Le site de l'histoire érotique
  • Histoire érotique écrite par
  • Fantasme
  • Publié le
  • Lue {{{NB_VUES}}} fois
  • 53 J'aime
  • 4 Commentaires

Alicia et son papa

Chapitre 16

Inceste
La femme se racla la gorge, manifestement gênée. Elle n’osait pas me regarder et fixait le sol dans une posture soumise. Pas très grande, à peine plus que moi sûrement, svelte, la peau mâte et les cheveux châtains ramenés en queue-de-cheval, elle portait une minirobe blanche moulante qui ne laissait pas grand-chose à l’imagination. Je distinguais même ses aréoles sombres qui paraissaient percées de gros anneaux. Le collier-de-chien à son cou me laissa penser qu’il s’agissait d’une soumise. Son attitude humble, les mains sagement croisées dans le dos n’étaient que des confirmations.
Elle leva soudain les yeux sur moi et j’eus un choc. Elle était très belle ; une beauté latine aux yeux noisette pleins de larmes qui commencèrent à couler sur ses joues. Elle tenta un pauvre sourire que je lui rendis, guère plus rassurée qu’elle.
— Voici la jeune dont je vous parlais, Raul, indiqua Babacar.
— Elle est superbe. C’est donc la fille d’Arnaud ? s’enquit Raul.
— En effet, oui. Elle travaille pour votre père depuis deux mois environ.
— Et elle est... débourrée ?
— Pas encore. Elle a seulement quelques jours de travail. Elle est très rétive, il faut la brusquer perpétuellement.
— Intéressant. Renvoyez-la, il faudra que je parle avec son père.
Intéressant ? Il me veut quoi, le rastaquouère géant, il n’en a pas assez de sa soumise ? Elle est bien plus belle que moi, surtout s’il aime les gros nénés. Elle a du monde au balcon ! Et lui, je ne le trouve pas moche, au contraire. Il est super canon, genre croisement entre une basketteuse et un conquistador, tendance fox-terrier. Il a l’air aussi velu que son père, je me demande ce que ça fait de caresser son torse ; j’imagine que les poils sont super doux...
— Allô la Terre, aboya Hamid. Casse-toi, la pouf.
Je ne me le fis pas dire deux fois et pris la direction de la sortie. Papa était dans la cuisine quand j’arrivai ; je le rejoignis après m’être déshabillée rapidement et attendis ses ordres, mains dans le dos et jambes écartées. Il leva à peine la tête des oignons qu’il épluchait.
— Tourne-toi, Ali. Bon sang, qui t’a fait ça ? Ta peau s’est fendue à plusieurs endroits.
— C’est un ami d’un des vigiles, je crois, Monsieur. Il s’appelle Samuel. Monsieur Rodriguez était mécontent après eux. Et son fils aussi, si j’ai bien compris.

— Tiens, Raul est revenu ! Méfie-toi de lui, tu n’aimerais pas tomber entre ses pattes.
— Il a dit qu’il passerait vous voir, Monsieur. Je pense que c’est à mon sujet.
— Merde ! Bon, viens me sucer, j’ai besoin de réfléchir.
— Bien Monsieur.
Papa resta debout, appuyé contre le plan de travail en granite ; il saisit un verre embué contenant un liquide pâle, du vin blanc sûrement. Je m’attaquai à son pantalon et dégageai son membre qui jaillit comme un diable de sa boîte. Déjà imposant, il grandit encore et durcit sur ma langue pour atteindre sa plénitude. Je commençai à le pomper, et tentai de le prendre en entier, mais dans cette position ce n’était pas évident. Je réussis, en relevant mes fesses, à trouver un meilleur angle. J’avançai, déglutis et reçus l’entièreté de la majestueuse colonne dans ma gorge. En apnée, je répétai les mouvements de déglutition pour masser l’épieu de chair, et fut récompensée après plusieurs minutes de labeur par les prémisses de la jouissance.
Je voulus reculer pour reprendre mon souffle et recevoir le sperme dans ma cavité buccale, mais papa ne l’entendait pas ainsi : il verrouilla ma nuque en place et se déversa directement dans mon œsophage de longues rasades de semence. Quand il me lâcha, je tombai à terre, au bord de l’asphyxie. Je laissai couler des flots de salive et toussai, il me fallut deux bonnes minutes pour reprendre mon souffle.
— Bonne pipe, Ali, tu fais des progrès.
— Merci, Monsieur.
— Nettoie le sol que tu as sali, puis va enlever le plug et lave-toi, tu pues. J’ai envie de t’enculer.
— Bien Monsieur.
Je nettoyai le carrelage à l’éponge, essuyai sommairement et filai dans la salle de bain. Le plug sortit facilement de mon anus d’où s’écoula aussitôt le sperme des vigiles. La douche me permit de retrouver de la sérénité ; j’avais libéré mes cheveux pour les shampouiner, je passai donc par l’étape sèche-cheveux puis les laissai libres. Je frissonnai en songeant que papa adorait les empoigner sauvagement pendant qu’il me sodomisait. Et de mon côté, j’aimais cette sensation d’être ramenée au rang de femelle à la merci d’un mâle en rut.
Rien que d’y penser me faisait mouiller ; je glissai deux doigts dans mon vagin trempé, prêt à recevoir le puissant sceptre paternel qui allait pourtant l’ignorer encore une fois. La voix de papa me tira de ma rêverie.
— Quand tu auras fini de te caresser, tu mettras cette pommade sur tes fesses. Elles en ont bien besoin. Et dépêche-toi si tu ne veux pas être punie.
— Oui, pardon, je suis prête, Monsieur, répondis-je d’une voix affolée. Merci pour la pommade, Monsieur, je la passe et je vous rejoins.
— À quatre pattes, pour te faire pardonner.
Il me fallut moins de cinq minutes pour rejoindre papa dans la cuisine ; il avait mis la table et était assis à sa place. Complètement nu ; je déglutis en apercevant sa verge gonflée à mort. Manifestement, il anticipait sur le plaisir qu’il allait avoir à défoncer mon anus. Je l’interrogeai du regard, ne sachant pas trop si je devais passer sous la table pour le sucer à nouveau, si je m’asseyais pour manger...
Mon ventre gargouille, j’ai faim. Avec ce que j’ai mangé ce midi, c’est normal : deux sandwichs médiocres et pas bien gros. Mais s’il me demande de le sucer, je serai content, j’adore ça maintenant. Même si j’ai un peu de mal à boire toute sa semence, tellement elle est abondante à chaque fois. Je me suis habituée au goût, c’est déjà ça ! Il faut dire que j’ai droit à un entraînement matin et soir, au moins !
— Pendant que je mange, tu te places contre le mur, pliée en avant et cambrée. Et tu écartes tes fesses à deux mains, je veux voir ton trou du cul ouvert au-dessus de ta petite chatte baveuse. Car tu mouilles, non ?
— Oui Monsieur, répondis-je piteusement.
Je rougis en m’installant, sachant le spectacle obscène que j’offrais à mon père, mais c’était exactement ce qu’il voulait. Alors, toute honte bue, j’écartai mes fesses comme il avait demandé ; je sentis aussitôt mon anus, assoupli par le port quasi permanent du plug, s’ouvrir naturellement. Je dus résister à la réaction naturelle de me crisper et m’obligeai à rester offerte. En attente. Mes seins me faisaient mal tant ils étaient gonflés, les pointes érigées. J’espérais que papa les malaxerait rudement, tordrait les aréoles avec ses doigts puissants. Je poussai un gémissement sans m’en rendre compte.
— Putain, Ali, tu as tant envie de te faire enculer ? Tu sais que je ne te permettrai pas de jouir, tu te rappelles ?
— Oui Monsieur, je le sais.
— Parfait, alors. Tu sais aussi que je vais être brutal, que je vais chercher à te faire mal, à te casser le trou du cul, jusqu’à ce que tu ne sois plus qu’une loque et que tu me supplies d’arrêter de te démolir ?
— Oui Monsieur, faites comme vous le souhaitez.
Pour ça, je n’avais pas de souci à me faire, papa a mené à bien son entreprise de démolition. Il m’a d’abord sodomisée contre le mur, profitant de ma posture pour m’investir d’une poussée brutale. Puis il a pilonné mon anus en ruades verticales qui me décollaient du sol à chaque fois. Il a alors empoigné mes tétons pour me soulever, m’arrachant un hurlement de douleur, et quand il m’a lâchée je suis retombée en m’empalant jusqu’à la garde sur son épieu roide. Il a recommencé encore et encore, jusqu’à ce que ma voix se brise en sanglots déchirants.
À travers mes larmes, je voyais mes pauvres seins se déformer atrocement et se marbrer d’hématomes violacés, qui seraient sûrement douloureux le lendemain. Puis Papa m’a jetée au sol. Je me suis cognée sèchement sur le carrelage, épaule et hanche gauches, car j’étais trop dans ma bulle pour me protéger. Mon père m’a aussitôt tiré par les hanches pour relever mon fessier ; machinalement, je me suis offerte, bien cambrée, et il s’est rué en moi de toutes ses forces. J’ai hurlé à nouveau, les reins massacrés par une souffrance sans pareille. J’ai cru être déchirée, mais non, moins d’une minute plus tard la douleur s’en était allée. Je n’étais plus qu’un gouffre béant, un réceptacle, un fourreau élargi juste assez pour accueillir l’énorme mandrin qui le barattait sans cesse. J’étais inondée par la sueur qui ruisselait du visage et du torse paternel.
La joue sur le carrelage, yeux fermés et bouche bée, je rythmais de mes cris les coups de reins brutaux de mon père. Secouée comme un prunier, le corps disloqué, j’étais dans un état second miséricordieux. Aussi je sentis à peine les tressautements de la lourde colonne qui crachait sa semence au fond de mes entrailles, accompagnés d’un grognement profond puis de l’écrasement quand le torse de mon père s’est abattu sur moi.
Diffuse en direct !
Regarder son live