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Alicia et son papa

Chapitre 28

Inceste
Il m’a fallu cinq minutes pour réaliser une queue-de-cheval honnête ; puis j’enlevai le plug métallique que je portai depuis le matin, nettoyai soigneusement mon conduit anal béant. Dès mon arrivée, Raul me tendit un ballon contenant un liquide jaune pâle. J’ai été rassurée en remarquant que les parois du verre étaient couvertes de buée : ce n’était pas de l’urine, mais du chablis.
L’urine, ça suffit pour aujourd’hui. J’ai eu ma dose ce matin et franchement ce n’est pas terrible. Je m’attendais à pire, d’accord, c’est plus humiliant que réellement dégueu ; mais ce n’est pas une raison pour en boire à tout bout de champ. D’accord, Raul est tellement craquant que j’ai du mal à lui refuser quoi que ce soit. Avec lui, je deviens la poupée qui dit oui, tu la secoues, elle pleure puis en redemande. Pauvre fille.
Le repas était excellent, et le vin aussi. Inutile de dire qu’après trois verres, j’étais d’humeur joyeuse et même pompette. J’aurais voulu m’asseoir sur les genoux de papa, mais les piercings me l’interdisaient. Je m’allongeai donc sur le canapé et mon regard allumé passa de l’un à l’autre de mes deux amants préférés : papa et Raul. Je me demandais si leurs verges étaient au repos ou bien s’ils bandaient déjà en pensant à ce qu’ils allaient me faire subir dans quelques minutes. J’avais chargé, la nuit dernière. Mon anus en restait encore sensible, mais je savais que ça ne les arrêterait pas. Au contraire.
Mon vagin s’humidifiait rapidement alors que j’imaginais les deux hommes me sodomiser rudement, me plier à tous leurs caprices. Je gémis doucement et mordis ma lèvre supérieure, le regard dans le vague. Je me levai sur une impulsion et m’agenouillai devant les deux fauteuils depuis lesquels devisaient papa et Raul.
— Oui, Alicia ? Tu as quelque chose à dire ? demanda papa.— Oui Monsieur. J’ai tellement envie d’être prise par vous deux que je ne puis vous promettre de ne pas jouir.— Même si nous te prenons brutalement ? proposa Raul.— Monsieur, je ne sais pas. J’aime bien quand vous êtes dominateurs, que vous me brusquez et que vous prenez votre plaisir sans vous occuper de moi.— Arnaud, ta fille est une sacrée nana, pour oser me dire ça. Je crois que cette nuit, je vais me régaler en lui démolissant le cul. À toi l’honneur, Arnaud, encule cette belle salope sans attendre.
Les deux hommes se levèrent avec un bel ensemble, et je distinguai les bosses imposantes qui déformaient leurs pantalons. Leurs bites devaient être à l’étroit là-dedans, sûrement douloureuses à force d’être comprimées. J’ai marché devant eux, le dos brûlant sous leurs regards ardents. Je ne pouvais empêcher mes hanches de rouler au rythme langoureux de mes pas, pleinement consciente de l’effet que ça avait sur la libido exacerbée de mes grands fauves. Je me sentais bien dans mon rôle de proie, attendant d’être dévorée par des prédateurs affamés.
Je me suis agenouillée sur le bord du lit pour offrir mes orifices. Ils ne pouvaient ignorer mon vagin aux lèvres nacrées trempées de désir, je désirais ardemment être prise avec vigueur au centre de ma féminité. Mais non, papa me sodomisa sans prendre la peine de se déshabiller, à la hussarde. Je hurlai de douleur quand son épieu turgescent perfora mes reins en puissance, étirant mes muqueuses sans égard. De grosses larmes jaillirent de mes yeux et roulèrent sur mes joues, alors que mon pourfendeur s’immobilisait, les mains crochées sur mes hanches et les couilles battant contre ma vulve.
— Voilà comment j’aime te prendre, Ali. Fort et profond. Ça te convient ?— Bien sûr. Vous avez démoli mon petit cul, Monsieur. Mais la douleur est passée, ou presque.— Dans ce cas, je peux y aller franco, d’accord ?— Oui Monsieur, ne vous retenez pas pour moi... Oh, mon Dieu ! C’est trop... Oh !
En un instant, papa était passé de l’immobilité la plus totale à une chevauchée bestiale. Son pelvis claquait avec un bruit sec contre mes fesses à un rythme effréné, il sortait presque complètement à chaque fois pour revenir avec une vigueur accrue, ne me faisant grâce d’aucun centimètre de son impressionnante queue. Tremblante, bouche bée et yeux exorbités dans le vide, je haletais et gémissais en continu, mais je restais bien cambrée pour montrer à mon père que j’acceptais sans réserve d’être son objet sexuel.
— Petite salope, tu aimes te faire défoncer par ton père. Mais rappelle-toi, tu n’as pas le droit de jouir.— Pitié, papa ! Monsieur, vous ne pouvez pas savoir ce que j’en ai envie.— Retiens-toi, alors. Je vais laisser la place à Raul, maintenant que tu es bien dilatée. Tu vas me sucer et avaler mon foutre.
Ça, je pouvais faire, et même y trouver du plaisir. Par contre, je lorgnai avec inquiétude la formidable matraque de chair de Raul qui s’approchait. Il allait me déchirer, cette fois, tant son engin semblait démesuré par rapport à son futur écrin. Mais je n’eus pas le temps de lui demander de la prudence ; déjà il forait mon anus béant et lui imposait de se dilater pour accueillir son calibre dément. Je ne pus que pousser un râle vaincu lorsqu’il s’enfonça d’un violent coup de reins. Je partis en avant et reçus jusqu’à la glotte le sceptre raide de papa.
Pour oublier la souffrance qui traversait mes lombes, je pompai avec vigueur et léchai la bite paternelle, ravie de cet exutoire délicieux. Derrière moi, Raul tenait parole : il pilonnait mes reins avec force et détermination. Ses grandes mains encerclaient ma taille fine et me tiraient vers lui en même temps qu’il propulsait son mandrin en moi. Si brutalement que mes pauvres fesses porteraient de nouveaux bleus témoignant de sa vigueur. Le jeune homme ne cherchait pas à être endurant, il voulait seulement démolir mon anus et me marquer durablement. Heureusement, il ne put tenir à ce rythme ; il se vida en poussant des jurons, quasiment au moment où papa emplissait ma bouche de semence tiède.
— Je n’ai pas pu tenir, putain ! J’étais tellement serré, bien au chaud, que j’ai joui plus vite que prévu, grogna-t-il, énervé.— Ce n’est rien, mon ami, le calma papa. Nous avons toute la nuit pour enculer cette jolie petite pute. Elle n’a pas joui, elle, c’est un bon point. Allez, on boit un verre. De l’eau pour toi, Ali, sinon tu vas être malade. File te doucher, je te veux propre et pimpante dans dix minutes, pour le deuxième round.
La nuit a été rude. Je suis passée de l’une à l’autre de ces deux bêtes de sexe pendant des heures. Papa et Raul me sodomisaient à tour de rôle, mais pas une fois ils ne se sont vidés dans mon anus. Résultat, j’ai ingurgité des litres de sperme (du moins me l’a-t-il semblé, mais je sais bien que non) Et j’étais complètement cassée, ce dont je me suis rendu compte en essayant de me lever au chant du coq. J’avais mal partout et surtout entre les jambes ; mes seins, mes fesses et mes cuisses étaient couverts de bleus, et je n’arrivais pas à marcher normalement. Il m’aurait fallu un déambulateur. Je me suis douchée longuement, c’est là que je me suis rendu compte, en touchant délicatement la zone douloureuse, que mes sphincters étaient fracassés.
Un petit miroir me permit de juger de l’étendue des dégâts : mon anus ressemblait au cratère d’un volcan, congestionné, les muqueuses relâchées et rouge vif. En grimaçant, je passai de la pommade apaisante sur et dans mon orifice malmené qui avait grand besoin de repos. J’avais envie de réveiller les deux responsables de mon état pour les engueuler, mais j’avais assez de bon sens pour reconnaître une mauvaise idée.
Je partis de la maison en danseuse, pas question de m’asseoir sur la selle. La journée fut relativement calme, ce qui me permit de récupérer un peu. Monsieur Rodriguez exigea une pipe, bien sûr. Il se moqua de ma mine en papier mâché avant de m’envoyer travailler. Les journées suivantes passèrent sur le même tempo, sauf le week-end, bien sûr, où j’eus droit à une nouvelle séance d’épilation intégrale qui permit d’éradiquer quelques récalcitrants. La cicatrisation de mes deux piercings s’opérait sans encombre, c’était déjà ça. Les semaines ont défilé et nous avons déménagé dans l’appartement au-dessus du nouveau dojo. Raul était ravi.
— Voici enfin notre chez nous. Arnaud, je te remets ces documents rédigés par mon notaire. Tu deviens officiellement propriétaire du dojo et de l’appartement. En échange, tu me donnes Alicia. En mariage.— Elle est d’accord ? rétorqua papa en se tournant vers moi.— Bien sûr, papa ! m’exclamai-je. Arnaud n’est peut-être pas le prince charmant dont rêvent toutes les jeunes filles, mais je l’aime comme il est, avec ses défauts. Un peu trop nombreux, c’est vrai, mais il a aussi ses qualités.
Comme sa gigantesque bite toujours prête à me démonter le cul. Je ne sais même plus si c’est une qualité ou un défaut, d’accord. Mais je m’y suis fait, mon anus aussi, à force de sodomies à répétition. Pour ses défauts, la liste est longue : il est autoritaire, volontiers brutal, voire violent, il me rappelle mon père, tiens ! Pas étonnant qu’ils s’entendent comme larrons en foire, ces deux-là. Bon, je les aime tous le deux, j’avoue.
— Dis donc, Alicia ! s’emporta Raul, outré. Tu vas prendre ta première punition ici, pas plus tard que tout de suite ! Allez, en position !
Pas question de tenter de le raisonner, je le savais. Je fis un clin d’œil à papa qui observait la scène, amusé, et je me déshabillai rapidement. Puis je m’appuyai, les mains à plat contre un mur, les fesses en arrière, bien cambrée. Entre mes cuisses disjointes, ils pouvaient voir clairement le gros plug métallique fiché dans mes reins, juste au-dessus du lourd cadenas en acier que je portais depuis la veille. Il avait remplacé les anneaux et traversait mes lèvres intimes, rendant impossible toute pénétration vaginale. Seul Raul en avait la clé.
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