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Alicia et son papa

Chapitre 29

Inceste
Je tentai de rester immobile et de réguler ma respiration. Comme d’habitude, j’étais partagée entre deux sentiments : j’avais peur de la correction à la ceinture que j’allais recevoir, mais je l’attendais avec impatience. Car oui, j’en avais envie, je souhaitais être durement punie par Raul sous les yeux de papa. Lequel n’en perdrait pas une miette, bien sûr. Peut-être même sortirait-il sa propre ceinture pour me battre lui aussi. Je l’espérai tout du moins.
Avoir les deux hommes que j’aime réunis pour me punir longuement était atrocement divin. Surtout qu’après, papa me soignait ; avec ses battoirs géants à la peau caleuse, il étalait alors soigneusement de l’onguent réparateur sur la zone meurtrie, massait et caressait mes muscles frémissants. Il s’égarait souvent loin des ecchymoses et me menait tout près de l’orgasme sans me laisser l’atteindre. Il me laissait alors gémissante et frustrée, les tétons en feu et le ventre liquide. Toujours ça se terminait par une bonne sodomie, souvent papa en premier, puis Raul investissait à son tour mes reins, me faisant hurler sous ses coups de boutoir.
Ce jour-là, Raul avait invité ses parents pour l’inauguration, mais seul son père est venu. Quand il est arrivé, je sanglotais à genoux, le front contre le mur et les mains sur la tête. Bien cambrée, j’exposais mes fesses durement marquées de balafres virant au violacé. Monsieur Rodriguez m’a considérée froidement avant de se tourner vers mon père et de lui donner une chaleureuse accolade. Je réalisai à cet instant que je ne les avais jamais vus ensemble, ces deux-là.
— Salut Francky, vieille canaille, lança mon père.— Salut Arnaud. Et arrête de m’appeler comme ça, je suis d’origine Espagnole, pas Américaine.— Et pourquoi tu n’as pas choisi ton deuxième prénom, ou le troisième, d’abord ?— Pff ! Mon deuxième, c’est Benito, et mon troisième Adolf.— Putain ! Tes parents avaient un humour dingue.— Ouais, et ils étaient pas de gauche, non plus, ajouta tristement monsieur Rodriguez. Alors, va pour « Francky ». Bon, qu’a fait cette petite traînée, pour être punie ?— Comme d’habitude, papa. Elle est insolente, voilà tout. Tu as envie de la punir aussi ? Allez, d’accord pour vingt coups de ceinture, sur les cuisses ou le dos, cette fois.
Et moi, on me demande mon avis ? Non, bien sûr. Je n’ai qu’une chose à faire, comme d’habitude : obéit vite et bien.
En mordant ma lèvre inférieure tremblante, je me redressai et posai mes coudes sur le mur. Jambes écartées pour me stabiliser, je m’offrais ainsi à la nouvelle correction qui s’annonçait. Je ne fus pas déçue, car monsieur Rodriguez tapait fort. Il utilisait une fine ceinture tressée en cuir qui faisait un mal de chien. Je reçus les coups sur le dos, au niveau des omoplates surtout. J’ai eu le plus grand mal à retenir mes hurlements tant la souffrance était vive. À la fin papa m’autorisa à aller aux toilettes me rafraîchir, puis quand je revins après avoir baigné mon visage à l’eau froide, il me soigna tranquillement devant les Rodriguez père et fils.
— Suivez-moi, dit Raul ; allons boire du champagne bien frais pour inaugurer ce nouveau bâtiment.
Raul quitta le dojo et monta au premier étage, dans le grand appartement où nous avions aménagé le matin même. Une grande pièce était meublée d’un lit king-size entouré de quatre barreaux d’acier. Elle servirait de baisodrome, dixit Raul. Un placard occupait un mur entier du sol au plafond, des miroirs en recouvraient un autre, un troisième s’ouvrait sur une salle de bain, des toilettes, le dernier était complètement ouvert sur l’extérieur par une baie vitrée. Son verre spécial ne permettait pas de voir de dehors, heureusement. Raul ouvrit un frigo encastré, en sortit un magnum de champagne qu’il tendit à son père.
— Allez, papa. Ouvre-la, qu’on trinque au dojo et à mes fiançailles avec Alicia.— Tiens donc ! s’étonna monsieur Rodriguez. Vous êtes fiancés, maintenant ?— Depuis hier, Alicia porte ma bague, expliqua Raul. Montre-lui ma petite pute.

Tu parles d’une bague ! En fait, c’est ce putain de gros cadenas que je porte à mes lèvres intimes qu’il appelle bague de fiançailles, il s’agit bien de ceinture de chasteté, en fait. Une bague, c’est quelque chose que tu montres à tes copines jalouses ou admiratives. Ça risque pas que je montre ce truc à quelqu’un, j’aurais trop honte. Et en même temps je suis trop conne, je suis fière de cette marque, de lui appartenir ainsi.
Ravalant mes larmes, la gorge si encombrée de sanglots que je ne pus qu’obéir en silence, j’écartai les cuisses et projetai le bassin en avant devant les trois hommes. Francky se baissa même pour examiner le cadenas et la manière dont il était fixé. Il tira même dessus, m’arrachant un gémissement de honte. Je rougis jusqu’aux oreilles quand il ricana et partit dans des commentaires graveleux.
— La salope, c’est vrai qu’elle a le feu au cul, celle-là. Au moins elle ne pourra plus se faire sauter par tous les mâles de la ville, maintenant.— Mais je n’ai jamais… commençai-je, outrée.— Tais-toi, Ali, intima mon père. Tu n’as pas envie d’être punie à nouveau, quand même ?— Pardon Messieurs, lançai-je, tête baissée, vaincue.— Bon, on prend nos coupes et on visite tout le bâtiment, messieurs et mademoiselle, claironna Raul.
Bien sûr, j’étais nue alors que les trois hommes étaient habillés, mais il n’y avait personne qui me verrait. C’était du moins ce que je croyais. Nous avons commencé par l’appartement, puisque nous y étions. Il y avait trois autres chambres, une pour mon père, une pour Raul et une pour des invités. Moi, je dormirais soit avec papa, soit avec Raul. Soit dans un cagibi minuscule et sans fenêtre qui servirait de cachot.
— Si Ali a besoin d’être punie, nous pourrons l’enfermer ici : porte de prison qui ne s’ouvre que de l’extérieur, ensuite grille métallique avec verrou, sol carrelé en légère pente avec évacuation et tuyau d’arrosage spécial douche froide. Notez les gros anneaux sertis un peu partout, les quatre spots en hauteur, les deux caméras de surveillance. Tu as envie d’essayer, Alicia ?— Non Monsieur, répondis-je, effrayée.
Je n’avais vraiment pas envie de me retrouver là-dedans. Sans être claustrophobe, je n’aimais pas me retrouver enfermée dans un espace confiné. Puis nous sommes descendus et avons parcouru les cinq grandes salles de cours, les quatre vestiaires avec sanitaires, le bureau d’accueil. Tout semblait prêt à l’usage destiné, propre et fonctionnel. Raul frappa alors à une porte blindée derrière laquelle des aboiements rauques se firent entendre. Au moins deux chiens, pensai-je, et des gros. Raul me regarda et sourit.
— C’est le logement du gardien. J’ai décidé d’embaucher un type au chômage ; je crois que tu le connais un peu, Alicia.
Je n’aimais pas du tout son sourire vicieux, mais je m’abstins de tout commentaire ou de toute réaction. Les chiens se turent et la porte s’ouvrit presque simultanément. Sur Samuel, le connard qui m’avait frappée au sang quelques semaines plus tôt. Je reculai instinctivement quand son regard haineux se posa sur moi.
— Bonjour, Samuel, dit Raul. Tu connais déjà mon père et Alicia, voici son père, Arnaud. C’est le nouveau propriétaire des lieux.— Messieurs, bonjour. Voici Lewis et Logan, deux dogues allemands bleus. Ils auront bientôt deux ans et ont presque leur taille adulte.
Je fis encore un pas en arrière, me heurtant à mon père qui posa ses grosses mains sur mes épaules pour me rassurer. D’ordinaire j’aimais bien les chiens, mais ceux-là étaient presque aussi grands que moi et montraient des dents impressionnantes. Les dogues, c’est costaud, mais ces deux chiens étaient plus que ça : énormes, puissants, inquiétants. Avec leur robe presque noire, leurs yeux pailletés d’or qui me fixaient comme si j’étais leur quatre heures, ils dégageaient une impression de force brute.
— Tu n’en as pas peur, quand même ? me demanda papa à l’oreille.— Euh… Non, mais tu as vu leur taille ? J’espère qu’ils sont gentils. Monsieur, ajoutai-je, penaude.— Gentils ? rigola Samuel. Faut pas exagérer, mais y sont pas méchants non plus. Une fois qu’y te connaissent, y sont affectueux.— Tu les commandes bien ? s’enquit Raul.— Je veux, je les ai gagnés sur un pari, y z’avaient trois mois. Y sont bien dressés, y font ce que je leur dit.
Le gardien me fixait avec les mêmes yeux affamés que ses molosses. Il semblait avoir envie me dévorer, lui aussi, ou bien de me faire des choses inavouables. Je frissonnai et me serrai un peu plus contre papa. Monsieur Rodriguez caressa les têtes des chiens qui s’étaient assis et restaient parfaitement immobiles.
— Ce sont deux mâles ?— Ben oui, deux mâles. Et y sont entiers, si vous voyez ce que j’veux dire. Y commencent à avoir envie de se trouver une femelle pour y faire sa fête. M’est avis que la femelle, elle va déguster sévère avec ces deux bestiaux.— Ah, commenta Raul. C’est intéressant. Je vais prospecter un peu, voir si je peux leur trouver une femelle bien soumise. Ça doit pas être trop difficile à dégoter, je pense.
Si j’avais pu, je serais entrée dans un trou de souris. Je craignais d’avoir trop bien compris ce que sous-entendait mon fiancé. Non, ce n’était pas possible.
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