Le site de l'histoire érotique
  • Histoire érotique écrite par
  • Fantasme
  • Publié le
  • Lue {{{NB_VUES}}} fois
  • 46 J'aime
  • 6 Commentaires

Alicia et son papa

Chapitre 12

Inceste
Les vigiles étaient assis dans la petite salle de repos et lisaient tranquillement la presse sportive quand j’entrai après avoir donné quelques timides coups sur la porte.
— Bonjour Messieurs.— Tiens, voilà notre petit sac à foutre préféré, s’exclama élégamment Hamid.— Ça tombe bien, renchérit Babacar, j’ai les couilles pleines.
Ils me libérèrent rapidement de ma culotte de néoprène, après quoi je dus moi-même enlever les godes. Ceux-ci adhéraient fortement à mes muqueuses mal lubrifiées, les ôter fut excessivement douloureux. Je pleurais en extirpant tant bien que mal les épais leurres de plastique, mortifiée de l’odeur prégnante émanant de celui qui emplissait mon fondement.
— Putain l’odeur ! s’exclama Hamid. File te nettoyer, tu es dégueulasse.
Ne pouvant me résoudre à lever les yeux, je filai en cachant mes larmes de honte. Fort heureusement, des toilettes jouxtaient la salle ; je m’enfermai quelques minutes pour nettoyer les godes et mon anus béant dans lequel je glissais sans problème quatre doigts jusqu’à la jointure. À mon retour, je ne pus faire autrement qu’annoncer aux vigiles les demandes du patron et de mon père.
— Monsieur Rodriguez demande à ce que je reçoive une bonne raclée. Et papa m’interdit de jouir. Sinon, il me punira à mon retour.— On s’en fout qu’il te punisse , comme on s’en fout que tu jouisses, d’ailleurs. Monsieur Rodriguez a dit comment tu dois être punie ?— Non Monsieur. Il a dit « une bonne raclée », c’est tout.— D’accord, ajouta Babacar. Tu penses à combien de coups de ceinture, toi ?
Bonjour la question piège ! Si je réponds cinquante coups, je vais déguster. Mais si je réponds seulement dix, ils vont être mécontents et ne me suivront pas. En plus ils taperont sûrement bien plus fort parce que je les aurai énervés ; il ne leur faut pas grand-chose pour monter dans les tours, ces types. Voyons, hier soir, j’ai bien dégusté avec vingt coups de ceinture, mais là, le patron était furax , ça ne sera pas suffisant.
— C’est à vous de décider, Monsieur. Mais je pense qu’il en faut vingt-cinq ou trente.— Vendu ! On va t’en donner quinze chacun. J’ai vu que ton cul est déjà marqué, alors on va frapper ailleurs.
J’opinai de la tête, me demandant si j’allais vraiment y gagner au change. En fait, pas du tout. Ils ont utilisé la même ceinture à tour de rôle, frappant sec et fort, m’arrachant rapidement des sanglots irrépressibles. Et après avoir administré cette volée de coups de ceinture sur mes cuisses et mon dos, ils m’ont sodomisée à tour de rôle, se relayant pour ne pas jouir trop vite. À ce petit jeu, c’est moi qui ai commencé à apprécier le traitement. Malgré la douleur due à la punition , j’ai senti que mon corps me trahissait ; encore une fois, devrais-je dire. Ils n’ont pas manqué de s’en rendre compte. Impitoyable, Babacar a enfoncé trois doigts dans mon sexe trempé et l’a baratté brutalement, m’arrachant des cris puis des gémissements, quand j’ai senti que j’allais jouir.
Debout, Hamid me tenait par les cuisses, son pieu planté dans mon anus ; il exposait ainsi mon intimité trempée à son compère qui ne se privait pas. Ses doigts étaient plongés dans mon vagin trempé, bien serrés à cause de la présence imposante dans mes reins. Il m’amena à l’orgasme en ricanant, sachant que j’allais le payer plus tard. Puis il se répandit en moi et le grand Noir le remplaça, me pilonnant avec la tendresse d’un marteau-piqueur.

Je m’effondrai au sol quand il se retira de mon pauvre anus complètement distendu ; j’appréciai ce moment de calme ; j’avais joui trois fois, mais j’avais mal partout et j’étais épuisée. Cependant j’ouvris un œil alarmé en entendant le bruit reconnaissable entre mille du cuir qui claque. Les vigiles avaient à nouveau saisi leur ceinture et me fixaient d’un air goguenard.
— Tu ne croyais pas que trente coups seraient suffisants, non ? persifla Hamid. Et puis j’ai envie de marquer tes nichons.— Allez, debout, mains sur la tête, coudes écartés. Les pieds à un mètre l’un de l’autre, ordonna Babacar.
Mon corps était en feu quand je me rhabillai, à midi. La seule chose positive était que les godes ne me causaient pas une gêne terrible, du moins au début, tellement mon épiderme cuisait. Je ne supportais pas le soutien-gorge et restais poitrine nue sous mon tee-shirt pour aller travailler. Marine m’accueillit avec mépris, m’adressant à peine la parole pour m’aboyer des ordres d’une voix sèche. L’après-midi passa rapidement tellement j’avais de tâches ingrates. Surveillée sans cesse par ma chef, je trimai de mon mieux sans trouver grâce à ses yeux.
Un peu avant seize heures, je trébuchai sur un carton de conserves placé au milieu du chemin et renversai un grand cageot de fruits. Marine bondit et m’insulta :
— Idiote, regarde ce que tu as fait !— Mais… Quelqu’un a posé ce carton devant la porte !— Tu n’a pas regardé, espèce d’imbécile ! Tu travailles lentement, et en plus tu fais sans arrêt des conneries.— C’est pas vrai, C’est pas ma faute si ce carton…— Ferme-la, idiote ! T’avais qu’à regarder où tu mets les pieds.
Pas facile de voir les obstacles quand on porte un grand et lourd cageot ; la personne qui avait mis ce carton en plein passage était fautive. Je pensai fugacement que ladite personne était devant moi, et l’avait fait exprès. Son air victorieux et sa méchanceté gratuite me paraissaient bizarres.
— Je vais tout ramasser et nettoyer.— Je vais avertir la Direction et demander un blâme.— Vous pouvez y aller, je m’en fiche, répondis-je, bravache.
Marine avança d’un pas et me décocha une gifle en aller-retour qui me laissa bouche bée, les joues en feu. Cette conne m’avait frappée !
— Mais… Vous n’avez pas le droit, protestai-je, outrée.— Pourquoi, tu vas te plaindre ?— Oui, bien sûr !— Viens, on y va ensemble.
J’étais en colère, mais en approchant du bureau du Directeur, je me demandai si c’était une bonne idée. Monsieur Rodriguez nous reçut froidement.
— Qu’est-ce qui se passe encore ? Marine, expliquez-moi.— C’est cette imbécile et une feinéante, Monsieur. Elle travaille mal, c’est un vrai escargot, et en plus elle fait des bêtises.— Elle m’a giflée, Monsieur, intervins-je quand la chef se tut.— C’est vrai, ça, Marine ?— C’est qu’elle m’a excédée, Monsieur ; oui, je lui ai donné une gifle tellement j’étais en colère contre elle.
Monsieur Rodriguez soupira, son regard passant de Marine à moi, toujours aussi glacial. Je frissonnai, mais redressai la tête, sûre mon bon droit.
— Vous avez bien fait, Marine. Cette jeune fille est une vraie couleuvre, manifestement. Elle doit prendre ma société bâtie à la sueur du front des travailleurs pour un centre de vacances.— Mais… tentai-je de protester.— Silence ! On dirait que tu n’as aucun respect pour moi, à m’interrompre de la sorte. J’avertirai ton père de ta conduite inqualifiable, sois-en sûre. Vous, Marine, je vous autorise à punir cette gamine insolente aussi souvent qu’il le faudra. Je vous laisse toute latitude pour la faire obéir.
Il se tourna vers moi, menaçant :
— Toi ! Tu as intérêt à obéir à Marine, quoiqu’elle te demande. Le plus petit refus sera sévèrement sanctionné, et je te garantis que tu n’aimeras pas du tout. Alors à toi de voir, mais tu aurais beaucoup à perdre en te rebellant.— Bien Monsieur. Merci.— Vous pouvez partir, Marine. J’ai quelque chose à voir avec cette jeune écervelée.

Ouais, je devine quoi, une bonne pipe bien baveuse ! Je ne sais pas ce qui m’attend, mais l’avenir n’a pas l’air bien rose. Entre mon père qui me traite comme une esclave sexuelle, mon patron et ses vigiles qui ne voient en moi qu’une pute, et maintenant Marine. Dire qu’elle avait l’air sympa au début ! La voilà qui se transforme en garde-chiourme, elle n’a pas l’air de vouloir plaisanter. Où s’arrêtera ma déchéance ?
Diffuse en direct !
Regarder son live