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Alicia et son papa

Chapitre 6

Inceste
Pleurnichant de honte, atterrée d’être tombée si bas en quelques jours, je m’appliquai, faisant de mon mieux pour contenter mon patron. Mais l’épaisseur de sa bite rendait difficile la fellation ; chaque fois que j’avançais trop, mon ventre se révoltait et menaçait de se retourner. Bien sûr monsieur Rodriguez n’en avait cure, il m’insultait copieusement pour mon incompétence. Lassé, il empoigna ma chevelure et me tira à lui. Je ne pus rien faire et me retrouvai le nez plongé dans son abondante toison pubienne. Affolée, incapable de respirer alors que le contenu de mon estomac remontait dangereusement, je protestai comme je pouvais, me tordant et suppliant mon suborneur du regard. 

— Attention, me prévint-il d’une voix sèche, si je sens tes dents encore une fois, je te les casse à coups de poing. Je vais te laisser respirer, puis on y revient.
Curieusement, son avertissement calma mon angoisse. Libérée, je respirais à pleins poumons, crachant des flots de salive sur mes cuisses. Mon patron ne dit rien, guettant ma réaction ; dès que je fus calmée, je me redressai et ouvris grand la bouche pour montrer ma bonne volonté. Après plusieurs minutes d’éprouvante fellation, je reçus de longues rasades d’un sperme liquide et iodé que j’essayai vainement d’avaler.
— Imbécile, tu ne dois pas gâcher ma semence ! Lèche bien tout ce qui est tombé, tu entends !
Je finissais de nettoyer, léchant les gouttes de sperme sur le sol, quand la porte s’ouvrit. Je reconnus les arrivants, c’était les deux vigiles préférés du patron. Babacar, un Noir gigantesque, adepte de musculation et de bagarres, et Hamid, un Maghrébin brutal, à peine moins imposant que son compère, mais plus dangereux encore. Je pressentis que mes tourments étaient loin d’être finis. Sans me laisser le temps de dire ouf, je me retrouvai les poignets liés dans le dos par une attache rapide. J’essayai de protester, mais Hamid prit ma petite culotte sur la chaise où je l’avais posée et me l’enfonça méthodiquement dans la bouche. En la bourrant bien dans chaque joue pour éviter de m’étouffer trop. Je devais ressembler à un hamster, mais je ne risquais pas de me plaindre maintenant.
En même temps, je n’ai pas le choix. Papa me punira s’il apprend que je n’ai pas été obéissante. Et puis je sais bien qu’ils ne me feront pas mal, pas trop du moins. Alors, ce n’est pas la peine de tenter de leur échapper. D’une part je n’ai aucun chance d’y arriver, surtout nue et attachée ; d’autre part, si c’est pour me faire punir à mon retour à la maison, autant rester zen et endurer sans trop résister.
Ouais, rester zen ! Hamid a saisi un rouleau de large scotch industriel et l’a utilisé pour coller une bande sur mes lèvres et autour de ma tête, ce qui m’empêchait de recracher mon bâillon improvisé. Ensuite ils m’ont poussée hors du bureau, dans le couloir sombre et heureusement désert, puis dans une réserve de fournitures. Appuyée contre un mur, les jambes flageolantes, je les ai regardés se déshabiller rapidement.Ils étaient tous deux solides et musculeux, Hamid étant plus trapu. Je déglutis en découvrant leurs virilités menaçantes, épaisses et déjà dressées.
Babacar me retourna face au mur puis extirpa le plug de mes fesses. Je poussai un cri étouffé quand l’œuf d’acier libéra mon anus, puis un autre quand la bite aussi large et à peine moins dure envahit mon rectum. Il s’enfonça en moi en quelques poussées avant de commencer à me sodomiser en cadence, sans jamais faiblir. Après quelques minutes de ce traitement, mes muscles distendus se sont adaptés, j’ai commencé à apprécier d’être bien emplie et possédée par cette voie. Instinctivement je me suis cambrée pour mieux m’offrir et le vigile a ricané.
— Hamid, nous allons passer du bon temps, la petite salope en veut. Elle me tend son petit cul, là.— Elle aime se faire enculer ? Tant mieux, il n’y aura pas besoin de la forcer trop, alors…— Je vais te libérer, me souffla Babacar à l’oreille. Tu promets d’être obéissante ?
Je hochai frénétiquement la tête, et Babacar recula, libérant mes entrailles, pour couper l’attache rapide en plastique qui me liait. Je me frottai les poignets sur les marques laissées par le lien, pendant ce temps il enlevait mon bâillon. Je pus recracher ma petite culotte trempée de salive, puis je fis jouer ma mâchoire endolorie.
— Merci, lui dis-je en tentant de sourire. Ce sera plus sympa pour tout le monde.
— Tourne-toi, répondit le Noir. J’ai trop envie de continuer à t’enculer.
J’obtempérai et posai la joue sur le mur, indécemment offerte, bien cambrée. Sans attendre, il se planta dans mes reins d’une poussée sans tendresse et son pelvis claqua contre mes fesses. Je glissai une main entre mes cuisses disjointes pour caresser ses lourdes bourses qui ballottaient à chaque assaut. Il se retira rapidement, sans doute pour ne pas jouir trop vite, son compère le remplaça aussitôt. Sa verge était moins longue mais plus épaisse, je grimaçai tant mon pauvre anus était distendu.
Pourtant mon corps réagissait favorablement à cet accouplement brutal, je lâchai un instant les couilles que je caressais pour plonger trois doigts dans mon pertuis trempé. Les vigiles se relayèrent plusieurs fois dans mon anus, m’amenant au seuil de la jouissance, puis ils me firent agenouiller devant eux et ils se répandirent sur mon visage, dans mes cheveux. Ensuite, je dus les nettoyer soigneusement avec ma langue, lécher leurs verges amollies. Je m’acquittai de ma tâche non sans plisser le nez, puis me redressai, aidée par Babacar.
Il faisait très chaud dans la pièce, nous étions en nage tous les trois. Mais pas question de douche encore, le Noir me serra contre lui. Dressée sur la pointe des pieds, je lui tendis mes lèvres pour un baiser torride. Sa langue envahit ma bouche et la fouilla, l’emplissant de salive, ses mains pétrirent mes fesses. Je sentis sa verge grossir rapidement, coincée entre nos corps. Hamid se colla derrière moi, caressant mes hanches, mes épaules. Je frémis en sentant sa virilité dressée appuyer sur mes reins.
— On va te défoncer la chatte, maintenant, susurra Hamid au creux de mon oreille. Et comme on vient de se vider les couilles, ça va durer longtemps.
Il avait raison, je m’en rendis compte ; d’autant qu’ils se relayaient, se retirant dès qu’ils sentaient monter la jouissance dans leur bite. Nous étions tous trois trempés de sueur, à un moment Babacar attaqua un pack de six bouteilles d’eau minérale tiède. Il me fit boire avant d’étancher sa soif et la tendit ensuite à son ami qui m’aspergea avec le restant d’eau. Ils me disposaient à leur guise, à genoux, debout contre le mur, le dos sur une petite table. J’ai joui plusieurs fois avant qu’ils se vident, à nouveau sur mon visage. Comme je ruisselais de sueur, leur sperme s’égoutta lentement sur mon menton puis mon torse, alors que je reprenais mon souffle, affalée contre le mur. Ils s’installèrent de part et d’autre et Hamid fit circuler une nouvelle bouteille d’eau. Je bus avec reconnaissance, aspergeant mon visage maculé avant de la tendre à Babacar.
Nous sommes restés assis un bon moment, sans parler. Puis Hamid saisit ma main droite et la posa sur sa verge gluante ; je la caressai du bout des doigts et eus la surprise de la sentir gonfler.
Oh non ! Ils ne vont pas recommencer… Je suis cassée de partout, j’ai pas trop envie de remettre ça, moi ! Enfin, si j’ai mon mot à dire, j’ai envie d’une bonne douche, pas de me faire baiser par deux types en rut. Mais bien sûr, encore une fois je n’ai pas voix au chapitre.
— Bon, on va te prendre en double, tu vas aimer, je suis sûr. Salope comme tu es, tu vas en redemander.
Je savais pas ce que c’était, se faire prendre en double mais j’ai vite compris. Presque sans bouger, Hamid m’a tirée sur lui, je me suis retrouvée allongée sur lui, les yeux dans les yeux.C’est moi qui ai guidé sa bite à nouveau bien rigide dans mon vagin trempé, puis je me suis empalée en grimaçant. C’était un peu douloureux en effet, mes muscles internes étaient endoloris, ma peau irritée et sensible. Mais déjà Babacar me recouvrait et je sentis son gland épais peser sur mon anus fatigué.
— Mais que… Non, doucement, oh non, c’est trop…
Lubrifiée comme je l’étais, il n’eut aucun mal à enfoncer son mandrin jusqu’à la garde, J’étais pleine, possédée comme jamais je ne l’avais été. La bouche ouverte, je ne pouvais émettre qu’un râle d’agonie. J’étais prise en sandwich entre le deux vigiles, les orifices distendus et fouaillés par leurs énormes bites. Nos peaux couvertes de sueur collaient et claquaient avec des bruits liquide, chair contre chair. Je posai les mains sur les épaules d’Hamid et me cambrai, offrant mes reins aux coups de boutoir de Babacar qui ruisselait sur mon dos.
Ils tournèrent plusieurs fois, se partageant équitablement mes orifices dilacérés, pour finir, moi à genoux, Babacar me sodomisant sauvagement alors qu’Hamid pilonnait ma bouche et ma gorge comme il l’aurait fait d’un vagin. À moitié étouffée, dans un état second, j’acceptais de prendre sa verge si profondément que parfois mon nez se perdait dans la pilosité de son pubis. Ils éjaculèrent presque simultanément, emplissant mon anus et ma bouche de semence, me précipitant dans un nouvel orgasme qui sapa mes dernières forces.
Ce fut Babacar qui retrouva le premier ses esprits ; il se redressa et m’aida à me lever, m’assurant contre lui après avoir constaté que j’étais à bout de forces.
— Allez, à la douche. Bien froide, ça fera du bien, énonça-t-il.
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