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Alice, femme trompée, femme libérée

Chapitre 1

Hétéro
Je me présente : Alice, 34 ans, grande brune d’1 mètre 80 aux cheveux longs et au look pin-up. Je suis mariée à David, de trois ans mon cadet, depuis presque 10 ans. Je suis peintre et vis de mon art, participant régulièrement à des garnissages, présentations, expositions...ce qui m’amène à être souvent éloignée de chez moi, et c’est au retour d’un de ces voyages que cette histoire commence.
Ce jour-là, je rentrais d’une exposition qui avait eu lieu à l’autre bout du pays et qui m’avait donc obligée à partir pour plusieurs jours. J’avais fait croire à David que je ne pourrais rentrer que le lendemain, jour de nos 10 ans de mariage, et je comptais bien lui faire à la fois la surprise de mon retour "anticipé", mais aussi du week-end en amoureux que je lui avais prévu pour les jours suivants, afin de ranimer une flamme qui me paraissait de moins en moins vive ces derniers temps. Non pas qu’on ne se touchait plus, mais c’était clairement de moins en moins souvent, et à mon goût, de plus en plus "plat"...déjà que ce n’était pas toujours fameux à la base, monsieur étant très vanille...enfin quand on aime, on n’hésite pas à passer outre ce genre de désagréments.
J’avais prévu d’arriver à la maison vers 16h, soit environ une demi-heure avant qu’il ne rentre du travail, ce qui me laisserait le temps de préparer ma plus belle lingerie avant de l’attendre dans le lit, comme un paquet cadeau. Et c’est ce que je fis. Mais la suite ne se passa pas du tout comme je l’avais prévu.
Quand arriva presque 16h30, j’étais fin prête pour manger tout cru mon cher mari. Si j’avais ressorti mon corset blanc transparent datant de notre mariage, c’était bien là ma seule tenue : Ni robe, ni porte-jarretelles, ni même petite culotte n’avait trouvé sa place sur mon corps. J’attendais fébrilement l’arrivée de David, devant résister fortement pour ne pas me toucher avant son arrivée. Et même sans me toucher, j’étais déjà totalement trempée, au point qu’il n’y aurait besoin d’aucun préliminaire avant qu’il ne me prenne sauvagement, comme je le souhaitais ardemment. Pour éviter d’être encore plus tentée, je n’étais pas restée allongée sur le lit, et j’attendais discrètement cachée derrière la fenêtre pour guetter son arrivée et aller m’allonger jambes écartées sur le lit.
Peu après 16h30, je vis la voiture de David arriver au loin, et là arriva ma première déception : Il n’était pas seul. Il était accompagné par Ève, la femme d’un de nos amis, petite brune rondouillette (Mais qui malgré tout ne pouvait pas rivaliser avec mon 95c) qui était devenue notre amie avec le temps, et l’était restée malgré leur séparation il y a un an de cela. C’était bien mon jour pour qu’ils aient décidés de se faire une bouffe ensemble tiens. Il fallait donc que je me rhabille en un temps record car bien que n’ayant pas peur de discuter de sexe avec mes amies, de là à me montrer quasi nue devant l’une d’entre elles, c’était tout autre chose.
C’est donc ce que je fis, filant le plus vite possible dans le dressing en face de la chambre pour attraper les fringues que j’avais laissé sur ma valise et me changer. Le timing serait serré, car lorsque je les entendis rentrer, je n’avais même pas encore eu le temps de remettre ma petite culotte. Et il fallait que je me dépêche car je les entendais monter l’escalier pendant que j’avais encore les seins à l’air.
J’étais d’ailleurs toujours dans cette tenue lorsqu’une pensée me frappa : Mais pourquoi montent-ils si vite en direction de la chambre? N’ayant pas le temps d’y réfléchir plus, je me cachais temporairement au milieu des fringues pour ne pas me faire repérer, craignant d’avoir compris ce qui se tramait.
Ils passèrent devant le dressing comme des fusées, et la tenue d’Ève ne laissait aucun doute. Son débardeur déjà baissé jusqu’à la taille pendant qu’elle avait mis la main au panier de mon mari permettaient de deviner ce qu’allait être la suite. J’aurais pu, j’aurais dû réagir, mais je restais plantée là, comme une conne, ne sachant pas quoi faire. Et c’est ainsi que je suis restée tout le long. Amorphe, comme si je ne contrôlais plus mon corps. Et pas besoin de voir, ce que j’entendais me brisait le coeur...
A peine semblèrent-ils arrivés dans la chambre qu’elle passa à l’étape supérieure : "Bouffe-moi la chatte, je n’attends que ça depuis ce matin". Non seulement elle se tapait mon mec, mais ça n’était pas la première fois qu’elle le faisait cette greluche. Ses gémissements ne laissaient d’ailleurs aucun doute sur le fait qu’il n’avait pas tardé à s’activer et qu’elle appréciait cela.
Après 5 minutes de ce traitement qui me parurent une éternité, je les entendis se déplacer, probablement pour aller sur le lit. J’aurais pu en profiter pour m’échapper, hurler, agir, faire quelque chose quoi. Mais toujours la même chose : Impossible de faire obéir mon corps, comme si ce dernier voulait s’infliger ça en entier pour je ne sais quelle raison.
Et en effet, ils étaient sur le lit, vu comment j’entendais celui-ci grincer par la suite. Je ne saurais pas dire quelles étaient leurs positions, ni même leur nombre, mais vu comment l’autre gourdasse gueulait "Putain, elle est bonne ta queue", "Oui, mets la moi encore", "C’est tellement meilleur qu’avec Cédric quand tu me baises" et bien d’autres insanités, ils y mettaient du coeur à l’ouvrage. Et ça avait l’air parti pour durer.
Pas besoin d’entendre l’un des deux dire qu’ils baisaient ensemble depuis longtemps pour le deviner, et à mon avis, le commencement correspondait à la séparation d’Ève et Xavier, date à partir de laquelle David avait commencé à être de plus en plus distant au lit avec moi.
C’est alors que j’entendis quelque chose qui me blessa encore plus que d’être trompée, fut-ce par une fille plus moche et grasse que moi. Elle avait envie de se faire enculer. Ça, je pouvais comprendre, la queue fine et longue de David semblait calibrée pour cela. Mais David me l’avait toujours refusé, trouvant cela sale. Or là, je n’entendis aucune réponse de sa part. Juste un cri strident de l’autre radasse, suivi d’un "Oui, encule moi plus fort".
Cette fois-ci, trop, c’était trop, il fallait absolument que je la vire de chez moi et que je signifie à David qu’il pouvait partir avec elle, qu’entre lui et moi c’était fini. Je sortis de ma cachette comme une furie et débarquait dans la chambre. Si David eut l’air de ne pas savoir où se mettre, il obéit à Ève quand celle-ci lui dit "Ne bouge pas, reste dans mon cul, on n’a pas fini". Cette phrase me déstabilisa, je ne savais plus comment réagir.
Elle enchaîna en me toisant du regard : "Tu vois, quand on sait s’y prendre avec un homme, c’est comme ça que ça se passe. T’en crevais d’envie qu’il te mette sa bite dans le cul. Maintenant, ne fais pas chier, soit tu nous regardes, soit tu te barres, mais compte pas sur moi pour te le rendre. T’as qu’à demander le divorce, j’attends que ça pour qu’on n’ait plus à se cacher" A peine sa phrase finie, elle se remit à coulisser obscènement sur le chibre de David, en faisant des tonnes pour me choquer.
Ce qu’elle réussit parfaitement. Je ne sus réagir que d’une manière : Fuir de la chambre en pleurant. Je courus vite vers ma voiture pour aller pleurer toutes les larmes de mon corps. Après une heure à me lamenter sur mon sort, je décidais d’appeler mon meilleur ami pour lui demander de l’aide, ne sachant pas quoi faire d’autre...
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