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Alicia et son papa

Chapitre 25

Inceste
Heureusement qu’il faisait chaud, car j’étais littéralement frigorifiée. Les deux hommes discutaient tranquillement, assis dans les deux fauteuils du salon. Ils avaient tombé la chemise, exhibant leurs pectoraux. Je déglutis en découvrant le torse musclé et les épaules larges de Raul ; je m’approchai de lui en tremblant de froid. Il examina juste mes genoux et mes escarpins avant de secouer la tête.
— Pas de marque, dommage. Je comptais te donner ma première punition et voir comment tu réagis. File prendre une douche bien chaude et rejoins-nous aussitôt. Enlève aussi le plug et nettoie ton trou.— Bien, merci Monsieur.
J’étais soulagée à l’idée de la douche chaude, ça me ferait du bien. Inexplicablement, j’étais contrariée d’avoir déçu Raul ; il aurait voulu me donner une correction et je lui avais refusé un motif de punition. Bon, il ne devait sûrement pas avoir besoin de raison pour me punir... J’enlevai le plug difficilement, obligée de tirer de toutes mes forces pour l’extraire de mon fondement resserré, puis me glissai sous le pommeau qui déversait une eau presque brûlante. Je savonnai mon anus béant et plongeai quatre doigts profondément dans mon conduit rectal. Frustrée, je caressai un instant ma vulve délaissée. J’allais être sodomisée par Raul, il allait ignorer mon vagin, comme papa.
Je sortis du bac et enroulai une serviette de bain autour de mes épaules, essuyai doucement mon corps. Mes tétons dardaient, je tordis les aréoles roses entre pouces et index pour les rendre encore plus proéminentes. Puis je glissai deux doigts dans ma fente, mon intimité était trempée de cyprine plus que d’eau. Et je n’arrêtais pas de penser à la déception de Raul lorsqu’il avait examiné mes bas et mes escarpins. Je revins dans le salon humblement, à quatre pattes, et m’arrêtai devant Raul.
— Monsieur, je sais que je vous ai déçu tout à l’heure. Je vous demande de me punir pour n’avoir pas compris ce que vous souhaitiez.— Voyez-vous ça, constata-t-il. Notre petite Alicia qui a envie de me faire plaisir. Je suis honoré, vraiment. Et selon toi, quelle punition mérites-tu ?— Je ne sais pas, Monsieur. J’accepterai tout ce que vous déciderez de me faire.
N’exagère pas non plus, hein ! J’ai pas envie de finir aux urgences parce qu’il m’a amochée. Il est tellement costaud qu’il pourrait me briser en deux entre ses grosses paluches. Alors un peu de modération, siou plaît. Je dois quand même être complètement inconsciente pour lui proposer de me punir sans raison, sinon son envie de faire mal. Mais je n’y peux rien, je suis comme ça, toujours à vouloir faire plaisir.
Sans mot dire, Raul se leva et m’indiqua son fauteuil ; debout, je me pliai en avant pour poser mes mains sur les accoudoirs. J’écartai largement les jambes pour me stabiliser et me cambrai, offrant mon postérieur déjà bien marqué des coups reçus un peu plus tôt. Je commençai à respirer lentement, profondément, pour calmer les battements de mon cœur. Il n’y avait pas un bruit dans la pièce, et je reconnus sans peine le glissement de la ceinture hors des passants, son léger sifflement dans l’air.
— Je te remercie de ton offre, Alicia. Mais sache que je n’ai nul besoin d’un motif pour te battre. Mon envie suffit. Ne bouge pas, je vais frapper tes fesses. Comme elles sont déjà bien marquées, je vais frapper en retenant mes coups. Tu en recevras vingt-cinq.
Je me crispai au premier sifflement de ceinture. Sous l’impact, je retins avec peine un cri ; mais Raul n’avait pas frappé très fort, comme il l’avait dit. Les coups se succédèrent rapidement, avec une pause tous les cinq. Malgré la clémence du géant, je pleurais à chaudes larmes quand le terme de la punition arriva. Mon fessier était en feu ; néanmoins, je me redressai, veillant à garder tête basse. Papa empoigna ma chevelure emmêlée et m’obligea à le regarder dans les yeux. Ce qu’il vit le rassura, je n’étais pas trop secouée. Il me conduisit fermement par les cheveux dans sa chambre.
— Tu veux de la pommade ? Vite, j’ai trop envie de ton cul.
Pour seule réponse, ravalant mes larmes, je me mis à genoux sur le lit, bien cambrée pour offrir mon intimité. Les deux hommes ricanèrent en se déshabillant.
— Encule-la pendant que je me fais sucer, proposa Raul.
Mon père ne se le fit pas dire deux fois. Quelque chose de dur se plaça contre mon anus et pesa, mes muscles ne résistèrent pas et s’ouvrirent. Je criai quand l’épaisseur de la colonne mit à mal mes sphincters et les distendit. J’étais bien lubrifiée, mes reins engloutirent assez aisément l’entièreté du vit paternel. Je soupirai, mes sphincters douloureux étranglaient la base de l’épais barreau qui palpitait et pulsait sans cesse. Puis soudain, Raul s’agenouilla devant moi, et je vis pour la première fois sa bite, une énormité probablement plus épaisse encore que celle de papa.
Il allait me déchirer, avec son engin de foire. Malgré cela, j’avais hâte de le sentir en moi ; je gobai le gland aussi gros que mon poing, il emplit ma bouche à me disloquer les mâchoires. J’empoignai les hanches musclées du géant et tirai son bassin en avant. Sans réfléchir, sinon j’aurais renoncé, je déglutis et aspirai la gigantesque colonne aussi loin que je pouvais. La gorge douloureuse, en manque d’oxygène, je dus renoncer alors que mes lèvres étaient bien loin de la base. Mais je me promis de recommencer.
Puis papa recula et donna un coup de reins puissant pour m’empaler bien à fond. Il entama dès lors une série de va-et-vient amples et lents qui eurent vite raison de moi. Je me poussai violemment en arrière pour m’empaler plus fort, plus loin, je suppliai mon père d’être plus brutal, de me défoncer sans pitié. Heureusement, Raul me fit taire en enfonçant son mandrin dans ma bouche béante. Il ne me laissa pas le temps de réaliser et força ma gorge. Les yeux exorbités et pleins de larmes, je vis son ventre sculpté en tablette de chocolat approcher inexorablement.
Je paniquai un peu, luttant contre l’envie de vomir et l’asphyxie, alors que ma lèvre supérieure s’écrasait contre le pelvis. D’une main, il me maintint collé à son ventre, puis commença à baiser ma bouche lentement. Malgré la privation d’air, je tentai de lécher et pomper consciencieusement le mandrin de chair, alors que papa me prenait de plus en plus fort. Embrochée par les deux bouts, je geignais pitoyablement sous les rudes assauts des deux hommes. Ils me pourfendirent ainsi plusieurs minutes avant, sur un signal, de me libérer. Hébétée, je m’écroulai sur le lit en bavant. Raul m’empoigna par la taille et me fit pivoter, ainsi je me retrouvai avec la grosse bite paternelle devant les yeux. J’eus à peine le temps d’aspirer son gland luisant que Raul me sodomisait en puissance.
Je hurlai sous l’envahissement brutal. Mon pauvre anus était distendu à éclater par l’énormité de l’intrus. Ce n’était pas possible que j’en sorte indemne, sa bite était trop épaisse, trop dure, trop tout. Le géant donna un coup de boutoir qui me projeta en avant, j’en avalai toute la longueur de la verge que je suçais.
— Elle est un peu serrée, jugea Raul, mais comme elle est jeune dans un instant elle aimera ça. Je vais pouvoir l’enculer à fond. C’est un délice de voir ma grosse queue plantée dans un aussi joli petit cul.
Ouais, eh bien le petit cul, il est en train d’exploser ! C’est même surprenant que la bite monstrueuse de Raul ait pu pénétrer entièrement sans déchirer mon côlon. Il faut croire que je suis faite pour la sodomie. Mais je suis complètement empalée maintenant, mes organes réarrangés pour laisser place à un tel saucisson géant. Mon Dieu, dire que j’aime ça... Je suis complètement dépravée de prendre du plaisir en me faisant démolir ainsi.
Pure coïncidence sans doute, les deux hommes éjaculèrent en même temps, papa sur ma langue, Raul au fond de mon cul. Ils me mirent la dose, chacun. Je gardai la semence paternelle en bouche pour lui montrer que je la dégustais, alors que le géant se vidait interminablement en moi. Repus, ils m’abandonnèrent comme une vieille chaussette pour aller boire du champagne, tous nus dans la cuisine. Je me levai tant bien que mal, une main sous mes fesses, car mon anus béant laissait échapper un long filet de semence, et je les rejoignis dans la cuisine.
Quand Raul me vit ainsi, son regard me suffit, je savais ce qu’il voulait. Malgré ma répulsion première, je léchai mes doigts et ma paume couverts de son sperme. Je grimaçai, bien sûr, mais il était satisfait. Cela seul comptait, pour moi. Il me tendit une coupe et je trinquai avec papa et lui, ravie d’être avec eux. Et pourtant, je n’avais pas joui, mon vagin était un cloaque dégoulinant de cyprine et mes tétons me faisaient mal à force d’être durs et lourds. Nous bûmes une seule coupe, déjà leurs braquemarts étaient redevenus raides et prêts à me transpercer à nouveau. Je ne dis rien, mais repartis dans la chambre, consciente du regard brûlant des hommes sur mes hanches qui roulaient un peu plus que nécessaire.
— Arnaud, ta fille est une petite allumeuse.— Et tu n’aimes pas ça ?— Si. Voir ses petites fesses rouler devant moi, alors que je sais que je vais les écarter pour finir de ruiner son cul, ça me fait bander encore plus.— Alors, allons-y, ma fille en a autant envie que nous.
Précédés par leurs formidables virilités dressées à l’horizontale, les deux hommes me suivirent d’un pas décidé. Je savais que j’allais charger, et j’attendais ça avec impatience.
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