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Alicia et son papa

Chapitre 4

Inceste
Cette nuit-là, il jouit encore deux fois dans mes reins. La dernière, comme il l’avait annoncé, c’était moi qui l’avais supplié de m’enculer. Il l’avait fait avec férocité, brutalement. Comme il avait déjà joui, il avait acquis beaucoup d’endurance. Alors il en avait profité pour me prendre dans diverses positions. D’abord à genoux contre le lit, comme lors de mon dépucelage anal, comme il disait.
Puis contre un mur, me faisant décoller du sol me soulevant à la force de son épieu planté jusqu’à la garde. Puis couchée par terre, lui m’écrasant de tout son poids, moi cambrée et écartant mes fesses des deux mains. Enfin, sur le lit, face à face, mais après m’avoir pliée en deux, les chevilles croisées sous ma nuque. Dans cette position douloureuse, qui faisait appel à toute ma souplesse, il plongeait encore plus profondément dans mes reins. Ce tout en détectant sur mon visage toutes mes émotions, douleur quand il cognait trop fort dans mes entrailles, plaisir quand il manipulait tendrement mes tétons, souffrance quand il les pinçait et tordait méchamment. Il semblait ravi de voir mes traits se tordre et les larmes jaillir, mais il savait s’arrêter avant que ça devienne intolérable.
Sentant la jouissance monter, il avait posé les mains sur mes mollets pour les écraser et me plier au maximum avant de sortir sa monstrueuse bite de mon pauvre anus complètement ruiné. Il était resté ainsi, la peau luisante, ruisselant de sueur qui s’écoulait sur mon corps avant d’imprégner les draps.
— Alors, tu te sens comment, pas trop cassée ?— Si, j’ai mal partout. Tu m’as... Vous m’avez complètement détruit.— Et tu veux que j’arrête ?— Euh, non ! C’est... c’est vous qui décidez...— Je te demande ton avis, gronda-t-il.— Alors... Continuez, démolissez mon cul, cassez-le. Aah, mon Dieu...
Il m’avait prise au mot et s’était rué de toute sa puissance d’un coup de reins d’une violence extrême. Je sentais qu’il y mettait toute sa violence, toute sa hargne. Son pelvis claquait fort contre mon bassin, je hurlai à chaque coup de boutoir, mon corps se disloquait alors qu’il accélérait encore.
J’ai regagné mon lit dans un état second, incapable de passer sous la douche avant de m’écrouler sur ma couette et de m’endormir comme une souche. Je ne travaillais pas le samedi, aussi je pus dormir un peu plus. Je faillis hurler en me levant : mon ventre et plus particulièrement mon anus étaient en feu, Je pleurais en entrant dans la cuisine où papa buvait tranquillement un café. J’étais nue, bien sûr. Mais au lieu d’être à quatre pattes, je me tenais debout, un peu voûtée. Je m’approchai en trottinant, souffrant le martyre à chaque pas.
— Bonjour, Alicia, bien dormi ?— Bonjour Monsieur. J’ai mal ! Je ne peux plus marcher tellement j’ai mal, pleurnichai-je.— Je t’avais prévenue, non ?— Oui, soupirai-je misérablement.— Tiens, prends ça, ricana-il en me tendant un tube blanc sans indication. File pommader ton cul. Dehors mais surtout dedans. Ensuite, tu mettras ce plug pour la journée.
Il me tendit un gros œuf en plastique noir sur une base renflée. Je l’examinai un instant, répugnant à admettre ce qu’il voulait que j’en fasse. Je levai une tête interrogative à laquelle il répondit :
— Oui, tu le mets dans ton cul.— Mais... C’est gros !— Moins que ma bite ; il rentrera tout seul. Et sinon, tu forces.
Quand je revins dans la cuisine, dix minutes s’étaient écoulées. J’avais conscience de marcher bizarrement, serrant les cuisses. La pommade, quoi qu’elle soit, avait calmé la douleur de mes muscles internes froissés, et mon anus avait avalé assez aisément l’engin ovoïde.
— Tu l’as enfoncé ?— Oui. Oui Monsieur.— Bien. Alors, tu as quelque chose à faire le matin. Tu as déjà oublié ?
Ah oui ! Je dois passer sous la table et lui tailler une pipe... Allez, vite ! C’est pas que je sois étourdie, mais cette nouvelle vie est tellement différente, tellement contraignante. Et j’ai intérêt à m’appliquer, à faire de mon mieux, parce que papa n’est pas du genre patient. Je n’ai pas envie de l’énerver de bon matin.
Comme la veille, je me glissai entre les cuisses écartées de mon père. J’eus un choc : il ne portait pas de short ce matin, et il bandait comme un baudet. Je déglutis difficilement, prenant le temps d’admirer la gigantesque bite que j’allais sucer. Il voulait que je l’avale toute ? C’était sûrement impossible.
Je saisis le tronc noueux, mes petites mains l’enserraient juste comme il fallait, et je léchai le gland après l’avoir décalotté, en commençant par glisser le bout de la langue dans le méat. Je récupérai quelques gouttes de liquide pré-éjaculatoire, puis aspirai la grosse prune pour la pomper vigoureusement. Papa me laissa faire plusieurs minutes avant de poser une main sur ma nuque pour me guider.
Obéissante, j’acceptai jusqu’à forcer un peu ma luette, reculai et revins. Une poussée sur ma chevelure me conduisit à m’ouvrir, déglutissant frénétiquement pour accepter la colonne de chair. Puis mes lèvres touchèrent mes mains entourant la base. J’eus à peine la nausée cette fois, mais des larmes coulèrent sur mes joues rougies par l’effort. Papa bloqua ma tête et je restai en apnée, la langue caressante. Sur son ordre je déglutis plusieurs fois, ce qui précipita son orgasme. Contrairement à la veille, il me lâcha alors que des flots de sperme emplissaient ma bouche. J’essayai d’avaler mais pas assez vite : la semence m’étouffa, ressortit par mes narines, et je reçus les derniers jets dans les cheveux.
Je reculai et me redressai, essoufflée, guettant la réaction de papa. Il me montra une robe de plage posée sur le plan de travail, à côté d’une paire de chaussures à talon compensé en liège.
— Allez, tu enfiles ça et tu vas à la boulangerie acheter du pain et deux viennoiseries de ton choix.— Ah ! Je file me laver et j’y vais.— Tu y vas tout de suite comme tu es. Vite !— Mais... D’accord. Euh... Oui papa. Oui Monsieur.
Merde, je savais que j’aurais du mal, mais que je suis conne ! Je dois l’appeler Monsieur, c’est pas dur... Ouais, sauf que toute ma vie je l’ai appelé papa ! Je n’ai pas fini de me tromper et de paraître ridicule. Mais ça lui fait plaisir, je le vois revivre enfin, après tous ces mois de détresse. Le seul problème, c’est qu’il est fichu de me punir si je commets trop d’erreurs.
Je dépliai la robe, c’était une de maman. À porter sur un maillot de bain, à la plage. Très courte, en coton blanc, tenant par six gros boutons noirs sur le devant. Je la passai et la boutonnai, m’examinant d’un œil soupçonneux dans une porte miroir : c’était bien ce que je craignais, elle ne cachait pas grand-chose et suggérait ce qu’elle masquait. Quant à mon visage, il était maculé de coulures de sperme, j’en avais même dans les cheveux !
Anxieuse, je regardai papa, qui ricana en réponse.
— Tu as vraiment l’air d’une salope, dans cette tenue. Allez, file et fais marquer les courses sur la note !— Je peux enlever le p... plug ? S’il te plaît, enfin s’il vous plaît, Monsieur. J’ai peur qu’il tombe dans la rue.— Tu n’auras qu’à serrer les fesses. Allez, file, ma patience a des limites.
Dire que le week-end a été difficile serait un euphémisme. Papa m’a sodomisée matin, midi et soir, sans trop de tendresse et sans pitié pour mon pauvre anus complètement démoli. J’utilisais son lubrifiant pour calmer la douleur, avant et après. Les deux matins il a frappé mes fesses à coups de ceinture, dix fois bien forts, pour le plaisir de voir mon cul marqué. Il trouva quand même le temps de me faire épiler intégralement le samedi après-midi et de me donner des cours de fellation, comme il disait. Le dimanche, juste avant le déjeuner j’ai eu droit à une longue fessée, commencée à mains nues et finie au martinet. Je ne sais combien de coups il donna, en tout cas je pleurais comme une madeleine longtemps après qu’il a arrêté de frapper.
J’ai ensuite passé un long moment à genoux face au mur du salon, les mains sur la tête, pendant qu’il mangeait et buvait un café. Autant dire qu’après je filais doux, attentive à obéir au doigt et à l’œil aux ordres de mon père. Le soir, après m’avoir sauvagement sodomisée pendant près d’une heure, il m’a tendu un nouveau plug qui m’a fait hoqueter de frayeur : en acier, l’œuf était aussi gros que mon poing.
— Tu te pommades le conduit, ça te fera du bien. Puis tu t’enfonces ce joli sex-toy ; je veux que tu le portes cette nuit et tout demain.— Mais, je travaille demain !— Tu m’énerves, idiote. Tu mettras un de tes jeans par-dessus, voilà tout ! Au fait, c’est demain que tu dois voir Monsieur Rodriguez ?— Oui, à 10 heures ;— Tu as intérêt à être obéissante et gentille avec lui. Je ne veux pas qu’il se plaigne une nouvelle fois de ton attitude.
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