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Alise étudiante à Toulouse

Chapitre 3

Divers
Chapitre 3
Le dernier week-end avant la rentrée scolaire, je suis rentrée chez mes parents voulant réfléchir une dernière fois. Ils me posent beaucoup de questions sur mon logement et ma logeuse. Un premier mensonge en entrainant un autre, et encore un autre, bien vite je suis dépassée et je dois me rendre à l’évidence, je vais devoir honorer mon contrat. Les cours ne déramant qu’à 10 h le lundi matin, je m’y rends sans passer par chez Margot. Quand j’ouvre la porte de la maison en fin d’après midi, la première chose que je vois bien en évidence sur le guéridon est mon collier. La réalité me rattrape et me rappelle à mes obligations. Je me déshabille entièrement et noue le collier à mon cou. J’entends Margot dans la cuisine, je m’approche pour la saluer.
— Bonjour ma belle Alice. Je vois que ce petit retour dans ta famille ne t’a pas fait oublier tes obligations.
Elle s’approche de moi, prends ma figure entre ses mains et m’embrasse à pleine bouche. Ce baiser aussi agréable soit il, me donne tout de même des frissons et me fait rougir de honte. Ses mains parcourent mon corps, caressant mes seins et mes fesses Sa main droite atterrit sur mon sexe . Son pouce vient écraser mon clitoris pendant que deux doigts me pénètrent . Je suis déjà si mouillée qu’ils glissent tout seul dans mon antre. Me regardant droit dans les yeux, elle me fouille et me branle énergiquement. Je gémis sans retenue, je sens mes jambes se dérober sous moi et mes seins s’agitent dans tous les sens. Je ne peux plus et ne veux plus résister, mon corps n’est plus qu’électricité et je jouis telle une damnée. Malgré ma jouissance, Margot continue sa masturbation. Je sens la cyprine couler le long de mes jambes. Je la supplie d’arrêter mais elle ne m’écoute pas, s’amusant de lire toute ma détresse dans mes yeux. Les doigts de Margot s’agitent toujours autant, j’ai l’impression qu’elle est en transe. On dirait que mon âme va quitter mon corps tellement je suis proche de l’évanouissement. Margot s’arrête enfin, sans force je m’écroule sur le carrelage. Mon corps est parcouru de soubresaut que je ne peux contrôler. Je reste allongée par terre une bonne dizaine de minutes sans même ressentir le froid du sol. Elle est la debout devant moi me regardant reprendre vie, le front perlé de goutes de sueur, un large sourire aux lèvres.
— Lèves toi me dit elle on va profiter du beau temps pour aller se promener un peu
J’imagine que nous allons de nouveau déambuler dans le jardin, mais tenue en laisse c’est vers sa voiture que nous nous dirigeons. Devant mon regard interrogateur, elle m’explique qu’elle m’emmène visiter la région.  — Mais Margot dis je totalement affolée, je ne peux pas sortir dans cette tenue.
— Ne t’inquiètes pas fais moi confiance dit elle, on va aller visiter la forêt de Bouconne.
Ses paroles ne m’ont guère rassuré. Durant tout le trajet j’essaie de lui tirer des informations mais elle reste évasive. Se balader en voiture dans une forêt n’a que peu d’intérêt et je n’imagine pas une seconde me promener nue à pied. Sur place, nous nous enfonçons dans le bois à la recherche d’un parking. Mon inquiétude mon encore un peu lorsque nous nous garons sur un parking où une dizaine de voitures sont déjà stationnées. Elle descend, fait le tour de la voiture et vient ouvrir la porte de mon coté. Saisissant la laisse, elle me demande de sortir.
— Margot non. S’il y a des voitures sur le parking, il doit y avoir des gens dans les environs.
Elle tire un coup sec sur la laisse, m’obligeant de fait à descendre de la voiture. Elle s’avance dans le parking pour rejoindre une allée forestière. Je regarde de tout côté, réagissant au moindre bruit. Après avoir parcouru une centaine de mètres, nous arrivons à la croisée d’une autre allée. Nous tombons face à face avec un couple de promeneur d’une quarantaine d’années. Je cache mon corps comme je peux mais Margot par une claque sèche sur mes fesses m’intime l’ordre de rester les bras le long du corps.
— Bonjour dit l’homme, vous avez une bien belle chienne.
— Merci dit Margot, elle n’a qu’un petit défaut, elle n’est pas encore bien éduquée

— Pouvons nous la toucher dit la femme
— oui bien sur, elle ne mord pas répond Margot en rigolant.
Le couple s’approche et chacun se saisit d’un de mes seins. Ils les malaxent, les tirent, les pincent à me faire crier. Je suis très gênée et essaie de m’extirper de leur emprise mais dès que je tente le moindre geste, Margot tire sur la laisse pour me rappeler à mon devoir. Rageuse, je capitule et laisse les mains se balader sur mon corps. La femme en profite pour partir à l’assaut de ma croupe alors que son mari par à la découverte de ma chatte. Si la main de la femme flatte doucement mon fessier, son mari ne tarde pas à immiscer ses doigts entre mes lèvres et prendre possession de mon vagin. A mon grand étonnement le viol de ses doigts est très agréable, je mouille tellement que trois doigts glissent aisément. Il sort ses doigts pour les donner à sucer à son épouse qui se délecte de ma mouille. Elle en veut plus et demande à son mari de lui laisser la place. Elle s’agenouille et sa bouche prend possession de mon sexe. Il n’est plus possible pour moi de masquer mon plaisir et mes gémissement raisonnent dans la forêt. L’homme m’embrasse à pleine bouche, sa langue virevoltant autour de la mienne tout en continuant à jouer avec ma poitrine. L’adrénaline est à son comble, je m’abandonne à une jouissance que dame nature entendra raisonner un long moment. Le couple est ravi de sa rencontre et félicite Margot.
— Ecoutes bien ta maîtresse me dit l’homme. Tu es très jolie et très réceptive, ce fut un réel plaisir de te rencontrer , j’espère que ta maitresse t’emmènera promener régulièrement dans cette forêt.
— Avez vous rencontré d’autres personnes dans votre promenade demande Margot.
— Prenez sur la gauche, dans cent cinquante mètres il y aura une petite clairière, c’est un coin bien connu des promeneurs.
Margot salue le couple qui la remercie de nouveau pour ce bon moment de convivialité et nous prenons la direction de l’endroit indiqué. J’avoue que cette rencontre a eu un effet de déclic car désormais je marche à ses cotés sans que ma nudité ne me gène. Arrivées à la clairière, le couple n’a pas menti, six hommes font les cent pas comme s’ils attendaient la venue de quelqu’un. Dès qu’ils nous ont aperçu, ils se sont arrêtés de marcher pour me manger du regard. Margot détache ma laisse et me demande d’avancer d’une vingtaine de mètres. J’hésite un peu mais un petit coup de laisse sur mes fesses me recadre immédiatement . Je prends sur moi et cachant mon angoisse, j’avance au centre de la clairière. Aussitôt, telle des mouches attirées par du miel, les six hommes s’avancent vers moi. Apeurée, je cherche Margot du regard. Elle m’a suivi et se trouve juste à coté ce qui me rassure un peu.
— Tends les bras sur les côtés et écarte les jambes que chacun puisse bien t’observer dit Margot
Je m’exécute. Les hommes s’approchent encore un peu plus et tournent autour de moi. Tous ont au moins la cinquantaine voir même plus. Leur regard me glace le sang. On dirait qu’ils voient une femme nue pour la première fois tant leurs yeux me fusillent.
— Peut on toucher lance l’un des hommes.
— Messieurs comme vous pouvez le voir, je vous ai amené une jeune pouliche. Elle est en apprentissage donc vous allez pouvoir la toucher deux par deux mais interdiction de la pénétrer. Je vous filme et c’est transmis directement chez moi au cas où les règles ne seraient pas respectées. Est ce bien clair pour tout le monde?
Un oui franc et généreux de satisfaction raisonna dans la clairière. Margot fit signe de la tête aux deux premiers d’avancer et aux autres de reculer, leur précisant qu’il avaient dix minutes pour s’amuser. Tels des affamés, les deux se jettent sur moi et leurs mains parcourent mon corps. Pas un centimètre carré n’échappe à leur inspection. Je suis tellement trempée qu’ils n’ont aucun mal à gouter ma liqueur. Ils m’embrassent, me tètent, me lèchent, me mordent, me caressent. Je fais abstraction du lieu gémissant et criant sans aucune pudeur. Leur pantalon ne pouvant plus contenir leur sexe bandé, ils les libèrent pour que je les masturbe. Heureusement dix minutes passent très vite et deux autres prennent déjà la relève. Ils sont si excités que leur sexe est déjà dehors. A peine je les touche que leur semence se répand dans mes mains.
Quand les deux derniers prennent possession de mon corps, je suis en transe. Je n’ai plus aucune notion ni de temps ni de lieu. Impossible de dire si j’ai joui une ou plusieurs fois. Quand Margot siffle la fin de la récréation, je m’écroule par terre ne tenant plus sur mes jambes. J’ai les mains poisseuses de spermes, mes tétons me font mal tellement ils pointent et mon clitoris est en feu. Quand je reprends mes esprits, les hommes ont disparu. Margot me tapote les fesses en guise de satisfaction et m’aide à me relever avant de rattacher la laisse à mon collier
Durant tout le temps du trajet nous n’échangeons aucun mot mais à sa façon de chantonner je sais qu’elle est ravie de mon comportement et que j’ai rempli au delà de ses espérances mon premier défit.
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