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Alice, esclave publique

Chapitre 5

Premier contact avec un homme

Trash
Pendant près d’une semaine, la vie d’Alice fut un supplice. Elle ne cessait de s’améliorer en entraînement à l’obéissance (elle avait maintenant atteint le niveau 16 sur 20, un résultat témoignant de ses efforts), mais le reste de ses journées consistait à se masturber avec son gode avant d’être stoppée toujours plus proche de l’orgasme par la voix robotique. Il y avait des fois où elle aurait été tentée de désobéir afin d’atteindre le nirvana, mais son cerveau était désormais trop adapté à l’obéissance : quand la voix disait "STOP", son corps était paralysé par réflexe. Évidemment, à chaque entraînement à l’obéissance, elle obéissait de la même façon, automatique. Loin de l’effrayer, ce fait la remplissait de fierté : être docile était le premier prérequis de toute bonne esclave publique.

Un matin, Alice remarqua que son emploi du temps du matin comptait l’habituelle "séance de discipline", où elle se masturbait, de 8h à11h, puis ensuite une "visite médicale". La jeune fille fut extrêmement soulagée à l’idée d’enfin sortir de cette routine nécessaire à sa formation mais si frustrante. Elle se soumit sans rancœur à la séance de discipline, puis quand la porte de sa chambre s’ouvrit, suivit les vibrations de son collier jusqu’à l’infirmerie où elle était allée la dernière fois. Là bas l’attendait la même jeune infirmière à la queue de cheval. Elle avait le même air heureux sur le visage et accueilli Alice avec un grand sourire :

— Esclave 38730, je suis très heureuse de vous revoir ! De ce que je vois sur les statistiques de votre profil, vos progrès sont fulgurants. Vous avez un score d’obéissance et d’excitation suffisant pour passer à la prochaine phase du programme de rééducation. vous savez en quoi il consiste ?L’apprentie esclave publique secoua timidement la tête pour signifier son ignorance.

— Très bien. Pour vous expliquer brièvement, il s’agit d’une correction qui a été apportée dès le développement du programme. Au début, certaines filles étaient de mauvais volonté et profitaient de leur conditionnement pour se procurer du plaisir sans jamais faire jouir les hommes, afin de prolonger la durée des ébats. L’un des correctifs est l’addition d’un verre de sperme aux repas qui permet aux aspirantes esclave de développer une sorte d’addiction à la semence qui pare à ce genre de comportements antisociaux. Mais le changement le plus important est sans hésiter le module social de récompense de votre collier que je vais activer à présent. Il permet de déclencher une vague de plaisir suite à toutes sortes de félicitations de la part d’un individu libre, mais aussi de provoquer les même effets quand l’esclave se sent utile à la société en général. On l’appelle entre professionnels du centre le module "anti-égoïsme". Vous comprenez l’importance qu’a ce module pour votre rééducation ?
— Je pense que oui, répondit Alice. Si je n’écoutais que le plaisir de masochiste qui m’a été implanté, je ne serais pas dévouée à mes maîtres. Une femme obéissante et lubrique n’est pas forcément pleine d’abnégation, alors que c’est le dévouement qui est la raison d’être des esclaves publiques du SESSB.

— C’est exactement la façon de penser qui correspond à la vision du centre, dit l’infirmière en applaudissant. Bravo esclave 38730 !

Au moment où elle entendit les congratulations de la jeune fille, Alice sentit un frisson indescriptible parcourir sa moelle épinière. Elle comprit alors au sourire chafouin de son interlocutrice que le module social avait déjà été activé. Elle avait été conditionnée pour désirer les hommes d’une façon soumise au point où elle salivait rien qu’en pensant à un pénis, elle avait été dressée comme une chienne par des récompenses et punitions à obéir instinctivement à tout ordre qui lui était donné, et maintenant elle serait conditionnée afin d’avoir pour seul but de servir la communauté, et plus particulièrement le ou les maîtres qui lui seraient attribués. L’idée de cette perte d’individualité n’inspirait aucune crainte à Alice, et ce n’était pas à cause de son conditionnement : elle souhaitait ardemment éprouver la sensation de faire partie de quelque chose de plus grand, tout en ressentant ce qu’elle pressentait être un plaisir constant et sans bornes. Elle avait bien plus peur d’échouer sa rééducation à cause d’un trop plein d’égoïsme que de l’éventualité de devenir une esclave sans individualité.

— Étant donné que vous avez réussi les premiers stades, la suite de votre formation se fera avec un maître attitré, dans un appartement dédié au "dressage à l’altruisme", à l’intérieur du centre. Votre maître s’appelle Martin. Il est habitué au dressage d’aspirantes esclaves, et il saura vous rendre sage et dévouée comme une esclave publique confirmée en un rien de temps. Vous pouvez partir. Bonne journée ! dit l’infirmière avec un grand sourire.

Alice sentit alors son collier vibrer, lui indiquant le chemin vers l’appartement où se trouvait son futur maître. Pendant qu’elle se levait et se mettait en marche dans les couloirs, son cerveau tournait à plein régime : elle rêvait de se faire prendre par un homme, mais se doutait qu’un entraînement visant à lui apprendre l’altruisme serait autrement plus restrictif pour elle. Alors qu’elle réfléchissait, elle se rendit compte que’lle était arrivée devant une porte ouverte. Les vibrations sur le devant de son collier lui indiquant tacitement d’entrer, elle regarda à l’intérieur de la pièce.


L’appartement en question différait en plusieurs points de celui où Alice avait commencé sa formation. Tout d’abord, il était bien plus grand et spacieux, facilement 5 fois plus grand que sa précédente habitation. De plus, au lieu d’une lumière artificielle, la lumière sortait d’une immense baie vitrée donnant sur un parc végétalisé du centre. De plus, le lit était un large lit à deux places. Constatant que personne n’était à l’intérieur, Alice entra dans la pièce. La porte se referma automatiquement derrière elle. Quelques instants après, elle entendit des bruits issus de derrière la porte de ce qu’elle supposait être la salle de bain, et un homme d’une petite trentaine d’année en sortit.

L’homme en question était de taille moyenne, plutôt musclé mais pas non plus bodybuildé. Il avait les cheveux noirs courts, était rasé de près et avait les yeux très bleus. Cependant, ce qui arrêta l’attention d’Alice, qui avait passé la semaine précédente à être maintenue au bord de l’orgasme, c’était que le jeune homme était intégralement nu et avait le sexe en érection. Alice fut un temps paralysée par cette vision qui l’emplissait de désir douloureux, et revint à la réalité quand l’homme, qui était évidemment Martin, son maître attitré, dit d’une voix claire et forte "Mets toi à genoux".
Aussitôt, les jambes de l’aspirante esclave se plièrent sous elle et elle atterrit sur ses genoux si brusquement qu’elle se fit presque mal. Martin avait aux lèvres un sourire victorieux.

— C’est bien. Maintenant regarde toi dans le miroir qui est à ta droite.

Alice se tourna vers sa droite et fut frappée de voir l’image qu’elle renvoyait : sans qu’elle s’en soit rendu compte, sa mâchoire s’était décrochée, de la salive coulait sur son menton, et entre ses jambes légèrement écartées on voyait couler un filet de cyprine. Son corps avait réagit instantanément à la présence d’un homme. Elle referma la bouche, n’osant pas essuyer la salive qui avait coulé, resserra ses jambes et se tourna vers son nouveau maître.

POINT DE VUE DE MARTIN
Martin était ravi. La jeune fille qu’on lui avait attribuée était parfaite à ses yeux. Un visage angélique, un corps que le début de la formation n’avait pas eu du mal à transformer en merveille : des seins ronds et opulents, un cul bombé et ferme, un taille parfaite. De plus, elle était très travailleuse et son esprit conscient et inconscient avait déjà été parfaitement modelé pour répondre aux standards attendus pour cette phase de la rééducation. Il comptait bien en faire une esclave idéale, puis demander à ses supérieurs de la garder à la fin de sa formation. Cette faveur lui serait facilement accordée, vu qu’il était de loin un des meilleurs dresseurs du centre du SESSB. Il s’approcha de sa nouvelle esclave, qui se tenait immobile à genoux. Le regard d’Alice bougeait en permanence, passant du sexe en érection de son maître au visage de ce dernier.

Quand il fut à moins de 50 centimètres de la jeune fille, il lui ordonna de se lever en restant immobile, les bras le long du corps. Elle obéit instantanément, comme montée sur ressorts. Le visage de l’aspirante esclave était tout proche du sien, ses yeux étaient implorants mais elle n’osait formuler la moindre requête à voix haute. Sa respiration était saccadée, comme si elle avait courue, et sa magnifique poitrine se soulevait et retombait au rythme de son souffle. Martin leva les bras et prit simplement les tétons de la jeune fille entre son pouce et son index, sans les pincer. Elle gémit sans pouvoir se retenir. Les deux tétons étaient dressés, à un point où ça devait être douloureux. Il appuya légèrement dessus, et du lait perla. Alice n’avait pas été traite depuis une semaine, et ses mamelles étaient gonflées. Martin appréciait ce détail : il allait apprécier jouer avec les besoins de l’esclave qui prenait du plaisir et du soulagement à la traite. Il amena caressa la joue de la jeune fille, puis laissa son pouce s’approcher de ses lèvres.

— Suce mon doigts comme si c’était une bite.

Aussitôt, la jeune fille prit le pouce en bouche, et commença à le lécher avidement. Elle essaya de se faire la plus caressante possible. Il sentit sa langue entourer, aspirer et presser doucement son doigt. Il sortit doucement son pouce de la bouche d’Alice avant de lui ordonner de se mettre à genoux. Elle tomba à genoux encore plus vite que la première fois. Son visage était exactement au niveau du pénis de Martin. Il prit un plaisir sadique à la voir saliver rien qu’à l’odeur masculine qu’exhalait le membre. Il attendit quelques secondes, afin de bien vérifier que l’esclave savait se retenir, puis lui ordonna "Suce moi du mieux que tu peux". La jeune fille se jeta goulûment sur le sexe en érection. Son maître constata bien vite que le goût de son chibre la transportait déjà dans un état de béatitude, mais il sentit qu’elle faisait tout son possible pour rendre la fellation la plus agréable possible. Les lèvres d’Alice étaient impeccablement serrées autour de son pieu, et la langue de la jeune fille caressait parfaitement son gland. Elle appliquait toujours la bonne pression au bon endroit, envoyant des décharges de plaisir à travers son corps. Il replaça quelques mèches derrière son oreille, et lui dit avec un air condescendant :

— Tu es une très bonne fille Alice, tu t’en sors très bien.

Il vit tout le dos de l’esclave frissonner,  suite à la décharge de plaisir envoyée par le module social. Rapidement, il éjacula dans la bouche d’Alice. Elle n’en laissa pas échapper un goutte, et l’avala avec délectation, l’addiction au sperme ayant été correctement implantée dans son esprit.
Martin sourit, et se dit qu’il avait bien de la chance d’avoir obtenu une recrue à l’esprit si bien reprogrammé. Il allait certainement bientôt demander à ses supérieurs des modules spéciaux d’entraînement physique et mentaux : il tenait absolument à faire d’Alice la meilleure esclave possible, pour son usage personnel.

NB de l’auteur : Je suis désolé si ce chapitre a mit du temps à sortir, et j’espère qu’il plaira à ceux et celles qui l’ont attendu. Je ne peux pas promettre de poster régulièrement, mais il devrait y avoir un ou deux chapitres sous peu après celui-ci.
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