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Alicia et son papa

Chapitre 26

Inceste
Je m’éveillai brusquement, tenaillée par un besoin pressant. J’étais blottie contre le corps puissant de papa, sa grosse main tenait fermement ma fesse gauche et me serrait contre lui. Je tentai de distinguer le visage du dormeur, saisie d’un doute ; ce n’était pas mon père, mais Raul qui ronflait doucement, allongé sur le dos et les jambes écartées. Qu’est-ce qu’il m’avait mis cette nuit ! Papa et lui s’étaient relayés dans mes reins pendant des heures, même alors que je n’étais plus qu’une loque abrutie par la violence des accouplements.
Ils avaient dû jouir chacun au moins trois fois, parfois dans mon anus complètement relâché, souvent dans ma bouche. Car ils aimaient me voir déglutir leur semence grasse puis lécher avec dévotion le méat pour récolter les dernières gouttes. Le lit de papa était devenu un vrai champ de bataille, trempé de sueur et fluides divers ; quand mon père a décidé de se reposer, Raul m’a soulevée comme un fétu de paille et m’a portée dans ma chambre. À peine m’avait-il déposée sur mon lit qu’il se ruait dans mes reins de toute sa puissance, me faisant hurler encore et encore sous ses coups de boutoir.
Comme il avait déjà éjaculé plusieurs fois, son endurance était sans limites. Lorsque je le suppliai de me laisser jouir enfin, il s’absenta une minute et revint avec une paire de menottes qu’il referma sur mes poignets dans mon dos. Puis il me plaça sur le dos, il saisit mes chevilles et me plia en deux. Là, posément, il me sodomisa à nouveau, d’une seule poussée rectiligne qui m’arracha un râle de douleur et de plaisir. Écrasée sur le lit par son poids, je me tendais désespérément pour qu’il me prenne plus loin, qu’il finisse de ruiner mon pauvre anus.
Ce matin, je réalisai que j’avais toujours les menottes. Je me mis à genoux sur le lit et me dégageai tant bien que mal de l’étreinte de Raul. Je faillis crier en me levant tant mon anus était en feu. Il n’avait pas été ménagé cette nuit, c’est le moins qu’on puisse dire. En grimaçant, j’allai aux toilettes en serrant les cuisses. Je pus enfin satisfaire mon besoin pressant, puis je revins dans ma chambre où le jeune Rodriguez dormait toujours.Sur une impulsion, je montai sur le matelas entre ses jambes écartées et m’agenouillai, le visage juste devant ses lourds testicules et sa verge au repos.
Je soufflai de l’air chaud puis donnai quelques coups de langue sur chaque couille couverte de fins poils noirs. Me décidant, j’aspirai une des grosses glandes et la fis rouler avant de passer à l’autre. Satisfaite, je vis que la bite gonflait nettement et commençait à palpiter, posée sur l’abdomen. L’impossibilité d’utiliser les mains me gênait, aussi je me contentai de me redresser et de lécher la colonne de chair qui prenait des proportions plus qu’intéressantes. Une voix ensommeillée me fit sursauter :
— Que crois-tu faire, Alicia ?— Bonjour Monsieur. Juste vous réveiller agréablement.— C’est fait. Tu as conscience que je ne vais pas en rester là ? Tu n’as pas mal au cul ?— Si, reconnus-je. Vous ne m’avez pas ménagée, cette nuit. J’ai du mal à marcher tellement j’ai pris cher.— Et tu es quand même prête à recommencer ?— Seulement pour vous, Monsieur. Si vous en avez envie. Mais on dirait que oui, constatai-je en voyant sa poutre se dresser, en pleine forme.— Va chercher du lubrifiant, sinon je vais te casser. Attends, idiote, approche.
Il me montrait une clé de sécurité ; soulagée, je me tournai pour lui présenter mes poignets et il put m’enlever les menottes. Je filai en le remerciant et pommadai mon anus dont les lèvres étaient boursouflées et ultra-sensibles, puis je revins dare-dare. Il n’avait pas bougé et se masturbait lentement, ses yeux brillaient dans la pénombre ; il me sembla qu’il souriait en me voyant approcher. Mon ventre se serra à la vue de son érection majestueuse ; j’avais envie de la glisser dans mon vagin torride, de l’inonder de mon jus et de jouir sans fin. Instinctivement, j’empoignai mes aréoles turgescentes et les tordis à me faire mal.
— Monsieur, je voudrais... Pour une fois, pourriez-vous me faire l’amour normalement ? J’aimerais tant jouir avec vous.— Décidément tu n’as rien compris, idiote. Je ne veux pas de ton vagin. À partir de maintenant, puisque tu réagis stupidement, je refuse que quiconque te prenne par là, ce jusqu’à nouvel ordre. Je veux que tu sois frustrée en permanence, c’est aussi pour ça que tu n’as pas le droit de jouir. Je croyais que ton père te l’avait dit. Pour te punir, mets-toi à genoux.
Je m’exécutai, complètement effondrée. Il me refusait le plaisir de sentir sa verge dans mon sexe, et allait aussi le refuser aux autres. La vue brouillée de larmes, je vis Raul se lever, formidable athlète au corps sculpté dans le marbre. Il s’arrêta juste devant moi, me dominant de toute sa masse.

— Croise les mains dans le dos. Je ne devrais même pas avoir à te le demander. Lève la tête, ouvre grand la bouche... Surtout, ne bouge plus et avale.— Non, je vous en supplie, ne faites pas ça ! Monsieur, je ne pourrai pas, s’il vous plaît.— Tu te tais ou je te massacre les seins à grands coups de ceinture, menaça-t-il.
Ce n’est pas vrai, je suis tombée sur un sacré pervers. Je le réveille en lui faisant gentiment une petite pipe, et pour me remercier il veut m’uriner dans la bouche. Et il veut que j’avale, en plus. Il est complètement malade. Et je n’ai aucune échappatoire, moi. Je n’ai pas envie de me faire détruire les seins à coups de ceinture, d’abord. Je ne sais pas si papa appréciera quand il saura que Raul m’a forcée à boire son urine, mais...
J’ai été vite fixée. Papa s’est avancé dans ma chambre, en robe de chambre et pieds nus.
— Que se passe-t-il ? Vous en faites du bruit !— Désolé, Arnaud. Cette idiote m’a demandé de prendre son vagin et de lui donner la permission de jouir. N’importe quoi. Pour la punir, je veux qu’elle boive ma pisse, elle fera moins sa fière.— Tu n’as pas honte, Ali ? Raul est ton maître autant que moi, et tu refuses une chose si simple ? Tu as intérêt à obéir et à ne pas perdre une goutte, tonna papa.
Sans me donner le temps de réfléchir, j’ouvris la bouche et fermai les yeux sur ma détresse... De ma vie, je ne m’étais jamais sentie autant humiliée.
— Ouvre les yeux, ordonna Raul. Je veux que tu me voies te pisser dans la gueule. Et avale tout.
Un jet d’urine jaillit alors du méat, à quelques centimètres de mes lèvres. Le liquide âcre envahit ma bouche et la remplit vite, chaud et salé. Je déglutis comme je pus, m’étranglai rapidement. Raul attendit que je me calme pour recommencer à uriner, et je repris mes déglutitions. Heureusement, le flux se tarit vite ; je léchai la dernière goutte, le gland décalotté, et baissai la tête, en proie à une totale confusion. Je l’avais fait malgré ma répugnance, j’avais bu de l’urine et je n’étais pas morte. Je surmontai mon humiliation et relevai les yeux sur le géant qui attendait.
— Pardon Monsieur. J’ai eu tort de vous tenir tête. Je suis désolée de vous avoir déçus, vous et papa.— Excuses acceptées. Mais par ta faute, je n’ai plus envie de toi.— Voulez-vous que je vous suce, Monsieur ?— Non. Je vais prendre le petit-déjeuner. Va te laver et rejoins-nous dans la cuisine.
Inutile de dire que je filai sans demander mon reste. Je me lavai les dents deux fois de suite, oui, avant le petit-déjeuner ; je recommencerais après. J’avais un désagréable goût d’urine dans la bouche, mon estomac en était plein. À cette pensée, j’eus brièvement la nausée, mais ne pus me résoudre à me forcer à vomir. Quand je rejoignis les hommes à la cuisine, je n’eus aucune hésitation : je me glissai sous la table pour la fellation matinale de papa. Il bandait à peine, je dus batailler ferme pour le faire durcir puis pour le faire jouir.
J’hésitai au moment de passer à la bite de Raul, mais préférai me relever d’abord pour lui demander :
— Monsieur, souhaitez-vous une pipe, vous aussi ?— Non. Dépêche-toi de déjeuner, mon père t’attend pour 10 heures.
Ah bon ? Je croyais que je n’irais plus travailler au magasin. Il faut croire que j’ai tendance à prendre mes désirs pour la réalité. C’est ça, avec les filles comme moi, crédules, pleines de rêves d’adolescentes nunuches. Mais un jour ou l’autre, elles se retrouvent confrontées à la réalité. Et ce n’est pas toujours rose.
Comme il était presque 9 heures, je mangeai en vitesse mes pains suédois et bus un grand verre de jus de pommes avant d’aller me préparer. Le plug en acier était posé sur mon lit, bien en évidence. Pas moyen d’y échapper, apparemment. Je lubrifiai donc mon anus avec la pommade spéciale, intérieur et extérieur, puis forçai le gigantesque œuf en place. Opération qui fut un peu pénible, car mes muqueuses étaient très sensibles après cette nuit. Je partis à bicyclette par un froid glacial attisé par une forte bise. Malgré mon manteau, je frissonnais à l’arrivée. Je me rendis directement au bureau du chef qui me cria d’entrer. Comme d’habitude, il était assis derrière son bureau et consultait son écran d’ordinateur. Sans attendre, je me déshabillai entièrement et rangeai mes vêtements sur une chaise. Puis je pris la position d’attente, mains dans le dos, jambes écartées.
— Bonjour Monsieur.— Ainsi, tu as mis le grappin sur mon fils...— Je... Non, c’est pas...— Ta gueule, vociféra Monsieur Rodriguez. Si tu l’ouvres encore sans ma permission, je te bâillonne et je te fouette au sang ! Compris ?— Oui Monsieur, pardon Monsieur.
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