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Aline et Odette

Chapitre 1

Lesbienne
Il y a quelques années, j’étais surveillante dans un dortoir de filles de 16 à 18 ans. Ce genre d’établissement n’existe malheureusement plus. Mon rôle consistait à veiller à la bonne tenue des élèves pendant la nuit, certaines n’hésitaient pas à coucher à deux ou plus avant de s’endormir pour se faire des câlins. Si en début d’année scolaire je veillais au grain, vers la mi trimestre je commençais moi aussi à avoir des envies. J’attendais à peu près une demi heure pour laisser les élèves s’endormir avant de me déshabiller, me poser sur le lit, et me caresser. Auparavent j’avais eu le temps de remettre dans son lit toujours la même fille amatrice de chair féminine. J’avais des fantasmes qui portaient justement sur elle. J’avais vu assez de son corps presque nu quand elle retournait sur son lit. Qu’elle se branle m’excitait toujours un peu, qu’elles le fassent à plusieurs je ne pouvais pas l’accepterJe rêvais d’avoir Aline près de moi, sa poitrine contre la mienne, son pubis contre le mien et surtout nos langues mélangées dans les bouches. Je savais qu’elle aussi se masturbait le soir, j’avais pu voir son drap bouger par sa main fixée vers sa chatte. Je me servais souvent de mon gode pour me le mettre au derrière. Je le bloquais contre le drap du dessous pour qu’il ne sorte pas, ma main droite caressait le reste de ma chatte. Je changeais souvent d’endroit, même si mon plaisir principal venait du clitoris et de mon cul. Je faisais toujours attention de ne pas gémir ni de crier en ayant un orgasme, sinon j’aurais alerté toutes les filles qui pour certaines n’étaient pas si sottes pour comprendre la signification des gémissements. Pourtant un soir l’inévitable arriva. Vers 23 heures, je me lève à l’improviste sur une idée de voir ce qui se passe dans le dortoir. Aline est sur son lit, nue, elle se masturbe sans bruit. Je vois dans la pénombre qu’elle a les yeux fermés. Elle prend comme il faut son plaisir: je regarde de plus près, ses jambes sont grandes ouvertes, ses deux mains y sont occupées. Si je vois une main, la droite caresser son clito, je ne vois pas où est l’autre, dans son vagin, dans son cul, allez savoir. De légers soupirs montrent qu’elle aime ce qu’elle se fait. Je fais ce que je ne devrais jamais faire: je me penche sur elle pour l’embrasser. Toujours dans son plaisir elle ouvre sa bouche pour recevoir ma langue. Je l’embrasse un long moment: je suis trempée je voudrais lui faire l’amour. Soudain elle revient dans la réalité: elle a joui certainement. Son sursaut ne provient pas tellement du baiser, mais des caresses sur les seins que je fais en même temps. Pour qu’elle ne réveille pas les autres, je lui pose ma main sur la bouche. Je murmure mon ordre,— Prends ta chemise de nuit et suis moi dans la chambre.Elle obéît sans pouvoir dire un mot. Chez moi elle remarque le gode dont je venais de me servir. Du coup je dois lui paraître plus accessible. Elle pose son vêtement sur le dos de ma chaise. Je la fait asseoir au bord du lit, je quitte ma robe de chambre sous laquelle je suis totalement nue, sauf ma toison intime. Je reprends sa bouche: cette fois le baiser est encore plus poussé, c’est surtout elle qui vient dans ma bouche, qui me lèche les lèvres. Aline est encore plus sensuelle que je le croyais. Et elle a à peine 18 ans. — Tu sais, je ne suis pas vierge depuis longtemps.— Raconte pour voir, moi je me suis faite dépuceler vers 15 ans.— C’était pour mon anniversaire, j’avais à peine 13 ans. Ma mère avait organisé une petite fête en invitant presque toute ma classe, avec bien sur le garçon que je préférait qui m’avait embrassée le premier. Nous étions fin juin, il faisait chaud, nous sommes allés nous baigner dans notre piscine. Ma mère ne nous surveillait pas, alors il m’a entraînée sous un arbre, m’a embrassée longuement, a mis sa main sous ma robe, je l’ai laissée faire. Il a posé sa main sur mon sexe qui mouillait. J’avais envie qu’il aille plus loin: il m’a masturbée, c’était bon, j’ai jouis. Alors j’ai forcé pour sortir sa queue et quand il l’a eu dehors, il est venu sur moi, gentiment il l’a entrée dans mon ventre. Il m’a fait un peu mal quand il est entré. Ensuite quand il jouissait au fond de mon ventre j’ai joui. C’était très bon, depuis j’aime jouir.— Maintenant tu as envie ?— Avec vous, oui. Je ne l’ai jamais fait complètement avec une autre fille, à chaque fois vous veniez. — Je vais te montrer comment bien jouir avec une autre femme.Je l’ai fait mettre au bord du lit, les jambes bien écartées. Je l’ai branlée lentement pendant qu’elle gémissait. Elle a eu trois orgasmes. Nous nous sommes encore embrassées longuement. Cette fois c’est moi qui léchait ses lèvres. Elle me caressait la poitrine que j’avais à peine plus grosse que la sienne. Je me suis tournée pour avoir ma bouche très près de sa chatte mouillée. Je n’ai pas eu besoin de lui expliquer la suite; elle s’est bien allongée sur le dos, je suis venue sur elle. J’ai léché son ventre pour aller jusqu’à sa chatte. Mon Dieu qu’elle sentait bon et quel goût de jeune femme elle avait. J’ai léché le haut de sa chatte, j’écartais ses lèvres intimes, je faisais sortir le clitoris. Quand j’ai enjambé sa tête elle m’a rendu presque de suite la caresse. Nous avons joui toutes le deux presque ensemble, elle la première. Je sentais avec plaisir ses cuisses contre mon visage, je suppose qu’elle devait ressentir la même chose que moi. Aline ne m’a jamais stoppée quand je suis allé sur son anus. Au contraire elle me disait des mots qui m’excitaient:— Oui, lèches moi le con, lèches moi le cul. Mets tes doigts dans le con et le cul, j’aime bien ça. Putain, que c’est bon. Je vais te rendre tout ce que tu me fais salope. Encule moi. — Je n’ai pas de bite pour te sodomiser.— Si tu as un gode, encule moi avec.Je n’ai eu qu’à tendre le bras pour me saisir de ce gode. J’arrête le 69 pour lui mettre deux doigts dans le vagin. Je les fait aller et venir. Quand elle me semble assez mouillée, je lui prend de sa cyprine que l’étale sur son cul. Le gode entre facilement. J’en suis étonnée. Elle a du se faire mettre par ce trou plus souvent que je le croyais.Comment imaginer qu’une fille de son âge soit si dévergondée. Au fond je ne demande pas mieux: elle se taira sur notre relation. J’alterne les coups de godes et des doigts: Elle accompagne mes mouvements. Aline ne tarde pas à se tendre comme un arc, la tête bloquée sur l’oreiller et les talons contre le drap. Elle mort ses doigts dans sa bouche pour ne pas hurler son plaisir. Pour la soulager et moi aussi, je pose ma chatte sur sa bouche. Elle ne fait pas dans le détails, elle lèche partout tout ce qu’elle trouve et elle en trouve de petits coins sensibles, même sur l’anus où elle n’hésite pas à entrer sa langue durcie. Nous nous endormons serrées. Heureusement que le réveil sonne plus tôt pour moi: elle remet sa chemise de nuit pour rejoindre son lit. Le lendemain la journée est calme; elle ne fait aucun geste, elle m’ignore totalement. Par contre le soir, Aline attend un bon moment avant de revenir chez moi. J’ai décidé de lui faine connaître un autre plaisir que seules les filles qui aiment les filles pratiquent quelque fois. Nous sommes allongées en début d’opérations, nous écartons les jambes assez pour que nos boutons se touchent. Nous nous redressons presque assises pour que nos clitoris glissent l’un sur l’autre. Nous jouissons plusieurs fois sexe à sexe. Elle adore: pour me remercier elle me lèche encore les lèvres. Elle tient quand même à faire un 69. Elle aime mon goût qui l’excite. Elle adore que je l’encule en même temps. Moi, je dois attendre qu’elle veuille me sodomiser. Je me masturbe toujours pendant cette pénétration. Elle me lèche toujours les lèvres: ça m’excite toujours. Pour les vacances Aline me demande de venir chez elle. Je n’ose pas trop faire ce qu’elle voudrait. Pourtant dès le premier soir elle vient dans ma chambre pour baiser à nouveau. Elle ne peut se passer de moi, même si elle a converti une de ses copines. Il nous arrive de nous trouver à trois. Sa copine, Odette, mon autre amante est aussi dépravée qu’elle. Plus par certains aspects. Elle se branle souvent devant nous avec une serviette de toilette qu’elle entre dans sa chatte presque en entier. Ainsi son clitoris, son vagin et son cul profitent des même mouvements qu‘ellle fait à deux mains pour être bien remplie. Sa tête va dans tous les sens, elle gémit fortement, et pousse comme un cri de souris en jouissant. Elle me propose de me baiser avec sa serviette. Je suis à la recherche de nouvelles façons de jouir, aussi je ne me dérobe pas. Je suis bien entourée avec Odette qui me caresse en me branlant à sa façon et me caressant les fesses pendant qu’Aline s’occupe de ma bouche en la léchant. Mon orgasme est des plus puissants que je n’ai jamais connu. Quand elle sort la serviette, je sens comme un grand vide dans mon ventre. C’était bien meilleur que le gode.Mais les deux amies n’ont pas fini: pendant que je me remets de l’extraordinaire jouissance, elles se pelotent pour finir dans un baiser digne d’Hollywood qui finit par de lents léchages sur tout le corps pour finir sur le clitoris. Le 69 qui suit est des plus jouissif. Sans pudeur aucune, elles lèchent toute la fente de l’autre pour s’attarder sur l’anus. Si Aline entre sa langue, Odette met directement deux doigts dans le cul bien offert d’Aline. J’ai à nouveau envie des deux jeunes femmes. J’attends quand même qu’elles jouissent pour leur proposer de nous sucer à trois. L’installation est difficile, sucer une fille est facile, se faire sucer aussi, mais là, être sucer par une qui est sucée par celle que je suce est compliqué. Nous y arrivons quand même. Nous pouvons même nous caresser les cuisses et les culs. Un soir, Odette emmène avec elle son cousin. Il doit avoir une trentaine d’années. Il se propose pour nous baiser toutes les trois à la file. Nous agissons comme des filles qui n’ont pas joui depuis longtemps.Nous le mettons nu; il bande bien avec sa bite hors norme, longue et grosse. Je me précipite sur elle: elle doit être bonne pour une fellation. Je le couche sur le lit. Je l’enjambe en lui donnant ma chatte. Il sait quoi y faire. Il me lèche mieux que les filles, mon anus n’est pas léché, alors que je le voulais. Il passe un seul doigt dans le cul. Il le fait aller et venir: j’en jouis rapidement. J’ai sa bite dans la bouche, je lèche son gland lentement tellement je le trouve bon avec un arrière goût d’urine. Je frotte son bout dans ma bouche, contre mes joues. Il grossit toujours. C’est meilleur qu’un esquimau glacé. Je sens qu’il ne va pas tarder à jeter son venin. Je continue de plus belle. Les autres se sont attaquées à sa poitrine en lui léchant les seins et bien sur la bouche. Nous arrivons à le faire arriver au point dont on ne revient jamais: il sa lâche dans ma bouche. C’est un véritable flot de sperme qui vient: j’ai de la peine à le conserver tout. Quand ma bouche le laisse je remarque qu’il ne débande pas. Je déguste lentement le sperme quand les deux autre veulent le goûter. Je les embrasse toutes les deux sur la bouche en leur donnant leur part. Maintenant commence la baise avec une bite dure qui reste toujours bandée. Il commence pas Aline qu’il met en levrette: il veut son cul. C’est logique elle est attirée par la sodomie. Avec Odette, nous lui donnons tout ce que nous pouvons comme cyprine sur le cul. Nous en profitons pour caresser sa chatte. Avant qu’elle se fasse mettre, Odette est sous elle en 69. Je prend aussi le con d’Odette pour le lécher. Maintenant c’est au tour du mâle de l’enculer. Je ne peux pas voir l’introduction de la pine. Aline commence une chanson de gémissements qui s’achève longtemps après qu’elle ai fini de se faire mettre. Elle s’écroule après je ne sais combien d’orgasme. Ce cousin est utile pour nous baiser comme nous voulons. Après Aline, il s’attaque à sa cousine qui pourtant le connait bien pour avoir baiser souvent avec lui. Elle a une particularité, en se faisant baiser, son vagin a la capacité de se fermer pour être plus étroit. c‘est idéal pour un homme quand il la baise. Cette fois je me venge en lui mettant deux doigts dans le cul. Je le sens résister un instant pour finir par une capitulation. Mes deux doigts vont et viennent sans problème: j’accentue son plaisir. Quand le couple se tourne qu’Odette est sur lui, j’ai du abandonner l’anus masculin. Par contre je gagne encore plus quand il me fait signe de venir poser mon sexe sur sa bouche. Je m’installe en tournant le dos à celle qui le baise. J’ai ses mains sur mes seins. Je jouis de l’instant avant de jouir pour de bon dans la bouche ouverte qui avale mes liquides. Pour que je sois la plus heureuse possible la bouche d’Aline vient sur la mienne. Là pour de bon je suis à mon aise, avec la bouche d’un homme sur ma chatte, ma poitrine caressée par Odette et la langue d’Aline dans la bouche. Je jouis encore une dernière fois: je n’en peux plus. Quand nous sommes revenus au pensionnat avec Aline, nous avons repris notre train train: nous nous aimons toutes les nuits. Nous en profitons encore plus quand les beaux jours arrivent, puisque nous sortons dans le grand parc. Nous baisons souvent sous la lune. Assises sous un arbre, ou couchées sur un tronc nos langues ne cessent de donner du plaisir à l’autre. Pour continuer à jouir selon ses désirs, maintenant elle refuse d’aller voir ses parents au vacances de Pâques. Nous somme seules dans le grand dortoir, aussi nous ne prenons aucune précaution. Nous vivons pratiquement nues. Elle vient me chercher souvent dans la journée pour tirer un coup vite fait. Le gode lui sert autant qu’à moi. J’aime retrouver son odeur et son goût juste quand je le suce avant de me le mettre pendant les rare moments où je suis seule. La fin de l’année arrête nos relations
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