Le site de l'histoire érotique
  • Histoire érotique écrite par
  • Fantasme
  • Publié le
  • Lue {{{NB_VUES}}} fois
  • 147 J'aime
  • 4 Commentaires

Alise étudiante à Toulouse

Chapitre 5

Divers
Chapitre 5
En rentrant de l’école le lundi, comme d’habitude je me dévêtis entièrement dans l’entrée de la maison de Margot, enfile mon collier avant d’aller la rejoindre dans le salon. Ma surprise est grande de voir qu’elle n’est pas seule mais que Lucien est assis à coté d’elle, le pantalon baissé, le sexe en érection. Par reflexe, je cache mon sexe et mes seins avec mes mains.
— Allons Alice n’ai pas peur tu reconnais Lucien quand même. C’est lui que j’ai choisi pour que tu continues à t’exercer à la fellation toute la semaine. Je l’ai mis en condition pour toi, tu n’as plus qu’à le sucer et le faire jouir.
Je me souviens surtout que son hygiène n’était pas top et du temps que j’avais pris pour qu’il bande. La au moins Margot avait facilité les choses. Pour ne pas décevoir Margot, je m’avance et viens m’agenouiller devant Lucien. Il se redresse et avance sa main rugueuse pour me masser la poitrine. Ses mains larges attrapent chacune un de mes seins et les pétrissent sans aucune douceur. Ca me fait mal mais avec dignité je fais mine d’apprécier, allant même jusqu’à le remercier. Quand il se décide en fin à lâcher mes seins, je saisis sa queue pour la diriger vers ma bouche. Je la prends dans ma bouche d’un coup d’un seul tant l’odeur est toujours aussi forte. J’y mets tout mon cœur, espérant abréger mon supplice.
— N’oublie pas de t’occuper des bourses me dit Margot, tu as tendance à souvent les oublier. Gobes les bien
Comment veut elle que je fasse, elles sont pleines de poils. J’ai beau réfléchir vite, aucune idée ne me vient en tête. Margot insiste, je ne peux attendre plus longtemps, je lâche son dard et gobe une de ses couilles. Je ne sais pas ce qui est le plus désagréable entre sa peau fripée, ses poils ou son odeur. Les larmes me montent aux yeux mais en faisant le vide dans ma tête je gobe la deuxième. Lucien semble beaucoup apprécier et me fait des compliments que j’entends à peine tant je reste concentrée. Ce qui est sur c’est que sa queue a encore grandi et grossi. Ma bouche est trop petite pour l’engloutir totalement mais c’est sans compter sur les mains puissantes de Lucien qui appuient sur ma tête. J’ai l’impression que son gland a soulevé ma glotte, j’étouffe je ne peux plus respirer mais il ne relâche pas la pression. Margot prend pitié de moi et freine les ardeurs de Lucien.
— Prends ton temps Lucien dit elle. Elle n’est pas encore bien habituée aux gorges profondes. Je te promets qu’à la fin de la semaine elle te le fera d’elle même sans que tu ne sois obligé de la maintenir.
Lucien relâche la pression sur ma tête et je m’applique de nouveau à téter son gland. Ma langue glisse sur toute la longueur de sa hampe et chaque fois que sa queue entre dans ma bouche je l’aspire généreusement. Lucien émet des grognements de satisfaction mais ne semble pas vouloir jouir. J’ai mal à la langue et aux commissures de mes lèvres tellement je mets du cœur à l’ouvrage pour ne pas décevoir. Je ne sais pas combien de temps a duré cette fellation mais c’est avec soulagement que j’entends Lucien annoncé qu’il va éjaculer. Ma joie est de courte durée car le flot de sperme que je reçois dans la bouche est de loin le plus important que j’ai connu jusqu’à présent. Je suis obligée de déglutir plusieurs fois de suite pour ne pas étouffer. J’aimerais boire ou manger quelque chose pour me faire oublier le gout du sperme mais la seule chose qu’on me propose est de nettoyer sa verge pour ne pas en perdre une goutte.
— Lucie dit Margot, tu as encore beaucoup de progrès à faire. Tu fais des efforts mais ce n’est pas suffisant. Pour te faire pardonner tu vas me lécher la chatte et le petit trou et tu vas prêter ta chatte aux doigts de Lucien. Demandes lui pardon et offres lui ta chatte.
— Lucien je suis désolée d’avoir si mal sucé ton sexe. Je te promets de faire des efforts pour que cela ne se reproduise pas. Je t’offre ma chatte.
Je m’allonge sur la table basse du salon, replie mes jambes attrape mes genoux avec mes mains et ouvre largement mes cuisses. Margot vient se positionner à califourchon sur ma figure. Mon visage est inondé par sa chatte baveuse. Les gros doigts de Lucien écartent mes lèvres pour décalotter mon clitoris. Il joue un moment avec celui ci en le pinçant et tirant à souhait avant d’introduire un doigts dans ma fente. Je mouille abondamment. Un deuxième puis un troisième doigt inquisiteur rejoignent le premier. Il fouille chaque recoin de ma chatte. J’ai envi de crier mais la chatte et l’anus de Margot m’en empêchent. Un orgasme me secoue tout le corps mais Lucien ne s’arrête pas pour autant. Je jouis en continue, complètement tétanisée, ignorant totalement la chatte de Margot.
Lucien est quasiment en transe. Ma jouissance a été si forte que j’ai failli perdre connaissance et durant plusieurs minutes, le simple fait d’effleurer mon corps déclenche un spasme. Je ne sais pas combien de temps je suis restée allongée sur la table du salon mais je ne me rappelle pas avoir entendu Lucien partir. Quand j’ouvre les yeux , Margot est devant moi. Elle tient dans ses mains un objet que j’ai du mal à identifier.
— Tiens me dit elle. Je ne sais pas si tu sais ce que c’est ?

Je le reconnais tout de suite, c’est un godemichet. J’en ai déjà vu sur internet mais c’est la première fois que j’en tiens un dans mes mains. Je suis assez surprise par la ressemblance avec un vrai phallus. Le gland, les veines, tout est si réaliste. C’est doux au touché et très rigide. Il mesure une vingtaine de centimètres et semble moins gros que la queue de Lucien. A l’opposé du gland, il se termine par une sorte de vis rouge comme s’il avait peur que l’on ne sache pas dans quel sens il faut l’utiliser. Par réflexe, je ne peux m’empêcher de tourner la vis. Il vibre si fort dans mes doigts que je le lâche et le laisse tomber sur le sol.
— Alice, fais donc attention, c’est un jouet certes mais il ne faut pas l’abimer, tu vas en avoir besoin. J’ai promis à Lucien que tu arriveras à sucer sa queue en entier vendredi. Grace à ce god, tu pourras t’entrainer dans ta chambre. Interdiction de t’en servir pour autre chose.
Après le repas et ma douche, je vais dans ma chambre pour me reposer. J’avoue que le rythme école en journée et sexe le soir a tendance à m’épuiser. Alors que je me couche et commence à fermer les yeux, je repense à ce jouet que m’a donné Margot. Je ne suis pas très attirée par ce membre artificiel mais j’ai peu de temps pour satisfaire Margot. A contre cœur, je le prends en bouche. Il est très dur et le gout du silicone assez désagréable. J’essaie d’imaginer un beau jeune homme en érection devant moi pour tenter de décupler mon excitation mais rien n’y fait dès que j’enfonce un peu plus le god, j’ai des hauts le cœur qui m’obligent à le retirer aussitôt. Totalement désappointée, je finis par abandonner et me blottir dans les bras de Morphée.
Le mardi et le mercredi se déroulent de la même façon. J’ai l’impression de ne pas progresser et les regards noirs que me lance Margot ne me rassurent aucunement. On ne peut pas briller dans tous les domaines, il faut savoir reconnaître ses faiblesses. Je ne sais pas ce qui ne fait le plus de mal entre ne pas réussir cette fellation ou décevoir Margot.
Quand je rentre dans le salon le jeudi soir, je suis agréablement surprise de voir Ludovic au côté de Margot. Elle caresse doucement son sexe en érection. En me voyant Margot se penche vers son glaive, lui donne un bisou sur le gland et me dit.
— Lucien est encore en chemin, Ludovic passant devant notre maison je l’ai retenu pour toi. A toi de jouer. Montres lui les progrès que tu as déjà fait.
Ludovic qui me voit nue pour la première fois ne me quitte pas des yeux une fraction de seconde. Il me fixe droit dans les yeux. Par défit, je soutiens son regard et m’avance vers lui. Je m’agenouille devant lui, saisis sa hampe avec ma main et dépose quelques bisous sur son gland. Son odeur et son gout sont nettement moins épicés que ceux de Lucien. Le changement est si radical que sans hésitation ma langue glisse sur toute la longueur de son glaive et je ne me fait pas prier pour gober au passage ses bourses. Subjuguée par ce dard, je le prends en bouche et le suce avidement. Lorsque je sens les mains de Ludovic appuyer légèrement sur ma tête, je laisse son pieux envahir d’avantage encore ma bouche. Une nouvelle pression un peu plus forte encore et sa queue investit ma gorge. J’ai bien cette sensation d’étouffement et mes yeux qui se remplissent de larmes mais je l’accepte. Les caresses de Margot sur ma croupe me prouve qu’elle est totalement fière de moi. Plusieurs fois Ludovic relâche la pression pour quelques instants plus tard enfoncer de nouveau sa verge au plus profond de moi. Ses râles de plus en plus intenses me prouvent la satisfaction qu’il éprouve à me butiner la bouche et la gorge. Avec puissance et abondance, il décharge toute sa semence directement dans ma gorge.
Quand Ludovic se retire de ma bouche après que je lui nettoie sa hampe avec soin. Je n’ai pas le temps de savourer un repos largement mérité. Lucien que je n’ai même pas entendu arrivé tant j’étais concentrée sur ma besogne me présente sa zigounette au bord de mes lèvres.  — Margot dit il, je vois que l’entrainement finit toujours par payer. Ta pouliche est formidable. J’espère qu’elle a encore faim car j’ai les bourses gonflées à bloc.
Il attrape ma tête à deux main et enfonce sa queue dans ma bouche d’un trait jusque que la garde. Etant plus épaisse que celle de Ludovic, la sensation d’étouffement est encore plus présente. La délicatesse n’étant pas le point fort de Lucien , il imprime les va et vient en me tirant pas les cheveux. je bave énormément et des larmes coulent le long de mes joues. Mon ange gardien est sans doute de passage dans la maison car pour la première fois depuis le début de la semaine Lucien ne se maîtrise pas et envoie plusieurs rasades de son jus dans ma gorge. Malgré la saturation, j’avale tout, allant même jusqu’à le nettoyer méticuleusement. Margot a le visage radieux et à cet instant précis, je ressens une grande fierté d’avoir offert à Lucien et Ludovic une fellation avec gorge profonde.
— Lucie dit Margot, es tu certaine de ne rien oublier, n’as tu pas une dernière requête à faire à Ludovic et Lucien ?
— Excusez moi Margot, je pensais qu’ayant bien travaillé, je ne méritais pas de punition.
— Ce n’est pas une punition voyons mais la juste récompense pour ton dévouement.
— Ludovic et Lucien dis je, voudriez vous s’il vous plaint me faire jouir avec vos doigts ?
En guise de réponse, Ludovic et Lucien m’allongent sur le sol, relèvent mes jambes en les écartant et se positionnent de chaque côté de moi. Chacun saisit un sein , le pétrissant à souhait. Je sens deux gros doigts de Lucien forcer l’entrée de mon sexe trempé pendant que Ludovic joue avec mon clitoris. Margot ne veut pas se contenter de regarder, elle vient se mettre à califourchon sur mon visage et frotte sa chatte sur ma bouche. Le clito en feu, Ludovic l’abandonne pour explorer lui aussi ma grotte. Quatre doigts vont et viennent tantôt avec douceur tantôt avec virilité dans mon antre. Margot m’inonde le visage de sa mouille. Un simple effleurement de mon clitoris déclenche soudainement ma jouissance. Elle est si intense que malgré la chatte de Margot sur ma bouche je crie si fort que l’on peut m’entendre de dehors. Je veux retirer leurs doigts avec mes mains mais les jambes de Margot me bloquent les bras. J’ai l’impression d’être branché sur le secteur tant mon corps est parcouru de spasme.
— Ta chatte est un écrin dit Lucien. Vivement que l’on puisse y mettre notre queue au chaud.
Diffuse en direct !
Regarder son live