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Aline, le dressage

Chapitre 1

Erotique
-Regarde là, derrière son guichet, elle n’arrête pas de te regarder, elle te suit du regard chaque fois que tu passes me dit mon collègueCela faisait quelques mois que j’avais été muté dans ce bureau agence de la grande entreprise ou je travaillais. J’avais déménagé dans cette région et ne connaissais personne il y avait donc me dis-je des possibilités avec cette nana. Renseignements pris c’était une petite dame Aline, bon chic bon genre, veuve depuis un an ou deux, trente cinq ans, ça devait certainement commencer à la chatouiller entre les jambes mère de quatre enfants, un garçon et trois filles dont deux... mmmmmm assez canons mais ceci est une autre histoire que je ne tarderai pas à raconter.Discrètement, je fis des approches pour prendre contact sans trop montrer mon intérêt. Échange de banalités, elle était souvent vêtue classique, petite bourge et c’est là que je me suis dit : » toi tu vas devenir ma salope, je ferrai ce que je veux de toi, tu vas être ma chose, mon jouet que je prêterai à d’autres hommes ou femmes quand et ou je le voudrai. Ma décision était prise cette Aline allait devenir mon objet.En fait c’est elle qui me proposa un jour d’aller au ciné ensemble je l’avais appâtée. Pourquoi pas dis-je d’un air détaché en ayant l’air de ne pas y toucher, fallait bien commencer par du commun et j’avais envie de la freiner pour pouvoir lorsque je le déciderai tirer les cales et en faire la plus salope que je n’ai jamais eu...Le jour vint, le film se passe, je lui fais une très légère avance je lui prend la main, c’est tout la pression de sa réponse me fit comprendre qu’elle avait envie de...mais doucement je veux qu’elle tire la langue qu’elle supplie de se faire baiser pour pouvoir avancer dans mon projet d’en faire une machine à baiser...A la fin du film, je lui propose de prendre un verre chez moi dans sa réponse affirmative je sens déjà une certaine excitation...tu auras juste un peu pensais-je il faut que je me maîtrise pour que ses envies de bite ou plutôt de bites, mais ça elle ne le sait pas encore, l’empêche d’avoir des remords de moralité. Assise à côté de moi dans la voiture je regardais ses jambes elle avait une jupe assez stricte mais fendue ce qui me laissait voir ses jambes qui ma foi était assez jolie et je devinais qu’elle avait des bas et non ces stupides collants. Chez moi, à mon invitation à s’asseoir, elle préféra le divan à sa déception je pris le fauteuil en face d’elle, moi j’avais plus une vue d’ensemble et je compris que en fait elle aimait que je la regarde. La femelle voulait de la bite mais elle allait être déçue, je la voulais salope et elle ne l’était pas encore assez pour moi ce n’est qu’une question de dressage avec une petite mère modèle fallait que je manœuvre bien pour en faire une parfaite petite pute en mon pouvoir.Lui apportant un verre de vin je m’assis à côté d’elle et repris la position bêtement main dans la main. La fente de sa jupe s’était déjà ouverte un peu plus et lorsque je l’embrassai, je compris qu’elle en voulait, qu’elle en voulait. C’est la que je devint certain que j’arriverais à faire de cette mère poule une poule baiseuse. Lorsque ma main glissa le long de sa jambe j’entendis un mmmmmmmmmmm de satisfaction...connasse tu crois que c’est toi qui est arrivée à tes fins pensais-je tu vas voir...Ma foi elle embrassait divinement sa langue s’entortillait autour de la mienne bougeait sans cesse passait de la mollesse tendre à la fermeté de celle qui veut découvrir.— j’aime ta façon d’embrasser dit-elle— toi aussi dis-je tu as une langue qui me fouille et joue bien avec la mienne.— Nos deux langues s’entendent à merveille. Et moi de penser : ta langue va falloir qu’elle aille un peu partout, qu’elle serve pour lécher ma bite et celles que je te dirai de lécher. Perdu dans cette pensée, distraitement ma main n’arrêtait pas de monter le long de sa jambe, c’est bien ce qu’il me semblait elle avait des bas et un porte jarretelle !!!! J’adore ça comme beaucoup d’hommes je pense.La manière d’écarter les jambes dès que j’approchais de sa culotte me confirma dans l’idée qu’elle était une salope qui s’ignorait. Doucement me dis-je tu dois, aujourd’hui, juste l’exciter à mort faut qu’elle bave et te supplie de baiser. Au contact de sa culotte je m’aperçois qu’elle est trempée...elle mouille comme une fontaine.— Tu as des mains douces— oui, ta culotte me fait penser que tu aimes ça...— Oooooh oui, depuis le temps qu’on ne m’a plus touchéeJe passe un doigt sous l’élastique de sa culotte— mmmmmmmmmmm— Tu aimes ? Dis-je en fouillant sa toison à la recherche de la source de rivière— mmmmmmmmmm  !!!! oooooh Ouiiiiiiii ton doigt...Trop tard mon doigt commence à la pénétrer elle veut enlever sa culotte, je la laisse faire en me disant surtout ne pas la baiser aujourd’hui. — Ce sera plus facile comme çà dit-elle achevant de tirer sa petite culotte.— Mon doigt a été rattrapé par un deuxième dans con et joue les va et vient en frôlant le clitoris— Aaaaaah c’est bon, Ouiiiiiiii....Ma bouche ferme la sienne en un baiser endiablé les langues jouent de nouveau ensemble trois doigts maintenant s’enfoncent dans sa chatte...et elle m’encourage à y aller plus fort encore en appuyant sur ma main qui la pénètre pendant que l’autre lui caresse les seins qu’elle a de la taille de la main d’un « honnête homme » j’ai le sentiment que jouer avec ses seins l’excite encore plus ! Elle aime ça aussi la petite pute !!!— prends moi, fais moi l’amour, je te veux — laisse moi jouer avec toi, j’aime comme tu es trempée, mes doigts sont mouillés de ton jus. Tu sais que tu es bonne ?— On ne m’a jamais dit ça faut dire aussi qu’on ne m’a pas souvent joué avec mon corps— Et ton mari ? Il fallait que je la secoue un peu tout en maintenant l’excitation— Mmmraaaaaaaaahh dit elle et arrivant à marmonner luiiiii juste faire l’amour, pas de raaaaaaaaah comme çàààààààà...— Et haletant elle me dit encore prends moi, fais moi l’amouuuur s’iiiiil te plaiiiiit.C’est là que j’ai compris que j’allais pouvoir en faire ce que je veux, une salope de femme, une suceuse, bref le corps qui allait assouvir toutes mes envies. Mais surtout il fallait la laisser sur sa faim, meilleure sera la suite des évènements et du dressage de cette bourgeoise qui lentement glissait vers le point de non retour. — Inventant un prétexte à la con genre je ne veux pas que tu « couches « le premier jour tu vaux plus que çà....je lui dis que on se reverrait demain au bureau, elle retourne chez elle...elle bavait la salope par la bouche et par sa boîte à mouille...elle en a oublié sa petite culotte sur le sol, un trophée !!!! Je vais en faire la plus pute des maman bourges. Elle allait apprendre le verbe sucer en nombre et en genre et à tout les temps de la conjugaison....
Mais là est une autre histoire (des autres histoires) car je ne me suis pas arrêté à elle, n’oublions pas qu’elle avait deux splendides filles et moi une autre maîtresse, Véro, que je voulais faire lécher par Aline...
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