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Alice au pays de la soumission

Chapitre 7

SM / Fétichisme
Seuls quelques moments de repos leur font profiter pour décrire celle qui viendra se joindre à Alice pour servir le Maître. Alice la voit plus jeune qu’elle, vingt ans, tout au plus. Elle devra avoir la taille fine, les seins généreux et la croupe aussi belle que rebondie. De son côté, Paul cherche parmi ses soumises laquelle pourrait répondre à ce signalement. Il y a bien ces deux lesbiennes, mais feront-elles de bonnes soumises, aussi dociles et avenantes qu’Alice, rien n’est moins sûr. Il est vrai qu’une femme lesbienne serait un plus quand il reçoit les soumis masculins.
Abandonnant Alice, il lui lance son cadeau. Il file faire des recherches dans ses dossiers. Alice découvre l’ami fidèle que lui offre Paul. Dans son sexe, il fait merveille cependant, c’est dans son cul qui lui convient le plus. Quand elle remarque la ventouse, elle le fixe contre un montant de porte et à quatre pattes, s’empale sur l’épais et long sexe de silicone. Paul éclate de rire en entendant jouir Alice. Il trouve la femme, celle qui remplit tous les critères donnés par Alice. Il fait un ou deux téléphones, prend deux rendez-vous.
Près de sa soumise, pendant qu’elle va-et-vient sur ce membre artificiel, Paul lui administre une belle fessée comme les adore Alice.
— Je crois que je t’ai trouvée ta future complice, j’en serai plus demain. — Mon Maître serait-il pressé de me trouver une compagne ?— C’est comme tu veux. Oh, je devine une petite déception en toi. OK, pour une fois, c’est moi qui vais t’obéir. — Merci Monsieur. Pourtant, il ne faut pas renoncer, c’est que je veux vivre quelque temps encore comme votre salope, être baisée pendant que vous, ou moi, me flagelliez copieusement. — Je vois ça. Je te reconnais bien là. Dans le tiroir de la servante, il y en a encore des centaines.

Alice, tout sourire, se lève et va chercher les aiguilles. Elle revient avec une pleine poignée dans sa main. Pendant que le Maître la baise, couché sur le côté, Alice déballe ses aiguilles et commence à se les planter sur ses seins, son ventre, son sexe et même à travers ses lèvres. Paul n’en est pas moins très surpris en découvrant la bouche muselée d’Alice. À son tour, il prend une aiguille, couche sur le dos Alice, écarte ses jambes et pique son sexe. Alice esquisse une vilaine grimace, lâchant un long soupir. Il retire alors les aiguilles de la bouche d’Alice et lui interdit de s’en planter à l’avenir sur sa bouche.
— Encore Monsieur, faites de moi un hérisson.

Paul n’en demandait pas tant. Aiguille après aiguille, il fait du corps d’Alice un véritable hérisson. Il prend même des photos quand Alice s’en plante encore une à travers ses mamelons collés l’un à l’autre. Alice se saisit des grosses bougies, allumées, elle coule la cire sur son corps déjà bien endolori. Quand elle jouit, Paul la photographie au même instant. Il parvient même à faire plusieurs clichés.
— À propos, demain, j’attends du monde. Un architecte et mon conseiller financier. — Devrais-je me soumettre à eux ?— Non, mais tu resteras sous mon bureau pour me sucer et ne me faire jouir qu’au moment de signer les documents pour notre future maison.— Si le Maître voudrait prendre ma chatte en gros plan, je crois qu’il ne sera pas déçu.

Alice observe son Maître qui s’approche avec son appareil. La mise au point faite, il donne le signal à Alice. Cette dernière écrase la flamme de la bougie sur son sexe, poussant un long gémissement de douleur. Paul n’a que le temps d’appuyer sur le bouton et ne faire qu’un cliché, la pellicule est au bout. Il est sidéré par le comportement plus que masochiste de sa soumise. Elle finit par lui avouer que d’avoir mal lui donne autant de plaisir que la queue de son Maître dans son cul ou son sexe. Paul ne sait que répondre, une fois de plus, Alice lui donne une leçon de soumission extrême. Il couche Alice, avec précaution, il retire toutes les aiguilles de son corps, la cire et désinfecte ce corps dont il est de plus en plus amoureux. Enfin, il s’en va la coucher sur le lit de sa chambre.
— Repose-toi, mon ange. Ce que tu viens de faire était une leçon pour ton Maître. Maintenant, je sais de quoi tu es capable et cela me plaît autant que j’en éprouve une fierté de t’avoir dans mon cœur.

Dans son coin bureau, il classe le dossier d’Alice. Par contre, il cherche comme organiser la plus belle célébration de mariage pour sa soumise. Il veut quelque chose de grandiose, du jamais vu. S’il veut que cela soit officiel, il lui faut un maire. Après, pour une cérémonie où Alice pourrait faire preuve de l’étendue de ses talents, c’est toute autre chose. Alors il fouille parmi ses amis, ses connaissances qui pourraient mettre sur pied ce week-end qui devra être tout entier dédié au sexe sous toutes ses formes. Plus il cherche des pistes pour faire de ces deux jours, quelque chose d’inoubliable, plus il sent le poids de la fatigue sur ses épaules. Tout comme Alice, ces derniers temps, il a beaucoup payé de sa personne. Il se dit que des vacances ne leur feraient que le plus grand bien à tous les deux. Là encore, il fouille et trouve rapidement un coin idyllique pour se prélasser au soleil, les pieds dans une mer bleu turquoise. Profitant qu’Alice dort, il fait des réservations.
Il fixe même le départ à dans trois semaines et tant pis pour son agenda. Il fait un mail qu’il adresse à l’ensemble des soumis qui le payent pour être châtié. Un mail dans lequel, il dit sa grande fatigue du moment et son besoin de prendre des vacances méritées. Il sait qu’il va en décevoir plus d’un, mais peu lui importe, ils n’ont qu’à obéir au programme qu’il joint à son mail.
Dans le lit, il se glisse tout contre Alice qui se retourne face à son Maître. Le couple s’embrasse longuement avant qu’Alice ne suggère à son Maître de faire un film sur sa soumission, histoire que les futurs ou les déjà soumis apprennent ce que veut dire soumission totale dans la douleur et le plaisir de souffrir. L’idée est à creuser, avoue Paul et le couple s’adonne encore aux jeux de l’amour.
Comme à son habitude, Alice est éveillée bien avant son Maître. Après une douche, elle prépare le déjeuner de son Maître. Après ce repas matinal, sa petite fellation, Paul avise sa soumise de leur prochain départ pour des îles lointaines. Alice ne sait si elle peut se permettre de sauter au cou de son amant et Maître ou pas. Elle prend le risque. Pendant un long moment, Paul se laisse faire avant de la retourner sur le ventre et de la fesser à grandes et méchantes claques. Alice sait qu’elle mérite cette fessée douloureuse aussi, elle encourage son Maître à ne plus la fesser, mais à la flageller durement, ce qu’il fait et pas de la manière la plus douce qui soit. Alice parvient même à jouir pendant sa punition, ce qui étonne toujours son Maître.
Il est presque dix heures, l’architecte ne devrait plus tarder, tout comme le conseiller financier de Paul. Alice est déjà en place, nue, menottée. Devant lui, Paul étale les plans de sa future maison. Il sait que l’architecte va tenter de le dissuader de faire construire cette annexe, ce donjon dix fois plus grand que l’actuel. Mais Paul y tient plus que tout. Il a même revu tous ses plans depuis qu’Alice est devenue sa petite salope. En fait, il les a entièrement redessinés autour de sa petite salope. Cuisine, salon, salle à manger et toutes autres pièces de la maison n’auront qu’un thème, la soumission d’Alice.
Ils sont arrivés, Paul les reçoit en kilt, de quoi étonner ses invités. À son bureau, il n’attend pas longtemps avant qu’Alice se mette à remonter le long de ses jambes qu’elle embrasse lèche ou suce avant d’arriver à cet endroit qu’elle affectionne tellement, la queue de son Maître. Devant lui, debout, l’architecte ausculte les plans avec le plus grand soin. Il ne fait aucune allusion quant au donjon, si, une, il est beaucoup trop grand. Paul insiste pour que sa construction commence même avant les fondations de sa maison. Quant au financier de Paul, il fait les comptes. Paul obtient la signature de l’architecte. Ils sont prêts à signer les devis quand, comme commandé, Paul jouit dans la bouche de son esclave. Lui prenant la nuque, il l’oblige à se dévoiler devant ses invités qui, stupéfaits par l’apparence d’Alice, bandent tous les deux.
— Messieurs, c’est pour elle que je veux cette maison comme je l’ai dessinée. Certes, mes plans ne sont pas parfaits et loin d’être complets. Cependant, s’il faut vous convaincre du bien-fondé de mes plans, Alice va vous prouver qu’une bonne soumise doit toujours obéir à la voix de son Maître. Prenez place, messieurs, Alice, fais ton office. Vous pouvez la baiser comme bon vous semble. Par contre, pas de coup ! Laissez-vous aller, ce n’est pas tous les jours qu’une petite salope comme mon Alice, se dit être prête à se laisser mettre par vous.

Si aucun des invités ne bouge, Alice sait comment les convaincre, elle utilise la même méthode que dans le sex-shop et cela marche. Le financier sodomise Alice pendant que l’architecte tente de remplir le sexe de cette soumise de sa queue un peu petite pour satisfaire la belle. Seulement, c’est, semble-t-il, l’architecte qui se montre le plus adroit. Très vite même, le financier éjacule dans le cul d’Alice. Alors, l’architecte prend le relais, passant du vagin à l’anus d’Alice. Paul sert un excellent whisky à ses invités, Alice jouit une première fois. Elle reconnaît qu’elle avait mal jugé des qualités d’une petite queue. Elle sait désormais que la taille d’une bite ne fait pas tout.
Autour du bureau, Paul et le financier en profitent pour signer tous les documents. Quant à Alice, elle s’empare de la queue de son Maître pour la sucer une fois de plus et comme elle adore le faire. Prise par l’architecte, Alice jouit encore en recevant tout le sperme de ce dernier. Dans sa bouche, Alice peut déguster sa liqueur préférée, le sperme de son Maître. Nue, étendue aux pieds de Paul, ce dernier monte sur son dos. Alice découvre quelque chose de nouveau, se faire piétiner. Paul ne se gêne pas d’aller et venir du cul aux épaules d’Alice. Le financier veut protester que Paul lui cloue le bec.
— Il vous fallait prendre votre temps. Sachez qu’Alice est mon esclave, qu’elle m’obéit au doigt et à l’œil. Je vais vous en donner la preuve, mon cher Jacques. Alice va prendre le petit martinet. Après, tu connais la suite. — Avec plaisir, Maître.

Le martinet à la main, elle s’agenouille à même le sol, écarte ses cuisses et se flagelle allégrement partout sur son corps. De son sexe à ses seins, tout y passe. Elle ne se fouette pas doucement, remarque l’architecte. Alors Paul la relève, prend le martinet. Alice met ses mains sur son crâne chauve et se laisse fouetter en tournant sur elle-même. Elle ne crie pas, c’est à peine si elle esquisse des grimaces. Les deux invités sont étonnés autant qu’un peu choqués qu’une femme puisse souffrir pour un homme. Maintenant, elle danse, souple comme un roseau, elle fait le grand écart dans les deux sens, courbe son corps jusqu’à passer sa tête entre ses jambes. Paul découvre comme ses invités, les prouesses d’Alice, sa souplesse presque sans limites. Sur son ventre, Paul dépose son verre. Alice se fige tant que son Maître ne retire pas son verre de whisky.
De ses mains habiles, Alice parvient à défaire le pantalon du financier et même à le sucer avec une adresse qui stupéfie ces trois hommes. Sur sa chaise, le financier peine à garder son calme. Il tente de résister à Alice. Mais cette dernière se montre la plus forte. Cette fois, le financier de Paul n’a plus la force de bander.
Après leur départ, Paul sort sa petite caméra et ordonne à Alice de lui montrer de quoi elle est capable avec son corps. Alors, sur Casse-Noisette, Alice danse en se contorsionnant autant que son corps le lui permet. Pour Paul, l’idée d’un film avec Alice se précise. Là encore, il lui faudra fouiller parmi tous ceux qu’il connaît. Paul se délecte en filmant, une main sur son pénis, l’autre qui tient la caméra, il admire Alice qui s’éclate devant lui. Le corps d’Alice est d’une souplesse extraordinaire. Quand sa bouche s’empare du pénis tendu de Paul, ce dernier peine à se tenir debout. Adossé contre un mur, Paul regarde ce corps bouger, se plier, se tordre en tous sens pendant que la bouche se régale de son pénis. Quand il jouit, les seins d’Alice se prennent de ce liquide crémeux, Paul n’a rien loupé. Il arrête la caméra, avec Alice, sur la télévision, ils regardent ensemble la prestation. Alice est merveilleuse de l’avis de Paul et là, il se retourne vers sa soumise.
— Tu m’as dit qu’on devrait faire un film, mais de quel genre.— Je nous verrais bien filmés pendant que vous me besognez tout en me suppliciant. Il faudrait que cela soit érotique et non comme certains films vulgaires. Comme si nous faisions l’amour, que je me fouette en même temps ou que je me plante des aiguilles. Maître, cela serait une consécration pour vous d’exhiber votre salope sur Internet. — Oui, je voyais la chose plus durement, mais, il y a que ton idée me plaît, j’en ai déjà vu un dans le genre. Attends, je crois avoir encore le lien.

Sur l’ordinateur, pendant que Paul cherche, Alice, comme pour l’encourager, écarte les fesses de son amant et lèche tout le sillon jusqu’aux testicules de son Maître. Puis, c’est une petite exclamation, ensemble, Alice assise sur les cuisses de son Maître regarde ce court métrage d’une trentaine de minutes. Le film montre une leçon de piano, une jeune femme, l’élève, joue et se trompe. Plus elle se trompe, plus le professeur la déshabille. Tout est lent dans les gestes, presque gracieux. Puis, le Maître de musique commence à pincer les seins de l’élève qui relève la tête. Il lui emprisonne sa bouche avec la sienne tout en lui tordant les mamelons. À genoux sur le tabouret de musique, elle est tendrement sodomisée et durement fessée. L’élève ne crie jamais, tout juste des soupirs. Alice se reconnaît en cette femme. Pour l’élève dans le film, comme pour Alice, la douleur n’est qu’un accessoire de plus pour jouir. Vers la fin du film, nue, l’élève doit jouer devant un parterre d’invité.
Puis, à la fin du morceau, elle prend une grosse bougie et coule la cire sur ses seins, son sexe. Elle se fouette cruellement avec un martinet sans ne pas arrêter de fixer son professeur. Le regard de la jeune femme est si doux malgré les coups sévères qu’elle s’inflige, qu’Alice avoue aimer cette femme comme si elle était sa jumelle dans la soumission. Paul fait une rapide comparaison entre la jeune femme du film et Alice. Mis à part le physique, les comportements des deux femmes sont parfaitement semblables.
Dans la chambre, il fouille dans ses archives. Alice, bonne soumise docile, arrive près de son Maître à quatre pattes. Elle le regarde fouiller. Elle veut l’aider, mais comment trouver quelque chose sans connaître l’objet de la recherche ? Paul se retourne brusquement, tout sourire. C’est tout juste s’il ne crie pas Euréka.
— Je sais comment nous allons opérer. Je vais faire de toi une femme de la haute. Oui, c’est ça, une femme de la haute bourgeoisie, mais soumise et prête à tout pour me satisfaire. Je ne vais plus t’exhiber comme dans le sex-shop, on va la jouer classe. — Du genre, Maître ?— Une soirée ici, chez nous. Un repas pendant lequel tu ferais quelques bêtises anodines. Chaque bêtise te vaudrait un gage. Je ne sais pas, disons retirer un vêtement. Ensuite, nue, des pinces sur tes seins. À la bêtise suivante, de la cire sur tes seins et ton sexe, tout est ouvert. Mais je veux que cela soit classe. — Donc des soirées intimes, entre gens du monde. — Exactement. Oui, je connais un homme qui voudrait bien que sa femme devienne comme toi ou presque. On les inviterait et tu joueras la soumise parfaite. Je sais qu’ils sont très libertins. L’échangisme est leur religion. Ta tenue serait légère, minijupe, un top pour le haut. Seulement, tu porterais les signes de ta soumission, bracelets, collier, laisse et des talons aiguilles, comme des mules par exemple. Essaye de ne marcher que sur la pointe des pieds pour voir... Ah ouais, trop top. Imagine que pendant la soirée, tu te laisses faire par mon copain, que sa femme vous regarde et que moi, un peu jaloux, je te punisse pour ton libertinage. Ensuite, tu nous serviras à table, là encore, moi et mon copain, on te tripote comme des ados. Plus la soirée avance, plus je leur fais découvrir ta soumission jusqu’au point d’orgue. Ordre et contrordre, sanction immédiate pour tes fautes. Et devant cette femme, tu te puniras sans ne jamais la quitter des yeux, sensuelle, provocatrice jusqu’au bout des ongles. À mon avis, si tu t’y prends bien, elle devrait tomber dans ce piège, le tien. Si cela ne devait pas suffire, tu pourrais coucher avec elle, devant nous. Ensuite, tu l’enverrais me sucer et tu sucerais mon pote. Enfin, je la baise et la fesse pendant que tu implores mon pote de te fesser. — Maître, quand cette soirée peut-elle avoir lieu, je suis impatiente, très impatiente. — Très vite ma chérie, très, très vite.

À suivre si ça plaît
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