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Alicia et son papa

Chapitre 14

Inceste
— Tu es tombée raide hier soir, tu m’as fait peur. Comme quand tu étais petite, quand ta fièvre montait brutalement, pour une grippe, une angine, ou toutes les saloperies de maladies qu’attrapent les enfants.— Je me rappelle, papa. Monsieur.— Ce n’est pas si vieux, Ali. Tu étais si posée, si sage... Tu veux qu’on arrête tout ? Qu’on recommence comme avant ?
Je le regardai, ébahie.
Il veut revenir en arrière, papa et sa fille chérie, les sorties ciné le samedi, les soirées devant une série télé, les matinées VTT ou footing le dimanche, les discussions devant notre pâtisserie préférée. Et mon travail ? J’ai failli oublier Monsieur Rodriguez et ses sbires, les brimades et punitions qu’ils m’infligent. Et pourtant, eux non plus n’y vont pas de mainmorte !
— Pour ton travail, comprit-il, tu devrais le quitter, bien sûr. Si tu le souhaites, j’avertirai Monsieur Rodriguez et tout s’arrêtera là.— Mais... Tu n’es pas heureux, comme ça ? Tu n’es plus triste comme avant, tu souris même des fois, quand tu crois que je ne te vois pas. Je ne veux pas que tu sois malheureux, papa.— D’accord, mais... et toi, dans tout ça ? Tu es heureuse ?
Je plissai le front, essayant de faire le tri dans mes sentiments.
— Je mentirais si je disais que je suis tout le temps heureuse de ce qui m’arrive. C’est souvent dur, à la limite du supportable quand j’ai mal. Le plus difficile à supporter, c’est les injustices et les humiliations. Mais je ne nous vois pas revenir en arrière, c’est juste pas possible. Monsieur.— D’accord, je ferme la parenthèse. Sors du lit, position d’inspection debout.
Je bondis du lit et me postai au centre de la chambre, pieds écartés d’un mètre environ, mains sur la tête, bouche grande ouverte. Papa tourna autour de moi, rectifiant ma position avec de petites claques.
— Bien. Tes fesses sont un peu mieux, mais pas de néoprène dessus aujourd’hui. Tu porteras seulement le plug en acier. Tu partiras avec au travail. J’avertirai ton patron que tu as demandé à être traitée plus durement, comme la feignasse écervelée que tu es. Je te dois une punition pour hier, je n’ai pas oublié ; et tu ne perds rien pour attendre. Vu ?— Oui Monsieur.— Je vais à la cuisine, tu me rejoins après ta douche, avec le plug en place. Tu finiras ce que tu as commencé.
Il me tendit l’énorme plug en métal que j’avais porté quelques jours plus tôt, une éternité me semblait-il. Je dus user de patience et de force pour arriver à l’enfoncer dans mon anus, mais il était planté dans mes reins dilacérés quand j’entrai dans la cuisine à quatre pattes. Je passai aussitôt sous la table pour emboucher la bite raide de papa qui buvait du café. Cette fois, il n’eut pas à m’aider pour avaler toute sa longueur : je déglutis et me projetai en avant jusqu’à avoir le nez dans les poils pubiens de mon père.
Je bataillai dix bonnes minutes avant d’obtenir ma récompense : une bonne dose de sperme qui emplit ma bouche. J’avalai en trois fois, nettoyai la bite à coups de langue, puis je pus m’asseoir pour prendre mon petit-déjeuner. Au moment de partir, alors que j’ouvrais la porte d’entrée, papa m’appela depuis la cuisine.
— Ali, viens ici. Baisse ton jean et appuie-toi contre le mur.
Inquiète, je le vis prendre une cravache d’équitation en cuir noir tressé ; il la fit siffler plusieurs fois, n’ignorant pas que je me crispais à chaque sifflement. Le premier coup me surprit et je poussai un cri aigu. Aussitôt, papa me réprimanda.
— Ali, je ne veux pas t’entendre ; tu n’es pas habituée à la cravache et c’est ma faute. La marque sera plus fine que celle d’une ceinture, très reconnaissable parce que le cuir est tressé. La douleur est aussi plus vive, plus concentrée ; évidemment, elle dépend de la puissance mise, et je suis sûr que tu n’as pas envie que je frappe plus fort.— Non Monsieur. Continuez, s’il vous plaît, reniflai-je.
Ce matin-là, je partis travailler en pleurant, car mes fesses étaient en feu sous le tissu rugueux de mon jean. Selon l’habitude prise, j’allai directement au bureau du Directeur qui me cria d’entrer. Il était seul cette fois, et lisait sur écran en plissant les yeux ; je me déshabillai après avoir bredouillé un « bonjour » gêné. Puis je me mis en attente, mains croisées dans le dos, tête légèrement baissée.
— Ainsi, ton père t’a proposé de ne plus travailler chez moi et tu as refusé. Bien sûr, tu viens ici pour glander à longueur de journée et faire des dégâts, tu aurais tort de t’en priver sachant que tu touches un salaire à la fin du mois.
Cette fois, je refusai d’entrer dans son jeu ; je bouillais intérieurement, mais je n’essayai pas de nier. Ce serait peine perdue, je le savais.
— Comme souvent, les feignasses dans ton genre sont des voleuses, tu seras fouillée avant de partir. Et aujourd’hui, tu porteras cette tenue pour travailler. Comme ça, les employés qui te surveilleront pourront te coller de bonnes fessées, à la main ou avec ce qu’ils veulent, pour t’apprendre à vivre. Marine en particulier a à cœur de te dresser.
Monsieur Rodriguez me montra du doigt un côté de la pièce ; j’aperçus une masse informe de tissu beige sur une chaise à quelques mètres de moi. Je m’approchai et n’en crus pas mes yeux : c’était un vieux sac à patates en toile lâche à grosses mailles de jute, rugueux et poussiéreux. Un trou grossier avait été pratiqué pour passer la tête, les deux côtés étaient fendus de haut en bas.
— Mets ta tenue de travail ; tu vois, il y a même une corde pour serrer la taille. Je pense à tout. Allez, essaie, que je voie si c’est la bonne dimension. Parfait, pas trop long, bien aéré. Tu as l’air d’une souillon, alors tu n’iras pas en magasin.
Le tissu très rêche était désagréable, mais je n’avais pas d’autre choix que de nouer ma ceinture improvisée pour tenir les pans flottants. Ainsi, mes fesses étaient presque à découvert tellement le sac était court. Je grimaçai de dégoût.
Mon Dieu, le sac n’a même pas été lavé ; il sent mauvais et irrite ma peau. Dire qu’un couturier italien a fait défiler des mannequins à Milan en robes taillées dans des sacs à patates ! Bon, ils devaient être mieux coupés, et doublés aussi. Là, c’est une vraie guenille en toile émeri qu’il m’oblige à porter, ce vieux salaud. Une journée à porter ce truc, je vais trouver le temps long.
On toqua à la porte et Marine entra ; elle salua respectueusement le patron avant de se tourner vers moi, méprisante. Un sourire méchant barra alors son visage mince. Elle s’approcha de moi à pas lents et souleva mon menton. Pieds nus, j’étais encore plus petite par rapport à elle.
— Tu ne ressembles plus à rien, pauvre demeurée. Tu es moche et sale, tu n’es qu’une truie.
Je ne répondis pas, mais je sentais les larmes sourdre aux commissures de mes yeux. Marine se tourna enfin vers le patron.
— Monsieur, la truie ne peut entrer dans le magasin ; je me débrouille comment ?— J’ai embauché un homme qui doit arriver sous peu. Il est costaud et remplacera Alicia. Garde un œil sur elle, fais-lui faire du nettoyage et punis-la si tu juges qu’elle travaille mal. Sois impitoyable, elle ne mérite plus la moindre complaisance.— Je peux la battre ?— Bien sûr. Tous ceux qui en auront envie pourront venir la battre, même le nouveau, s’il est bien. Pour ça, voici une courroie en cuir, elle mesure un mètre de long. Tu t’en serviras à discrétion. Et vous pourrez utiliser sa bouche, aussi. Ses autres orifices sont interdits. Préviens-moi si Alicia se plaint, je t’enverrai Hamid et Babacar pour lui faire passer l’envie de recommencer.
Vingt minutes plus tard, à quatre pattes avec interdiction de me lever, je passais la serpillière dans le local meubles. Je la tenais à mains nues, tirant le seau d’eau derrière moi au fur et à mesure. Je sanglotais parce que Marine était déjà venue deux fois pour passer sa rage sur mon postérieur à grands coups de sangles. Je n’avais pas le droit de rabattre le sac sur mes fesses pour les cacher, Marine les voulait pleinement accessibles. Après ses rossées à toute volée, elles devaient être carminées, le feu et la douleur irradiaient dans tout mon corps.
Trois hommes entrèrent dans la pièce, marchant dans un secteur que je venais juste de nettoyer ; je risquai un coup d’œil prudent : les deux vigiles accompagnaient un homme que je ne connaissais pas, grand, sec, mal rasé et les cheveux noirs frisés. Je baissai la tête, les oreilles brûlantes. Ils passèrent derrière moi, je rougis encore plus en pensant à l’image que je leur donnais malgré moi : mes fesses durement marquées et le gros plug d’acier planté dans mon anus.
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