Le site de l'histoire érotique
  • Histoire érotique écrite par
  • Fantasme
  • Publié le
  • Lue {{{NB_VUES}}} fois
  • 43 J'aime
  • 6 Commentaires

Alicia et son papa

Chapitre 27

Inceste
Le patron resta silencieux un long moment, si long que je dus prendre sur moi pour ne pas me tortiller tellement j’étais mal à l’aise.
Bingo, je comprends ce qu’il a à me dire. Il ne veut que du bonheur pour son fils chéri, bien sûr. Il s’inquiète de savoir que celui-ci s’est amouraché d’une simple employée, la fille d’un ami qui plus est. Il veut s’assurer que je ne ferai pas souffrir son fils, que je saurai bien me comporter en société, que je serai celle sur qui il pourra compter toute sa vie, bla bla bla. Il est embarrassé, je suis sûre qu’il cherche ses mots. Ce serait touchant chez quelqu’un d’autre que ce gros enfoiré.
— Donc, je disais donc que tu avais mis le grappin sur mon fils. Nous savions que ça pouvait arriver, Arnaud et moi. Mais je tiens à mettre les choses au point : même si un jour tu épouses Raul, tu ne toucheras pas un centime, il y aura un contrat de séparation des biens. Tu comprends ?— Oui Monsieur.— Je sais aussi que Raul veut te faire travailler à son dojo. Je t’y enverrai certains de mes fournisseurs, les plus méritants, et tu devras les satisfaire. De plus, tu seras à moi quand j’en manifesterai l’envie. Mon chauffeur te conduira au manoir en attendant que tu aies le permis. Ne t’attends pas à avoir de plaisir, tu ne seras jamais autre chose qu’une servante de bas étage juste bonne à vider les couilles. Allez, viens me sucer.
Vaguement écœurée, je m’agenouillai donc entre ses cuisses épaisses et dégageai sa grosse bite. Elle bandait fort, beau-papa Rodriguez était très bien pourvu par la nature. Je mis tout mon cœur à l’ouvrage, comme à l’accoutumée. Je caressai les grosses couilles, les léchai et les aspirai en bouche, avant de pomper vigoureusement l’épais mandrin. Puis j’avalai à fond jusqu’à plonger mes lèvres dans sa toison épaisse. Il maintint ma nuque quand les spasmes de l’orgasme firent tressauter sa queue. Le sperme jaillit directement dans ma gorge, mais le patron ne me lâcha que quand il vit mon visage virer aux violacées, privé d’oxygène.
Je reprenais difficilement mon souffle, accroupie sous le bureau du boss, quand on frappa à la porte. Sur l’invitation de Monsieur Rodriguez, deux hommes entrèrent. Des quinquagénaires en costume cravate, l’un petit et gros, l’autre plus grand et très maigre. Genre Laurel et Hardy, quoi. D’après mon patron soudain cauteleux, ils représentaient une grosse société qui fournissait de nombreux produits à forte marge. Il me fit signe de me lever après plusieurs minutes de négociation, et c’est alors seulement qu’ils me virent, toute nue et les tétons dardés.
— Si vous le souhaitez, mon assistante va vous soulager pendant que je signe les contrats avec la remise que vous me consentez.
Ils acceptèrent avec empressement, bien sûr. J’entrepris donc une double fellation, car je passai de l’un à l’autre. Je suçais une bite tout en masturbant l’autre puis j’inversais. Ils ne tinrent pas longtemps et se vidèrent sur mon visage presque en même temps ; vaguement dégoûtée du fait de mon visage maculé, je fus autorisée à partir me nettoyer. Hamid me cueillit dans les vestiaires.
— Toujours à poil, décidément. Taille-moi une pipe en vitesse, tu es attendue chez le docteur.
Décidément, ma bouche avait du succès ; je ne protestai pas, à quoi bon ? Je me mis à genoux pour la énième fois et sortis la verge épaisse et brune du vigile. Il ne bandait pas et je le suçai longtemps avant d’obtenir une érection satisfaisante. Il me fallut ensuite le prendre en gorge profonde, comme il aimait, pour qu’il éjacule enfin sur ma langue. Il aimait bien que je lui montre la semence dans ma bouche ouverte avant de l’avaler, je le fis, servile jusqu’au bout. Il me jeta ensuite une robe informe et grise que j’enfilai sans chercher à discuter. Puis j’ai suivi Hamid jusqu’à sa voiture, une vieille Renault à la peinture rouge écaillée. Après un trajet en silence, il s’est garé devant la maison du docteur qui nous a reçus tout de suite. Il a d’abord examiné mes seins et a semblé satisfait de leur taille.
— Je te fais de nouvelles injections, associées à ton traitement, ça devrait faire de l’effet rapidement. Je présume que tes aréoles sont toujours dressées et dures ?— Oui Monsieur, depuis quelques jours.— Tu réagis bien au traitement, c’est pour ça que je continue. Installe-toi dans le fauteuil, je vais être obligé de t’attacher.— Mais pourquoi, Monsieur ? demandai-je, alarmée. Je ne bougerai pas.— Je vais percer tes grandes lèvres, il me faut être précis, tu dois donc être parfaitement immobilisée.

Mes grandes lèvres ? Mon Dieu, c’est ce que disait Raul tout à l’heure ! Il va fermer mon vagin je ne sais comment. Et tout ça parce que j’aimerais faire l’amour normalement, avoir le droit de jouir dans les bras d’un homme. Quand je vois les têtes du docteur et d’Hamid, je sais que je n’ai aucune aide à attendre de leur part. À la rigueur des baffes si j’essaie de discuter. Autant éviter ça, même si je suis terrorisée.
La mort dans l’âme, je m’installai dans le fauteuil gynécologique et laissai le docteur me sangler. Il serrait fort et je protestai quand il pinça mes poignets. Je fus récompensé par un gros bâillon-boule bien fixé lui aussi. Coudes, chevilles, cuisses, torse puis ventre, front en dernier, je ne pouvais plus bouger que les doigts. Je n’en menais pas large quand le médecin écarta mes jambes légèrement repliées. Je ne voyais rien, mais je savais que ma vulve était exposée au maximum, complètement sans défense.
— Je désinfecte, puis tu auras droit à une anesthésie locale. Tu pourras remercier ton père, car Raul n’en voulait pas. Je vais te faire deux piercings, un à gauche et l’autre à droite, bien sûr. Mais je vais attendre que la zone soit convenablement endormie.
Je pourrais dire que j’ai eu mal, mais je dois à la vérité d’avouer que je n’ai rien senti. Quand j’ai été libérée, je me suis redressée en vacillant, les jambes ne me portaient plus trop. Hamid m’a aidée à monter dans sa voiture et m’a déposée à la maison. Papa étant absent, il m’a même aidée à me coucher, puis a posé sur mon chevet une grosse boîte d’antibiotiques, un flacon d’antiseptique et un tube de pommade cicatrisante. Je devais dormir avant qu’il parte. Je me suis réveillée en entendant un bruit : papa était là et me regardait dormir.
— Alors, ça va ?— Oui, je suis un peu à l’ouest. Quelle heure est-il ?— Presque 18 heures. Comment tu te sens ? Tu as de la fièvre ?— Je ne crois pas. Tu sais, papa, il a percé mes lèvres intimes, le médecin. Deux fois, il a dit. Je ne comprends pas.— Montre-moi, décida papa d’un ton autoritaire.
Je n’hésitai pas même une seconde. Je repoussai la couette et remontai les genoux contre mes épaules, exposant crûment mon intimité. Curieuse, je tendis le cou pour voir moi aussi quand papa écarta le gros pansement collé sur mon intimité. Les lèvres de ma vulve étaient gonflées et orange, de la couleur du désinfectant. Elles portaient chacune un épais anneau d’acier. Ils avaient nécessité un orifice important, et je n’avais rien senti. Papa m’examina longuement, sans rien dire, sans rien toucher.
— Personnellement, je ne t’aurais jamais fait ça, expliqua-t-il. Mais Raul a décidé.— Je sais, papa. Je te remercie pour l’anesthésie, j’ai bien l’impression que sinon, j’aurais dégusté grave.— Raul arrive dans une demi-heure, il vient de me prévenir. Tu auras intérêt à me vouvoyer et à marquer ton respect, jeune fille.— Bien sûr ; merci, Monsieur.— Allez, debout. On va faire un risotto aux champignons, j’ai du riz Carnaroli, du parmesan, des girolles fraîches et un petit chablis.
Cette fois, je me suis sentie bien quand je me suis trouvée debout. Toujours nue, bien sûr, j’ai accompagné papa à la cuisine ; il m’a fait mettre un tablier rouge qui protégeait mon torse et mes cuisses, mais laissait mon dos et mes fesses à l’air. Quand Raul est arrivé, à 19 heures, le risotto embaumait la cuisine, pratiquement prêt à consommer.
— On mange déjà ? s’étonna Raul. Non que je me plaigne, l’odeur est sacrément alléchante.— On a un peu de temps, expliqua papa. On va boire tranquillement l’apéritif, chablis avec bruschettas ; ça te dit ?— D’accord, c’est quoi ? Le chablis, ça va, je connais. Mais les broutchétasses non.— Béotien, s’indigna papa. Ce sont de grandes tartines de pain grillées avec tomate en dés, ail et huile d’olive. Et ensuite, tu peux compléter avec ce qui te plaît, fromage, jambon cru, champignons... Moi, j’y ai juste mis du pesto. Non, ne me demande pas ce qu’est le pesto, par pitié.— Alors je ne te le demande pas, sourit Raul avant de se tourner vers moi. Alors ça va, toi ? Tu as survécu ?— Oui Monsieur.— Parfait, alors. J’ai pensé à toi toute la journée et j’ai mal à la bite tellement elle est raide. Je crois bien que je vais t’enculer toute la nuit. Tu es prête pour ça ?— Oui Monsieur. Je serai heureuse de vous donner mon petit cul autant qu’il vous plaira. À vous et à mon père, bien sûr.
Papa rigola et ébouriffa mes cheveux libres qui tombaient plus bas que mes épaules.
— File te faire un chignon, ou mieux une queue-de-cheval, dit-il. J’aime bien tirer ta tête en arrière quand je t’encule. On t’attend pour l’apéro.
Diffuse en direct !
Regarder son live