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Aline & Alex : La soubrette

Chapitre 3

Un repas coquin

Avec plusieurs femmes
Résumé:Aline et Axel ont engagé une jeune soubrette Charlotte. Axel vient de rentrer et a trouvé Charlotte en train de lécher sa femme. Celle-ci lui propose de se détendre à son tour. Aline poursuit son récit.Je viens de demander à mon mari de caresser notre nouvelle employée et avec un sourire et surtout un clin d’œil, il me montre qu’il a bien compris ce que je voulais.
— Charlotte, allonge-toi et lève ta croupe.
Elle se rallonge sur le ventre et tend son petit cul vers le haut sans même rechigner, ayant peut-être déjà compris que nous ne recherchions finalement que le plaisir.
— Voilà, écarte un peu plus les fesses, oui, comme cela...
Je me suis allongée, alanguie et je regarde le spectacle, de mon mari qui caresse doucement les deux globes jumeaux. Charlotte a tourné la tête vers moi et me regarde oui, je dirais amoureusement, en tout cas, prête à plonger...Axel fait passer lentement le bout de ses doigts sur les fesses, le haut des cuisses et je souris en pensant que sans qu’il le sache on œuvre de la même façon. Il frôle son intimité plusieurs fois et quand il la voit se tendre pour rechercher le contact, il sait cause gagnée et commence à faire plus qu’effleurer. Le spectacle est délicieux et, placée comme je suis, je vois à la fois l’action et la réaction.Axel a fait pénétrer son majeur dans la corolle de son intimité et effectue un lent mouvement de va-et-vient, pendant que de son autre main, il taquine le haut des cuisses ou tapote le léger renflement de son pubis.Elle me regarde avec un franc sourire plein de vice et lâche un gémissement.
— On dirait que ce que tu fais semble lui plaire mon chéri.— Je m’en rends compte, j’ai à peine commencé et elle est déjà bien humide.
Il caresse maintenant son clitoris qui émerge franchement de sa gangue de chair, glissant de sa chaleur vers le bouton et revenant ensuite avec une lenteur qui commence à faire saliver la jeune femme qui, à ce rythme, va bientôt se retrouver à quatre pattes à force de tendre son mince postérieur.
— Écarte tes fesses, petite coquine.
Charlotte ne se fait pas prier et, une main sur chaque fesse, se livre totalement et impudiquement.C’est beau et plein de vice, cette envie de plaisir, de soumission, cette confiance en nous pour l’éveiller... Cela m’émeut et je leur fais un grand sourire.Axel fait maintenant pénétrer trois doigts dans la petite chatte offerte, ouverte, luisante et l’index de son autre main, effleure le petit œil brun qui palpite.
Je sais qu’elle est vierge de ce côté (l’autre ayant été défloré dans un cadre qu’elle n’a pas encore dévoilé) mais détendue par ses précédents orgasmes, ses premières semaines dans un cadre détendu comme notre petite villa, elle se livre sans trop de crainte.Un petit mouvement quand Axel insiste un peu plus franchement mais devant mon sourire d’encouragement, elle se laisse aller, les yeux dans les yeux avec moi.
Axel, fin connaisseur, va très doucement tout en augmentant parallèlement le rythme de ses autres doigts. Il attend que Charlotte commence à haleter pour reprendre sa douce intromission, le doigt huilé de ses sécrétions et à force de caresses, pénètre doucement l’entrée inviolée auparavant.Il augmente insidieusement le rythme et Charlotte désormais gémit presque continuellement tant elle semble apprécier la double pénétration digitale.Le soir montant, il me fait un clin d’œil et dit :
— Bon, j’ai un petit coup de barre, je vais prendre une douche après cette petite mise en bouche
Charlotte laisse entendre un léger râle de dépit quand il s’en va et me regarde l’air d’espérer autre chose mais je lui dis à mon tour qu’elle s’est assez reposée et qu’il est temps de préparer le repas du soir.La frustration inscrite sur son visage est visible (sur son corps aussi d’ailleurs vu ses tétons et son sexe gonflé) aussi je l’entraîne dans l’eau pour la rafraîchir.Un peu plus tard, une fois plus sèche, elle revêt sa tenue et vient nous rejoindre dans la salle à manger. Sa tenue a un peu évolué depuis le début, passant de courte à très courte et ce soir quand je lui ai présenté la nouvelle, elle s’est juste exclamée qu’elle adorait cette mise en valeur;Axel qui n’avait pas encore vu sa tenue car je voulais lui en faire la surprise, me fait un grand sourire (oh que je l’adore quand il a cet air), admirant comment dire, le minimalisme. Oh on voit tout de suite que c’est une servante... Le petit tablier blanc, le petit nœud dans les cheveux, le haut noir à liseré blanc... La différence, c’est qu’il n’y a rien d’autre et que le haut est un dessous de corset en demi-corbeille pour ses seins. Elle nous sert, se tourne plus qu’il n’en faut, semble virevolter, excitée autour de nous, montrant ses petites fesses et la toison brune taillée dès que le mouvement fait se lever son petit tablier... Nous n’en perdons pas une miette, ce qui, avouons-le, était le but...
Nous mangeons un peu de notre melon au porto, et les choses commencent.Axel et moi discutons d’un voyage que nous prévoyons tout en caressant l’air de rien les fesses de notre domestique dès que celle-ci passe près de nous. Charlotte, complice et dans le ton du jeu fait comme si rien ne se passait... Et surtout passe et repasse sans besoin, même si son service la conduit à faire des va-et-vient entre nous, puisque nous avons fait exprès de nous mettre à chaque bout de la table. Quand elle repasse chez moi, je lui caresse les fesses avant de la renvoyer vers mon mari qui en profite pour jouer avec les boucles de sa toison ; avant qu’elle ne revienne vers moi qui titille de l’ongle son téton droit, puis Axel effleure comme il sait si bien le faire le creux de son dos, avant que je ne reprenne le relais pour titiller son bouton déjà tendu et humide.A chaque demande de sel, de verre à remplir, de serviette à ramener nous en profitons et il devient de plus en plus dur pour Charlotte de feindre l’impassibilité, surtout quand j’introduis un doigt dans son intimité ruisselante tout en lui disant "voyons ma fille, arrêtez de gigoter quand vous servez à boire"Le jeu érotique se poursuit dans une ambiance chargée de sensualité, d’attente, de lourds parfums capiteux et musqués...Axel lui demande enfin de le rejoindre et lui déclare que comme il veut me faire passer un message mais que je suis trop loin, il l’embrasse à charge pour elle de me transmettre son amour.Charlotte vient donc me rendre le baiser de mon mari, évolution du jeu sensuel à trois entamée. Je ne suis pas en reste et fais revenir Charlotte de mon côté ; plonge mon index dans mon intimité bien humide (Ai-je oublié de mentionner que nous sommes nus ?), fais sucer mon doigt à Charlotte et la renvoie vers Axel. Elle s’empresse de revenir vers moi, heureuse de jouer, plonge un doigt dans son vagin brûlant et le donne à sucer à mon homme en lui disant " de la part de Madame ".
Rien qu’à voir son air ravi, je me sens de plus en plus inondée. Ce jeu en retenue, en tension, j’adore.Il franchit encore un seuil en lui faisant écarter les cuisses et, soulevant son minuscule tablier blanc, la lèche lentement... Elle a les yeux quasi révulsés, les lèvres tremblotantes et s’accroche à son plateau comme un nageur fatigué à sa bouée. Elle revient vers moi, échevelée et impatiente. J’ai déjà écarté les cuisses pour qu’elle me délivre les attentions de mon mari. Elle joue délicieusement de la langue pour délivrer son message et je ne peux me retenir de plaquer son visage contre ma chatte pour profiter du moment. Je souris à mon mari, embrasse Charlotte quand elle se relève, le visage encore couvert de mon suc et à peine un mot prononcé qu’elle va vite l’embrasser. Nous ralentissons le jeu pour la faire à nouveau languir même si je l’avoue c’est très difficile pour moi aussi.Je la fais revenir vers moi et la caresse longuement, enfonçant deux doigts dans sa petite chatte baveuse. Quand elle commence à tressauter sur place, je l’admoneste un peu et la renvoie vers Axel. Lui aussi la caresse, l’amenant au bord de l’orgasme, elle s’agrippe à la table, manque faire tomber un verre. Elle ne parvient plus à jouer l’indifférente et s’empale sur les doigts inquisiteurs qui la fouillent. Je la vois au bord de l’abîme et fais un clin d’œil à mon coquin qui la renvoie à nouveau vers moi (elle en aura fait des allers-retours !)
— Charlotte vous pensez pouvoir chercher mon dessert ?
Je sais car nous en avions discuté un peu qu’elle a à peine pratiqué la fellation lors d’une fugitive amourette, mais qu’elle aimerait bien essayer plus. Dans son état présent de tension, elle ne pense plus à freiner et se rend sans hésiter auprès d’Axel qui lui présente son sexe tendu car évidemment tout le monde aura compris quel dessert je veux.Je me penche un peu pour voir la scène et note qu’elle n’a pas hésité et a embouché le gros sexe de mon époux. Sa fellation semble un peu hésitante, voire malhabile et je me promets de lui apprendre plus tard mais là, ce repas à visées tout autres que culinaire a excité tout le monde. Axel commence à haleter et nous nous fixons dans les yeux, chacun lit les reflets pervers dans ceux de l’autre et c’est terriblement bon d’être si complices.Elle s’enhardit un peu et lèche le bout comme une glace avant de le reprendre en bouche et de faire des allers-retours. Je lui apprendrais les gorges profondes mais là, de la voir regarder mon mari, je veux juste profiter de l’instant.
Lui aussi est terriblement excité et ne contrôle plus les mouvements de ses hanches qu’il projette en avant, je le sens se crisper et, enfin se lâcher dans un long soupir en jouissant dans la bouche accueillante de la jeune femme.Les joues gonflées, le regard fou, Charlotte vient vers moi et me donne sa semence dans un baiser haletant. Nous partageons le dessert dans un ballet de langue affolant, serrées l’une contre l’autre, nos seins comme collés, mes doigts en elle qui la caressent, elle jouit enfin dans un grand cri.Je la regarde, elle manque de défaillir, vaincue par le plaisir si longtemps refusé, des traces blanchâtres à la commissure des lèvres et dans le cou qui ont coulé durant notre baiser, le regard éperdu d’amour, de sensualité partagée et je lui dis enfin en profitant que nous ayons toutes deux repris un peu d’oxygène.
— Et maintenant, au lit, vilaine fille...
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