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Aline et nos époux

Chapitre 1

Lesbienne
La dernière fois que nous nous sommes rencontré, c’était chez moi. Nous étions deux couples amis mariés. Nous bavardions de tout quand j’ai proposé de jouer un peu de piano. Je ne suis pas une virtuose, je ne fais que me débrouiller pas mal. Aline est derrière moi, je sens son odeur de parfum un peu entêtante, assez excitante. Elle connait un peu de solfège pour tourner les pages de la partition. Nos époux nous regardent, le sien particulièrement :— Tu sais chérie, te devrais d’y mettre à jouer d’un instrument de musique, c’est divertissant.— Je joue de la trompette avec toi.Je me demande comment elle peut jouer de la trompette : en réfléchissant je comprends enfin ce qu’est la trompette : elle doit sucer son époux. Mon mari, satisfait de ce que je fais vient aussi derrière moi. Il pose ses mains sur mes épaules en les massant un peu. Il connait mes points faibles. Ce genre de massage m’excite toujours. Je sens ma chatte se mouiller. Surtout qu’Aline en tournant les pages s’appuie sur mon dos. Je sens également sa poitrine sur moi. Je suis obligée d’arrêter pour ne pas faire de fausses notes. Je retourne vers les deux hommes accompagnée d’Aline. Sans le faire exprès ma robe remonte sur mes jambes ; Je suis complimentée par les deux hommes qui me trouvent fort sexy : mon mari a de la chance de m’avoir dans son lit. Je proteste en disant que c’est moi qui suis la chance de lui permettre de venir dans mon lit. Tout le monde rit, sauf Aline qui me regarde bizarrement. Je me demande ce qu’il lui prend quand elle me prend par la main. Elle ne se gêne pas pour me caresser. C’est doux, elle fait comme si nous nous connaissions intimement. Je suis troublée quand je la regarde, elle sourit légèrement. Je remarque qu’elle est sexy pour un homme. Je ne sais pas encore pour une femme : je la trouve quand même à mon gout. Les hommes commencent à parler de politique, ce que ne nous intéresse pas du tout.Entre femmes le courant passe vite sur d’autres sujets légers. Nous arrivons à parler de la seule chose qui compte pour nous en ce moment : le plaisir sexuel. De fil en aiguille elle me dit que je lui plais beaucoup que si elle était un homme elle me rendrait un hommage appuyé. Elle reprend ma main pour la caresser.A force elle me donne envie d’aller bien plus loin avec elle. Nous nous levons devant les deux maris qui nous regardent un peu surpris. Nous sommes collées prête à échanger un baiser. Normalement nous devrions attendre d’être seules mais je ne sais pas ce qui nous pousse : nos bouches s’ouvrent pour laisser le passage aux langues.Notre baisser n’est pas feint du tout. Il a l’avantage de nous donner envie d’aller jusqu’au bout. Aline a commencé, elle continue en levant mon t-shirt pour passer sa main sur mes seins. Je les sens bien grossir, comme mes tétons. J’ai envie. De mon coté j’arrive à lever son chemisier pour trouver l’ouverture de son soutien gorge. A force de faire nous nous retrouvons torses nus, à la grande joie des époux. Nous n’hésitons pas un seul instant à nous caresser les seins avant de passer bien plus bas. La main d’Aline commence la première à passer sa main par-dessus la jupe sur la chatte. J’accompagne son mouvement en avançant mon pubis pour qu’elle arrive à toucher mon petit bouton.Plus le temps passe et plus j’ai envie d’elle. A mon tour je passe ma main sur sa jupe pour arriver à la mettre dessous. Je monte entre ses cuisses. Elle écarte ses jambes : j’arrive facilement à son trésor : dommage, elle a un string. Il faut que le l’écarte un peu pour passer un doigt qui se dirige seul vers son clitoris. Je commence mon travail de sape quand elle m’en fait autant. Nous nous masturbons devant nos maris qui ne peuvent que nous regarder. Aline trouve le moyen de faire tomber ma jupe : je suis presque nue, portant seulement un soutien gorge défait dont je me débarrasse rapidement. Nous profitons de notre nudité pour nous coucher sur le tapis. Les caresses se multiplient sans cesses, surtout sur le pubis, entre les jambes, sur les sexes et les culs. Je ne pensais jamais qu’une autre fille me touche et me fasse du bien à cet endroit. A force de chercher la bonne position, nous nous retrouvons en 69. Nous connaissons bien sur cette façon de faire avec nos hommes. Normalement nous suçons une bite, mais là nous nous trouvons devant un vide, sinon un sexe de fille. Les langues entrent en action : nous léchons tout ce qui se présente, même les trous du cul. Aucun complexe entre nous, même pas la présence de nos maris que nous trompons. Les plaisirs échangés nous font jouir plusieurs fois. Nous devenons déchaînées. Mais fatiguées, nous cessons de baiser. Avant de nous séparer nous nous donnons un rendez vous secret : le lendemain après midi chez moi : mon mari est absent. Bien sur nos hommes se sont déshabillés pour nous baiser avec changement de partenaire. Au fond ils ont raison de profiter de la femme de l’autre puisque nous avons baisé. Je ne sais pas pour Aline, moi je me trouve avec une belle bite dans le cul : j’en jouis.Le soir, nous aurions pu continuer chacun chez soi : notre couple solide se contente de masturbations. J’ai su plus tard qu’Aline avait eu la même nuit avec son mari.Enfin nous nous retrouvons seules, nues sur le même lit. Nous avons en tête une seule pensée ; jouir entre filles. Cette fois nous n’avions même pas l’excuse de nous tenir un peu devant nos hommes. Toutes les folies étaient permises, même les plus audacieuses. Jouir, autant faire tout ce que nous voulions. Nous en voulions des choses, à commencer par un 69 particulièrement vorace. Nos langues étaient sur les clitoris, bien sur, mais aussi dans les puits et les culs. Pour ma part j’avais ma langue sur son bouton et deux doigts de la main droite dans le vagin pour la baiser. Ma main gauche était destinée à son anus. Je n’hésitais pas à la sodomiser avec deux doigts d’abord avant d’en mettre quatre. J’en recevais autant dans mon rectum. Nous avons essayé de nous caresser les clitoris avec celui de l’autre : c’était une gymnastique abominablement compliquée. Nous l’avons vite abandonné pour venir à ce qui était disait-on à la mode.Nous étions mi-assise, les hanches réunies, les jambes écartées avec les mains contre les entrées de nos sexes. Sans forcer nous avons entré les doigts d’une seule main dans le puits de l’autre puis en forçant un peu le poignet. Bien sur nous avions entendu parler de cette nouveauté, bien sur nous faisions tout ce qu’il fallait pour faire jouir l’autre. Les résultats étaient que nos soupirs et plaintes n’étaient pas feintes que nous jouissons sans cesse, au point de faire durer notre union très longtemps, même si nous demandons quelque fois à l’autre d’arrêter un instant pour respirer. Le résultat plusieurs demi-heures plus tard était que nous ne cessions pas ces baises.Par contre quand nous avons arrêté nous n’étions plus bonne à rien. Nous étions blotties, les bouches réunies pour un baiser qui n’en finissait pas. Pourtant nous étions décidées à recommencer la semaine suivante. Nous essaieront la même chose, mais dans le culs.
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