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Alicia et son papa

Chapitre 15

Inceste
Je reçus soudain une solide claque sur la fesse droite, si forte que je faillis m’affaler. Ils ricanèrent tous les trois, ravis de ma détresse.
— Samuel, je te présente Alicia, expliqua Babacar, plus communément appelée la salope. C’est une grosse feignasse, elle est moche, elle pue et elle est demeurée. C’est pas un cadeau, mais j’ai pensé que tu pourrais la faire trimer un peu. Nous, on file à l’aéroport de Roissy accueillir Raul. C’est le fils du patron, il revient de régater dans le Pacifique.— Y en a qui ont la belle vie, y a pas, grasseya le susnommé Samuel. Et j’y fais quoi faire, à la gogol ?— Ce que tu veux, Marine a trop de travail pour s’en occuper, les boulots les plus crades sont pour elle ici. Et tu vois la courroie près de l’entrée, c’est pour la dérouiller. Bon, on revient pas avant 16 heures, alors amuse-toi avec elle, mais ne l’abîme pas, elle appartient à un ami du patron.
« Connard, je n’appartiens à personne, d’abord. Je me lèverais bien pour te botter le cul, mais je ne crois pas que ce soit une bonne idée car tu es un gros salaud, Hamid, et je ne suis pas sûre que ton pote Babacar soit bien mieux. Je commence à avoir mal aux genoux, moi. Ils font quoi, là, les deux vigiles ? Merde, ce n’est pas vrai, ils ne vont pas le faire... »
Hamid tira sur la base du plug ; il l’arracha d’un geste brusque et le remplaça par sa bite raide. Bien sûr, je n’ai pas eu trop mal : mon anus était resté béant au retrait du gros œuf de métal, mais ce salaud s’est enfoncé d’un coup brutal et a commencé à me pilonner de toutes ses forces. Ses testicules battaient contre ma vulve alors que sa queue épaisse démolissait mes reins avec la grâce d’un bourrin. Heureusement, il ne tint pas très longtemps à ce rythme et se vida en m’insultant.
Bien sûr, Babacar le remplaça aussitôt ; je m’y attendais, mais la taille de sa bite a mis mon pauvre anus au supplice. Je ne pus m’empêcher de crier, alors Hamid me bâillonna en enfonçant sa verge gluante dans ma bouche. Je me retins de la mordre ; des larmes ont roulé sur mes joues lorsque le vigile black a donné un puissant coup de reins qui a propulsé son épieu à fond.
Vaincue encore une fois, j’ai pompé la verge bien dure de Hamid. J’avais remarqué qu’il ne débandait pas vite ; là aussi, la colonne de chair a gonflé sur ma langue, distendant mes mâchoires. Pourtant, après que Babacar a éjaculé en moi, le Maghrébin s’est relevé et a refermé difficilement son pantalon, tant son érection était forte. Je m’attendais à être sodomisée par Samuel, mais non, il a seulement enfoncé à nouveau le plug dans mon anus écarquillé.
— Comme ça, tu ne saliras pas le sol.— Merci infiniment, Monsieur, pour votre sollicitude.
Il fut surpris par ma réponse car il passa devant moi et souleva mon menton pour me regarder dans les yeux. Je ne devais pas être à mon avantage, yeux rouges, paupières gonflées et maquillage ruiné.
— Tu n’es pas plus gogol que moi, toi, jugea-t-il.— Merci Monsieur, reniflai-je.— Tu es même une petite maligne, j’ai l’impression. Je vais prendre la courroie pour t’expliquer que tu n’auras rien à gagner à jouer au plus fin avec moi.
Mortifiée, je n’essayai même pas de le dissuader. À quoi bon, en effet ? Supplier des types comme lui, ça ne me rapporterait qu’un surcroît de punitions et de brimades. Je ne bougeai donc pas, attendant la suite. La violence du premier coup me prit par surprise. La sangle de cuir claqua sèchement sur mes fesses déjà bien éprouvées. Je poussai un hurlement de douleur et tombai sur le côté, renversant mon seau d’eau.
— Reviens en position ! aboya Samuel. Je n’en ai pas fini.— S’il vous plaît, pas si fort, ça fait trop mal, pleurnichai-je en obéissant.— Parce que c’est toi qui décides, maintenant ? En position, et ne bouge plus !
Sanglotante, je réussis à rester à peu près immobile alors qu’il me rossait à coups violents, les assénant à toute vitesse. La bouche ouverte, je n’arrivai même pas à crier tellement tous mes muscles étaient tétanisés par la brutalité de la correction. Jamais je n’avais été battue avec une telle sauvagerie. Quand il arrêta, je tombai à nouveau sur le côté en position fœtale dans la flaque d’eau sale.
— Comme ça, ton cul te rappellera qui commande ici. Je te laisse une minute pour te ressaisir et recommencer à bosser. Passé ce délai, je te colle une nouvelle dérouillée, mais deux fois plus longue.
Heureusement, il ne me battit plus de la matinée ; il s’installa sur une chaise et fuma cigarette sur cigarette (alors que c’était interdit) et joua sur son smartphone. La pause fut brève pour moi ; je mangeai deux sandwichs périmés et bus un bon litre d’eau tellement j’avais soif. Samuel n’est pas revenu l’après-midi ; il a bougonné sur des courses de chevaux qu’il voulait suivre. Alors Marine est revenue en rouspétant, mais quand elle a vu l’état de mes fesses contusionnées et violacées, présentant même de petites coupures, elle a manifesté une certaine inquiétude.
— Ouh là là ! Ce qu’il t’a marquée… J’espère que monsieur Rodriguez va pas m’engueuler, moi. C’est pas ma faute, c’est Hamid qui a fait venir ce type. Tu lui diras, hein ?— Je le lui dirai, bien sûr, mais il m’avait confiée à vous, je crois, rappelai-je perfidement.— Petite peste ! Mais tu as raison. Je vais chercher une pommade apaisante à la pharmacie.
Marine n’a pas lésiné et a tartiné d’abondance mes pauvres fesses. L’effet s’est fait rapidement sentir, Dieu merci ; même si la douleur ne s’est pas totalement envolée, je me sentis mieux.
— Merci pour vos soins, Madame.— Tu vas me remercier d’une autre manière, déclara Marine qui fit sauter ses chaussures et baissa son pantalon et sa culotte. Ça fait bien longtemps qu’une fille n’a pas goûté mon minou.
Son minou était un angora à poils noirs à peine frisés, et suintait de liquides corporels, preuve de l’excitation de ma chef. Entre sueur, urine et cyprine, iodée et capiteuse. Pas désagréable en fin de compte, malgré mon appréhension. J’enfouis mon visage dans la fourche offerte et passai la langue de bas en haut ; je l’insérai facilement dans la fente humide, provoquant des frémissements incontrôlés dans le bas-ventre de Marine. Ses hanches roulaient, son pelvis se tendait vers moi, en quête de plaisir.
Je m’appliquais, d’autant que j’aimais bien les effluves féminins et le jus suave que je buvais goulûment. Marine posa une main tremblante sur mon chignon, écrasant mon nez contre son pubis. J’aspirai alors son clito érigé et le mordillai ; ce fut le coup de grâce : la jeune femme jouit et inonda ma bouche de flots de cyprine que je bus avec grand plaisir.
C’est quand même sympa de conduire une femme à l’orgasme, de la faire danser sur ma langue et de boire son jus. Je ne sais pas si elle m’en saura gré, mais sinon, tant pis. Pour moi, c’est une parenthèse agréable, un moment de tendresse, même si j’aurais aimé recevoir pareil traitement ; je suis sûre que ça me plairait beaucoup. Bon, papa m’a interdit de jouir, au fait ; n’en parlons plus. Dommage, mon ventre est trempé...
Gratitude ou pas, Marine eut pitié de mes genoux et me fit nettoyer les étagères et laver les carreaux d’un cagibi surchauffé. Je ruisselais littéralement, tellement j’avais chaud dans cet espace confiné. Quand Marine passa contrôler mon travail, je lui demandai :
— Madame, puis-je avoir de l’eau, et enlever ce vêtement ? Je n’en peux plus tellement il gratte.— Tu veux travailler nue ? Soit. Je t’autorise à aller chercher à boire aux toilettes du personnel.— Merci, Madame.— Mais travaille un peu plus, sinon je serais obligée de sévir.— Je vous le promets, Madame. Merci.
Je ne rencontrai personne lors de mon passage aux toilettes et me remis au travail après avoir enlevé la robe de jute. Aux endroits où le tissu frottait, ma peau était irritée et à vif. J’étais soulagée de pouvoir quitter ce diabolique vêtement et travaillai dès lors avec davantage d’entrain. Je sursautai quand la porte de la pièce s’ouvrit brutalement et alla claquer contre la paroi. Entrèrent les vigiles, Babacar et Hamid, ainsi qu’un couple dissemblable : un jeune homme – dans la vingtaine, me sembla-t-il – accompagné d’une femme un peu plus âgée.
Je crus reconnaître une ressemblance entre le jeune homme et monsieur Rodriguez : la même chevelure noire, frisée et dense, la pilosité abondante, les yeux sombres, dominateurs, la bouche jouisseuse, le menton carré et puissant ; son fils, assurément. Il paraissait encore plus grand que mon père, mais moins massif ; cela étant, sa musculature n’avait rien à envier à celle de papa. Son tee-shirt noir moulait des épaules de nageur ; en dépassaient des biceps qui forçaient le respect.
Je frissonnai malgré la chaleur ambiante, pleinement consciente de ma nudité. Je me maudis en sentant mes tétons gonfler sous les regards concupiscents des trois mâles, et spécialement sous celui de ce bel inconnu. Car il était beau, assurément. Mon ventre s’alourdit et s’humecta ; je ne pus m’empêcher de serrer les cuisses machinalement.
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