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Alice, la stagiaire

Chapitre unique

Lesbienne
Alice, la stagiaire...
La société dans laquelle je travaille dans une tour de la Défense accueille chaque année un ou deux stagiaires qui veulent valider leur seconde année de B. T. S. par un stage en entreprise... En tant que D. R. H., je suis chargée de l’entretien préalable quelques semaines avant la date pour valider la candidature et final trois mois plus tard afin de faire le bilan du stage...

Ce printemps 2020, confinement oblige, un des stagiaires s’est décommandé le matin même du début du stage. Il ne restait plus qu’une jeune fille prénommée Alice qui s’est présentée à l’heure dite.Lorsque j’avais consulté son dossier, j’avais remarqué une anomalie dans la date de naissance, mais quelle n’a pas été ma surprise lorsque je me suis trouvée en présence d’Alice... Ce n’était pas une jeune fille, mais une jeune femme qui affichait clairement l’âge indiqué par son dossier et âge qu’a priori j’avais estimé erroné ! Elle avait effectivement l’âge mentionné : 30 ans...Bien évidemment, l’entretien porta sur ce qu’elle venait chercher dans la société et sur son âge qui ne correspondait pas à celui des stagiaires habituels :
— Oh... ce n’est pas un secret... J’ai voulu suivre la voie que me conseillaient mes professeurs et mes parents, mais au bout de quelques années, je me suis rendu compte que ce que je faisais ne correspondait pas à ce que je voulais faire. Je me suis inscrite en candidat libre à un B. T. S. de commerce international et me voilà au pied du mur...— Je vois dans votre dossier que vous affirmez être trilingue... Pour ce qui est de l’anglais, c’est courant, mais le portugais, c’est plus rare...— Oh... cela tient aux origines de ma mère qui est née et a vécu dans l’archipel du Cap Vert jusqu’à ce qu’elle vienne en France pour se marier... Donc le portugais est sa langue maternelle dans laquelle elle m’a élevée. Je parle aussi un peu l’espagnol, mais je ne l’écris pas...

Quinze jours plus tard, Alice commençait son stage par une visite guidée des différents services de la société avant de s’installer dans un petit bureau attenant au mien et où elle disposerait de tout le nécessaire pour travailler efficacement.
Elle était bien jolie... Des cheveux noirs mi longs, grande et mince, avec, semble-t-il, une poitrine menue, de longues jambes gainées de bas à couture et chaussées d’escarpins à talon d’une hauteur modérée. Elle était vêtue d’une manière sobre, mais assez élégante, ce qui n’était pas pour me déplaire, car nous recevions des importateurs connus et j’avais envie de confier cette tâche à Alice plutôt qu’à une des filles de l’accueil qui n’étaient pas toujours très disponibles...
Les deux premières semaines dans l’entreprise s’étaient bien déroulées et le lundi soir suivant, je voulus faire avec Alice un premier bilan. : Elle était enchantée de ces deux premières semaines et d’emblée elle me déclara qu’elle se sentait si bien qu’elle avait envie de rester à l’issue de son stage... mais ça, c’était une autre affaire...

En ce qui me concerne, à tout juste quarante ans, je suis bien établie dans la société où j’ai gravi les échelons pour parvenir à ce poste. Mais ça n’a pas été rose tous les jours... Un peu naïve au début, j’ai été en but aux tentatives de séduction de certains membres de la boîte – j’ai parfois cédé je l’avoue –, mais c’est surtout des échecs dans ma vie de femme dont je veux vous parler désormais, et vous comprendrez pourquoi dans la suite de ce récit.
Comme beaucoup de jeunes étudiantes, je suis passée de bras en bras pendant mes études puis, sur l’insistance de mes parents, j’ai épousé un ami de la famille (bien sûr tous rapports selon ma mère), mais rapidement, je me suis rendu compte que ce dernier était bisexuel et se plaisait plus avec des hommes qu’avec moi... Je l’ai même surpris dans la chambre conjugale alors qu’il se faisait mettre par un noir au sexe surdimensionné !Bilan : Premier divorce rapide, car il avait pris tous les torts à sa charge.

— Quelques mois plus tard et après avoir retrouvé des habitudes masturbatoires de mon adolescence, mais cette fois avec des jouets achetés dans les sex-shops de la ville puis par correspondance (il faut aller avec son temps), je me suis mise en ménage avec Amanda, une amie de lycée, que j’avais retrouvée sur un salon d’entreprises... En fait, elle cherchait un point de chute pour se loger... à un peu plus de trente ans, elle venait de se faire larguer par un couple avec lequel elle entretenait une relation triangulaire... l’homme (un fameux gaillard selon elle) parvenait à satisfaire les deux femmes ! C’est avec elle que j’ai découvert les pratiques saphiques - dont je n’ignorais pas l’existence, mais que je n’avais jamais pratiquées. Ce soir-là, je prenais ma douche avant de me coucher et Amanda patientait au salon en attendant que j’aie terminé pour prendre ma place. Nous étions assez libres entre nous et lorsque je l’ai vue s’encadrer dans la porte de la salle de bain avec un grand sourire je n’ai pas trop prêté attention. Je me suis simplement tournée vers le mur par pudeur pour achever de me savonner le pubis et les cuisses. Elle est entrée dans la cabine en disant que nous allions nous entraider...
Elle dit alors :
— Je te savonne le dos et tu en fais autant avec moi après !— Si tu veux... on gagnera du temps...— Et après je te ferai un massage... Je t’ai sentie tendue quand tu es rentrée du boulot.— Oui... la journée ne s’est pas passée comme je l’aurais souhaité.

En fait de massage, ce soir-là Amanda est devenue ma maîtresse et pendant quelques mois, nous avons partagé le même lit. Il n’y avait pas d’amour entre nous, juste le besoin de se retrouver et d’échanger des caresses très intimes qui nous laissaient pantelantes de jouissance.Mais cela ne suffisait pas à Amanda qui voulait m’entraîner dans un club libertin qu’elle fréquentait au centre de Paris... Ce n’était vraiment pas mon truc... se faire sauter à la chaîne par des mecs totalement inconnus, ce n’était pas pour moi.
Mais j’avais envie de recommencer ma vie avec un homme !Aussi, ai-je consulté les petites annonces de magazines spécialisés où il ya avait un choix immense d’hommes qui cherchaient une femme pour une aventure ou plus (si affinités comme on a coutume de dire...) et j’ai trouvé...
— Gilles était un véritable Apollon, grand, musclé de partout, intelligent et beau gosse avec un membre à faire pâlir un hardeur de films X... et qui m’envoyait au septième ciel chaque fois qu’il me baisait. Si bien que j’étais devenue complètement accro au point de délaisser mon travail plusieurs fois par semaine pour le rejoindre dans un hôtel proche de mon boulot dès que mon amant était disponible. Et le soir, le feu d’artifice continuait dans mon logement. Je retrouvais enfin la sensation connue avec mon mari de l’abondante décharge de sperme au fond de ma chatte qui après, dégorgeait du foutre et de ma cyprine qui m’obligeait à me lever et aller à la salle de bains... Hélas... Tout a une fin... Gilles a été tué dans un accident de la route, sa voiture a été broyée par un poids lourd qui venait en sens inverse. J’ai vécu plusieurs mois difficiles, noyant parfois mon chagrin dans des flots de champagne ou d’alcools plus fort jusqu’au jour où j’ai décidé de me reprendre en mains. Et c’est Alice qui m’y a aidée...

Parfois elle me voyait triste, perdue dans mes pensées moroses... Lors de nos séances de café en commun, elle faisait revenir le sourire par une boutade ou une petite histoire qu’elle contait avec une faconde amusante... mimant les personnages de ses histoires ou changeant sa voix...Peu à peu, je me sentais plus proche d’Alice que je considérais désormais comme une jeune sœur que je n’avais pas eue... en plus, je me sentais attirée physiquement par cette jeune femme qui avait dix ans de moins que moi...Nos conversations depuis le début du stage me laissaient penser qu’Alice (si elle ne le disait pas franchement) pouvait être une adepte épisodique de Sapho... Elle ne parlait jamais d’un éventuel compagnon et ne cachait pas son penchant pour les femmes, même si elle n’avait pas de relation depuis pas mal d’années... En riant, elle disait que c’était du passé, que cela n’avait plus sa place désormais... que ses errements d’étudiante n’avaient plus cours !
C’est ainsi qu’un soir où nous devions mettre la main en dernier ressort à un dossier important à destination de nos correspondants brésiliens, les choses se sont quelque peu précipitées... J’étais venue derrière Alice qui était à l’ordinateur pour voir par-dessus son épaule ce qui était à l’écran... Je posai mes lèvres sur son abondante chevelure et elle se laissa faire, allant même jusqu’à pousser un soupir d’aise ou de contentement...
— Ah... Oui... accordons-nous une pause... La journée a été longue !

En faisant tourner son siège, Alice se retrouva en face de moi et elle me tendit ses lèvres entrouvertes :
— Embrase-moi... Depuis le début, j’ai envie de tes lèvres...— Et moi des tiennes...— Embrasse-moi encore...
A partir de là, tout a dégénéré... Alice s’est levée et m’a prise dans ses bras, posant ses lèvres à nouveau sur les miennes qui se sont ouvertes pour accueillir son baiser et sa langue qui ne tarda pas à lutter avec la mienne... Puis, elle a laissé glisser une de ses mains le long de mon dos, empaumé une de mes fesses pour se coller encore plus intimement contre mon bassin et dire :
— Je te veux !— Moi aussi !— Laissons tout en plan... Lundi, il fera jour !— Oui... je sens que la soirée va être chaude !— La soirée... Mais cela ne nous suffira pas !— On verra bien... en attendant, tu viens chez moi !

Si je m’étais laissée faire aussi facilement, Alice accepta de me suivre dans mon appartement qui n’était pas très éloigné du notre lieu de travail...Dès que nous sommes arrivées, j’ai repris l’initiative et demandé à Alice de se mettre nue... J’avais envie de la voir ainsi avant de caresser son corps et de m’en repaître.
— D’accord... si tu en fais autant... Une pièce de lingerie chacune et on recommence...— Oui... la première qui est entièrement nue a le pouvoir sur l’autre !— Ça me va !
Et c’est Alice qui a gagné... J’avais encore mon porte-jarretelles et mes bas quand elle a fait glisser son string et découvert son pubis entièrement nu...
— Oh que tu es belle ! Je n’oserais jamais me raser complètement à cet endroit...— Tu ne peux pas savoir combien c’est agréable... surtout l’été et qu’on ne porte pas de string... le vent fripon s’engage sous la jupe et va caresser le minou...
Pendant ce bref échange, j’ai fait glisser mon porte-jarretelles et mes bas et j’étais aussi nue que pouvait l’être Alice... Elle avait effectivement une poitrine menue, mais ses tétons étaient très allongés, un peu comme si elle les avait triturés et étirés lors de séances d’auto-érotisme. Immédiatement j’ai eu envie de poser ma bouche et de sucer ces belles fraises qui s’offraient à moi...Alice n’est pas restée inactive... ses mains sont descendues sur mon pubis et après avoir lissé ma toison coupée en un large ticket de métro, elle a commencé à caresser mon bourgeon pendant que deux doigts entraient dans ma chatte de plus en plus baveuse...
— Oh oui... Tes caresses sont bonnes... Envoie-moi en l’air... Je m’occuperai de toi ensuite !— Allonge-toi sur le lit... ce sera meilleur !

C’est ainsi qu’Alice me domina, frottant son corps svelte contre le mien un peu plus consistant... Nos jambes s’emmêlèrent, nos pubis frottèrent l’un contre l’autre, les poitrines nues se collaient et je sentais les pointes des seins d’Alice frotter contre les miens et peu à peu, ma chatte était envahie par ma cyprine qui commençait à ruisseler. C’était une histoire sans paroles, simplement la jouissance de deux femmes heureuses de se trouver et de tout partager... Je n’avais même plus la force de me rebeller et de retourner la situation à mon avantage en renversant Alice sous moi... Je subissais tout ce qu’elle me faisait jusqu’à ce que le plaisir m’emporte... et qu’Alice me dise :
— A toi maintenant... Fais-moi jouir !— Laisse-moi récupérer deux minutes et je suis à toi ! Mais avant, laisse-moi prendre un petit jouet !— Oh... Tu as des jouets ? Génial, je sens qu’on va bien s’amuser !

Il ne m’a pas fallu longtemps pour récupérer ce que je voulais dans ma table de nuit ! Les tiroirs étaient pleins de « jouets » tous plus coquins les uns que les autres, mais je n’en faisais pas un usage abusif. De ma liaison avec Amanda, il y en avait un que je me promis d’user et d’en abuser avec Alice... Je ne voulais pas me laisser dominer par cette jeune coquine...
Quelle position adopter ?Je ne voulais pas du classique 69, car Alice venait de m’envoyer au septième ciel de belle manière, aussi je lui ai demandé de se mettre en levrette, les jambes bien écartées et je me suis glissée sous son bassin pour avoir sa chatte à la portée de ma bouche et de mes mains... J’avais ainsi une vue directe sur ses lèvres intimes, un peu épaisses et très développées comme si elle les avait triturées à de nombreuses reprises. J’ai d’abord pointé ma langue entre ses lèvres puis j’ai agacé son bourgeon, ce qui a entraîné une réaction immédiate qui l’a fait se plaquer sur ma bouche complétée par ses mots :
— Oh oui... Fais-moi plaisir... J’adore...
Je n’avais plus qu’à continuer ainsi jusqu’à la jouissance d’Alice... Je voulais lui rendre la pareille avec un petit plus qui me trottait dans la tête depuis que j’avais choisi un de mes « jouets » dans le tiroir au chevet de mon lit... Pensez donc, un mignon petit Plug que j’allais lui planter dans le cul, mais j’attendais le moment propice...Je mangeais la chatte d’Alice depuis un moment et je sentais que sa jouissance était proche. C’était le moment que j’attendais : sans tâtonner, j’ai glissé le Plug dans son fondement et aussitôt, Alice s’est mise à jouir, inondant mon visage de plusieurs jets d’un liquide odorant...
— Waouh... tu m’as bien eue... Lorsque je jouis bien, je fais la fontaine...— Mais c’est parfait... Viens m’embrasser et lécher ton liquide !— Oh oui... Tout de suite...

Mais Alice ne fit pas que lécher mon visage... Nous étions à nouveau enlacées et les baisers que nous avons échangés devinrent de plus en plus chauds... Nos doigts exploraient le sexe de sa partenaire allant y puiser la cyprine qui s’y trouvait pour s’en délecter ensuite en introduisant les doigts dans la bouche de l’autre...Et c’est ainsi que nous nous sommes endormies à plus de minuit, car nos jeux avaient duré... Personnellement, j’étais repue de caresses... ça faisait bien longtemps que je n’avais pas connu cette béatitude...

Le samedi matin, Alice dormait encore, suçant son pouce droit comme un enfant... Je me suis dégagée de son étreinte et j’ai apporté de la cuisine un plateau de petit-déjeuner bien garni... J’étais nue, mais j’étais harnachée avec mon gode ceinture que j’avais enfilé pour en faire bénéficier Alice dès le réveil...
— Alice ma chérie... le petit-déj’ est servi, mais avant, j’ai quelque chose pour toi...— Oh que tu es belle ! Oh oui... j’ai envie... on prendra le petit-déj’ après !— Rejette la couette et écarte les cuisses... Je suis sûre que tu mouilles déjà !— Ooouuuiiii ! Je suis toute humide ! J’étais à moitié réveillée et comme d’habitude, je me suis touchée !— Mais c’est parfait... Tu vas goûter à mon jouet et en plus, j’ai rempli les boules... Tu verras...
Alice me tendit les bras et je montai sur le lit. Aussitôt je lui fis sentir la pointe du gode contre ses lèvres intimes.
— Oh oui... Ne me fais pas attendre ! Prends-moi !

Dés que le gode a été en elle, Alice a noué ses jambes sur mes reins et je l’ai baisée avec le plus de science possible... D’abord lentement, puis de plus en plus vite avant de ralentir à nouveau... J’étais à l’affût de ses réactions et j’agissais en conséquence... Je voulais donner à Alice un maximum de plaisir et moi, j’avais le plaisir cérébral de la posséder... Ne m’avait-elle quelque peu dominée hier soir ? Mais ce à quoi elle ne s’attendait pas, c’est qu’au moment où la jouissance l’emportait, j’actionnai le dispositif qui injecta le liquide contenu dans les couilles de cet engin...
Après nous être restaurées, nous avons passé la journée au lit où nous nous sommes câlinées et avons fait l’amour tendrement... L’une dominant l’autre et inversement...
C’est ainsi que chaque week-end, Alice me rejoignait et pendant deux jours nous nous livrions à des orgies de sexe... La partage se faisait toujours équitablement, tantôt c’était Alice qui menait le jeu, tantôt c’était moi à de la dominer...
Mais hélas tout à une fin... A l’issue de son stage, Alice a trouvé un emploi à Bordeaux et nous ne nous sommes plus revues...
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