeuse, les vibrations du collier amenèrent Alice à sa chambre personnelle. Cette chambre n’appartenait évidemment pas à la jeune fille, étant donné qu’elle avait renoncé à toute propriété, mais lui était prêtée pour la durée de son entraînement. La pièce était assez exiguë, un peu plus de 18 mètres carrés.
Il y avait comme seul mobilier un lit, un écran d’environ 40 centimètres sur 30 accroché au mur et un coin hygiène (lavabo, toilettes, douche). Il n’y avait rien pour se distraire, mais Alice ne s’inquiétait pas : non seulement les hormones qu’on lui injectait en permanence empêchaient l’ennui et les réflexions inutiles, mais en plus le temps éveillé qu’elle passerait ici serait meublé par de nombreux exercices individuels visants à la former. Elle savait que tout son temps libre serait dédié aux plaisirs et efforts de la thérapie de réinsertion.

Elle prit connaissance du maigre mobilier avant de regarder l’écran. Il y avait dessus l’emploi du temps pour le reste de la journée. Étant donné qu’Alice était arrivée dans l’après midi au centre, il était maintenant 18h, et son emploi du temps indiquait « entraînement à l’obéissance aux ordres » jusqu’à 20h, suivi de « repas » puis « sommeil ».
Une fois qu’elle avait indiqué avec une télécommande qu’elle avait bien prit connaissance de son emploi du temps sommaire, un texte passa lui expliquant que son emploi du temps lui serait toujours communiqué de cette façon, au jour le jour, car une esclave publique n’avait pas besoin de savoir à l’avance en quoi consisterait sa journée.
Ensuite, un autre texte accompagné d’une vidéo explicative la renseigna sur « l’entraînement à l’obéissance aux ordres » qu’elle allait subir.

Cela faisait partie des nombreux revenus qui finançaient le SESSB : des internautes du monde entier pouvaient se connecter à un site de stream en direct qui les mettaient en relation avec une apprentie esclave. Ils payaient quelques dizaines de centimes, puis envoyaient ensuite un ordre qui était traduit puis lu par une intelligence artificielle, et l’ordre était donc transmit oralement haut et fort dans la cellule. À ce moment, l’esclave devait exécuter la consigne immédiatement, sans réfléchir. Si elle mettait trop de temps, elle recevait un léger choc électrique de son collier. Si elle le faisait rapidement, rien. Si elle le faisait très rapidement, elle recevait une récompense hormonale.
Un grand nombre d’exécutions « très rapide » faisait monter l’esclave de niveau. Plus elle était à un haut niveau, plus elle devait être rapide pour être récompensée et non sanctionnée, et plus les demandes des internautes pouvaient être humiliante ou trash. En cas d’échecs répétés, on pouvait évidemment perdre un niveau.

Le but de toutes les esclaves publiques était évidemment d’arriver au niveau 20, le niveau maximal. À partir de ce moment, il était généralement impossible de perdre un niveau car l’esclave réagissait inconsciemment et obéissait sans aucune réflexion à tous les ordres qu’on lui donnait. Alice rêvait d’arriver à ce niveau de détachement, mais elle savait que la route était longue.
Ses réflexions furent interrompues par le bruit d’ouverture d’une trappe située sous l’écran. Un plateau où étaient disposés différents sextoys fut poussé par une machine à travers la trappe, puis cette dernière se referma. C’était les outils avec lesquels les internautes pouvaient composer pour faire faire à Alice ce qu’ils voulaient. Sur le site internet du SESSB, des internautes avaient déjà remarqué le joli visage de la jeune fille, et s’apprêtaient à envoyer leurs premières requêtes. Un décompte fait par une voix automatique retenti dans la chambre, et Alice se prépara à obéir rapidement, avant même d’avoir pu regarder quels était la nature des différents sextoys à sa disposition.

La voix robotique retenti alors : « Mets les pinces sur tes tétons »
Ni une, ni deux, Alice repéra les deux pinces à mamelons sur le plateau, puis essaya d’en mettre une, mais la douleur qu’elle ressenti alors la fit hésiter un instant avant de mettre la deuxième. Un bruit de buzzer sortit de l’écran et Alice sentit un courant électrique passer à travers son corps. Ce n’était pas très douloureux, mais désagréable et surtout humiliant. Elle ne devait pas baisser les bras. Elle referma l’autre pince sur son téton sans plus hésiter et attendit la deuxième requête en se jurant qu’elle n’échouerait pas deux fois.
« Dis que tu es une chienne servile »
« Je suis une chienne servile ! », cria Alice sans même réfléchir au sens de la phrase. Elle ressentit alors légèrement la sensation procurée par les hormones se répandre dans son cerveau, en même temps que le sentiment de honte associé à ce qu’elle venait de faire. La fenêtre de réponse était très courte, même si elle était au niveau 1. Elle prit alors conscience du chemin à faire pour s’améliorer.

« Mets le plug anal dans ton cul », tonna immédiatement la voix robotique
À ces mots, Alice décida d’ignorer le fait qu’elle n’avait jamais eu de rapport anal et se jeta sur le plug qui était sur le plateau avant de l’enfoncer dans son anus. Elle sentit son muscle se contracter et eu mal, mais la douleur fut immédiatement effacée par l’intense plaisir et fierté qu’elle ressenti alors grâce à la récompense hormonale. Elle comprit alors le but de l’entraînement : les esclaves recevaient plus de plaisir que de honte et de souffrance si elles jouaient le jeu : il ne lui fallait pas hésiter afin de conserver cette état de béatitude.
« Fait une gorge profonde au dildo »
Elle se jeta sur le plateau, attrapa le dildo et l’enfonça dans sa gorge. Elle eu un réflexe de déglutition, mais elle réussi à effectuer des va et viens profondément, en répandant de la bave à ses pieds et avec des bruits de bouche humiliants. Elle se demanda l’image qu’elle devait donner aux spectateurs, celle d’une fille s’étouffant elle même comme une idiote sur un dildo avec des pinces sur les seins et un plug dans le cul, mais encore une fois l’intense récompense annihila tout regret. Elle adorait le principe de cet entraînement : elle savait très bien qu’elle abandonnait peu à peu son libre arbitre mais c’était exactement ce qu’elle voulait : que d’autres décident à sa place. Elle s’imaginait déjà comme objet obéissant automatiquement à tous les ordres.

La suite de la soirée se passa de requête en requête sans accroc. Alice se retrouva à 20h épuisée mais fière d’elle. Elle avait obéi à des ordres humiliants et était allée jusqu’à se baiser elle même avec le dildo mais elle était passée au niveau 2. C’est satisfaite d’elle même que la jeune femme se coucha, prête pour son emploi du temps du lendemain.
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