Chapitre 2 Quelques instants plus tard, ils se retrouvent au salon, juste vêtus de peignoirs légers mis à disposition par la résidence. Audrey et Alex l’ont déserté. Les petits rires et les gémissements émanant de la chambre située à côté laissent peu de doute sur ce qu’il s’y passe.« Je crois qu’Audrey et Alex avaient très envie de se retrouver ! » chuchote Mat.En d’autres circonstances, Aline en aurait éprouvé de la colère et de la jalousie, malgré ses relations très distendues avec Alex. Mais, là sincèrement elle s’en foutait complètement ! Et puis après ce qu’il vient de passer avec Mat dans le jacuzzi … « J’ai très envie de mettre de la musique. Tu permets Mat ?» interroge Aline.Elle dégote un CD de Zouk qu’elle s’empresse de mettre dans la chaîne, le son à fond et se met à se déhancher, une nième coupe de champagne à la main. Mat rit aux éclats de la voir faire, avachi dans le canapé, le peignoir largement ouvert sur son torse musculeux et ses attributs indécemment exposés. Complètement désinhibée, sans doute par l’alcool et la tournure qu´a prise la soirée, Aline grimpe sur la table basse face à Mat. Déchaînée par cette musique qu’elle adore, elle entame pour lui une danse d’un érotisme torride, la ceinture de son peignoir défaite. « Cette musique me rend folle ». Le corps en mouvement, elle ébouriffe ses cheveux noirs aux mèches décolorées, dénude ses épaules, dévale ses flancs, caresse ses cuisses, explore son intimité, pétrit ses seins … Cavalcade brûlante de ses mains sur son corps qui ne laisse pas Mat indifférent, captivé par sa danse, la verge en érection. D’un petit signe du doigt pour lui intimer de s’approcher, Aline jambes écartées, bassin projeté à l’avant et main sur les hanches dans une position totalement impudique et provocatrice : « Tu as adoré me regarder me caresser tout à l’heure ? Et bien dévore la maintenant !!» Mat, genoux à terre à ses pieds, glisse son visage entre ses jambes, embrassant la douceur de l’intérieur de ses cuisses, avant que de sa bouche il ne s’empare de son sexe ruisselant. Sarabande de sa langue entre ses lèvres, qu’Aline, accrochée aux cheveux de Mat, accompagne d’un léger mouvement de hanche la tête rejetée à l’arrière, un léger rictus déformant sa bouche. A cet instant plus rien n’existe autour d’elle, que le besoin d’écouter son corps et de goûter intensément à son plaisir … Sa langue s’insinue dans la fente qu’il entreprend de parcourir avec ardeur. Affolée par ses allées et venues entre son petit bouton et l’orée de son antre, c’est un redoublement d’effluves lorsque la pointe de sa langue excite délicatement le clitoris bourgeonnant, ou lorsqu’elle pénètre légèrement par l’orifice de son vagin. L’incendie la consume, Aline n’a plus qu’une envie qui l’obsède, se laisser posséder et jouir à en perdre pied. Lorsque les doigts de Mat se joignent à sa bouche pour pénétrer son antre incandescent d’un lent va et vient, elle ne peut retenir de petits cris. Leur lente glissade et leur frottement contre la paroi intime t’affole. Hors maîtrise de son corps et de son plaisir, son vagin se contracte pour les enserrer et les retenir dans ce mouvement qui s’accélère progressivement. Et les lèvres de Mat qui pincent, sucent et aspirent toujours son petit bouton érigé. Aline gémit, des millions de décharges électriques à fleur de peau. Elle ne peut résister plus longtemps. Mille feux s’allument dans son ventre, une myriade d’étoiles dans les yeux. Son corps s’arque-boute vers l’explosion de ses sens que trahissent de petits gémissements .... ouiiiiiiii !!!! Ouiiiii !!!! Elle crie son plaisir alors qu’elle jouit en coulant abondamment dans la bouche de son partenaire. Un orgasme intense, dévastateur, lui vrille le corps et se prolonge indéfiniment.Aline, reprenant ses esprits : « merci Mat ! J’ai adoré ! »« tu as une si jolie petite chatte que je n’ai pas pu résister à la déguster » « c’eût été dommage … pour moi ! » ajoute Aline dans un petit rire complice en déposant un léger baiser sur ses lèvres.« Je ne me suis jamais sentie aussi libre, belle et désirable qu’en ce moment ! »« belle !? très belle même ! désirable ? Je te le confirme »
lui répond Mat en entrouvrant son peignoir sur sa queue bandée. « je crois qu’il est temps que nous préparions le dîner, Alex et Audrey ne vont pas tarder à faire leur réapparition ». Quelques instants plus tard, tout le monde est réuni autour de la table. Les discussions coquines décomplexées vont bon train et ponctuées de fous rires, sous l’impulsion de Mat. Juste un discret échange un peu froid entre Alex et Aline au début du repas. « Je suis désolé Aline, j’aurais dû t’expliquer et te prévenir» « Laisse tomber tes explications, nous réglerons ça plus tard. Mais dis toi bien que moi aussi je vais en profiter un maximum ». Sans trop savoir ni pourquoi ni comment le sujet est venu sur la table, la conversation roule sur la capacité masculine à résister à une fellation. Plus de 5 minutes selon les deux hommes, moins de 5 pour les femmes. « Viens Aline ! Nous allons bien voir ! Des actes valent mieux que de longs discours ... » rit Audrey en se glissant sous la table entre les jambes d’Alex, bientôt rejointe par Aline qui s’agenouille entre celles de Mat. Il ne lui faut que quelques secondes pour redonner une belle vigueur à la verge dodelinante de sa victime. Intégralement épilé, son sceptre est orné de deux belles boules à la peau toute lisse comme elle aime. Sa colonne aux dimensions et au diamètre très honorables est couronnée d’un beau gros gland tout rose et déjà humide. Vision gourmande qu’Aline ne veut pas rompre trop vite. La regarder vibrer ! Imaginer l’honorer ! Rêver lui extraire sa liqueur ! Avec légèreté, ses doigts parcourent la peau tendue de ses bourses gonflées de foutre, remontent son sceptre érigé, avant de titiller le gland offert à sa convoitise. Doucement ! Pas trop vite ! Le faire supplier de poursuivre plus ardemment ! Son sexe se tend, oscille sous la caresse, attend des gestes plus précis et libérateurs. Comment ne pas se repaître de ce spectacle, profiter de cette montée de son désir ? Mat, plonge ses yeux suppliants dans son regard et de ses mains il attire sa tête vers son phallus, demandeur que son entreprise trop attendue et espérée débute. Aline, glissant sa main sous ses parties pour les soulever, entreprend d’en lécher la peau douce et tendue. Délicatement elle prend en bouche une de ses boules qu’elle enrobe de sa langue avec douceur pour ne pas lui faire mal. Les doigts de Mat se crispent dans les cheveux, signe du plaisir qu’il ressent. Alternance de caresses sur ses parties. Elle les roule lentement, avec délicatesse, guettant les réactions excitées de son partenaire. Torride ! Puis sa langue part à l’aventure, le long de sa colonne dressée aux veines gonflées par l’envie. Une longue exploration pour en découvrir toutes les parcelles. De bas en haut, de haut en bas, encore et encore. La découverte de son gros gland rosé, que cent fois sa langue excite ! La respiration de Mat se fait plus courte, saccadée, qu’accompagnent quelques grognements de satisfaction. Et ses mains dans les cheveux toujours plus insistantes. Aline ouvre la bouche pour téter son extrémité et ses mains agrippent sa tige qu’elle branle par de fermes va-et-vient. Les grognements de Mat se font plus sonores, et son bassin accompagne les mouvements sur sa queue. De sa langue, elle enrobe le méat et titille la petite fente d’où jaillira bientôt la liqueur ! Ses gestes le long de sa verge se font plus rapides, poussant l’excitation de sa victime à son comble. D’un coup de rein peu élégant, il pousse en avant pour qu’elle l’avale jusqu’au fond de sa gorge. Qu’importe s’il se sert de sa bouche comme d’un vagin, elle aime sentir les allées et venues de son phallus du bord de ses lèvres au fond de son gosier. La hardiesse de ses coups de hanche est annonciatrice de son explosion imminente. Les premières giclées de sa liqueur inondent la bouche d’Aline de son liquide chaud et sucré. Elle le branle encore plus vigoureusement pour que son jet ininterrompu arrose son visage et ses seins, prenant un malin plaisir à lui extraire jusqu’à la dernière goutte de sa semence. Se relevant vivement, suivie de peu par Audrey, la bouche encore pleine elle embrasse Mat et, espiègle, lui chuchote à l’oreille : « Tiens je te rends ce que tu m’as donné … en moins de 5 minutes il me semble bien ! ». Puis elle s’enfuit prestement vers la salle de bain pour débarbouiller les stigmates abandonnés par Mat. (À suivre)
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