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Alicia et son papa

Chapitre 31

Inceste
— Je sais, papa. Mais il faut dire que tu ne l’as pas aidée.— Tu dois la punir, protesta Monsieur Rodriguez. Tu l’avais prévenue.— C’est vrai ; mais tu n’as pas été fair-play, non plus.— Foutaises ! Le fair-play, c’est un truc inventé par les Anglais pour emmerder leurs adversaires. Fair-play, mon cul oui !— Là, tu marques un point, admit Raul. Mais non, Alicia a montré qu’elle essayait de boire ma pisse. Allez, bonne nuit, chérie. Fais de beaux rêves.
Le salaud, il en a de bonnes ! De beaux rêves. Je ne vais pas pouvoir dormir une minute, c’est évident, ni seulement me détendre tellement je suis mal. Et dire que je n’ai pas protesté quand j’en avais la possibilité. Pourtant papa m’a prévenue, il m’a dit de refuser quand je ne veux pas. Raul est plus qu’exigeant, et moi, pauvre pomme, j’accepte tout ce qu’il veut. Parce que c’est lui qui demande et qu’au fond, je lui fais confiance. À croire que j’ai eu tort.
La nuit ? Je préfère ne plus y penser, tellement les secondes s’égrenaient lentement. Mon ventre était trop lourd et trop plein, j’urinai plusieurs fois sous moi en pleurant de honte. Parfois, je dus quand même somnoler, mais la souffrance traversait tous mes muscles à hurler et me réveillait aussitôt. Dans le noir complet, je dérivais hors du temps et hors de mon corps.
Quand la porte s’ouvrit, je crus à une hallucination. Dans la pénombre, je vis mon père batailler pour ouvrir la grille. Il s’approcha enfin de moi et se pencha, le visage à quelques centimètres de mes yeux éplorés.
— Bon sang, Ali, c’est à croire que tu aimes te faire traiter comme une sous-merde ! Je t’ai bien dit que tu avais le droit de refuser, non ?— Aaarg ! glapis-je.
Papa me libéra méthodiquement de tous mes liens, un à un. Le nez d’abord, les seins, l’anneau vaginal ; il me souleva, m’arrachant du monstrueux pal ; de mon anus s’écoula un flot nauséabond de matière fécale liquide.
— Putain que tu schlingues, ma pauvre fille ; c’est pas vrai...
Mortifiée, je me laissais manipuler, sans force aucune. Quand il eut fini de me libérer, il s’avéra que mes muscles ne répondaient plus. Papa me souleva et me porta dans une cabine de douche. Sous le jet d’eau presque brûlante, je revins lentement à la vie, retrouvant peu à peu l’usage de mes membres engourdis. Néanmoins, il me souleva à nouveau après m’avoir enveloppée d’une serviette de bain. Ça valait mieux, je ne suis pas sûre que mes jambes auraient pu me porter à ce moment.
Je m’endormis à l’instant où papa me posa dans un lit, mais la dernière chose dont je me souvienne, c’est son corps puissant qui se glissait sous la couette ; je me blottis contre lui et nichai ma tête sur son épaule, une jambe repliée sur sa cuisse, et je glissai instantanément dans le néant.
J’émergeai péniblement du sommeil, troublée par un étrange rêve qui m’échappa aussitôt. J’étais couchée sur le ventre, la tête enfouie dans un oreiller moelleux. Des mains massaient lentement mon dos, descendaient sur mes fesses et les pétrissaient. Je reconnus l’odeur typique du camphre et compris : papa était accroupi sur mes cuisses et il oignait et massait mon dos avec une pommade apaisante genre baume du tigre.
— Ali ? Tu te réveilles ? Ne bouge pas, laisse-moi faire. Tu vas être pleine de courbatures sinon.— Bonjour, papa. Merci de m’avoir libérée, cette nuit.— C’est Raul ? Il t’a obligée ? N’aie pas peur, dis-le-moi.— Non, tentai-je d’expliquer. J’avais le choix, j’aurais pu refuser, mais non. Je ne sais pas pourquoi, j’accepte toujours, même si je suis presque sûre que je ne pourrais pas supporter.— Ouais... Je ne peux pas faire grand-chose si tu as accepté. Je sais que tu es souple, Ali, mais quand je t’ai vue contrainte dans cette posture, j’ai cru qu’ils t’avaient obligée. Tu es bien plus maso que ta mère, tu sais. Allez, tourne-toi, je vais faire le côté face.
Papa se souleva un peu pour me laisser me mettre sur le dos, ce que je fis précautionneusement, car tous mes muscles protestaient. Je vis qu’il était nu et qu’il bandait monstrueusement, son énorme bite se dressait, congestionnée et raide, ce qui me fit sourire.
— Oh papa, tu as encore envie de moi ?— J’ai toujours envie de toi, Ali. Tu agis comme un aphrodisiaque sur ma bite, dès que tu es là, j’ai envie de te baiser.
Néanmoins, il prit de temps de me masser partout, et il le fit lentement, avec la précision d’un vrai kiné. Il pétrissait en profondeur, faisant bien pénétrer l’huile de camphre. J’étais si bien que mon ventre commença à s’émouvoir, mes aréoles doublèrent de volume pour devenir dures et avides de caresses. À peine papa eût-il fini qu’il se redressa sur le lit ; je me retournai et lui présentai mon postérieur luisant à la lumière du jour levant.
— Viens, papa, s’il te plaît. J’ai tellement besoin de toi. Encule-moi, défonce ta fille.— Je ne sais pas, tu as tellement chargé cette nuit... Je vais y aller doucement.— Papa, je te connais, dis-je en riant. Tu en es incapable. Casse-moi le cul, vas-y !
Il n’a même pas répondu, bien conscient que j’avais raison. L’amour courtois, ce n’était définitivement pas son truc. Je criai de douleur quand il enfonça son braquemart dans mon anus d’un violent coup de reins. Sans transition, il était passé de papa-poule à amant brutal. Et c’est comme ça que je l’aimais.
— Allez, papounet, vas-y plus fort, tu es bien mollasson ce matin... Ah ! Aïe ! Tu me fais mal !— Ta gueule petite pute. M’appeler papounet, c’était bon quand tu avais dix ans. Maintenant, c’est Monsieur. Et soulève-toi, que je torde tes gros nichons de salope.— Ah ! Je vous en supplie, Monsieur. Pas si fort, vous allez m’arracher le téton. Mon Dieu, c’est trop...
Non content de me sodomiser avec la puissance d’un piston de locomotive, il claquait mes fesses, tordait mes aréoles et les écrasait entre pouce et index de chaque main. De grosses larmes commencèrent à couler sur mes joues, je mordis le drap pour ne pas hurler et le supplier encore. Lui n’en avait cure ; déchaîné, il usait de toute sa force, sortait entièrement de mon anus pour revenir m’empaler aussi loin que possible. Un orgasme dévastateur monta dans mes lombes et me submergea, si intense que ma vue se brouilla un instant. Je retrouvai mes esprits au moment où mon père se vidait dans mes reins, ce qui me fit décoller à nouveau.
Trempé de sueur, papa s’écroula sur moi en respirant comme un soufflet de forge. Sans force, tout mon corps tremblait, alangui et atone.
— Ainsi donc, tu as osé jouir alors que je t’enculais. Et que je tordais tes nichons. Tu n’avais pas mal ?— Si. Mais c’était si bon... Merci Monsieur. Ça faisait longtemps que je n’avais pas joui, aussi.
Aussi, on n’a pas idée de me faire vivre perpétuellement dans un univers de sexe et de m’interdire de jouir. C’est tout bonnement inhumain. Alors tant pis, ça en valait la chandelle, un orgasme comme celui-là. Même si je dois être punie, je ne regrette rien. La frustration, c’est surfait, si vous voulez mon avis. Bon, v’là autre chose, papa n’a pas l’air content. Du tout.
Il s’était assis au bord du lit et me regardait sans rien dire. Le front plissé, il réfléchissait, et ses pensées ne devaient pas être drôles. Et je devinais que j’en étais la cause.
— Ali, quand on te donne un ordre, tu dois obéir. Y a-t-il quelque chose que tu ne comprends pas ?— Non Monsieur. Je comprends.— Tu viens de jouir, il y a un instant, accusa-t-il.— Oui Monsieur.— Alors que tu savais que ça t’est interdit.— Oui Monsieur. Je vous présente mes excuses.— Tu as joui en connaissance de cause, donc, poursuivit-il sans tenir compte de ma réponse. Tu as désobéi délibérément à un ordre direct et précis.
Je ne répondis pas, essayant de mettre en ordre mes pensées. À voir la mine de papa, c’était plus important que ce que je pensais de prime abord. Il me reprochait d’avoir joui ? C’était arrivé plein de fois, avec les vigiles, avec Madame Rodriguez aussi.
— Je ne comprends pas ce qui vous chagrine, Monsieur. Punissez-moi pour ma désobéissance, et...— Et on passe à autre chose ? Non, tu ne comprends pas, idiote. Tu raisonnes comme si nous jouions ; j’ai perdu, je suis punie. Eh bien, ce n’est pas du tout ça. En jouissant sans même chercher à te retenir, tu as trahi ma confiance. Et sans confiance, il n’y a plus rien entre nous, plus rien. Tu comprends ?— Ne fais pas ça, papa, je t’en supplie, criai-je en me jetant à ses pieds, comprenant enfin ce qui se passait.
Papa me chassait.
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