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Alicia et son papa

Chapitre 11

Inceste
Quand Babacar est arrivé, j’attendais depuis dix bonnes minutes à genoux sur le perron. Toute nue et mes vêtements fourrés dans un grand sac plastique posé à ma droite. J’attendis sans bouger qu’il me demande de me lever. Je pensais qu’il allait me dire de remettre mes vêtements de pute mais non, j’ai fait le trajet retour dans le coffre. Une fois dans le bureau vide du patron, les vigiles m’ont remis la culotte avec ses deux godes et j’ai pu enfiler ma tenue du matin. J’ai pris mon travail comme si de rien n’était, avec plus de quatre heures de retard. Ma chef était fumasse, bien sûr. 
À mon arrivée à la maison, papa n’était pas là. Je me déshabillai vite fait, sauf la culotte, bien sûr, je n’en avais pas la clé. Je nettoyai la cuisine de fond en comble et commençai à préparer le repas du soir quand j’entendis la porte d’entrée s’ouvrir. Quand papa entra, j’étais déjà à quatre pattes, tête baissée.
— Viens me tailler une pipe, petite salope.
Pour ça, j’étais rodée : une pipe le matin, une le soir. Vite fait, je m’agenouillai et entrepris d’extraire la bite paternelle. Ensuite, devant l’énormité de l’objet, j’en gobai ce que je pus, une moitié environ, et la pompai avec vigueur tout en caressant les lourdes couilles. Je les léchai à leur tour, les pris en bouche pour les malaxer.
— Ne me fais pas jouir, j’ai envie de t’enculer. Je veux voir si ton cul s’assouplit.
Alors là, aucun problème. Entre ce que j’ai pris comme calibre ce matin et cette maudite culotte bi-godes, je pense que papa va être satisfait de sa petite pute de fille. Il va entrer comme dans du beurre ou presque. Au fait, il faut que je lui dise de changer les deux godes pour des plus gros. Déjà que j’ai du mal à supporter ceux-là, je pense que ça va pas être une partie de plaisir.
Quand je sentis que la sève montait dangereusement dans la colonne de chair qui frémissait, je me reculai et attendis, aux ordres. Papa se leva sans prendre la peine de remonter son pantalon et sortit la petite clé de sa poche. Je me tournai et commençai :
— Papa, Monsieur, monsieur Rodriguez veut que tu… que vous changiez les godes par des plus gros.— Déjà ? s’étonna papa. Tu viens à peine de commencer. Enfin, je vais voir. S’il le dit…
Je grimaçai quand il enleva les godes : mes chairs avaient tendance à se coller au plastique et à enserrer étroitement les colonnes semi-rigides. Sans attendre d’ordre, je m’approchai du mur devant moi, me penchai légèrement pour poser ma joue contre lui. Bien cambrée, cuisses à peine disjointes, j’écartai mes fesses à deux mains pour offrir mon anus écarquillé.
— Parce que tu crois que c’est toi qui décides de la position à prendre ? Je ne t’ai rien demandé, tonna papa. Mais ne bouge plus ; enlève juste les mains, ton cul est à bonne hauteur pour ma ceinture.
Il asséna une bonne vingtaine de coups de ceinture sur mes fesses et mes cuisses, ne s’arrêtant que lorsque je craquai, sanglotante, incapable de tenir sur mes jambes. Je glissai au sol et pleurai toutes les larmes de mon corps, jusqu’à ce que papa m’enjoigne de me ressaisir.
— Tu seras punie chaque fois que tu oublieras qui commande ici. Tu n’es qu’une idiote si tu penses prendre le pouvoir. Tu as compris ?— Oui Monsieur, je vous demande pardon. Je vous remercie pour cette punition, votre idiote de fille ne mérite pas tout ce que vous faites pour elle.

Vous croyez que j’en fais trop ? Vous avez sûrement raison. Mais papa peut se révéler très brutal et très convaincant. Je commence à avoir peur dès qu’il sort sa ceinture, il m’a appris à m’écraser comme une carpette, à accepter ses punitions qui font partie de l’éducation qu’il veut me donner.
Obéissante, je lui offris mon rectum dans la même position qu’auparavant, visage contre le mur, très cambrée et offerte. Sauf que je grimaçai en écartant mes fesses rudement marquées par la correction ; elles étaient en feu. Papa aimait me voir ainsi, les orifices entrebâillés et disponibles. D’autant plus quand la preuve de son éducation stricte était gravée dans ma chair. Il investit ma vulve suintante de trois doigts brutaux et fut satisfait de me savoir trempée et prête à le recevoir, même si je savais qu’il allait encore une fois ignorer mon vagin pour ne prendre que mon anus.
— Tu es une chienne en chaleur, Ali. Je viens de te filer une raclée et tu mouilles comme une salope. Tu trouves que c’est une bonne attitude pour une fille respectable ?— C’est que je ne dois pas être une fille respectable, Monsieur.— Et tu es quoi, selon toi ?— Une dévergondée, Monsieur. Une catin qui n’est bonne qu’à se faire punir et enculer par son maître… Ah ! Aah ! Mon Dieu…— Prends ça, dans ce cas. Tu aimes ?— Vous êtes trop épais, Monsieur. Allez-y moins fort, s’il vous plaît. Oh , non !— Si tu as mal, pourquoi tu tends ton cul encore plus, salope ? Tu aimes que je te défonce bien profond, non ?— Oui Monsieur ; vous avez raison. Vous m’autorisez à jouir, cette fois ? S’il vous plaît...— Pas question ! Tu as été trop désobéissante, tu as joui plusieurs fois aujourd’hui.— Je sais, mais j’aimerais jouir avec vous, Monsieur.— Non ! N’insiste pas ou je reprends ma ceinture et je te tanne les seins.
Oups, non ! Je serrai les dents et tentai de résister à la montée du plaisir. Sous les coups de boutoir plus violents les uns que les autres, mes pieds ne touchaient plus le sol ; j’étais en appui contre le mur, les hanches fermement serrées par les paluches de papa, empalée jusqu’à la garde par son formidable épieu. Je me mordis la lèvre inférieure presque jusqu’au sang pour éviter l’orgasme lorsque je sentis de longues rasades de semence jaillir dans mes entrailles. Une fois libérée, je me jetai à genoux pour nettoyer servilement la hampe souillée de mes œuvres.
Je dormis mal cette nuit, car papa avait introduit dans mes orifices les nouveaux godes plus épais que les précédents ; j’étais doublement distendue à la limite de la douleur. Je n’étais pas encore habituée à porter les précédents, alors je savais qu’il me faudrait un moment pour accepter ceux-là. Contre toute attente, sur la route je réussis à pédaler normalement, sans oser m’asseoir sur la selle toutefois. Malgré mes craintes, je pus même marcher sans trop paraître empruntée. Sans passer voir Marine, j’allai toquer doucement à la porte de monsieur Rodriguez qui me cria d’entrer.
Il discutait avec un homme ventripotent habillé en costard-cravate. J’adressai un timide bonjour et m’apprêtai à ressortir, quand le boss lança :
— Eh bien, tu attends quoi ? Déshabille-toi ! Monsieur Kleinewurst est un de nos gros fournisseurs, c’est un homme important.— Ah… Oui Monsieur.
Et voilà ! Comment faire comprendre à un inconnu que la jeune employée qui vient d’arriver n’est qu’une pute payée pour s’exhiber et plus si affinité. Parce que c’est évident que dans cinq minutes je vais me retrouver à sucer la bite du gros ! Berk berk berk !
La suite me donna raison ; le gros type ne se fit pas prier pour ouvrir son pantalon et en sortir une chose rose d’aspect maladif, genre saucisse de Strasbourg pas fraîche. Je considérai un instant la limace peu ragoutante avant de me décider. Comme d’habitude, je choisis la soumission et m’agenouillai. Il ne me fallut que trois minutes pour obtenir quelques misérables giclées de semence, agrémentées de couinements porcins du plus bel effet.
Je ne pus m’empêcher de pouffer en me redressant, hélas. Ce qui provoqua l’ire du boss. Il n’en fallait pas beaucoup pour l’énerver, celui-là.
— Tu nous trouves drôles, monsieur et moi ? fulmina-t-il.— Non, je… Pardon Monsieur.— Va trouver Babacar et Hamid, ils sont dans la salle de repos. Demande-leur de te donner une bonne raclée. Prends cette clé, dis-leur qu’ils peuvent tester tes trous jusqu’à midi. Ensuite, tu iras travailler.— Oui Monsieur. Je peux me rhabiller ?— Non, tu restes comme ça. Tu n’as pas à avoir de pudeur, tu n’es qu’une pute ici. En plus, tu as déjà une culotte, de quoi te plains-tu ? Allez, prends tes frusques et tire-toi.— Bien Monsieur, répondis-je d’une voix blanche.
J’allais déguster, encore une fois. Mais j’étais coincée ; je le savais, ils le savaient. Je serrai donc mes vêtements sous mon bras et sortis du bureau pieds nus, après avoir salué le deux hommes qui se désintéressaient déjà de moi.
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