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Alicia et son papa

Chapitre 8

Inceste
Papa attendit que j’aie refermé la porte d’entrée et que je me sois agenouillée devant lui, en position d’attente : cuisses écartées à quatre-vingt-dix degrés, fesses sur les talons, dos droit, mains posées sur les genoux, paumes vers le haut.
— Monsieur Rodriguez n’est pas très content de toi, Ali. Tu suces mal, et tes orifices sont trop étroits. Il trouve aussi que tes seins sont trop petits. Pour tes seins, nous partons voir un toubib dans dix minutes. Pour tes orifices, tu vas porter ce qui vient de nous être livré. Voyons ça...
Il ouvrit le paquet en carton et en sortit divers objets que je ne pouvais distinguer de ma position. Puis, il me montra un objet noir qu’il étira à deux mains, cela ressemblait à un short taillé dans un tissu épais.
— En premier lieu, une culotte en néoprène, l’entrejambe renforcé en métal dispose de deux fixations. Et sur ces fixations, on met... deux godes ! Regarde ceux-là, un pour ton cul, un pour ta chatte.
Il me montrait à présent deux gros cylindres de plastique identiques, le bout, effilé, mais la base épaisse. Allait-il enfoncer ces trucs dans mon ventre ? En même temps ?
Cinq minutes après, c’était fait. Pour mon anus, comme je portais auparavant le plug, mes muscles ont accepté assez facilement ce nouvel intrus. Pour mon vagin, un peu de lubrifiant a été nécessaire. La culotte noire épousait mes formes étroitement et maintenait les deux solides godes profondément enfoncés. Une armature métallique intégrée comme une ceinture la rendait inamovible, d’autant qu’un cadenas la fermait sur mes reins.
J’étais atrocement gênée pour marcher ou pour m’asseoir. Le trop long gode dans mon vagin forçait en permanence au fond et occasionnait un élancement persistant. Mais il fallait partir ; je passai une robe d’été au thème fleuri et montai dans la voiture. Mon père démarra, non sans avoir remarqué mon rictus de souffrance en m’asseyant.
— Tu as mal ?
— Oui Monsieur, répondis-je en boudant.
— Rappelle-moi de te punir de dix solides coups. Je n’aime pas la manière dont tu m’as répondu. En attendant, sors ma bite et suce-moi, mais je ne veux pas jouir.
Vexée d’être si transparente, consternée à l’annonce d’une nouvelle punition, je me le tins pour dit. Je passai le trajet, pliée en deux, m’activant de mon mieux sur la colonne de chair de mon conducteur. Je ne la prenais pas très loin, mais la suçai avec application, attentive à ravaler ma salive qui s’écoulait parfois. Surtout quand le gland appuyait sur ma luette. Papa ne me parla pas, sauf pour me prévenir d’arrêter, car nous étions arrivés. Je refermai donc son pantalon et me redressai.
Nous sommes entrés dans une maison sans aucun signe indiquant qu’elle abritait un cabinet médical. Un sexagénaire rubicond nous reçut aussitôt dans une pièce blanche ressemblant à un petit laboratoire ; il serra la main de papa et m’adressa juste un regard méprisant.
— Bonjour, Arnaud. J’ai reçu un coup de téléphone de Monsieur Rodriguez concernant une petite jeune. Je n’avais pas réalisé que c’était ta fille. Elle est obéissante ?

— Pas encore, mais j’y travaille. Je vais devoir la punir une nouvelle fois tellement elle est pénible.
— Ah ! Les jeunes, répondit le gros docteur d’une voix nettement plus froide. Si tu veux, tu peux la punir ici. Toi, déshabille-toi, vite. Je ne devrais même pas avoir à te le dire.
Oppressée, je déboutonnai rapidement ma robe et la posai sur le dossier d’une chaise, puis me redressai, bras ballants. Je ne cherchais même pas à masquer ma poitrine ; sans doute parce que j’étais devant un médecin, ou un présumé tel.
— Comme tu vois, expliqua mon père, Alicia porte une culotte en néoprène renforcée ; Monsieur Rodriguez l’a trouvée trop étroite et elle a dans ses orifices deux godes de bon calibre.
— L’idéal est qu’elle les garde le plus longtemps possible, suggéra le médecin.
— Exactement ; j’ai déjà à la maison une paire de godes plus épais et plus longs, pour dans quelques jours. Bon, que peux-tu faire pour sa poitrine ?
— Le plus simple, c’est de placer des implants en silicone. Mais c’est souvent médiocre au toucher. Il y a aussi le lipofilling, on réinjecte dans les seins de la graisse prélevée ailleurs. Effet correct, à condition d’avoir suffisamment de matière à prélever ailleurs. Dans le cas de ta fille, c’est non. Restent les hormones, des œstrogènes principalement. Tu prends une pilule contraceptive ?
— Oui, de l’Adépal.
Je ne vis pas venir la gifle que m’envoya papa, mais je partis en arrière et faillis tomber sous sa violence. La joue droite en feu, j’éclatai en sanglots, plus d’humiliation que de douleur.
— Tu vois comme elle est impolie ?
— Oui, affirma le médecin. Elle a vraiment besoin d’être dressée ! Sa pilule est une deuxième génération, dans ce cas il ne faut pas s’attendre à un résultat extraordinaire avec un traitement hormonal classique. Personnellement, j’aime sa poitrine comme elle est : bien ronde, ferme et aux bouts roses et pointus qui défieront les années. Maintenant, s’il veut plus gros, je peux lui faire des injections répétées d’hormones style œstrogène et prolactine. On devrait sûrement gagner une bonne taille de bonnets.
— Oui, vas-y, décida papa. Tu sais comment est monsieur Rodriguez quand il veut quelque chose.
— Bon, c’est parti, alors.
Le Doc m’installa sur un fauteuil gynécologique avant de s’affairer. Je fis la grimace quand le médecin, vrai ou non, fit des injections dans mes seins, double dose dans chacun, expliqua-t-il. Le liquide semblait pâteux et il fallait du temps pour l’injecter. Puis papa enleva sa ceinture, attentif à ma réaction. Je retenais mes larmes sous la douleur lancinante dans ma poitrine.
— On ne va pas pouvoir te fesser, alors ce sera sur les cuisses ou le dos. Qu’en penses-tu ?
Résignée, je baissai la tête, désemparée, tentant d’appréhender la situation.
Sur les seins ? Ça doit être horrible, non ? Ils me font mal, ils ne se rendent pas compte que les piqûres sont douloureuses ou ils s’en fichent. Je vais probablement saigner, la peau est si fine et si fragile à cet endroit. Si j’ai le choix, je préfère sur les cuisses, c’est évident. Mais ai-je le choix ? Ce n’est pas sûr, papa fait toujours ce qu’il veut ; maintenant, il me demande mon avis, je dois le lui en donner..
— Euh...Je préférerais sur les cuisses, mais c’est à vous de décider, Monsieur.
— Bonne réponse. Mais je vais accéder à ton souhait, Doc va te donner la punition à ma place, vingt coups de ceinture.
— Mais...
Je m’interrompis avant d’aller plus loin. Papa avait parlé de dix coups seulement, et maintenant j’avais droit à vingt sans raison, sinon son propre plaisir et celui de faire plaisir à son ami.
— Tu as un problème ? interrogea mon père. Non ? Tant mieux ; je fais cadeau à Doc de dix coups de plus qu’annoncés dans la voiture, tâche de les recevoir dignement.
— Pose les pieds sur les étriers, ordonna le médecin. Je vais pouvoir frapper l’intérieur des cuisses, là où ça fait vraiment mal. Sinon, ce ne serait pas une punition, n’est-ce pas ?
Je me sentais piégée, mais ce n’était pas comme si j’avais eu le choix à un moment ou un autre. Je plaçai donc mes pieds bien calés dans les étriers, écartant largement les jambes et offrant ainsi la surface de la tendre peau convoitée par le docteur. Je me crispai dès qu’il leva le bras, m’attendant à souffrir. Le premier coup, pas très violent, m’arracha un cri de gorge que je contins, mais les suivants, plus puissants, firent couler des larmes sur mes joues.
L’homme alterna, passant de la cuisse gauche à la droite, marquant la peau de brûlantes bandes rouges et gonflées. A la fin, je pleurais comme une madeleine ; j’eus le plus grand mal à me redresser tant mes jambes tremblaient, et papa m’aida à enfiler ma robe. En reniflant, je pris congé du médecin et suivis mon père. Nous rentrâmes directement dans un silence qui me permit de réfléchir à mon sort.
Tu es nulle, Ali. Tu as voulu rendre service à ton père, et maintenant, que deviens-tu ? Papa a fait de toi son esclave sexuelle, ton patron veut que tu sois sa putain, il envisage de te donner à des inconnus, après t’avoir offerte à ses gardes. Et quoi encore ? Tu portes deux gros godes en permanence, ta poitrine fait l’objet d’un traitement pour te transformer en vache laitière, ou presque...Où sont passés tes rêves de jeunes filles, le prince charmant, deux ou trois enfants, une maison, un chien, un chat ?
Je soupirai en songeant à ce qui m’attendait. Une pipe en rentrant, c’était sûr. Et une sodomie un peu plus tard, si papa faisait comme d’habitude.
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