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Alice au pays de la soumission

Chapitre 1

Une femme qui veut connaitre

SM / Fétichisme
— Tu es certaine que c’est ce que tu veux ?— Oui, je veux connaître, ressentir. — OK. Je t’envoie un mail. Il y trouvera tout ce que tu dois savoir.— Pas de souci, je dois de te rendre une réponse ? `— Tu imprimes, tu signes, tu scannes et me renvoie le tout. — OK, j’attends ton mail.— Mais n’oublie pas une chose, une fois que tu passeras la porte, pendant tout un mois, tu es à moi et je peux disposer de toi à ma convenance sans que tu ne puisses refuser. Ça te laisse encore un petit mois pour bien réfléchir. Voilà, ton mail est parti. — Tu me connais, si je commence quelque chose, je vais jusqu’au bout. — Sauf que là, ça n’a rien à voir avec tout ce que tu as déjà vécu. — OK, ben nous verrons bien. Je te laisse, j’ai encore des bricoles à faire en attendant ton mail. — À plus ma jolie. — À bientôt mon biquet.

Alice vient, sans encore bien savoir ce qui l’attend, de dire oui à son ami de toujours, Paul. Fébrile, elle attend ce mail avec une certaine impatience en reposant son téléphone. Devant elle, la revue où elle a découvert que son ami Paul dresse des femmes pour en faire de dociles épouses auprès de leurs époux. Cette revue, elle l’a trouvée par hasard, un jour, dans ce même bus qui l’emporte chaque matin. C’est une revue fétichiste très en vogue. Le récit occupe plusieurs pages avec quelques images soigneusement choisies pour ne pas choquer les lecteurs, mais assez suggestives pour enflammer les sens. Si le visage de la femme est masqué, celui de Paul est mis bien en évidence. Dans cette interview, Paul y raconte ses débuts, son ascension dans ce monde de la nuit et comment il en est venu à soumettre à éduquer des femmes et des hommes.
Pour Paul, toujours dans cette revue, il n’y a aucune différence entre un homme ou une femme qui recherche les extrêmes dans les jeux dits de l’amour ou du sexe. Paul termine cette interview en disant que l’esclave domine toujours le Maître au moment du plaisir. Juste en dessous, il a encore dit que bien entendu, tout dépend du degré de soumission du dit soumis. C’est ça qui a mis le feu aux poudres d’Alice. Depuis, elle n’a cessé de lire et relire cette conversation écrite entre la journaliste et Paul. Elle connaît Paul depuis près d’un an sans pour autant connaître la seconde occupation de ce dernier. Le fruit du hasard d’une soirée branchée de la ville. Il lui a plus d’entrée et ce, malgré leur différence d’âge. Si elle a 24 ans, il en a quand même 41. Elle a trouvé en cet homme, une sorte d’assurance au fil de leur rencontre. Ce n’est pas tout, au fil de leur discussion, elle l’a trouvé très charmant et des plus rassurants.
Cela étant, Alice ignorait totalement la double vie de Paul. Si cela a été un choc de le voir dans cette revue, la lecture devait mettre son corps en éveil. Peu encline à se montrer prude, Alice n’est pas femme à avoir peur de ce qu’elle ne connaît pas. Certes, il lui a fallu pas mal de temps avant qu’elle n’ose appeler Paul. Puis, il y eut ces rendez-vous pour parler de cette vie cachée de Paul qui, lui, a contrario des autres, en parle ouvertement. Cela dit...
Oh, le mail est arrivé.
— Alors, imprimer. La vache, je vais en avoir pour des plombes à lire tout ça. OK, impression recto verso. C’est parti mon kiki.

Alice en profite pour terminer sa chambre. Sur son bureau, les feuilles s’entassent sur le support de l’imprimante. Une fois son lit fait, Alice vient récupérer les feuilles. Dans son salon, ses lunettes sur le nez, elle prend grand soin de tout lire et de tout comprendre. Il lui faut même lire entre les lignes. Puis, sur un bloque-note, elle fait un résumé précis de ce qu’elle lit. Ce n’est qu’en fin de soirée, après avoir lu plusieurs fois les six pages de Paul qu’elle les signe, les scanne et les lui renvoie par mail. Sur sa liste de choses à préparer, elle biffe déjà le sac de voyage, elle le possède. Ensuite, il y a une liste de vêtements à préparer, pas grand-chose, de quoi se rendre sur place et de quoi en revenir. Il est marqué qu’elle ne portera rien entre l’arrivée et le départ. Ensuite, si, une trousse de toilette. Dans sa salle de bain, elle entasse de quoi se doucher, se brosser les dents, un peu de maquillage, une brosse à cheveux et un nécessaire de rasage.
Du coup, vu que ce stage va durer un mois, elle ajoute un autre flacon de produit douche, un tube de dentifrice et elle glisse sa petite trousse dans son sac. Pour revenir, une robe, un pantalon en cas de mauvais temps sinon, slip et soutien-gorge. Pour s’y rendre, une vieille robe, une petite culotte à deux balles suffiront. Elle se rend vite compte qu’elle est déjà prête alors que si Paul accepte de la prendre en stage, elle a encore trois semaines à attendre. C’est qu’Alice se rend compte qu’elle est prête à partir immédiatement alors qu’elle a trois longues semaines à attendre.
Devant son ordinateur, elle recherche des vidéos à caractère SM, sur la soumission permanente. Elle ne cherche pas des images dites soft, elle veut voir du hard, histoire de s’attendre au pire. Elle trouve son bonheur. Les unes après les autres, elle regarde tout. Quand elle arrête, c’est que ses paupières sont si lourdes qu’il lui est impossible de visionner d’autres vidéos. En regardant par la fenêtre, le jour se lève. Plus le temps d’aller dormir, elle doit se rendre à son travail.
Une fois sa journée péniblement terminée, dans son lit, elle plonge dans un long sommeil. Ce n’est que vers minuit qu’elle se réveille en sursaut. Devant son ordinateur allumé, elle découvre un mail de Paul. Il accepte de la prendre en stage. Du coup, Alice recherche tout ce qu’elle peut trouver sur Paul. Connaissant son pseudo de dominateur, elle trouve rapidement quelques vidéos plus ou moins longues. Elle avait déjà fait ces recherches, mais sans le pseudo de Paul, la chance de trouver quelque chose était relativement nulle. Là encore, elle les regarde toutes. La plus longue fait un peu moins d’une heure. Elle montre la préparation et le début d’une séance de soumission. Enfin, pas que de soumission, la personne, un homme n’est là que pour s’en prendre plein la gueule. Martinet, fouet, cordes, bougie, tout y passe. Dans la suivante, c’est une femme d’âge mûr qui vient réclamer humblement sa punition.
Quand Paul en termine, le corps de cette femme n’est plus blanc, mais rouge ou bleu suivant les parties de son corps. Ce qu’Alice a aimé dans ce film, c’est de voir la femme suspendue par sa poitrine et fouettée. C’est à peine si elle gémissait. Alice se le repasse plusieurs fois, histoire de voir s’il y a des trucages. Elle ne trouve rien de rien. Le final de ce film est plus que surprenant, Paul enfonce sa main dans le vagin de la femme et l’achève de son autre main dans son cul qu’il enfonce pratiquement jusqu’au coude. La femme explose de bonheur, hurle son orgasme. Cette dernière scène oblige Alice à se branler vigoureusement.
Dans son lit, le sommeil ne tarde pas à l’envelopper. Dans ses rêves, Alice se voit soumise par Paul de la manière la plus ferme qui soit. Si pour beaucoup, cela peut passer pour un cauchemar, pour Alice, ce n’est là qu’un beau rêve. Dès qu’elle se lève, elle envoie un mail à Paul, lui racontant son rêve en détail, ajoutant son impatience pour le stage. Elle y met tout son cœur dans la rédaction de son mail, chaque détail dont elle se souvient y est soigneusement écrit.
En fin de journée, elle a fait quelques achats, histoire de tester sa résistance à la douleur. Pour commencer, sur ses tétons, elle se pose des pinces d’acier. Sa main tremble au moment de relâcher les mâchoires de ces pinces sur ses mamelons, Alice en a le souffle coupé par cette vive douleur. Elle y accroche cette chaîne qui les réunit. Elle fait de même sur ses nymphes, une chaîne plus lourde vient réunir les deux pinces. Dans son appartement, elle se promène ainsi parée. Parfois debout, parfois à quatre pattes, elle se la joue soumise. Puis, de son sac à malice, elle sort un petit martinet. La vendeuse lui a dit que c’était ce qui se faisait de mieux pour s’autoflageller. Si Alice n’ose se frapper fort, la méthode douce ne la satisfait pas. Prenant son courage à deux mains, elle frappe son sexe de toutes ses forces. Le coup est si violent qu’Alice se retrouve à genoux sur le sol, cherchant son souffle. En se regardant dans le miroir, elle se voit sourire.
Sur son lit, elle recommence sur son dos, frappant toujours plus fort jusqu’à pousser un petit cri quand les lanières frappent ses fesses. D’une main, elle continue néanmoins, poussant le vice à se flageller sa poitrine malgré les pinces. De l’autre main, elle s’active à se branler avec ce gros gode enfoncé dans son sexe. Une fois l’extase atteinte, elle retire toutes les pinces en tirant sur les chaînes. Alice serre ses dents pour ne pas crier. Une main entre ses cuisses, elle se branle en pensant à Paul, son futur bourreau. L’orgasme qui la traverse de part en part l’achève, il est violent. Elle se presse de retirer tout ce qui l’entrave.
Libérée de toute douleur, devant son ordinateur, elle fait le récit complet de ses expériences à Paul. Du reste, Paul lui a répondu, sa réponse fait allusion au mail précédent d’Alice qui lui contait son rêve. Paul l’encourage à continuer de chercher pour mieux comprendre ce qui l’attend. Cette fois, le mail est long, très long. Alice met tout, de ce très violent coup de martinet sur son sexe à son orgasme. Enfin, dans son lit, elle se menotte, déposant la clef sur son bureau. Pieds et poings liés par l’acier, elle peine à couvrir son corps. Enfin presque à l’aise, elle laisse venir le sommeil avec des pensées de supplices pervers.
Plus les jours passent, plus Alice ose de petits supplices plus douloureux. C’est ainsi que munies de ses pinces, menottées, en ce samedi matin, elle fait son ménage. Elle s’attend même à la venue de Paul. Faut dire que le mail, avec photos à l’appui, qu’elle lui a envoyé la veille avait de quoi attiser la curiosité de celui-ci. Parfois, Alice pousse le vice jusqu’à se flageller méchamment de son petit martinet. Elle vise sa croupe, ses menottes l’empêchant de se flageller ailleurs. Dans sa salle de bain, elle va jusqu’à lécher la cuvette des w.c., le rebord de sa douche, le lavabo. Quand Paul débarque, il ne sonne pas, il entre sans un bruit, du corridor, il observe Alice. Il la voit à quatre pattes, la tête posée sur le sol, léchant le bas des w.c.. Il ne peut se contenir, en chaussette, sans un bruit, il se place derrière Alice et la prend de force. Surprise, elle veut se défendre, la voix de Paul la calme aussitôt. Baisée comme une chienne, Alice prend rapidement son pied.
Cela lui manquait depuis qu’elle s’était mise à s’autopunir. Paul la baise, l’encule pour la faire jouir. Il lui explique que ses mails, ses récits méritent une belle récompense. Il la fait jouir plusieurs fois avant de lui enfoncer son pénis dans la bouche. Alice prend un vif plaisir à sucer ce membre tout droit sorti de son cul. Tous deux finissent épuisés, vidés sur le carrelage de la salle de bain.
— Alors, comment tu te sens ma petite salope ?— La salope vous remercie et se sent merveilleusement bien maintenant. — Tu as encore dix jours pour te préparer. Maintenant, termine, vite fait, ce que tu dois faire. — Si Monsieur Paul veut bien me motiver à l’aide de mon martinet, cela rendrait la tâche de sa salope plus agréable.— OK, mais ne te plains pas, je vais frapper fort.— Je ne demande qu’à vous subir, Monsieur Paul.

Alors qu’elle reprend son labeur, Paul fouille la chambre d’Alice, déniche le petit sac à malice. Il en sort le petit martinet qu’Alice avait rangé tantôt. Il trouve aussi la clef des menottes qu’il va suspendre dans la cuisine, juste au-dessus de la petite table. Le martinet en main, il ne commence pas par frapper fort. Non, tel un chat jouant avec sa proie, il joue avec les nerfs d’Alice. Alice subit ce jeu, Paul prend plaisir en alternant douceur et douleur. Il est vrai qu’il n’y qu’une lettre à changer pour que l’un devienne agréable et l’autre nettement moins.
— Tu vois, ce que je te fais actuellement, tu le subiras les premiers jours, plus les jours défileront, plus je me montrerai dur avec toi.— Monsieur peut commencer aujourd’hui alors. Comme ça, dès le premier jour, Monsieur Paul pourra se montrer beaucoup plus sévère. — Pas faux et dit comme ça, j’accepte ta proposition. Ne viens surtout pas te plaindre après.

Pour toute réponse, Alice se retourne et vient embrasser les pieds de Paul. Un méchant coup de martinet et Alice se remet à l’ouvrage. Pendant qu’il se sert un verre en faisant comme chez lui, Alice termine la salle de bain et rejoint sa cuisine. Là, elle tire tout, s’apercevant que même entravée dans ses mouvements, elle parvient à pratiquement tout faire. Munie d’une vieille brosse à dents, elle nettoie les moindres recoins de sa cuisine. Paul n’est jamais très loin, usant et abusant de son martinet, il varie la violence de ses coups quand il la fustige. Il se rend vite compte du potentiel de cette jeune femme. L’idée d’en faire sa salope attitrée commence à germer dans son esprit machiavélique. Quand il la regarde nettoyer l’appartement, il se dit qu’une soumise comme Alice serait le top du top car si tellement rare. Reste à savoir s’il saura la convaincre de venir le servir à tout jamais.
Pour Paul, il est grand temps de se trouver une régulière et Alice semble répondre en tout point à cette idée.
Il la teste, la mettant debout au milieu du salon, le corps bien droit. Il commence par flageller ses seins, sa croupe. Cette fois, plus question de jouer, mais de tester l’endurance de la jeune femme.
— Je crois que tu ferais une excellente salope. Si tu parviens à passer cette épreuve, il se peut que je te fasse une proposition au dernier jour de ton stage.

Il frappe, pince, tire, étire, tord les chairs d’Alice. Alice qui n’esquisse que de très vilaines grimaces quand son corps tout entier est si durement torturé. Et Paul de lui affirmer que ce n’est là qu’une petite mise en bouche. Le corps complètement rougi d’Alice n’est plus que douleur et pourtant, Alice se dit que si le pire est à venir, elle pourrait en supporter bien plus.
En toute fin de journée, la cuisine impeccable, Paul la baise de toute part et s’en va après avoir été douché par Alice. C’est sans un mot qu’il referme la porte d’entrée. Alice, dépitée, déçue qu’il ne reste pas, s’en va devant son ordinateur, se branler en regardant un film SM hard, le plus hard qu’elle trouve. Quand elle jouit, elle s’imagine encore à la place de cette femme au corps meurtri par une longue séance de fouet.
Le jour approche, Alice ne tient plus en place. Pire que tout, elle n’a plus de réponse de Paul à ses mails. Demain, elle doit se rendre au lieu de rendez-vous, cela fait cent fois qu’elle vérifie son sac. Elle y a ajouté tout son petit matériel de supplice. Elle allait se doucher encore une fois quand le téléphone sonne.
— Tu es prête ?— Plus que jamais, Monsieur Paul. — C’est bien, j’arrive, ne bouge pas. Sois juste prête.

On oublie la dixième douche de la matinée, elle vérifie que son corps soit soigneusement épilé et il l’est. Elle enfile ses vêtements, pose son sac à l’entrée, elle enfile ses chaussures et s’agenouille près de son sac. Paul ne sonne pas, il entre. La porte refermée, il relève le menton d’Alice, lui pose un collier et une laisse.
— Désormais, pour trente et un jours, tu es à moi, c’est clair dans ton esprit ?— Oui Monsieur Paul. Je ne suis plus que votre salope. — On y va, prends ton sac.

Elle n’a pas le temps de répondre, tout au plus de prendre son sac. Il lui laisse tout de même le temps de refermer sa porte à double tour. Ils descendent à pied, elle en laisse, le suit.
Dans la voiture, il lui tend un bandeau qu’Alice s’empresse de mettre sur ses yeux. Puis, il la menotte à la portière et déchire sa robe.
— Tu n’as plus besoin de vêtements tant que tu es à moi.

Le moteur vrombit et Paul met la première. Alice est heureuse que son stage de soumission débute enfin, pour de vrai.
À suivre si ça plaît
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