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Alice au pays de la soumission

Chapitre 9

SM / Fétichisme
À une semaine de leur départ en vacances, Paul a invité quelques amies et amis. Une dizaine de personnes de ses amis est tous de purs libertins. Il donne ordre à Alice de faire en sorte que le salon devienne une vaste salle à manger. C’est elle qui fait toute la mise en place, cela laisse à Paul le temps de peaufiner leurs vacances, de trouver des clubs libertins pour exhiber Alice. Ou pour trouver, il trouve et plus qu’il n’en faut. Maintenant, reste à savoir lequel choisir quand on ne connaît pas la réputation de ces clubs.
À trois jours du départ, en ce vendredi soir, Paul désigne quelle jupe, quel chemisier, quel dessous, quelles chaussures doit mettre Alice. Enfin, sur le lit, il lance les quatre bracelets de cuir qui vont orner l’extrémité des membres d’Alice. Parée, affichant un très léger maquillage, Alice s’avance vers son Maître afin d’être inspectée.
— Ça te va à ravir. Pour un peu, si je ne te connaissais pas, je ne pourrais pas dire si tu es ma chienne ou une bourgeoise de la haute. Je veux que tu restes près de la porte du salon quand les invités arriveront. Ensuite, dès le dernier arrivé, tu feras le service pendant l’apéro. Je veux aussi que tu commettes des erreurs. Ces erreurs, je les punirais immédiatement. Soit dit en passant, j’avoue que cela risque de dégénérer en partouze plus vite que je ne le pense. Dans ce cas, je te laisse entièrement libre de choisir tes amants, hommes ou femmes. Va terminer le repas, ils ne vont plus tarder. Oh, et n’oublie pas de sourire, même si je sais que c’est inutile de te le rappeler.
Dans la cuisine, Alice en termine avec les plats qu’elle garde au chaud dans le four. Paul peut savoir exactement où se trouve sa soumise, le bruit des chaussures à talons aiguilles lui donne la position d’Alice.
Quand un coup de sonnette avertit de l’arrivée du premier invité, Paul ouvre, Alice est près de la porte du salon, les bras croisés dans son dos. C’est son pote le tatoueur en compagnie d’une superbe femme qui pénètre. Paul les salue chaleureusement et indique le chemin à suivre. Près d’Alice, cette dernière, sans décroiser ses bras, s’incline et baise les mains qui se tendent vers elle.
— Cette femme est l’esclave de mon copain Paul. Entre nous, ma chérie, je n’ai jamais vu autant d’abnégation chez une soumise que chez elle. Du reste, je te conseille de ne pas la vousoyer, mais de lui parler comme si elle était ta meilleure amie. — Elle est tatouée à quel endroit ?— Pubis et fesse gauche. Montre-lui tes marquages Alice !— Bien Monsieur Karl.
Alice soulève sa jupe, dévoilant sa chatte et l’anneau de son clitoris. Elle dévoile aussi le fameux tatouage qui fait d’elle la propriété de Paul. Puis Alice se retourne, dévoilant ses fesses.
— Mais c’est brûlé ?— Oui, au fer rouge, pourquoi ?— Mais cela doit faire horriblement mal. Alice...— Que Mademoiselle se rassure, ce n’est pas aussi douloureux que cela peut paraître, ça l’est encore moins quand on se fait marquer au fer rouge par amour pour son Maître. — Alors, tu vois. Elle n’est pas la seule, j’ai même grillé la peau de quelques mecs. Regarde, la marque est parfaite, elle va rester encore bien quelques mois avant de petit à petit disparaître. Alice, as-tu eu des infections ?— Non, Maître Karl, aucune. — Bien, sers-nous un verre, sinon Mathilde va nous tourner de l’œil.
Près du bar, Alice prépare quelque chose de fort pour l’amie de Monsieur Karl. Pour Maître Karl, ce sera un double sec. Elle dispose les verres sur un plateau, s’agenouille et s’avance vers Maître Karl. Alice n’a pas le temps de flemmarder que déjà les invités suivants arrivent. Ils se bousculent même à la porte. Paul les accueille comme des frères ou des sœurs. Alice est vite débordée, du coup, elle reste derrière le bar. Paul invite ses amis à ne pas se gêner vis-à-vis d’Alice. Il précise qu’Alice n’est là que pour les servir et peut importe la manière. Cela dit, quand on connaît les amis de Paul, il n’est guère à parier qu’ils ne vont pas se gêner pour user et abuser d’elle. Ce qu’Alice ignore, parmi les femmes présentes, il en est une qui est une soumise mariée à son Maître que Paul a éduqué pendant des semaines en compagnie du mari. Quand cette femme se lève, vient vers Alice et s’agenouille, la belle soumise de Paul comprend qui elle est.
Ensemble, Alice sait qu’elles vont devoir donner de leur personne aux convives de son Maître. Cela commence d’entrée, Caroline, cette trentenaire soumise, prépare les boissons et Alice les sert en tenant son plateau avec sa jupe dans les mains. Ce faisant, tous peuvent voir le tatouage et l’anneau sur le sexe de cette soumise plus que dévouée. Passant près de Paul, celui-ci ouvre son chemisier, dégage les seins et accroche une lourde chaîne aux anneaux des mamelons. Il place ensuite la laisse qui était au collier, sur l’anneau du nez. Ainsi parée, Alice continue de servir l’apéritif. Chaque main qui se promène sur son corps, chaque main qui pince son corps est autant d’émotion lascive, d’excitation pour Alice. Déposant des verres sales dans la cuisine, l’amie de Maître Karl la suit. Se collant à Alice, elle lui malaxe ses seins, cherchant aussi sa bouche de la sienne. Alice comprend vite que cette femme n’est pas indifférente à sa soumission.
Elle se retourne, faisant face à Mathilde, elle se penche, soulève la robe et dépose un doux baiser sur cette chatte déjà humide de désir.
Paul doit intervenir pour calmer les deux femmes. Devant tous, la tenant par le bras, il penche Alice et la fouette de son petit martinet. Alice subit son supplice avec bonheur, si le Maître lui flagelle le dos, l’autre main s’enfonce dans son sexe. Alice, fixant Mathilde, explose de bonheur si vite qu’elle stupéfie toute l’assistance.
Paul invite ensuite ses invités à prendre place. Caroline et Alice sont au service. L’une porte le plat et l’autre remplit les assiettes. Enfin, pour les vins, c’est Paul qui s’en charge. Seulement, une femme ne l’entend pas de cette oreille. Debout, Mathilde, regardant son compagnon droit dans ses yeux, demande à Paul ce qu’il faut être pour devenir une soumise d’exception comme Alice. Alice se redresse, étonnée par la question de Mathilde. Paul invite sa petite salope à répondre à cette Mathilde.
— Mademoiselle, il ne faut pas seulement le vouloir, il faut aimer celui à qui on offre sa vie sans autre désir que de plaire à l’être aimé. Ensuite, si vous désirez devenir ce que je suis, il faut prendre la douleur comme un plaisir parmi tous les autres, mais un plaisir sans pareil à ce jour. Seulement, ce plaisir, aussi douloureux soit-il, il faut l’accepter aussi quand on vous punit. Mon Maître, ici présent, m’a fait découvrir tout ce que la douleur peut apporter à la salope que je suis. Oui, je suis masochiste, mais pas comme vous l’imaginez. Sans vouloir dénigrer ces masochistes qui ne peuvent jouir que dans les douleurs les plus extrêmes, je ne suis pas non plus de celles qu’on torture pour son bon plaisir. Mon masochisme, je le partage avec mon Maître qui sait me donner des orgasmes que peu d’entre vous en serait capable. Ne vous offusquez pas nobles convives, je ne le dis pas méchamment, bien au contraire. Seulement, mon Maître me connaît comme je le connais et nous savons tous deux ce qui est bon pour l’autre. J’aime quand mon Maître me baise pendant que je me flagelle de ce martinet ou me plante quelques aiguilles dans mon corps. J’aime quand mon Maître me punit avec la plus grande sévérité, alors que je suis solidement attachée en croix. Enfin, j’aime mon Maître comme vous aimez Maître Karl. Mademoiselle Mathilde, il ne faut pas tenter de me ressembler, il faut être dans cet état d’esprit, cet amour qui vous fait faire cette folie qu’est celle de vous soumettre sans plus aucune limite par amour à votre amant. Cependant, cet amour doit être infini, sans limite, sans aucune borne ni tabou. Je sais Maître Karl excellent dominant, un baiseur hors pair. Je le sais aussi, même si je ne l’ai jamais vu à l’œuvre, qu’il doit être un Maître de bonne facture, comme mon Maître. Il est déjà votre dominant, votre bourreau et même votre tortionnaire en même temps que l’amant que vous vouliez qu’il soit. Je sais ce qui vous intrigue, noble Mathilde, le fer rouge qui a laissé son empreinte sur ma fesse gauche. Noble Mathilde, sachez, comme je vous l’ai déjà dit tantôt, que la douleur n’est rien en comparaison de l’amour que mon Maître me donne et mon cœur qu’il sait déjà lui appartenir. Me rejoindre, j’en serai heureuse. Comme il me serait agréable de voir Caroline en ma compagnie pour faire en sorte que ces soirées vous soient inoubliables. Noble Mathilde, me rejoindre, rejoindre Caroline dans une soumission sans faille, demande un sacrifice que peu peuvent se targuer d’avoir osé faire. Franchir le pas, c’est ne plus jamais revenir en arrière. Être libre, ou pire, déchue de sa soumission, en ce qui me concerne, cela signifie me donner la mort. Je ne pourrais avoir d’autre Maître, d’autre amant que mon Maître, Monsieur Paul. Maintenant, s’il vous plaît de suivre mon chemin, c’est avec joie que je vous accueillerai en vous baisant vos si jolis petits pieds. Nobles convives, pardonnez à la petite salope que je suis de vous avoir retenu dans votre repas. Permettez-moi de vous souhaiter un bon appétit.
Encore une fois, Paul est estomaqué par Alice et son discours. Sans se détourner de sa tâche, Alice continue comme si de rien n’était. Du coin de l’œil, elle peut voir le regard pesant que Mathilde pose sur elle et Caroline. Paul vient de faire le tour de la table. Il arrête Alice, l’emmène à sa place, près de Mathilde, l’assoit et l’embrasse. Il revient vers Caroline et continue le service à la place de sa petite salope. Alice, gênée de voir son Maître la remplacer, sent soudain cette main qui remonte sous sa jupe. C’est Mathilde qui, maintenant, se penche vers son visage. Les lèvres s’effleurent, se touchent, électrisent les corps et se terminent par un long baiser.
— Alice, il te faut tout me raconter. Je sais Karl déjà au courant. Il m’en a dit quelques bribes. — Noble Mathilde, il me faudrait plus d’une soirée pour que vous puissiez tout savoir de moi et Maître Paul. Pourtant, si je devais résumer notre vie depuis trois ans que nous nous connaissons, c’est que nous sommes tombés amoureux l’un de l’autre, que je l’ai découvert punissant une femme et un homme sur une vidéo postée sur Internet et que depuis, je vis une vie de rêve à son service.— Tu oublies, petite salope, que je veux t’épouser. — Il est vrai, Maître, que ce détail fut oublié par votre putain. Il reste néanmoins un détail que vous vous devez de connaître de moi. Maître Paul, dans sa grande largesse, m’a fait prendre par Mickey, son chien. J’ai même sucé le sexe de ce chien. Je vous le confesse, cette expérience fut bénéfique au point que j’en ai beaucoup joui. Maître Paul peut exiger de moi que je recommence, que j’en serai très heureuse.— Karl, que lui a fait Paul pour qu’elle soit si heureuse soumise ?— De l’amour et une éducation sans faille. Pour le chien, je le savais, Paul me l’avait dit au téléphone. Il ne savait comment te décrire, il n’avait plus de mot pour me faire comprendre que vivre sans toi, sa petite salope, ce serait perdre la vie.
Alice est émue des derniers mots de Maître Karl. Afin de le remercier, oubliant de manger, elle se glisse sous la table. Soulevant la robe de Mathilde, elle lui caresse sa vulve. Ouvrant la braguette de Maître Karl, elle lui fait sa spécialité, une fellation d’enfer. Astucieuse, Alice parvient même à enfiler ses doigts à la fois dans le vagin et l’anus de Mathilde qui ne demandait pas mieux pour une mise en bouche. Dès lors, quand Mathilde ne peut plus retenir cet orgasme qui la dévaste, elle lâche un hurlement qui ébranle toute la tablée. Quant à Karl, il se cramponne à la table, la bouche grande ouverte quand il éjacule longuement dans la bouche, sur le visage et le crâne lisse d’Alice. Revenue à sa place, personne n’avait remarqué son absence jusque-là. Le repas terminé, Alice et Caroline ont tôt fait pour débarrasser le salon et la table, elles poussent tout sur la terrasse, avant de rentrer toute la vaisselle.
Sur cette grande table, elles dressent les desserts et invitent chacun à se servir.
Peu après, Maître Balaise attrape Alice, l’embrasse en la couchant et enfonce sa queue dans le sexe d’Alice. Il donne le signal de la bacchanale. Très vite, les corps se dénudent, se rapprochent et entre salon et terrasse, jouir est devenu le maître mot de la nuit. Alice est surprise que Monsieur Balaise ne jouisse pas aussi rapidement que la dernière fois. Il se montre même nettement plus endurant, parvenant à faire jouir Alice pour son plus grand bonheur. Dans un murmure, Alice lui confie qu’elle le préfère ainsi, endurant et prévenant. Une femme lui pose sa vulve sur la bouche, muselant Alice. Elle lèche, suce, aspire, viole cette vulve humide de désir. Une queue s’enfonce en elle, Alice est prise et bien prise. Pour elle, ce n’est que le début d’une très longue série de soirées complètement déjantées. Pendant un bref instant, elle peut voir son Maître et Maître Karl défoncer Mathilde qui hurle de bonheur en regardant du côté d’Alice.
Une troisième bite en profite pour se glisser dans sa bouche et voilà Mathilde obligée de la sucer. Alice voit combien Mathilde est chaude, dévergondée. Alice sait aussi que Mathilde ne sera jamais comme elle. Sur sa bouche, la vulve déverse un flot d’urine qu’elle boit sans en laisser perdre une goutte. Alice va jusqu’à nettoyer tout le sillon de cette femme qui ne cesse de jouir sur son visage.
Plus tard, Paul disparaît un long moment avec Karl. Quand ils reviennent, Alice sourit, ils poussent la servante avec deux gros cierges posés dessus. Alice se dégage de ces corps qui l’entourent. Elle s’avance en direction des deux Maîtres, s’agenouille. Pendant que les corps s’apaisent, Paul invite tout ce petit monde à ne pas bouger et à regarder Alice se faire "punir" et il insiste sur le fait que ce n’est là qu’une exhibition. D’elle-même, Alice prend une paire de menottes, passe ses mains dans son dos et les met, serrant bien. Puis elle tourne son visage vers son Maître et lui fait un signe affirmatif de la tête.
— Ce soir, si je vous ai invité, c’est pour trois choses, la première, pour la partouze, la seconde, c’est pour vous apprendre qu’à notre retour de vacances, vous recevrez une invitation, celle de notre mariage. Enfin, la troisième, Alice veut vous prouver comment on peut jouir en étant soumise. La connaissant, je sais qu’elle va faire bander les mecs et mouiller les femmes. Cette servante ressemble à celle que vous voyez quand vous déposez votre voiture chez votre garagiste. Sauf que celle-ci n’a pas les mêmes outils. Vous allez découvrir tout ça maintenant avec l’aide de mon copain de toujours, Karl.
Alice est prête. Karl dépose devant elle, l’âne espagnol. Alice y monte, ne laissant que la pointe de ses orteils reposer au sol. Paul attache les chevilles de sa belle ensemble. Tout se passe avec une lenteur et une grâce qui n’étonnent personne, si ce n’est les quelques femmes présentes sauf Caroline. Paul prend les pinces, les crocodiles, il les montre bien à l’assistance. Alice comprend vite qu’elle va devoir se surpasser.
Dès les premières pinces posées, Alice n’a d’yeux que pour Mathilde. Cette dernière ne s’étonne pas outre mesure. Paul et Karl continuent de garnir tout le corps, mais surtout les zones particulièrement sensibles d’Alice et...
À suivre si ça plaît.
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