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Alicia et son papa

Chapitre 30

Inceste
Papa serra mes épaules et murmura à mon oreille :
— Ali, je te rappelle que tu ne fais que ce que tu as envie de faire. Si quelque chose te répugne, je ne t’en tiendrai jamais rigueur. Tu comprends ? Avant tout, tu es ma fille, et je te protégerai toujours. D’accord ?
Bon sang, que ça fait plaisir d’entendre ça ! Alors que j’allais paniquer en m’imaginant livrée par mon fiancé à Samuel et ses putains de clébards, papa est arrivé, tel Zorro sur son blanc destrier. Ou alors il est noir, le bourrin ? Je sais pas comment réagir avec Raul. J’en suis arrivé à l’aimer, j’ai appris à le connaître aussi. Et pourtant il me fait toujours peur. Et puis, quand il me fixe de ses yeux glaciaux, je me liquéfie et n’arrive plus à lui refuser quoi que ce soit. Dur !
— D’accord, papa, susurrai-je alors que la nouveau gardien prenait congé et refermait sa porte.
Nous sommes remontés dans le baisodrome, puisque nous avions visité tout le bâtiment. Je me doutais bien de ce qui allait arriver maintenant, j’en ai eu confirmation en voyant les trois hommes se déshabiller lentement et plier leurs vêtements sur des chaises.
— Va enlever le plug et nettoie ton cul, ordonna Raul. Tu as trois minutes.— Bien Monsieur.
À mon retour, les hommes nus, bien sûr, discutaient debout en buvant du champagne et en se masturbant lentement. Je frémis en constatant que leurs formidables bites étaient toutes trois raides et épaisses à faire peur. Heureusement, j’avais pu lubrifier copieusement mon anus déjà bien distendu par le port du plug pendant ma pause toilettes.
— À toi l’honneur, papa, dit Raul. Je ne sais pas si tu l’as déjà sodomisée, mais elle est à toi. Défonce son cul, et pas la peine de te retenir, cette garce aime bien qu’on la bouscule.— Merci, fils. En effet, je n’ai utilisé que sa bouche jusqu’à présent. Je vais lui péter la rondelle.
Dire qu’il s’est montré brutal serait un euphémisme. J’ai hurlé de douleur quand il m’a sodomisée avec hargne, puis quand il a pilonné mon anus avec la dernière violence. C’était déjà éprouvant, mais ce serait devenu très supportable si, en même temps, il ne me brutalisait pas sans arrêt. Il a commencé à claquer mes fesses meurtries, mes hanches, à me gifler à de nombreuses reprises, à tordre méchamment mes tétons.
Je pleurais quand il se vida enfin dans mes reins en feu avant de se retirer sur une dernière fessée. Je basculai en avant, mais déjà Raul empoignait mes hanches et me prenait à son tour avec vigueur. Papa me présenta alors sa verge bien raide et je l’engloutis sans plus réfléchir. Ballottée entre les deux hommes, le corps disloqué sous leurs coups de boutoir, je me suis offerte sans aucune retenue, perdue dans un brouillard fait de plaisir et de douleur. Et quand papa s’est vidé, j’ai bu avec reconnaissance tout son sperme tiède et iodé.
— Allez, champagne pour tout le monde, a lancé Raul, satisfait. Puis on va continuer à démonter cette petite pute qui n’attend que ça.
Il exagérait un peu. J’étais fatiguée, j’avais mal partout après ce que m’avait fait subir Francky. L’œil allumé, il me regardait sans dire un mot, semblant me promettre encore mille tourments. Je frémis, mais j’étais assez lucide pour savoir qu’une petite partie de moi se délectait sous la contrainte.

Après avoir bu leur coupe de champagne, les hommes reprirent les hostilités. Monsieur Rodriguez me présenta sa verge dressée que j’embouchai pendant que papa me sodomisait à son tour. Comme les trois hommes venaient de jouir, je savais qu’ils allaient être encore plus endurants cette fois, mais ils se surpassèrent. En effet, ils se relayèrent dans mes reins pendant plus d’une heure pour éviter d’éjaculer trop vite. Avec tout le champagne bu, nous ruisselions de sueur ; ma peau était luisante et glissante sous leurs mains parfois caressantes, mais surtout brutales. Pendant tout ce temps, mon vagin ignoré inondait mes cuisses et les draps de cyprine. Je faillis jouir quand mon père se vida à gros traits dans mon anus complètement distendu, mais je mordis ma lèvre inférieure au sang pour éloigner l’orgasme.
Frustrée, je me laissai glisser en avant sur le drap souillé, vite couverte par monsieur Rodriguez, qui m’écrasa inconfortablement sous sa masse en même temps qu’il m’empalait.
— Je suis crevé, avertit papa. Je file me coucher, amusez-vous bien, tous les trois, mais n’abîmez pas ma fille.— T’en fais pas, répondit Raul. Ta petite pute est résistante. Et puis ce soir, c’est la fête.
Et bien sûr, c’est MA fête. Et là, j’ai de quoi être inquiète. Traduction, je me retrouve seule aux mains de Raul et son père, je vais déguster grave. Quand je vois les yeux de Francky, je sais que la suite va être éprouvante. Je sais qu’ils n’iront pas jusqu’à me blesser ou me mutiler, c’est déjà ça. Papa a dit que je pouvais refuser à tout moment, mais en ai-je envie ? Je me demande s’ils vont seulement m’écouter, quand ils partiront dans leurs délires sexuels. Tant pis. J’aime tellement être poussée dans mes retranchements, je suis folle.
Raul m’a à nouveau sodomisée avant de me soulever et de me plaquer contre son torse et de se relever. J’étais dos contre lui, sans autre point d’appui que sa monstrueuse bite plantée dans mon fondement. Fataliste, je me laissai aller, comprenant bien que je n’avais aucune chance de lui échapper. Comme si je ne pesais rien, il sortit de la pièce et marcha jusqu’à la cellule qu’il ouvrit sans me lâcher. Il ouvrit la grille avant de me déposer.
— Ta première nuit, je veux que tu t’en rappelles toute ta vie. Tu vas la passer ici, mais je vais faire en sorte que tu souffres et comptes les minutes au lieu de dormir. Vu ?— Oui Monsieur, répondis-je d’une voix chevrotante.
Sous le regard intéressé de son père, Raul ferma de gros bracelets de cuir à mes poignets et mes chevilles, les assura avec des cadenas. Il fit de même avec un large collier de cuir pourvu de plusieurs anneaux. Puis il remonta mes poignets dans mon dos et les fixa au collier avant de serrer mes coudes ensemble, les liant avec une corde épaisse et forçant jusqu’à les coller. Je gémis et protestai pour la première fois :
— Monsieur, vous me faites mal, je vous en supplie.— Patience, tes coudes se touchent. C’est la position de prière inversée. Ouvre la bouche.
Matée, j’obéis et il plaça un appareillage en métal qu’il ouvrit avec un mécanisme cranté : mes mâchoires s’écartèrent jusqu’à me laisser bouche béante, incapable de la refermer un tant soit peu. Il noua serré une corde sur ma queue-de-cheval et tira vers le bas, si bien que je me retrouvai la nuque cassée en arrière à regarder le plafond. La suite, je la sentis mais ne vis rien. Il me montra juste un gode géant en forme de cône qu’il dut fixer au sol. Puis il enchaîna mes chevilles largement écartées et me fit agenouiller et m’empaler sur l’épais cylindre métallique. Je tentai de protester, mais ne pus qu’émettre un gargouillement affolé, alors que, incapable de me relever, je me sodomisais moi-même.
Je commençai à pleurer quand la souffrance due à l’empalement devint intolérable, à mesure que je glissais vers le bas et que le diamètre du cône augmentait dans mes reins. Je criai et ruai quand Raul, qui avait dû passer une corde ou une chaîne dans mon anneau vaginal, étira avec vigueur ma vulve vers l’avant. Je hurlai carrément quand il me montra deux pinces crocodile en acier qu’il fit claquer sur mes aréoles turgescentes. Car, malgré la douleur et la peur, mon vagin ruisselait et mes seins projetaient indécemment leurs bouts gonflés.
Je me cabrai sous la souffrance abjecte qui traversa mes tétons cruellement mordus, mais rien n’y fit : Raul étira mes seins avec des sandows fixés aux pinces, m’arrachant de nouvelles larmes. Une dernière pince en acier mordit ma cloison nasale, malgré mes dénégations ; il la relia à une chaîne descendant du plafond au-dessus de moi, parachevant mon immobilisation. J’avais déjà mal partout, les genoux qui pesaient sur le sol, les coudes, les épaules, l’anus dilacéré, la vulve étirée, les seins, le nez, la nuque… À travers mes larmes, je vis arriver l’ultime profanation quand Raul s’avança et plaça son énorme gland devant ma bouche béante.
— J’ai vraiment envie de pisser, cette fois, avec tout le champagne que j’ai bu. Et tu vas tout boire, sinon je te massacre les seins au fouet. Bien sûr, tu feras pareil à mon père, je suis sûr qu’il en meurt d’envie.
Je secouai la tête avant de comprendre que je ne pouvais échapper à cette nouvelle humiliation. Perdue pour perdue, je tirai la langue pour montrer que je me soumettais. Il commença à uriner lentement et je déglutis, essayant de ne pas m’étouffer. Tiède, salé, à peine âcre, le liquide emplissait ma bouche aussi vite que je buvais, d’ailleurs Raul stoppa pour me laisser reprendre mon souffle. Il écouta ma respiration oppressée se calmer un peu, sourit quand je tendis à nouveau la langue.
— Bien, tu es une bonne fille, allez, bois encore…
Il vida entièrement sa vessie, cette fois. Essoufflée, je reprenais avec peine ma respiration quand son père se mit à uriner à son tour. Je déglutis comme je pouvais, mais il ne marqua pas de pause et m’emplit la bouche plus vite que je ne pouvais boire. Je m’étouffai, toussai et ne contrôlai plus rien. Le liquide chaud coula sur ma poitrine, mon torse, inonda mon visage sans que je puisse y échapper. Quand ce fut fini, monsieur Rodriguez recula avec un air victorieux peint sur son visage.
— Ta pute n’a pas été foutue de boire, Raul.
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