Alice ma soumise habite maintenant avec moi, son Maître: Comme tous les jours en début de soirée, tu descends les poubelles au local à ordure dans la cave de notre immeuble. Tu n’es jamais très rassurée car il y fait sombre et que les lumières ne marchent jamais très bien. Aujourd’hui, tu as les cheveux lâchés et tu portes une robe noire fuseau à fines bretelles. Tu es chaussée de petites ballerines noires. A ma demande, tu portes, dessous, un ensemble de lingerie rouge à dentelles. En bon Maître, je te veux sexy en toutes circonstances.Arrivée au local, tu pousses la porte et tu te diriges vers le 4ème conteneur au fond. Tu jettes ton paquet et quand tu te retournes, tu restes figée ! Il y a une silhouette dans l’encadrement de la porte ! Ton sang ne fait qu’un tour, quand tu t’aperçois que c’est vraisemblablement, vu sa dégaine et son odeur, un SDF. Tu l’as déjà vu traîner dans les abords de l’immeuble. Il doit avoir la 50ène, les cheveux hirsutes, couverts d’un bonnet en laine. Il porte une vieille veste marron crade et un jean à moitié délabré. Il te lorgne d’un air lubrique. Tu trembles légèrement. Le SDF: « Alors Mademoiselle, on jette les ordures toute seule ? Ce n’est pas trop lourd ? » Toi : « Euh…non monsieur…je... je pourrais passer s’il vous plait ? » Dis-tu avec une voix hésitante… Le SDF: « Mais dis-moi, tu es dans une drôle de tenue pour aller à la poubelle ? Tu es habillé comme une salope qui sort en boîte, dis-moi ? » Toi : « Non, mais je ne vous permets pas…s’il vous plait je veux passer… » Dis-tu sur un petit ton, tes yeux bleu superbes suppliants le lascar ! Le SDF : « Les salopes comme toi ça m’excite tu sais, en plus en tête à tête comme aujourd’hui ! » Dit-il avec un rictus qui laisse apparaître son horrible dentition.Sur ces mots, il rentre dans le local et ferme la porte. La lumière froide du néon clignotant, te glace encore plus le sang. Tu es pétrifiée. Il sort alors sa queue de son pantalon et commence à se masturber devant toi ! Tu n’oses pas approcher et tu ne peux pas fuir car il bloque la porte du local. Le SDF: « Aller fait voir tes nichons pétasse ! Et pas la peine de gueuler personne ne va t’entendre ! » Dit-il en s’approchant de toi. Toi : « Non pitié laissez-moi… » Tu recules au fond du local étroit.
Le SDF se rapproche ! Tu baisses les yeux et là, tu remarques que le bougre est sacrément bien membré ! Une grosse bite poilue et crade. Des traces blanchâtres maculent son gland, signe qu’il ne se nettoie pas souvent. Mais c’est une grosse bite quand même et tu es une chienne soumise avide de queues ! Donc malgré toi, une chaleur commence à poindre dans ton bas ventre. Tu es terrifiée mais la situation commence à t’exciter. Tu t’en veux de ne pouvoir décrocher ton regard de ce sexe d’homme, énorme et dégueulasse. Le SDF: « Aller bouge salope ! Enlève ta robe de putain ! »
Résignée, tu t’exécutes tel un automate. Tu défais les bretelles de ta robe et tu la fais glisser sur le sol. Tu te retrouves en sous-vêtement devant lui ! Il te saisit alors par la taille et se colle à toi. Tu tentes de le repousser mollement, mais il te serre fort. Tu détournes la tête car son odeur vinassée te dégoutte ! Vos bassins sont collés l’un à l’autre et il commence à frotter sa bite bandée contre ta chatte à travers tes sous-vêtements. Le SDF: « Tu as aimé ce que tu as vu, n’est-ce pas. » Tu secoues la tête pas très convaincante. Le SDF: « Ne mens pas. Je peux sentir à quel point tu es mouillée. Tu dois être une vraie petite salope. » Toi : « Non, Je ne suis pas une salope » tu sais très bien que c’est le contraire… Sur ceux, il te donne une bonne gifle sur la joue. Il frappe si fort que tu as failli tomber en arrière s’il ne te retenait pas. Le SDF: « Tu vas te laisse faire hein ! Petite conne et je ne te ferai pas de mal. Alors, soit tu peux me laisser avoir ce que je veux, soit je vais te faire souffrir, tu choisis ! Alors? »Tu hoche la tête en signe de résignation. Tu as baissé les armes. Satisfait, il glisse sa main vers ta chatte. Il arrache ta culotte et la jette de côté. Puis, sans ménagement, il fourre deux doigts dans ton vagis humide. Tu gémis.Le SDF: « Tu as une petite chatte serrée pour une pute » dit-il en te pompant le trou avec ses deux doigts. Le SDF : « Je peux sentir ta chatte dégouliner d’excitation et avoues que tu aimes ça, salope ! » Il te met alors à genou, sa bite juste en face de ton visage. Avec ses mains, il te saisit l’arrière de la tête et l’approche de son gland abject. Le SDF: « Ouvres !» Tu obéis.
Dès que tu l’as fait, il enfonce sa queue au fond de ta gorge. Il commence alors à pousser fort, ses couilles frappant ton visage avec force. Sa queue a un goût terrible, comme une mayonnaise qui a été laissée au soleil pendant plusieurs jours. Tu manques de vomir, mais tu prends sur toi car malgré tout ça bite a une bonne dimension et la situation, bien contre ta volonté, t’as excité. Ses boules sentent aussi mauvais que sa bite. Elles frappent avec rythme sur ton menton.
Le SDF: « Ouais, salope, nettoie ma sale bite avec tes amygdales. » Il baise ta gorge comme si c’était une chatte. Comme les minutes passent, tu ne sens plus tes lèvres. Tu espères que ce sera tout ce qu’il voudra et qu’il te laissera tranquille quand il aura joui dans ta bouche. Mais tu te trompes. Il se retire et il te met à quatre pattes, bien aplatie, pour que ton visage soit bien pressé contre le béton sale du local à poubelle. Il écarte alors tes fesses et crache un gros mollard sur ton trou du cul. Avant que tu réalises ce qu’il se passe, il force sa bite dans ton anus. L’anneau cède immédiatement sous la poussée et tu commences à crier, car il est énorme et tu n’es pas préparée. Il commence les allés retours ! Et tout en te baisant le cul, il pousse ta tête contre le sol en laissant des égratignures sur ta joue de petite fille. Mais ce n’est rien ça. Car la douleur est ailleurs ! Tu peux sentir ton orifice anal déchiré ! Il te remplit comme jamais de sa queue.
Le SDF: « Tu es une sale pute qui laisse un homme sans-abri te baiser le cul » murmure-t-il à ton oreille. Il te pilonne avec fougue et tu commences à admettre que ça te plait. Ça fait mal mais ça t’apporte aussi du plaisir. Que penserai tes parents s’il voyait ça…. Après un long moment passé à te baiser, il sort finalement sa bite énorme de ton orifice. Ton trou reste ouvert un moment devant le vide qu’a laissé son membre. Il te retourne alors et il te fourre sa queue sale (cette fois des restes de ton rectum) dans la bouche. Le gout est affreux. Mais tu recommence a le sucer. Le SDF: « Humm, » gémit-il. « Ta bouche est presque aussi bonne que ton cul. » Son manche abuse de ta bouche encore et encore. La bave dégouline sur ton menton et tes seins. Le SDF: « Maintenant je vais faire de toi ma poubelle ! », dit-il en reprenant de la vitesse entre tes lèvres. Et dans un râle bruyant, tu sens sa semence chaude remplir ta bouche. Il en met plein ta gorge. Le gout est infâme. Tu manques de vomir. Tu as des hauts le cœur mais tu gardes tout en bouche ! Il se dégage enfin de toi et tu recraches sur le sol une grande partie de son sperme. Tu es à genou, épuisée et dégoûtée. Quand, derrière lui, tu entends un éclat de rire. Tu redresses ton visage meurtri et tu me vois dans l’encadrement de la porte. Le SDF : « Elle est vraiment bonne votre soumise Monsieur ! » Moi : « Je te l’avais dit ! Tu en as bien profité hein ? » Tu n’en reviens pas. C’était un coup monté par ton Maître ! Tu ne te sens pas bien… Tu as servis de torchon à sperme à un SDF par sa faute! Tu manques de t’évanouir ! Moi : « Tu as été superbe, Alice ma salope ! Mais maintenant il faut qu’on te nettoie…. » Je me tourne vers le SDF. Moi : « Vas-y, nettoies la avec ta pisse ! » Tu restes là, sans réactions, encore abasourdie par ce qui vient de se passer. Le sdf ne se fait pas prier. Il se place en face de toi et te lâche un jet d’urine puissant en pleine face. Tu fermes les yeux et la bouche. Tu détournes un peu la tête! Le jet chaud n’en finit plus. Tu es inondée… Quand enfin cela s’arrête, le SDF te regarde et te crache dessus un gros mollard !
Le SDF : « Tiens pétasse ! Tu n’es qu’une salope ! Tu as bien mérité tout ça ! » Tu es anéantie mais étrangement tu souris. Tu sais que tu aimes être traitée comme cela.Le Sdf s’en va en serrant la main de ton Maître qui le remercie de sa contribution à ton humiliation.
Moi, debout, je reste là, à te regarder. Toi, à genou dans le sperme et la pisse, le foutre du sans-abri coule encore un peu de tes lèvres. D’un seul coup, comme une furie, tu te penches en avant et tu t’allonges sur le sol immonde. Tu glisses ta main entre tes cuisses et tu commences à frotter ton clitoris ! Tu te branles avec fougue jusqu’à ce que tu jouisses en hurlant. Moi je reste là a te regarder, satisfait.Toi, tu es à bout. Épuisée. Mais tu lèves les yeux vers moi et tu me souris. Toi : « Merci Maître pour cette nouvelle leçon. Je serai à jamais votre !» Je souris à mon tour car je sais que tu comprends que je te fais réaliser tes désirs les plus inavouables.Tu es vraiment une bonne salope soumise Alice !
