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Alicia et son papa

Chapitre 23

Inceste
Là, j’étais scotchée, abasourdie, tellement que je baissai les bras. Une claque sèche sur les fesses me rappela à l’ordre. C’était Raul qui avait frappé sèchement, et la brûlure me semblait hors de proportion. Je déglutis et jetai un œil à papa qui semblait serein. Mais je le connaissais trop bien, j’avais remarqué son front légèrement plissé, sa bouche serrée. Il se retenait et réfléchissait si fort qu’il me semblait voir son cerveau fumer.
— Tu n’as pas une soumise ? interrogea papa.— Non. J’avais une belle Andalouse, Sara ; mais je l’ai vendue hier. Je ne veux pas un harem, juste une femme. Ta fille.
Putain, il a fait quoi ? Il a vendu la femme aux cheveux noirs que j’ai vu l’autre jour ? Mais ça va pas la tête ! Il est fêlé, ce type, s’il croit que je vais accepter de passer ne serait-ce qu’une nuit avec lui. Sans parler de partager sa vie ; il est beau, d’accord, mais il est complètement frappé. Il faudrait l’emprisonner pour esclavagisme ; on est au vingt-et unième siècle, il vend et il achète des êtres humains, j’hallucine.
— Tu l’as vendue à qui ? s’enquit papa, comme s’il avait lu dans mes pensées.— À son oncle ; il avait prévu de la récupérer après dressage sévère. C’est comme ça que je fonctionne. Que je fonctionnais, corrigea-t-il.— Ce n’est pas une vraie vente, alors. Je croyais que tu l’avais mise aux enchères.— Tu me prends pour qui ? s’insurgea Raul de toute sa hauteur. Sara voulait revenir parmi les siens, dans sa famille. Je suis un dominant, pas un salaud.— Désolé, Raul. Je le sais, mais ma fille non. Elle te prenait pour un dégénéré complet qui fait dans la traite des blanches, ou pire.
Je rougis comme une pivoine, incapable de supporter le regard furieux de Raul. Il n’était peut-être pas le diable en personne, en fin de compte, juste son cousin ; j’avais peur de lui. Surtout quand il me fusillait du regard comme à cet instant. Je me maudis en comprenant que mon ventre s’humidifiait à grande vitesse.
— D’accord, se calma le géant en esquissant un sourire. Alicia est jeune et inexpérimentée, mais après tout, elle me plaît comme ça, je pourrai la dresser à ma convenance. J’ai plusieurs propositions à te faire, Arnaud.— Je t’écoute ; on a le temps de boire un verre, je pense. Whisky ? J’ai un Caol Ila vingt ans d’âge, excellent si tu apprécies le parfum fumé de tourbe.— C’est d’accord pour moi. Pendant ce temps, Alicia va se préparer. Je reviens.
Raul sortit une minute et reparut avec un grand sac qu’il avait dû laisser dans sa voiture. Il me le tendit en expliquant :
— Douche, coiffure chignon sans rien qui dépasse, maquillage, parfum. Puis tu enfiles ce qui se trouve dans ce sac : des bas, une robe, des escarpins. Il y a aussi une étole bien chaude pour couvrir tes épaules. Tu as trente minutes.— Bien Monsieur, maugréai-je entre mes dents.
Il claqua à nouveau mes fesses quand je partais, m’arrachant un cri aigu de surprise. Je filai à ma chambre et eus la surprise de trouver le gros plug en acier posé sur le lit. Au moins, c’était clair. Je pris une douche rapide, me séchai et formai ensuite un chignon bien serré plus haut que la nuque. En grimaçant, je forçai alors le plug dans mes reins après nettoyage des muqueuses à la glycérine. Maquillage léger, blush sur les joues, eye-liner et rouge à lèvres, parfum avec parcimonie, puis retour à la chambre où j’ouvris le paquet. J’y trouvai une boîte contenant des escarpins noirs vernis dont la hauteur de talon m’inquiéta. Si d’aventure j’arrivais à passer ces trucs à mes pieds, je serais juchée à une altitude stratosphérique. Sans parler de la difficulté pour marcher.

Je sortis ensuite une petite robe noire que je déployai devant moi : bretelle tour-de-cou, dos nu, tissu fin et souple, assez courte. Élégante et sexy, un peu courte, me semblait-il. Dubitative, je l’enfilai à même la peau, puisque je n’avais pas droit aux sous-vêtements. Je la lissai sur mon ventre, l’étirai vers le bas : elle était vraiment mini, couvrant à peine le haut de mes cuisses. Et elle moulait mon corps de manière éhontée, épousant ma poitrine et mes fesses comme une seconde peau. Un véritable appel aux derniers outrages. Force était de reconnaître qu’elle était parfaite pour me transformer en vamp.
Bien sûr, quand j’eus glissé les bas noirs sur mes jambes, je m’aperçus que le bas de la robe laissait apparente leur lisière en dentelle. Je réussis à passer les escarpins qui étaient à la bonne pointure, mais devenaient oppressants quand je me redressai. Je fis quelques pas en tanguant tel un marin ivre avant de m’améliorer. Un peu plus assurée, je couvris mes épaules avec la grande étole en cachemire multicolore trouvée dans le sac. Elle paraissait chaude, et en plus elle masquait mon dos nu et ma poitrine dont les pointes dardaient, clairement visibles sous le fin tissu. Mon retour au salon sembla vivement apprécié.
— Bravo, tu n’as mis que vingt-huit minutes, remarqua papa dont les yeux brillaient, d’envie ou de fierté ; ou les deux.— Ta fille est superbe ainsi. Elle semble avoir un peu de mal à marcher, bien sûr.— Elle n’a pas l’habitude d’une telle hauteur de talons, expliqua mon père. Elle serait plutôt du genre chaussures de sport. En plus, son plug doit la gêner un peu. Je ne l’ai pas fait exprès, mais il est assorti à sa tenue.— Un plug ? s’étonna Raul, un sourire cruel barrant son visage. Montre ça, petite.
Je m’attendais à quoi ? Le visage rougi par la honte et les oreilles en feu, je me tournai et soulevai la robe, dévoilant mes fesses et la base noire du sex-toy. J’entendis un sifflement surpris, puis des rires complices. Les deux hommes semblaient trouver drôle de me voir porter ce gros intrus dans mes reins.
— Je le lui fais porter souvent pour que son anus soit accueillant. Il y a peu, elle était étroite et serrait trop ma queue. Depuis, elle s’est bien assouplie.— Tu l’encules souvent ?— Au moins deux fois par jour. Je ne prends d’ailleurs que son cul et sa bouche. Elle a interdiction de jouir. Tu seras libre d’honorer son vagin, si tu le souhaites.— Il n’en est pas question. Si tu me la cèdes, je l’enculerai ou me ferai sucer. Un bon dressage passe par la contrainte et l’humiliation.
C’est pas vrai, encore un monomaniaque sodomite ! Je sais bien que j’ai loupé quelque part le prince charmant, mais quand même ! Je tombe sans arrêt sur des vicieux qui veulent juste mon cul. Ça changerait si je rencontrais enfin un homme qui aurait à cœur de me faire jouir, qui me ferait l’amour avec tendresse... Ouais, c’est pas demain la veille, apparemment.
— Et au fait, tu as joui combien de fois, aujourd’hui ? s’enquit mon père.— Aucune, Monsieur, répondis-je en rajustant ma robe.— Mais hier, ce n’a pas été le cas. Va chercher le paddle, Ali.— Mais... Oui Monsieur.
Mon Dieu, il allait me battre devant Raul, avant d’aller au restaurant. Tête basse, je pris le paddle rangé à sa place et revins aussi vite que possible dans le salon. Je le tendis à papa en arborant un air suppliant. Pourtant, je savais bien que ça ne servirait à rien. Il me fixa d’un air sévère.
— Ali, tu ne vas pas me faire honte devant un invité. Tu t’agenouilles et tu te plies sur la table basse après avoir relevé ta robe. Je t’avais avertie que tu serais punie, tu te souviens ?— Oui Monsieur.— L’heure est venue de payer. Je ne veux pas que tu cries ni que tu bouges. Sinon, je reprends la punition à zéro. Vingt coups de paddle sur les fesses, ça te convient ?— Oui Monsieur.— Alors, à ton avis, je frappe avec quelle force ?— Comme il vous plaira, Monsieur.— Bonne réponse. Dix coups forts, dix très forts. Et je te rappelle, aucun cri, aucun mouvement, sinon...
Je tremblais à cause de peur en m’installant. Les mains à plat devant mes yeux déjà embués, je sentais l’appréhension monter. Raul ne disait rien, il m’examinait avec un sourire aux lèvres. Il me jaugeait, attentif à mes réactions, à ma frayeur, et devait déjà s’imaginer me punir à son tour. Le premier coup me prit par surprise et je poussai un cri aigu. Vite réprimé, trop tard.
— Celui-là ne compte pas. Disons que c’était un essai.
Ce n’est pas juste !
Je serrai les poings et tentai de me décontracter. Facile à dire ; le coup suivant percuta avec violence mes lombes et je restai stoïque. Papa enchaîna ; il frappait fort, comme il l’avait annoncé. Il marqua une pause pour m’annoncer qu’il en était à la moitié, je soupirai, les joues sillonnées de larmes. La punition reprit, plus violente, et j’éclatai en sanglots avant la fin. Mais je restai immobile ; j’avais résisté.
— File nettoyer ton visage, ordonna mon père, ton maquillage a coulé. Pas la peine de le refaire, je te préfère nature.
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