Préambule : Il y a dix jours, j’ai recruté sur le net une nouvelle soumise : Alice. Une jeune étudiante de 19 ans sans expérience dont je me suis fait un devoir de l’éduquer pour en faire une salope de premier choix ! Elle est avec un mec qui est son premier amant mais qui ne la satisfait pas, trop jeune il ne sait pas s’y prendre. Je sens bien qu’elle veut développer sa libido ! Ses premiers émois elle les a connus avec moi, en se caressant sous ma direction. Des orgasmes intenses qui l’ont ouverte à de nouveaux horizons sexuels. Elle se proposa d’elle-même de devenir ma soumise. J’ai accepté. Nous avons commencé petit à petit par des jeux de frustration et de douleur, etc... Mais elle voulait plus. Je lui ai donc imposé une journée sans sous-vêtement... je ne pensais pas qu’elle agirait au-delà de mes espérances. Voici donc, tel quel, nos échanges de mails sur cette « aventure » : La veille : Le Maître : « Sinon tu vas me faire une journée sans sous-vêtement ! Quand tu veux, mais sans. Et il faudra que tu sortes hors de chez toi bien sûr. Tu choisiras des habits qui laissent entrevoir que ne porte rien dessous. Sale pute ! Tu vas te faire mater comme une salope. Si on te tripote genre dans le bus ou ailleurs tu te laisses faire ! Faut bien que tu serves à ça pétasse, une bonne petite salope à disposition de tous ! » Alice : « Je ferai ce que vous m’avez dit demain, parce que je prends le train le matin et le soir. Je m’habillerai normalement la journée par contre, je ne pourrai pas trop faire autrement (et en entrant et en sortant de chez moi, parce que si mes parents me voient !!!). J’ai une ou deux idées de comment je pourrais m’habiller, ça m’excite d’avance... ;) Je vous raconterai tout bien sûr. Je me baladerai un peu dans le train, pour avoir tous les regards sur moi. » Le Maître : « Très bien, pour demain tu seras bandante sans culotte ma salope !!! J’adore ! Tu me feras une photo de toi sans ta culotte que je vois à quoi ressemble ma pute ! J’espère qu’on abusera de toi sale chienne ! En tout cas tu es une bonne esclave bien obéissante ! Ce soir tu peux te branler et jouir si tu veux. Je te le permets ! Mais toujours un doigt dans le cul et pince toi bien les tétons aussi ! J’aime ça ma petite pute d’Alice, tu progresses ! » Le lendemain soir : Alice : « Maître, j’ai vraiment eu peur aujourd’hui... J’avais mis la robe que vous voyez sur la photo. (Robe courte noire en mousseline transparente à motifs) Sauf que là j’ai remis mes collants et ma culotte, mais je ne les avais pas sur le trajet du retour (ni mon soutien-gorge, que je n’ai toujours pas d’ailleurs, je l’ai perdu en chemin). Du coup j’ai vraiment allumé les personnes à la gare, j’ai eu droit à plusieurs sifflements et à quelques commentaires, ça m’a fait un peu peur déjà, mais j’étais contente de me dire que la plupart des mecs me regardaient. Ma robe est courte, elle est faite pour être portée avec des collants... Même si les gens autour ne voyaient pas que je n’avais pas de culotte, ils voyaient quasiment mes seins !!! Voire même complètement, selon l’angle...Dans le train je me suis retrouvée dans un compartiment, mais il n’y avait presque personne. Comme j’avais eu un peu peur à la gare, certains gars m’ont fait des remarques un peu insistantes, je me suis mise dans un compartiment toute seule. J’ai été bête !!!Au bout d’un moment, un type est arrivé. Il devait avoir une cinquantaine d’années je pense, un peu gras et pas beau du tout ! Il est entré dans le compartiment en me regardant un peu comme un morceau de viande... Je n’ai rien dit, je voulais ne pas montrer qu’il me faisait un peu peur. Sauf qu’il s’est mis en face de moi et il m’a carrément maté !!! C’est à peine s’il ne me regardait pas sous tous les angles en se léchant les babines... Là j’ai commencé à paniquer, et je me suis rendu compte que je n’aurais pas dû aller dans un compartiment toute seule. Il m’avait même peut-être suivie depuis le quai de gare.Ça faisait peut-être à peine dix minutes que le train était parti, j’étais encore super male à l’aise, quand il en venu s’asseoir à côté de moi. Il s’est collé à moi limite ! Et là ce gros pervers m’a mis la main sur la cuisse, il m’a dit que j’étais jolie et que je lui faisais penser à sa fille ! J’étais trop dégouttée et j’avais trop peur. Je l’ai repoussé mais à chaque fois il revenait à la charge. A un moment donné il m’a carrément mis la main sur le sexe en me disant "me fais pas croire que t’en as pas envie petite salope, sinon t’aurais mis une culotte". Et il m’a caressé le sexe et les seins, je me suis mise à pleurer mais il a continué.Quand il a commencé à me mettre un doigt, ça a été trop : je me suis levée et j’ai commencé à partir, mais il s’est mis devant la porte du compartiment. Je l’ai supplié de me laisser partir mais il ne voulait pas. Il m’a dit que maintenant que je l’avais bien chauffé, c’était hors de question que je parte comme ça. Je lui ai dit que j’étais désolée, que je n’avais pas fait exprès mais il s’en fichait, il n’arrêtait pas de me dire que j’étais une salope et que j’en avais autant envie que lui. J’ai compris qu’il allait me violer, alors je lui ai proposé de le sucer pour qu’il me laisse tranquille. Il a accepté, mais il a fait descendre ma robe pour "voir mes nichons". Ensuite il a sorti sa bite, et c’était vraiment horrible de le sucer comme ça, à moitié à poil au milieu du train, un vieux que je ne connaissais même pas !!Le pire c’est quand il a joui, assez vite heureusement : il m’a pris la tête et a enfoncé son sexe aussi loin qu’il pouvait, ce qui fait qu’il m’a tout giclé au fond de la bouche. C’était affreux...Ensuite il est reparti en s’excusant. Tu parles que j’allais l’excuser !!! Et moi je suis restée là à pleurer jusqu’au terminus. J’ai fait attention à ce que mes parents ne voient rien quand je suis rentrée, mais j’ai vraiment eu peur !Ça me fait du bien de vous en parler mon maître, parce que vous êtes la seule personne à qui je peux le faire. Mais le pire, c’est que même si c’était affreux sur le moment, je me rends compte maintenant qu’une partie de moi a bien aimé être utilisée comme ça. Enfin quand j’y repense, ça m’excite comme situation. Pourtant j’ai pleuré pendant plus d’une heure, et j’avais trop peur !! Mais je crois que j’aime être traitée comme un objet sexuel, même si ça me fait peur. Mais je ne pense pas que je n’oserais jamais refaire un truc comme ça !!! » Le Maître : « Bonsoir Alice. Tu es devenu une pute aujourd’hui ! Tu t’en es rendu compte c’est pour ça que tu as pleuré. Mais tu es maintenant une pute. C’est mieux que ce que j’espérais pour toi. Abusé par un vieux en plus ! Tu l’as sucé et tu as tout avalé en y étant forcé ! Tu es une salope. Il avait raison et en plus tu avais envie de ça. Je le sais. J’ai raison ? Tu t’es excusé auprès de lui avant de le sucer... Qu’est-ce que c’est bon d’entendre ça et tu as pleuré... Dommage que je n’ai pas pu assister à ça ! En tout cas tu as été superbe ! Une chienne comme rarement j’en ai vu ! Tu t’attendais à quoi habillé comme tu l’as été et sans sous-vêtement ! Il avait raison, tu le voulais ma salope et comme tu le dis tu y as pris du plaisir malgré tout.Pour ce qui est de recommencer ? C’est moi qui déciderai sale pute d’Alice ! Tu es né pour ça ! Te fais baiser et rebaiser. Tu es un objet pour les hommes... Alice : « En fait je crois que vous avez raison, au fond je suis faite pour ça. Je me suis rendu compte que, même si la situation m’avait fait peur, j’avais pris du plaisir à être utilisée comme ça. Je crois même que j’aimerais recommencer, en prenant plus de précautions quand même, et en choisissant mes "cibles". Vous avez aussi raison sur un autre point, je crois qu’une des raisons pour lesquelles j’ai pleuré pendant une heure... C’est aussi que je me suis rendue compte que j’avais aimé ça justement. Maintenant que je me suis calmée, je me suis masturbée en imaginant la scène différemment, j’aime ne pas encore trop repenser à la vraie scène. Par exemple je m’imaginais chauffer un jeune, et finir par céder à tous ses caprices... J’ai eu un orgasme rapidement, et j’ai recommencé ! Je pense que j’ai eu beaucoup de chance de vous "rencontrer", parce que même si certaines étapes sont difficiles, j’ai l’impression de me découvrir vraiment. Et je crois que j’aime ce que je deviens.Merci monsieur, je ne vous le dirais jamais assez. » La petite Alice est sur la bonne voie...
