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Alise étudiante à Toulouse

Chapitre 4

Divers
Chapitre 4
Lorsque je me réveille le samedi matin, j’angoisse un peu car c’est le premier week-end que je vais passer avec Margot. Je me lève et descends la rejoindre dans la cuisine où je l’entends s’afférer. Je n’ai plus aucun complexe à me promener totalement nue dans la maison, quelques jours ont suffit pour faire disparaitre mon coté pudique. Seul ce fichu collier me dérange. Il n’est pourtant pas bien large mais j’avoue avoir du mal à supporter cette sensation d’avoir le cou serré.
— Tu vas pouvoir m’aider dit Margot en me voyant. Nous allons avoir quelques invités cet après midi. J’ ai déjà commencé à préparer les pâtisseries mais il reste encore l’apéritif dinatoire à s’occuper.
Je ne sais pas combien de personnes vont venir mais les victuailles ne manquent pas. A midi nous avons enfin fini de tout cuisiner. Il y a plein de bonne chose mais de voir toute cette nourriture m’a rassasié, je n’ai même pas faim. A moins que ce ne soit cette boule qui me triture le ventre depuis que Margot a prononcé ce mot : invités. Alors que nous prenons un petit rafraichissement au salon, le carillon de la porte d’entrée raisonne. Les convives ne sont attendues que vers seize heures mais Margot n’est pourtant pas étonnée.
— Vas donc ouvrir me dit elle, c’est le livreur de boisson, j’ai posé un chèque sur le buffet pour lui.
Je ne prends même pas la peine de faire remarquer à Margot que je suis nue, cela ne changerait rien. Lorsque j’ouvre la porte, la surprise est totale pour le livreur. Il ne doit pas être beaucoup plus âgé que moi au vu de l’acné bien présente sur son visage. Ses yeux sont exorbités et brillent de mille feux. Je ne comprends pas tout ce qu’il dit tant il bafouille. Sachant que Margot s’amuse autant à me voir m’exhiber qu’à voir la réaction des gens en me voyant, je ne cache rien accentuant même la provocation. En l’invitant à me suivre pour tout déposer dans la cuisine, je lui offre une vue parfaite de mes fesses. Je marche d’un pas lent pour lui laisser le temps d’admirer. Lorsque je lui tends le chèque, c’est d’une main tremblante qu’il s’en saisit. Je suis sur qu’il voudra raconter à ses amis cette rencontre mais je doute qu’ils le croient. Au moins ai je égayé sa journée. Force est de constater qu’en moins d’une semaine Margot m’a fait passer du statut de jeune femme pudique à celui d’exhibitionniste.
Le livreur parti, je rejoins Margot au salon. Elle fait mine de somnoler. Je sais qu’intérieurement elle est très contente du fait que je n’ai émis aucune remarque ni protestation. Elle est assez avare de compliment mais je prends son silence pour de la gratitude. Pour évacuer ma tension et mon excitation, à mon tour je me laisse absorbé par le sommeil.
A quatorze heures trente Margot me tire de mes rêves pour que l’on aille se préparer. Margot veut que je prenne une douche. J’entre dans la salle de bain et Margot m’emboite le pas. Alors que je commence à faire couler l’eau sur mon corps, elle se déshabille et me rejoint. En la voyant je ne peux m’empêcher de penser à ma mère. Dire qu’à l’âge de douze ans je ne voulais plus que ma mère entre dans la salle de bain quand j’y étais et la Margot est collée à moi totalement nue. Je sens la pointe de ses tétons contre mon dos. Elle prend du savon dans ses mains et parcoure mon corps s’attardant sur mes seins et mes fesses. C’est très érotique mais aussi très gênant, mon esprit me jouant des tours en faisant apparaitre le visage de ma mère à la place de celui de Margot. Moi qui n’ai jamais été attirée par les femmes et encore moins par ma mère, comment puis je avoir ces pensées et cette vision ?
— Tu m’excites trop me dit Margot. Je veux que tu me fasses jouir avec ta langue.
Je m’agenouille devant elle et m’approche de son sexe. Margot se dresse devant moi les jambes écartées, ses doigts ouvrent ses lèvres et décapuchonnent son clitoris. Je colle ma bouche sur sa chatte et ma langue glisse sur ses lèvres charnues. Je gobe à chaque passage son clitoris qui gonfle de plus en plus. Malgré les bruits de l’eau qui coule sur nos corps, je n’ai aucun mal à entendre les gémissements et encouragements de Margot. Ses mains quittent sa chatte et plaquent mon visage sur son sexe. Elle me serre si fort que j’ai l’impression d’étouffer. Heureusement sa jouissance ne dure pas et elle me libère de son étreinte.
— Ma petite Alice ce moment était magnifique. Tu apprends très vite. J’ai presque peine à croire qu’il y a une semaine tu n’avais jamais léché une femme. Félicitation mais dépêchons nous un peu l’heure tourne et nos invités vont bientôt arriver.
Je suis surprise par ce compliment que je reçois avec une grande fierté. Nous nous séchons rapidement et nous rendons dans la chambre de Margot. Pour la venue de ses invités, Margot veut que je sois habillée. J’enfile les bas, le string, le porte jarretelles et le redresse seins en dentelle noire qu’elle m’avait offert. La dessus elle me fait enfiler une jupe très courte qui laisse apparaitre la lisière de mes bas, un chemisier blanc trop serré et une paire d’escarpin avec des talons d’au moins huit cm. Je me demande comment je vais pouvoir marcher avec ces choses à mes pieds et surtout descendre les escaliers sans tomber. Margot s’est vêtue d’une robe mi cuisse avec un large décolleté laissant apparaitre la naissance de sa poitrine et sa lingerie en dentelle blanche. Margot veut aussi que l’on se maquille. Ayant peu d’expérience dans ce domaine, c’est Margot qui après s’être fardée les paupières et rosie les lèvres me peinturlure. Si pour son maquillage Margot est restée très sobre, il n’en est pas de même pour le mien. Mes paupières sont d’un bleu vif et mes lèvres d’un rouge écarlate. 16h approchant à grand pas nous descendons et installons les pâtisseries sur la table de la salle à manger.
Seize heures tapantes, plusieurs véhicules se garent devant la maison. J’essaie de garder mon calme mais je sens le stress monter rapidement. Margot va accueillir les invités et les introduit dans la salle à manger.

-Je vous présente Alice dit elle, actuellement étudiante à Toulouse en première année d’école d’ingénieur. Une tête bien pleine dans un corps de rêve. Alice ne voulant pas n’être qu’une intellectuelle, elle m’a confié son éducation sexuelle. C’est la raison de votre présence aujourd’hui
Une telle présentation ne peut que me faire rougir. Chacun leur tour, les invités se présentent également. Il y a d’abord Patrick et Emilie, un couple d’une cinquantaine d’années et trois hommes seuls, Lucien soixante six ans, Ludovic trente quatre ans et Aurélien vingt neuf ans. Si Ludovic et Aurélien semblent assez sportifs, Patrick est un petit bonhomme trapu au bedon proéminent et Lucien accuse bien le poids des ans. Pendant que nous dégustons une pâtisserie accompagnée d’un verre de cidre, Margot apporte des précisions aux invités sur ma personne.C’est ainsi que Margot révèle à nos hôtes que je ne suis plus vierge mais que je n’ai jamais connu la jouissance, mon copain ayant pris peur lors de mon dépucelage en voyant du sang et la seconde fois trop excité, il avait éjaculé sans m’attendre.
— Aujourd’hui dit Magot je vous ai réuni pour enseigner à Alice l’art de la fellation. Je veux qu’elle apprenne à faire jouir un homme avec sa bouche et qu’elle se délecte de son jus. Emilie tu vas sucer ton homme devant elle pour qu’elle puisse bien t’observer.
Emilie ouvre son corsage et sort ses deux mamelles sans doute pour exciter son mari. Elle s’agenouille devant lui et entreprend d’ouvrir son pantalon. Elle baisse son pantalon et son caleçon dévoilant un sexe d’une quinzaine de centimètres de long et trois d’épaisseur, totalement épilé, dressé fièrement vers le plafond. Margot me demande de m’approcher pour ne rien rater du spectacle. Emile se saisit de ce pieu et commence par donner quelques bisous sur le gland. Puis comme si elle lèche une glace, sa langue parcoure la verge de haut en bas. Ses mains ne restent pas inactives et pétrissent doucement les bourses. Elle joue avec sa langue sur le dard de son mari. J’ai l’impression que son sexe à encore grandi un peu. Patrick l’encourage en caressant ses cheveux. Elle tire légèrement sur le manche, ouvre grand la bouche et engloutit le sexe de Patrick. Elle s’active sur ce pieu en faisant quelques va et vient ponctué de bruit de succion. Patrick semble beaucoup apprécier, les yeux mi clos, il plane littéralement et grogne tel un goret. Sans doute pour ralentir son orgasme, Emilie libère sa queue et gobe ses couilles. Elle les aspire, les mordille et les avale tout en masturbant la hampe avec ses mains. Son mari n’en peut plus et le fait savoir à son épouse qui aussitôt enfourne dans sa bouche. Patrick se crispe avant de se soulager dans un long râle de satisfaction. Quelques secondes s’écoulent avant qu’Emilie n’ouvre la bouche pour libérer la queue de son époux et pavaner en montrant le sperme qu’il a éjaculé. Elle joue à sortir sa langue pleine de sperme avant de déglutir et avaler la totalité du contenu de sa bouche. Elle se penche de nouveau vers le bas ventre de son mari et embouche une nouvelle fois son sexe pour ne laisser aucune goutte de sperme s’échapper.
J’imagine que je vais devoir prendre la suite et prouver que je suis une élève studieuse et appliquée mais Margot prend la parole.
— Alice, ce qu’Emilie vient de te montrer est la fellation classique que toutes les femmes doivent savoir faire pour satisfaire un homme, mais certains de ces mon sieurs sont plus exigeants et souhaitent être acteurs de leurs désirs. Regardes bien car je veux que tu puisses satisfaire tous les hommes.
Margot s’approche de Ludovic qui par anticipation avait déjà sorti son sexe. Il mesure au moins vingt centimètre. Si Margot commence sa prestation de la même façon qu’Emilie, il me semble impossible qu’elle la prenne en totalité en bouche. Ludovic maintient la tête de Margot dans ses mains et centimètre par centimètre fait disparaitre sa verge dans la bouche de Margot. Les yeux de Margot se remplissent de larmes et elle semble suffoquer. Il la maintient comme ca quelques secondes pour retire son sexe permettant à Margot de reprendre son souffle. Le répit est de courte durée. Il s’enfonce de nouveau dans sa bouche, pénétrant encore un peu plus en profondeur. J’ai un peu de mal à regarder Margot, sa bave s’écoulant jusque sur le sol. Au troisième essai, Margot malgré la sensation d’étouffement et les hauts le cœur avale son mandrin jusqu’au bourse. Sans ménagement, Ludovic lui baise la bouche et lâche sa semence sans la prévenir. Margot a tout avalé sans la moindre protestation et bien qu’épuisée semble ravie de sa démonstration.
— J’espère que tu as apprécié la leçon ma belle Alice dit Emilie car maintenant tu vas devoir mettre en pratique et tu seras notée. Lucien n’attend que toi
Lucien n’est pas celui que j’aurais choisi mais j’imagine que je vais surement devoir sucer les quatre donc autant commencer par le plus vieux, ce sera sans doute plus rapide. Je m’avance vers Lucien qui s’est déjà levé du fauteuil et a baissé son pantalon. Son slip blanc qui a viré au crème avec le temps sans doute n’est pas très sexy. Je m’agenouille devant lui et baisse son slip. A ma grande surprise, il ne bande pas. Son sexe ressemble à une limace de 10 cm perdue au milieu d’une broussaille de poils. L’odeur d’urine et de sueur qui se dégage me donne des envies de partir en courant. Je supplie du regard Margot de me dire quoi faire devant ce tableau sinistre.
— Fais preuve d’imagination me lance Emilie, Il faut amorcer la pompe.
Je me relève et décide d’enlever mon chemisier, dévoilant ainsi ma poitrine aux tétons fièrement dressés. Je fais glisser ma jupe à terre pour me retrouver en sous vêtements. Quelques sifflets de satisfaction se font entendre de la part des autres males mais Lucien reste toujours imperturbable. Je n’ai plus d’autre choix que de prendre cette queue toute mole dans ma bouche. J’ai des hauts le cœur mais ne veux surtout pas décevoir Margot. La sensation que me procure ce morceau de viande dans la bouche est vraiment étrange. Je ferme les yeux et mets toute mon énergie à pomper ce dard. Ma persévérance est enfin récompenser, cette limace se raidit et grandit dans ma bouche. On se croirait dans une compétition sportive tant les spectateurs m’encouragent. L’odeur et le gout acre sont toujours présents mais j’en fais abstraction et je m’applique à masturber avec mes mains cette hampe tout en continuant à suçoter son gland. Lucien semble apprécier car il grogne régulièrement et me guide avec ses mains sur ma tête. Lorsqu’il appuie plus fermement sur ma nuque, je comprends que j’ai réussi ma première fellation et qu’il va jouir dans ma bouche. Son jet est si puissant et abondant que j’ai du mal à l’avaler. Ma bouche est remplie de ce liquide visqueux. La texture et le gout ne me plaisent pas mais je n’ai d’autre choix que de tout avaler et même de lui nettoyer sa queue.
— Margot dit Lucien, je ne sais pas comment tu as trouver cette petite mais je peux te dire quelle est douée. Cela fait bien longtemps que POPOL (c’est le nom qu’il donne à son sexe) n’avait pas craché un tel feu. Elle m’a complètement vidé.
Je n’ai pas le temps de me relever que Patrick et Aurélien se collent à moi en tenant leur sexe érigé et tapotant mes joues. Il saisissent chacun une de mes mains et la pose sur leur sexe. Instinctivement, je commence à les branler. La bite d’Aurélien étant plus fine, c’est elle que je prends en premier dans ma bouche tout en continuant de jouer avec ma main sur celle de Patrick. Ce dernier a envi de connaître aussi ma bouche et le fait savoir mais Aurélien tente de me retenir. Emilie passe derrière moi, pose ses mains sur mes seins, imprégnant ses ongles dans ma chair.
— N’oublie pas Patrick sinon sa queue va chauffer ma belle me dit Emilie
J’alterne donc durant plusieurs minutes entre le sexe de Patrick et celui d’Aurélien. Parfois je n’ai pas le temps de passer de l’une à l’autre et les deux dards coulissent dans ma bouche en même temps. Aurélien n’arrive plus à se retenir et asperge ma bouche copieusement. J’avale sans rien dire trouvant même cette semence plus à mon gout que celle de Lucien. J’ai à peine le temps de nettoyer le gourdin d’Aurélien que Patrick vient décharger lui aussi dans ma bouche. Heureusement la quantité est moindre car je commence à saturer. Je voudrais un verre d’eau mais Ludovic est déjà dans les starting block.
— L’heure de vérité approche ma chère Alice, dit Emilie, on va voir si tu es digne de Margot et si tu es capable de la gober en totalité.
Malgré une mâchoire meurtrie et une langue pâteuse, je m’approche de Ludovic, embrasse son gland avant de faire glisser ma langue sur toute sa longueur afin de mieux évaluer son glaive. Le verdict est sans appel, elle fait au moins cinq centimètre de plus que la plus grande des trois autres. Je ne vois vraiment pas comment je vais pouvoir l’engloutir en entier. Les questions se bousculent dans ma tête mais Ludovic en me tenant fermement par les cheveux me fait vite comprendre que ce n’est pas moi qui vais diriger les opérations, ma bouche ne sera que le réceptacle de son plaisir. Il se sert de ma bouche comme d’une chatte. Ses va et vient sont vifs. Alors que je commence à m’habituer aux saccades de son sexe, il appuie soudainement sur ma tête. ma surprise et la force de ses mains ne me laissent aucun espace de liberté. Je ne parviens même pas à me débattre un peu. Son sexe inexorablement s’introduit en moi. Je le sens toucher ma luette et continuer sa progression dans ma gorge. J’ai la sensation d’étouffer, mes yeux se troublent. Lorsqu’il se retire après quelques secondes, je ne pense qu’à une chose , respirer. mais le temps me manque et sa queue s’enfonce de nouveau en moi jusqu’à ce que ses bourses buttent contre mes lèvres. Plus de cinq fois sa queue entrera et sortira de ma bouche aussi puissamment. Je bave tellement qu’un filet coule sur mes seins et au sol. C’est avec soulagement que je reçois un nouveau jet de perme chaud dans la gorge. Ludovic me lâche enfin et je m’écroule sur le sol totalement épuisée. Tous sont autour de moi et m’applaudissent. Visiblement l’élève à réussi son examen de passage.
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