Le site de l'histoire érotique
  • Histoire érotique écrite par
  • Fantasme
  • Publié le
  • Lue {{{NB_VUES}}} fois
  • 111 J'aime
  • 3 Commentaires

Alise étudiante à Toulouse

Chapitre 7

Divers
Un bon bain d’une heure et la nuit de repos ont été salutaires. Il est passé onze heures quand je me réveille et je suis tiraillée par la faim. Je décide d’aller voir si je peux trouver quelques victuailles dans la cuisine en m’enroulant dans un drap. Quand Margot me voit débarquer ainsi en bas de l’escalier, elle s’empresse de tirer sur le drap pour l’enlever.
— Qui t’a permis de te vêtir, me dit-elle sèchement. Tu seras fessée devant tout le monde cette après-midi.— J’avais faim, dis-je pour me justifier.— Tu mangeras à midi comme tout le monde. Va donc prendre une bonne douche, tu vas avoir besoin d’une hygiène parfaite.
Penaude, je me dirige vers la salle de bain. J’ai toujours été très propre, je ne comprends pas pourquoi elle me gronde de la sorte. Sous la douche je fais attention à n’oublier aucun petit coin, insistant particulièrement sur mon sexe et mes fesses. Propre comme un sou neuf, je regagne ma chambre attendant que l’on m’appelle pour manger. Quand midi sonne au carillon, notre hôte invite tout le monde à table. Après l’incident précédent, c’est totalement nue que je me rends dans la salle à manger. Visiblement tout le monde a faim, car je suis la dernière à arriver. Tous les regards se tournent vers moi. En même temps, je suis la seule personne nue de l’assemblée, ce qui forcément dénote un peu. Je prends place entre Margot et la propriétaire en face des hommes.
— Tout à l’heure, dit Margot, Alice n’a pas été sage, elle va donc recevoir avant son initiation anale une fessée donnée par notre hôte. Cela va la rendre très sensible, mais elle nous remerciera.
Durant le repas, sans doute pour faire monter mon excitation et celle des invités, Margot et notre ôte n’ont de cesse de caresser ma poitrine et ma chatte. A la fin du repas, je suis trempée, ce que ne manquent pas de remarquer les invités, certains émettant même le désir de goûter à ma source, mais Margot ne leur offre pas ce cadeau. Le café à peine ingurgité, nous retournons tous dans la grange. On m’installe sur un cheval d’arçon, ne laissant que la pointe de mes pieds toucher le sol. Pendant que les hommes ôtent leurs vêtements, Margot et la propriétaire des lieux viennent derrière moi, écartent mes fesses et lèchent mon œillet. Malgré un certain dégoût et une position des plus inconfortables, l’habileté de leur langue me procure d’agréables sensations. J’ai même l’impression que de temps en temps elles essaient de forcer l’entrée avec la pointe de leur langue.
Alors que je commence à apprécier vraiment ces caresses, Margot et la propriétaire s’arrêtent, annonçant le temps de la punition. Notre hôte s’assoit sur un canapé et Margot me pousse sur ses genoux. Après avoir passé plusieurs fois sa main sur ma croupe, une claque assez forte s’abat sur mes fesses. Je ne peux retenir un cri de douleur. Une deuxième, une troisième et une quatrième enchaînent rapidement. Elle ne fait vraiment pas semblant, car chacune de ses claques m’arrache une plainte. Mes fesses me piquent, signe qu’elles sont en train de rougir. Trois autres salves de plusieurs claques martyrisent mon cul. J’ai des larmes qui me montent dans les yeux, mais je me retiens de toutes mes forces pour ne pas pleurer. Quand je me relève de ses genoux, j’ai au propre comme au figuré le feu au postérieur.
Un premier homme s’avance et m’entraîne vers le matelas. Il me positionne à quatre pattes, jambes écartées et ouvre mon sillon avec ses mains. Il enduit son doigt d’un genre de crème et me le passe sur mon petit trou. Je vois dans un miroir placé en face de moi notre hôte le prendre en bouche puis Margot lui enduire la verge de crème également. Son doigt pousse sur mon petit trou et je sens une phalange me pénétrer. Je trouve cela très osé et en même temps je suis surprise de ne pas avoir eu mal. Une nouvelle claque sur mes fesses me tire de ma rêverie. Il positionne son gland contre ma rosette et avant même que je puisse m’interroger sur ce qui va se passer, il pousse en m’attrapant par les hanches. J’ai l’impression que mon petit trou se déchire en deux, j’ai mal, j’ai envie de crier, mais paradoxalement aucun son ne sort de ma bouche.
Il reste un moment sans bouger ses cuisses contre mes fesses. La douleur a déjà disparu. Doucement, il commence à onduler du bassin puis enchaîne les va-et-vient. Même si je ressens encore de temps en temps une petite douleur, mon corps réagit et le plaisir prend le pas. Mon partenaire semble beaucoup apprécier l’étroitesse de mon conduit au vu des grognements qu’il émet. J’ai presque envie de me caresser le clitoris, mais ma position ne me le permet pas d’autant plus que mon sodomiseur devient de plus en plus viril. Sans prévenir, il se retire me laissant sur ma faim. Il me contourne et vient positionner son phallus devant ma figure. Il veut que je le suce, mais je ne suis pas du tout prête à faire une chose pareille. Devant mon refus, il en appelle à Margot qui me fusille du regard. Au même moment, je reçois un fort coup de cravache sur les fesses donné par notre hôte. Je crie tellement la morsure de la cravache sur mon séant est vive.
Mon baiseur en profite pour forcer le passage et prendre possession de ma bouche. Son sexe a un goût de vaseline. Il se masturbe dans ma bouche et ne tarde pas à m’envoyer plusieurs giclées de son foutre que j’ingurgite.
Le deuxième s’approche le sexe droit comme un I. Galamment, il m’aide à me relever et me demande de prendre appui avec mes mains sur la table. Debout il se positionne derrière moi, écarte mes fesses, fait un aller-retour dans ma chatte puis investit d’un coup sec mon anus. Je ne peux m’empêcher de gémir à chaque poussée. Heureusement que la table est appuyée contre un mur, car je ne sais pas si j’aurai pu résister à un tel assaut. De nouveau, je ressens le plaisir monter très vite. Je n’aspire qu’à une chose, jouir de mes entrailles, mais comme son compère, il m’abandonne au bord du précipice, me retourne et me demande de le prendre en bouche. Résignée, je m’accroupis et prends son membre dans ma bouche. Quelques succions appuyées suffisent pour qu’il déverse sa jouissance. J’ai beau apprécier le sperme, la quantité est telle que j’ai quelques haut-le-cœur.
L’excitation des autres hommes est de plus en plus grande, le suivant se précipite déjà. Il m’allonge sur le dos sur le matelas, replie mes jambes sur mon buste, me demande de les maintenir avec mes bras, me soulève le dos pour que je repose sur mes épaules. La position est assez inconfortable et difficile à maintenir. Il maintient mon dos quasiment à la verticale avec une de ses jambes, attrape son sexe avec sa main, le pointe vers le bas et enfile sans autre artifice son mandrin dans mon cul. J’ai l’impression que mes sphincters sont déjà bien distendus, car il n’a aucune difficulté à me pénétrer et je n’éprouve aucune douleur. Dans cette position, je vois son mât coulisser en moi sur toute sa longueur. Chaque fois que ses bourses viennent frotter contre mon cul il grogne de plus en plus fort couvrant largement mes gémissements. Je suis subjuguée de voir son pieu disparaître en moi pour ressortir presque aussitôt. Il se retire soudainement, tombe à genoux à côté de ma figure.
Je ne me pose même plus de question, j’ouvre la bouche pour recevoir son sperme. J’avale tout machinalement et pousse même le vice à lui prendre la queue en bouche pour lui nettoyer.
Le quatrième m’attrape par les poignets, me tire si fort qu’il me fait littéralement voler. Il lâche mes bras pour me saisir sous les fesses et me laisse retomber sur son sexe. Il bute sur ma raie, mais glisse dans mon trou. Je m’accroche comme je peux à son torse avec mes bras et enroule mes jambes autour de sa taille. Comme s’il joue avec des haltères, ses mains puissantes sous mes fesses me font monter et descendre sur son vi. Son sexe sans doute plus long que les précédents me pénètre tellement en profondeur qu’il m’arrache des cris. Je suis persuadé de connaître enfin un orgasme, mais comme ses collègues, il me quitte soudainement, me laisse glisser sur les genoux. Pourquoi ne veulent-ils pas me donner cet orgasme qui me fait tellement envie ? Je n’ai pas le temps de me poser plus de question, il attrape ma tête et me colle son sexe sur les lèvres.
J’ai presque l’intention de retarder le moment de le prendre en bouche pour moi aussi le faire languir, mais la pression de ses doigts dans mes cheveux est trop grande et je lui ouvre les portes du paradis. Il me baise la bouche sans même une once de pitié quand j’ai des haut-le-cœur chaque fois que sa bite touche ma glotte. Heureusement à ce rythme il jouit rapidement. Telle une oie blanche, je suis gavée de sperme.
Je me tourne vers le dernier, montrant ainsi à tout le monde que je suis prête à accomplir mon devoir jusqu’au bout, mais il semble attendre. Ai-je commis un impair ? Margot s’avance vers moi, me relève et dit.
— Alice, je suis fier de toi, les larges sourires te montrent à quel point tes partenaires ont passé de bons moments. Tu as encore un prétendant à satisfaire. Lui aussi veut goûter à ton joli petit cul et qu’il se rassure il va le faire, mais cette fois c’est toi qui va diriger les choses. Tu vas venir t’asseoir sur lui et c’est toi qui onduleras et choisiras où et quand tu voudras qu’il jouisse, car que tu jouisses ou non lui devra prendre du plaisir. Dernière chose à laquelle je tiens particulièrement, tu devras en même temps remercier tout le monde pour ce délicieux week-end.
Pendant que Margot parle, mon dernier partenaire vient s’asseoir devant le reste de l’assemblée sur une chaise au milieu de la pièce. Il tient dans sa main son dard fièrement pointé vers le haut, le gland bien décalotté. Je m’avance vers lui, lui tourne le dos, écarte mes fesses avec mes mains et descends langoureusement vers son pieu. Je le sens pointer contre ma rondelle. Je prends une bonne respiration, ferme les yeux et m’empale lentement sur son mât jusqu’à ce que je sois assise sur lui. Ses mains s’agrippent à mes seins et jouent avec mes tétons durs comme des pointes de flèches. Parler devant des gens quand on a vingt ans n’est déjà pas chose aisée, mais nue avec une bite qui coulisse dans votre cul l’est encore moins.
— Margot, dis-je le souffle un peu court, je te remercie de me faire découvrir un monde de plaisirs. Sans toi je n’aurais sans doute jamais osé participer à de telles joutes. Je remercie notre hôte de nous avoir si bien reçus dans sa demeure et pour le choix des garçons. Messieurs, merci de vous être aussi bien occupé de moi. Je n’avais jamais connu d’orgasme avec un homme, hier vous m’avez transportée dans la quatrième dimension. Jamais ma chatte n’avait connu pareil feu d’artifice, je ne pouvais plus la toucher tellement elle était devenue sensible. Aujourd’hui vous m’avez défloré mon petit trou avec beaucoup de délicatesse et je peux vous affirmer sans complaisance que vous avez fait de moi une adepte de la sodomie, mais je suis très frustrée de ne pas avoir joui. Margot merci de me laisser cette opportunité avec mon dernier partenaire.
Sous les applaudissements, frénétiquement je monte et descends sur cette queue qui me lime mes entrailles. Mon partenaire grogne dans mon dos tel un goret, mais je ne m’en soucie pas concentrant mon esprit sur le raz de marée qui commence à m’envahir. Je suis en nage lorsque subitement je sens mon anus se contracter sur cette verge. Enfin je goûte à mon premier orgasme anal. Je ne sais pas dire si mon partenaire a joui tellement l’intensité de mon plaisir est grande. La réponse ne tarde pas à venir, car en me relevant, je sens un liquide sortir de mon cul et couler sur mes jambes. Margot me prend dans ses bras et m’embrasse dans le cou. Il me faut un bon quart d’heure pour que mon cœur retrouve un rythme normal.
Diffuse en direct !
Regarder son live