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Alicia et son papa

Chapitre 19

Inceste
Je montai précautionneusement sur le ventre rebondi du gros Noir étalé sur le sol. Je ne pesais rien sur lui, mais je craignais, Dieu sait pourquoi, de lui faire mal. Jambes largement écartées, je posai les mains sur son torse musculeux et lisse pour me stabiliser. Dans cette position, son puissant mandrin pesait sur ma vulve d’où devait ruisseler un mélange de sperme et de cyprine. Glissant une main sous moi, je guidai la bite érigée entre mes lèvres intimes et reculai lentement. Mon vagin bien lubrifié accueillit sans trop de mal le barreau de chair. Je me sentais béante, distendue, étrangement bien.
— Putain les gars, j’y vais en premier, son trou du cul m’appelle, rugit un type sous les éclats de rire des autres.
Je ne protestai pas, au contraire, je me cambrai pour offrir mon orifice palpitant qui n’attendait que ça. Pourtant, je criai de douleur quand une queue épaisse et dure comme l’acier m’empala brutalement, sans laisser à mes sphincters le temps de s’habituer au diamètre conséquent de l’intrus. La présence de la gigantesque bite du Noir dans mon vagin rendait sans doute mon anus plus étroit, en tout cas, la douleur vive m’a surprise. Bien sûr, elle n’a duré qu’une poignée de secondes. De toute manière, je ne pouvais plus ni protester ni crier, car une troisième verge s’était enfoncée dans ma bouche. Les larmes aux yeux, je l’ai sucée en gémissant.
La suite, je ne sais pas. Je l’ai vécue dans une mêlée confuse, une succession de pénétrations continues et multiples, de jouissances folles dans l’odeur prégnante de sperme et de sueur.
Le matin, je me réveillai et poussai un gémissement de douleur avant même d’ouvrir les yeux. Quand je le fis, les souvenirs revinrent. J’avais été prise par tous les orifices pendant des heures par sept mâles en rut ; oui, les vigiles s’en étaient mêlés en fin de compte. J’avais déjà joui plusieurs fois, je pense que ce sont mes râles d’agonie lors d’un énième orgasme qui avaient eu raison de leur réserve. Ils s’étaient déshabillés rapidement pour se ruer dans la mêlée et me baiser sans fioriture. Je ne demandais que ça, à ce moment, mais maintenant, j’en payais le prix : mon corps n’était que souffrance, mes voies étaient d’un rouge maladif, et je gémis en effleurant mon pubis.
Je rejetai le moelleux plaid dont une âme compatissante m’avait couverte et m’étirai. Tous mes muscles protestèrent quand je me redressai. J’étais seule dans le salon, dehors, le jour se levait à peine. Matin blême d’automne annonciateur de pluie, me dis-je. Ma peau tirait, couverte de sperme séché dont l’odeur me fit plisser le nez. La gorge sèche, je bus un grand verre d’eau, réalisai que j’avais faim en entendant mon ventre gargouiller. En fouillant au hasard dans les placards de cuisine, je trouvai des petits pains suédois et du Nutella. Miam ! J’enfournai ce petit-déjeuner rapide, puis cherchai la salle de bain. Facile. Je me douchai longuement, affolée de voir mon vagin et mon anus dégorger des flots de semence.
Qu’est-ce qu’ils m’avaient mis !
Et pourtant, ils n’ont pas toujours joui dans ses orifices. J’ai le souvenir d’en avoir bu jusqu’à en être écœurée, du sperme. Il me pèse sur l’estomac tellement j’en ai avalé. Avec tout ça, je dois sûrement commencer à en apprécier le goût. En tout cas, je suis cassée, moi. Ça m’étonnerait que je fasse un footing, aujourd’hui, j’ai envie de me recoucher, si possible dans un vrai lit.
Je frictionnai mes cheveux humides, enroulai une serviette sur ma tête et décidai de continuer la visite. L’appartement n’était pas très grand, une pièce servait de débarras, pleine de gros cartons fermés au ruban beige, une autre servait de chambre, avec un immense lit comme seul meuble. Une odeur de fauve emplit mes narines alors que, dans la pénombre, je distinguai deux corps allongés sous les draps. Les vigiles, évidemment, qui dormaient à poings fermés. De gros bébés paisibles et sans défense, alors que je savais pertinemment qu’une fois éveillés, c’étaient de vrais salopards, brutaux et vicieux. Malgré cela, je montai sur le lit juste entre eux et me faufilai sous le drap, au chaud. Je m’endormis aussitôt, épuisée.
Je me réveillai en sursaut, une sensation de froid entre les fesses. Je clignai des yeux, éblouie par la lumière du jour. Je dormais sur le ventre et j’étais entièrement découverte. Je finis de m’éveiller en sentant quelque chose de dur peser entre mes cuisses disjointes. Un simple coup d’œil me permit de comprendre : Hamid essayait de me sodomiser après avoir versé du gel lubrifiant sur mon cul. Je frémis et poussai un gémissement en écartant un peu plus mes jambes et en me cambrant. Offerte, chienne, comme il le voulait.
— La petite pute est réveillée, Bab. Et elle veut déjà ma bite dans le cul. C’est pas vrai que tu la veux, ma bite ?— Si, enculez-moi, Monsieur, je vous en supplie.
Hamid ne me fit pas attendre plus, il devait crever d’envie de me prendre. Sa queue raide perfora mon anus, bien aidée par le lubrifiant. Le vigile continua à forcer jusqu’à se trouver collé à moi, et alors seulement il s’immobilisa. Je haletai pour m’habituer à l’étirement extrême de mes muscles douloureux, puis criai quand il commença à pistonner mes reins.
— Doucement, s’il vous plaît, implorai-je.— Doucement ? Tu veux pas aussi que je caresse tes nichons, que je roucoule des mots d’amour ? ricana Hamid en tirant violemment ma chevelure vers lui.
La tête ramenée en arrière, je pus apercevoir son visage courroucé avant de recevoir un crachat sur le front. Non, effectivement il n’était pas très fleur bleue et amour tendre, mais plutôt du genre soudard ne faisant pas de quartier.
— Non, bien sûr. Faites comme vous en avez envie, je suis à vous. Défoncez mon cul, cassez-le si vous voulez. Oh putain... Oh...
Hamid s’était mis à me sodomiser comme un forcené, il sortait complètement pour forcer brutalement ma rondelle et s’enfoncer jusqu’aux couilles. Bouche ouverte, je râlais pitoyablement et m’accrochais comme je pouvais, secouée comme un prunier. Pendant plusieurs minutes, l’Arabe garda la même frénétique cadence. Il m’inondait de sa sueur alors qu’il me dominait en grommelant des insultes. Ses grosses mains enserraient mes hanches comme des serres, je savais que j’aurais de nouvelles marques le lendemain. Puis il jouit, son ventre soudé à mes fesses, avant de se retirer brusquement. Pantelante, je restai allongée sur le lit. Je reprenais mon souffle quand Babacar me lança :
— Viens ici, j’ai mal à la bite, tellement j’ai envie de t’enculer.
Je me levai en passant machinalement une main sur mon anus et fis la grimace : il était boursouflé et à vif, et je me doutais bien que le Noir n’allait pas être spécialement plus tendre que son collègue. Il ne le fut pas, bien sûr ; il me posséda comme papa l’avait fait quelques jours plus tôt, debout contre le mur. Il me sodomisa si fort que mes pieds décollèrent du sol sous ses coups de boutoir. Alors je lançai mes mains en arrière pour les nouer autour de son cou de taureau. Arquée, la nuque contre l’épaule gauche du vigile, je lui offrais ma poitrine gonflée et avide de caresses. Il ne se fit pas prier et empoigna les aréoles dardées, les tordit et les tirailla à m’en arracher des larmes.
Pourtant, quand il jouit, je connus un orgasme mémorable qui ravagea tout mon corps et me laissa pantelante. Épuisée, je dus attendre que les deux hommes aient pris une douche avant de pouvoir y aller à mon tour. Il n’y avait plus d’eau chaude et je me lavai rapidement en poussant de petits cris. Je n’aime pas du tout ça. Ensuite, Babacar me raccompagna chez moi et me laissa devant la porte. Il n’avait pas envie de s’attarder, et de mon côté, j’étais bien contente d’être enfin tranquille.
En fin de journée, je trouvai le courage d’aller faire un footing sur mon trajet habituel. Ce qui me permit de prendre l’air, même s’il commençait à bruiner, et me fit un bien fou. Sauf que ma poitrine était comprimée dans mon soutien-gorge de sport, pourtant ancien et confortable. D’un œil suspicieux, j’examinai mes seins dans le miroir de la salle de bain. Ils ne me parurent pas spécialement plus gros, tout au plus les aréoles pointaient-elles plus qu’à l’habitude, me sembla-t-il. Ce qui n’était pas pour me déplaire ; était-ce l’effet du traitement mystérieux du médecin rougeaud et alcoolique ?
Ce dimanche soir, je dormis comme un loir, et arrivai au travail en pleine forme. Sauf qu’il pleuvait franchement, et que, malgré mon K-Way, j’étais trempée en arrivant. Monsieur Rodriguez n’étant pas là, j’allai voir Marine après m’être séchée dans les vestiaires. Elle s’étonna de ma tenue : jean et marinière, tennis aux pieds.
— Tu n’as pas mis ta tenue de salope ?— Le patron n’est pas là, Madame. Je n’allais pas entrer dans son bureau, alors je viens vous voir.— Tu as eu raison. Tu viens bosser dans les rayons, il manque du personnel aujourd’hui, et tu ne seras pas de trop.— Bien Madame.— Si Monsieur Rodriguez arrive, tu te mettras à sa disposition, bien sûr.— Oui Madame.
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