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Alison et Caroline

Chapitre 1

Avec plusieurs femmes
Alison et Caroline Cette année-là, ma s?ur Caroline, qui était alors âgée de vingt-et-un ans, deux ans de moins que moi, était partie étudier en Grande-Bretagne, dans le but d’améliorer sa pratique de la langue anglaise. Elle était revenue pour la première fois dans notre petite ville alpestre au cours des vacances de Noël, à la grande joie de toute la famille. Elle était accompagnée de sa meilleure amie, Alison, avec qui elle partageait un appartement à Londres. Celle-ci, qui était passionnée par la montagne, désirait découvrir la région et ma s?ur, qui la connaissait mal, me demanda d’organiser une ballade à skis afin de leur en faire découvrir les plus beaux sites. Nous décidâmes de partir deux jours et de passer une nuit dans un chalet que nous avions loué. La première journée, qui se déroula sous un ciel superbe, fut un véritable enchantement. Comment aurait-il pu en être autrement, avec la beauté des paysages enneigés, à laquelle s’ajoutait pour moi celle des deux superbes filles qui m’accompagnaient ? Alison, je ne l’ai pas encore dit, était aussi brune que ma s?ur est blonde. Elle était aussi plus grande que celle-ci et possédait, pour autant que je pouvais en juger, des seins et une croupe tout aussi généreux que ma jolie s?ur. Nous parvînmes au chalet épuisés mais ravis. Après un repas rapide et frugal, Caroline nous annonça qu’elle allait prendre une douche. Pendant ce temps, j’entrepris d’allumer un feu dans la cheminée, à la demande d’Alison, qui trouvait cela ’so romantic’. La jeune anglaise était allongée sur une fourrure, devant la cheminée et tentait de lire, tâche difficile, tant mes efforts face au feu récalcitrant la faisaient rire. Elle ne m’avait jamais semblé si désirable qu’en cet instant, vêtue simplement d’un long pull aux couleurs chaudes, qui dévoilait ses longues jambes dorées et parfois, quand elle agitait celles-ci, son émouvant petit slip blanc. Sa joie et ses battements de jambes atteignirent leur comble quand les flammes commencèrent à s’élever, tandis que j’admirai leurs reflets sur son joli visage épanoui. Il ne faisait aucun doute que si nous avions été seuls, la soirée se serait achevée de la manière la plus agréable qui soit. Malheureusement, la présence de ma s?ur rendait impossible pour ce soir et remettait à plus tard cette merveilleuse perspective. Caroline sortit alors de la douche et s’approcha de nous, sans la moindre gêne, en petite culotte et les seins nus. Alison annonça qu’elle allait lui succéder et elle ôta d’un geste rapide son pull, révélant de mignons sous-vêtements blancs ornés de dentelles. Caroline se fit la même remarque que moi et s’exclama d’un air de reproche : - Tu ne m’as jamais montré ceux-là ! - Non, c’est vrai, répondit Alison, je les ai achetés juste avant de venir. - Je peux les essayer ? - Of course, darling ! Joignant le geste à la parole, sous mes yeux ébahis, l’anglaise se débarrassa de son soutien-gorge et de son slip, les tendit à ma s?ur et nue, elle disparut dans la salle de bain. Je pus constater au passage que ses formes étaient aussi voluptueuses que je l’avais imaginé, et notamment ses seins volumineux qui semblaient particulièrement fermes. Mais ce qui me troubla le plus sur le moment était la parfaite désinvolture avec laquelle les deux filles agissaient envers moi, comme si elles se trouvaient dans leur studio londonien et que je n’existais pas. Comme pour confirmer ce sentiment, ma s?ur ôta devant moi sa petite culotte et enfila les vêtements abandonnés par son amie. Tout en s’admirant devant le miroir, elle m’interrogea : - Elle te plaît, ma copine, n’est-ce-pas ? - J’aurais du mal à le nier !, répondis-je franchement. - Tu sais, elle m’a dit que tu lui plaisais bien aussi. Je crois que tu vas pouvoir te payer du bon temps avec elle ! - Dommage que tu sois là avec nous, dis-je avec une pointe de méchanceté. - Ah, c’est moi qui te gênes ! Si tu veux, je peux rester un moment dans la cuisine. Je vais prendre un bouquin ! annonça-t-elle, et s’exécutant, elle disparut dans la pièce voisine. Je ne croyais pas à ma chance d’avoir une s?ur si compréhensive. Je n’avais plus qu’à attendre le retour d’Alison, qui se produisit assez rapidement. Elle avait enfilé un léger T-shirt qui ne cachait pas grand chose de ses formes opulentes. Elle m’interrogea sur les raisons de l’absence de son amie, mais curieusement, elle sembla se désintéresser de ma réponse et préféra s’étendre devant le feu auprès de moi en silence. Je lui confessai alors à quel point la vision de son corps nu m’avait ému. Elle parut se scandaliser de mes paroles et fit mine de vouloir me taper. Mais je compris immédiatement à son sourire qu’il ne s’agissait que d’un jeu et je m’emparai de sa délicieuse petite main, tout en lui faisant remarquer avec un certain bon sens : - Si tu ne voulais pas que je le vois, il ne fallait pas me le montrer ! Elle s’avoua vaincue de bonne grâce : - Tu as raison ! Je l’ai fait exprès, rien que pour t’exciter, admit-elle avec son ravissant accent british. Alison me fit alors un large sourire qui dévoila ses éclatantes dents blanches et, s’approchant de moi, elle m’embrassa, tout en libérant sa main de mon étreinte. La jeune anglaise la dirigea sans hésiter vers mon bas-ventre, elle ouvrit la braguette de mon pantalon et glissa sa main dans mon slip. Une vague de plaisir me submergea quand ses doigts s’emparèrent de ma queue déjà dressée, tandis qu’elle continuait à m’infliger un baiser époustouflant. Le contact de sa main bien chaude fit durcir encore ma bite. Mais nous étions un peu à l’étroit et Alison dut entreprendre de la sortir de sa prison. Je ne pouvais lui venir en aide tant le plaisir que ces manipulations me procuraient me paralysait. Enfin, l’opération réussit. Alison, contrairement à la plupart des filles que j’avais connues, qui se contentaient de m’astiquer la colonne mécaniquement, s’intéressait également à mes bourses et à mon gland. Tout en continuant à me branler de la main droite, elle prit celui-ci entre les doigts de sa main gauche. Je n’avais jamais connu une telle caresse. Le bout de ma queue se mit à gonfler étonnamment sous ces attouchements d’une incroyable précision : Alison agissait comme si elle voulait sculpter mon gland de ses doigts. Mais c’en était trop pour moi et je ne voulais pas jouir déjà. La jeune britannique le comprit qui, interrompant son baiser, prit ma bite dans sa bouche, apaisant ainsi mes ardeurs. Il s’ensuivit une fellation plus classique qui me permit de retrouver mes esprits. Et notamment de remarquer la présence à quelques centimètres de mon visage du cul de ma fellatrice, provocant, bien que toujours dissimulé à mes regards par le court T-shirt qu’elle portait toujours. Ma main s’empara bientôt de ces fesses prometteuses et les pelotant par dessus le léger vêtement, j’en appréciai la rondeur et la fermeté. Impression confirmée quand je soulevai le T-shirt et que sa large et blanche croupe apparut à mes yeux. Sous mes caresses, Alison avait cambré ses reins et écarté ses cuisses, dévoilant ainsi son appétissante chatte brune déjà entrouverte. Surprenant mon regard, elle abandonna ma queue et me demanda d’une voix câline : - Elle te plaît ? - Elle est merveilleuse... Après un instant, j’ajoutai : Tu es merveilleuse ! - Tu es gentil ! Viens m’embrasser. Je m’allongeai près d’elle sur la fourrure, et la prenant dans mes bras, ma main enlaçant sa taille, je glissai ma langue dans sa bouche brûlante. Tout en se blottissant contre moi, la jeune britannique entreprit à nouveau un malaxage de ma pauvre langue. Pour ne pas demeurer en reste, je déplaçai légèrement ma main et reprit le pelotage du cul d’Alison. Mais celle-ci était trop excitée pour se contenter de ce hors-d’?uvre. - Occupe-toi de ma... chatte, s’il-te-plaît, dit-elle avec une légère et charmante hésitation. Aussitôt dit, aussitôt fait ! Quelques passages sur ses lèvres, couvertes d’un soyeux duvet châtain, me confirmèrent qu’elle était déjà bien chaude et je glissai aussitôt un doigt dans sa fente. Elle était encore assez serrée, ce qui semblait indiquer que malgré mes premières impressions elle n’avait pas beaucoup d’expérience. Cela n’en serait que plus agréable, pensai-je alors, d’autant plus qu’elle mouillait largement assez pour permettre le passage de ma queue. Celle-ci, toujours aussi raide, mais maintenant abandonnée, commençait d’ailleurs à me faire mal et à réclamer mon attention. - Tu es prête ? murmurai-je à Alison, tout en la baisant tendrement sur les lèvres. - Oui, bien sûr, me répondit-elle en ôtant son T-shirt, révélant ses jolis nichons blancs comme du lait, aux tétons arrogants. Mais avant, je voudrais te déshabiller. Je me laissai faire avec bonne volonté, d’autant plus que je constatai à quel point ce jeu semblait amuser la fille, qui sans cesse effleurait ma queue, comme par inadvertance, torture d’autant plus insoutenable que la vision de son corps nu s’agitant autour de moi, et en particulier de ses seins joliment ballottés, achevait de me pousser à bout. Mais l’anglaise n’en avait pas fini avec moi : alors que je tentai de la renverser sur la fourrure qui recouvrait le sol, elle me résista et se mettant à quatre pattes sur celle-ci , elle me murmura : - J’adore faire l’amour comme cela... Elle me le prouva aussitôt en cambrant ses reins, soulevant ainsi son cul d’une manière très excitante. Sa fente était largement ouverte et je fus pris du désir de la goûter. Ma langue parcourut d’abord rapidement la chatte de bas en haut puis elle glissa sans effort entre les petites lèvres, que j’embrassai avec délices. Alison poussait de petits cris et je devinais que le plaisir commençait à naître en elle. Son clitoris en témoignait, que je sentais de plus en plus dur contre mon menton. Je le pris entre mes lèvres et le mordillai tendrement. Le traitement que je lui faisais subir arrachait à Alison des gémissements de plaisir, entrecoupés de mots en anglais : ’ Good... It’s good ... Your tongue on my cunt... ’ Elle s’interrompit quand son plaisir parvint à son comble et m’interpella en français : - Maintenant... enfile-moi... Je ne demandai bien sûr pas mieux, mais avant je voulais tenter une petite expérience. Devant mes yeux, depuis un petit moment, s’agitait un mignon petit trou du cul qui semblait me faire des appels bien indécents. Je voulais en avoir le coeur net et, tout en continuant mon méticuleux léchouillage, j’y glissai un doigt. C’était bien chaud et humide et mon doigt pénétra sans le moindre problème. J’en introduisis un autre et exécutai quelques mouvements de va-et-vient. Alison poussa un soupir qui m’apprit qu’elle m’était reconnaissante de ma délicate attention. Je savais maintenant ce que je désirais savoir : la petite coquine ne dédaignait pas ce genre d’amusement particulier que j’adore quant à moi, mais que je pratique trop rarement, mes copines étant bien souvent réticentes. Cela ne semblait pas être le cas d’Alison et nos relations s’annonçaient décidément sous un jour de plus en plus favorable. J’eus la tentation, en substituant ma langue à mes doigts de lui manifester mon désir. Mais ce n’était sans doute pas, à juste titre, ce qu’elle espérait dans l’immédiat et je me rabattais sur des plaisirs plus classiques, et bien tentants par ailleurs. Je quittai donc à la fois son délicieux coquillage et son petit anus et je me redressai. Je m’apprêtai à pénétrer ma compagne, agenouillée devant moi et offerte, quand j’aperçus soudain dans l’embrasure de la porte restée ouverte un spectacle qui me figea sur place et paradoxalement me fit débander instantanément. Face à nous, le visage bouleversé par le plaisir, Caroline, vêtue d’une simple chemise entrouverte, se branlait passionnément. Je restai un moment pétrifié, tenant toujours ma bite à moitié dressée à la main. Je ne savais quelle attitude adopter. Alison se tourna vers moi et me sourit. Caroline continuait, mais plus lentement, sa masturbation, avec elle aussi un léger sourire, qui me parut moqueur, aux lèvres. Ainsi, leur attitude ne laissait aucun doute à ce sujet : les deux salopes étaient complices ! Rapidement, l’érotisme de la situation m’apparut. Baiser la meilleure amie de sa s?ur sous les yeux de celle-ci, n’est-ce pas le fantasme de beaucoup d’hommes ? Ma queue se remit bientôt à bander à cette idée et Alison, s’apercevant de ce qui lui sembla être un assentiment, me murmura : - Tu vas voir, on va bien s’amuser ! Puis elle dit à Caroline de s’approcher, tandis que je pénétrai avec soulagement son vagin brûlant et étroit. Ma s?ur s’exécuta et se débarrassant au passage de sa légère chemise, elle s’agenouilla près de nous. Tandis que je ramonais avec vigueur la jolie salope anglaise, dont la chatte bien serrée régalait ma queue d’exquises petites contractions, je ne pouvais détacher mes yeux du superbe corps de Caroline. A vrai dire, ce n’était pas la première fois que j’avais l’occasion de la voir ainsi en détail car, quand nous étions adolescents, nous n’éprouvions aucune gêne l’un envers l’autre et ma s?ur aimait particulièrement à l’âge de quatorze ou quinze ans s’exposer devant moi pour me provoquer. Je gardais de cette tendre époque le souvenir d’un minou adorablement juvénile et étroit, rien à voir en tout cas avec la chatte large et généreuse, bien qu’apparemment toujours bien fraîche, que j’avais sous les yeux, et qui en disait long sur la taille des calibres que ma bienheureuse s?ur avait dû sentir passer depuis. Mais à en juger par sa technique masturbatoire, la garce ne devait pas se contenter des séances de frotti-frotta avec les garçons. Comme toute bonne branleuse, elle faisait alterner avec habileté les tripotages délicats du clito et les pistons au plus profond de la moule, dont ses doigts ressortaient luisants de mouille, dont elle s’empressait d’enduire son petit bouton. Ainsi, le con toujours trempé, les reins cambrés et les yeux mi-clos, mais ne ratant rien de notre chevauchée, Caroline s’offrait une branlette de rêve. Elle semblait maintenant tout près de la jouissance, comme en témoignaient les vagues de plaisir qui parcouraient sans répit son joli visage. Alison n’en était pas loin non plus et, bonne fille, elle nous en informait bruyamment : ’ I come... I come... ’ Je n’étais pas très frais moi non plus, mais je voulais encore en imposer aux deux filles. Je pris donc la belle anglaise par les hanches et j’accélérai mon mouvement de piston. Jamais je crois je n’avais aussi bien bourré une fille. Quand enfin je sentis que toutes les deux avaient bien pris leur pied, Caroline grâce au spectacle que nous lui offrions et Alison grâce à ma queue d’acier, je me décidai à les rejoindre au paradis. Mais pour que le plaisir soit complet, je voulais que les filles puissent profiter de cet ultime instant. Je sortis donc ma bite luisante se son splendide écrin et après quelques va-et-vient sur les fesses de l’anglaise, il me vint la plus belle giclée de toute ma vie, qui éclaboussa jusqu’au duvet châtain de sa nuque et se répandit abondamment sur son dos, ses reins, ses fesses, sur lesquelles je déposais avec amour les dernières gouttes de mon offrande. Avant de m’effondrer, ravi, entraînant auprès de moi Alison dans un fougueux baiser, j’eus le temps d’apercevoir l’expression épanouie et admirative de ma s?ur. Quelques minutes après, Ali, qui avait récupéré plus vite que nous, se leva pour aller reprendre une douche, dont elle avait bien besoin après le copieux arrosage dont je l’avais gratifiée. Elle proposa à son amie de l’accompagner, qui en avait presque autant besoin qu’elle, tant elle avait mouillé. Caro, pourtant habituellement très attentive à son hygiène, me surprit un peu en lui répondant négativement : - Non, pas tout de suite... Tu sais bien que j’aime rester un moment dans cet état ! Alison se rendit donc seule dans la salle de bain, non sans offrir au passage à ma s?ur une tendre caresse sur la joue. Ainsi se précisait le soupçon qui m’était venu un peu plus tôt à l’esprit, quand j’avais remarqué avec quel manque de pudeur les deux filles agissaient l’une envers l’autre. Non contentes d’être de fieffées salopes, étaient-elles également lesbiennes ? A vrai dire, cette idée, concernant ma s?ur, me surprenait et me choquait un peu, bien qu’elle m’ait déjà révélé ce soir des aspects de son tempérament que j’ignorais. Maintenant, seul avec elle, je ne savais comment m’en assurer. C’est Caro, toujours assise les cuisses largement ouvertes, qui la première rompit la glace : - C’est un bon coup, ma copine, n’est-ce-pas ? - Après ce que tu as vu, j’aurais du mal à te dire le contraire. Il est vrai qu’elle a un corps superbe. M’enhardissant, j’ajoutai avec un sourire un peu gêné : et sans doute le plus joli con que j’ai jamais eu au bout de ma queue ! Tu sais, c’est curieux, Ali est très habile, sa chatte est bien accueillante, mais elle est aussi tellement étroite que je me suis demandé si elle avait autant d’expérience que je l’avais cru au premier abord. - Tu n’as pas tort, Christophe. Alison aime beaucoup le sexe, tu l’as constaté, mais c’est avant tout une fille sérieuse. Elle m’a raconté qu’elle avait commencé à baiser assez jeune et qu’à cette époque elle y passait beaucoup de temps, mais que ses études avaient commencé à s’en ressentir. Alors, depuis qu’elle est à l’université, elle a décidé de se consacrer presque uniquement à son travail. Depuis la rentrée, tu es la seule exception à la règle qu’elle s’est fixée ! Mon orgueil ne fut pas peu flatté de cet aveu. - Mais, interrogeai-je, est-ce que cela n’a pas été difficile pour elle ? Je veux dire... - Oh, tu sais, répondit ma s?ur sans me laisser le loisir de finir ma phrase, Ali est assez débrouillarde pour se satisfaire elle-même ! Et puis... Caroline hésita un instant. Je tenais là l’occasion de vérifier mes pressentiments et je me permis d’achever sa phrase : - Et puis, tu étais là pour l’aider un peu, n’est-ce-pas ? Ma petite s?ur rougit imperceptiblement. - Oui, c’est vrai. Comment as-tu deviné ? En fait, Alison me faisait un peu pitié, toute seule comme cela, alors j’ai fini par lui proposer mes services. Tu sais, quand j’étais au lycée, il m’arrivait de faire l’amour avec ma copine Justine. Tu te souviens d’elle, n’est-ce pas ? Quand j’ai commencé à vivre avec Ali, j’ai eu envie de renouveler cette expérience et je lui ai proposé. Alors, après avoir hésité quelques jours, elle a fini par accepter. Cette révélation me mit dans une situation émotionnelle très contradictoire. J’étais en effet partagé entre mes responsabilités de grand frère, garant de la bonne moralité de ma s?ur, et le désir intense que cet aveu avait déclenché en moi. Caroline se rendit d’ailleurs compte de celui-ci, à la vue du spectaculaire redressement de ma bite, et toute retenue oubliée, elle me proposa de me faire une démonstration de leurs talents. Sur ces entrefaites, Alison refit son apparition, vêtue d’une serviette immaculée, enroulée autour de son buste et de sa taille, qui parvenait mal à dissimuler ses formes abondantes à nos regards concupiscents. Sans attendre ma réponse à sa proposition, Caro, toujours toute nue, s’approcha de son amie, la prit tendrement par l’épaule et lui chuchota à l’oreille. J’avais quant à moi totalement oublié les quelques réticences morales évoquées plus haut. Je m’installai donc confortablement et m’apprêtai à profiter du spectacle. Ce n’était pas la première fois que j’assistai à une scène de ce genre puisque l’année précédente j’avais participé à une partie carrée, au cours de laquelle les deux jeunes filles avaient bien voulu se prodiguer mutuellement des attouchements troublants. Cela m’avait bien sûr émoustillé, ainsi que le copain qui m’avait convié à ces réjouissances, mais les deux filles m’étaient alors assez indifférentes. Rien à voir donc avec les deux superbes pouliches qui s’apprêtaient à se gouiner sous mes yeux, et se trouvaient être ma nouvelle petite amie anglaise et ma propre s?ur. Caroline, puisqu’il semblait que c’était elle qui était à l’origine de ces jeux, avait une nouvelle fois pris l’initiative et embrassait voluptueusement son amie. Dans le même temps, elle avait glissé sa main sous la serviette de bain d’Alison et Dieu sait quelles turpitudes inavouables elle pouvait y pratiquer. Cela semblait en tout cas bien agréable, puisque quand Caro abandonna sa bouche pour s’agenouiller et glisser sa tête entre ses cuisses, la superbe anglaise se laissa aller à des gémissements haletants, tout juste interrompus par quelques réflexions un peu inquiètes en ma direction : - Tu n’es pas jaloux, darling ? Tu sais, ta s?ur et moi faisons souvent cela ensemble. Elle le fait marvellously well ! Oh oui... maintenant elle me mange la chatte... Oh, comme c’est bon... Mais tu vois mal, mon chéri ! Ne inquiètes pas, je vais retirer la serviette ! Elle s’exécuta, et je distinguai alors la tête blonde de ma petite s?ur qui s’activait entre les cuisses dorées d’Alison. Quand celle-ci eut atteint son plaisir, elle demanda à Caroline d’interrompre son cunnilingus et elle la fit s’agenouiller sur la fourrure soyeuse, devant la cheminée toujours crépitante. Assis dans le fauteuil, j’avais ainsi, juste sous mes yeux, la large croupe de Caroline, que l’anglaise entreprit de me faire découvrir dans ses détails les plus intimes : et que je t’écarte délicatement les lèvres de la vulve blonde, et que je te glisse un doigt, puis deux, au plus profond du vagin, et que je te caresse de ces doigts ainsi lubrifiés la petite pastille de l’anus... Tous les raffinements de l’amour lesbien m’étaient ainsi complaisamment dévoilés. Sous l’effet de ces attouchements infiniment pervers, Caroline avait soulevé le plus qu’elle pouvait son cul et écarté de même les cuisses, si bien que son con se trouvait très largement ouvert. Alison ne put résister à une telle tentation et, se glissant derrière son amie, elle lui rendit de sa langue habile la caresse que celle-ci lui avait offerte peu avant. Caroline ne resta pas longtemps inactive et effectuant un retournement courant chez les gouines, qui apprécient plus que tout la réciprocité, elle proposa à Alison de se coucher sur le dos et vint s’allonger tête-bêche sur son amie. Le 69 qui s’ensuivit fut, on s’en doute, de toute beauté et s’acheva en une explosion de jouissance, sous les cris d’orgasme des deux copines. Ainsi, les jolies salopes avaient joui, mais ma propre situation empirait de minute en minute : en désespoir de cause, j’avais dû quelques instants auparavant empoigner ma queue, et je me branlais maintenant copieusement. J’étais au bord de l’éjaculation et je sentais bien que cela serait un grand gâchis, à la fois pour les filles, du moins pour mon anglaise adorée, et pour moi. Enfin, ma s?ur, compatissante, se rendit compte de mon désarroi. Elle secoua Alison, qui sommeillait de plaisir, enlacée à elle, et lui murmura à l’oreille : - Je crois que Christophe a besoin de tes services... Alison ouvrit ses troublants yeux verts et comprit, à la vue de ma bite qui avait pris des proportions respectables, l’urgence de la situation. Quittant le confort des bras de Caro, elle s’approcha de moi. Toute trace de lassitude amoureuse disparue, elle ressemblait à nouveau à une chatte en chaleur. Elle me chuchota tendrement : - Tu vas voir, je vais bien m’occuper de toi... Après quelques instants de réflexion, elle ajouta : Tu sais, tout à l’heure, ton doigt dans... Elle hésita un moment : in my ass... - Ton cul... - Oui, c’est ça, mon cul. J’ai envie, comme cela, maintenant... - Mais cela va te faire mal ! - Non, je ne pense pas. Laisse moi faire... Elle se tourna vers ma s?ur: - Please, Caro, I need your help... Se mettant à quatre pattes, elle emboucha ma queue qui n’en demandait pas tant. Caroline s’approcha des fesses de la belle britannique mais, n’ayant pas bien suivi notre discussion amoureuse, et se trompant d’orifice, elle se mit à lui lécher consciencieusement la moule. Alison réagit immédiatement à cette erreur de trajectoire qui entravait ses plans et, abandonnant ma verge, elle remit son amie sur le droit chemin. Tout allait donc pour le mieux dans le meilleur des mondes, sinon que je ressentais à nouveau l’imminence de ma jouissance, que la fraîcheur de la bouche d’Ali avait tout juste retardée de quelques instants. Je prévins ma fellatrice du danger, qui abandonna aussitôt son ?uvre et me libéra. Caroline me céda la place. Sous la caresse de celle-ci, Alison s’était idéalement positionnée, les reins bien cambrés, la croupe haute et les cuisses écartées. Ses deux fesses étaient entrouvertes et dévoilaient son anus humide. Ainsi offert, celui-ci me sembla bien étroit et l’inquiétude m’envahit : sans vaseline pour préparer le petit orifice, ne nous étions-nous pas embarqués dans une aventure risquée ? Bien que n’étant assurément pas novice, Alison semblait avoir un cul bien étroit et, sans vouloir me vanter, je possède une queue d’un calibre supérieur à la moyenne et surtout un gland particulièrement développé. Fort heureusement, j’avais joui peu avant et présentai ainsi des attributs d’une taille plus raisonnable. J’introduisis mon majeur dans le trou du cul de la jeune anglaise, ce qui me rassura également un peu. Ma s?ur avait en effet bien fait son travail : c’était brûlant et bien humide de salive, si bien que je pus introduire mon doigt jusqu’au bout, ce qui arracha à Ali un soupir de contentement. Mais la pauvre n’était pas au bout de ses peines (ou de ses joies)... J’appliquai mon gland, lui aussi bien humide, à l’orée de l’orifice et entrepris une lente progression. Sous la poussée, l’anus s’entrouvrit sans problème, et je man?uvrai si bien que mon gland fut à l’intérieur avant même qu’Alison ait pu pousser un gémissement. Paradoxalement, c’est moi qui manifestai le premier mon plaisir, tant ma verge éprouvait de bonheur sous la pression du sphincter étroit, mais l’anglaise me rejoignit rapidement. Un instant on ne put savoir si son ahanement était de douleur ou de plaisir mais rapidement il n’y eut plus aucun doute, Alison prenait elle aussi son pied. Cela m’encouragea à reprendre mon avancée. Je progressai sans aucun problème, maintenant que le gland était passé, et bientôt je fus au fond. Bon Dieu, quel pied ! Que j’étais bien ! Jamais une sodomie ne m’avait procuré autant de plaisir. Je l’avais pratiqué en effet à plusieurs reprises, mais j’avais assez souvent été déçu : en ce qui concerne les vierges du cul, c’était si laborieux que cela perdait presque tout son charme, tandis que chez les filles qui pratiquaient régulièrement cet art, l’anus était trop ouvert pour que l’on ressente un plaisir vraiment inoubliable. Alison, quant à elle, ne ressortait heureusement d’aucune de ces deux catégories : elle avait suffisamment d’expérience pour que la pénétration se fasse sans problème, mais était encore assez serrée pour que le limage de son petit cul soit un véritable délice. Tandis que je m’activais ainsi derrière la jolie anglaise, Caroline, qui s’était absentée un moment, revint, un verre de lait à la main. Curieusement, elle avait enfilé sa petite culotte blanche et semblait ainsi presque pudique. Elle nous observait avec attention. Alison se tourna vers elle et lui lança en souriant : - Tu t’instruis, ma chérie ? Puis, à mon attention : Tu sais, ta s?ur ne l’a jamais fait. Alors, sois efficace, pour lui donner envie ! - C’est très bien comme cela, affirma notre élève improvisée. Continuez ! - Tu peux regarder de plus près, si tu veux, affirma l’anglaise. Caro s’agenouilla derrière nous. Le fait de savoir ses yeux fixés sur nous me procura un trouble intense dans les couilles. Afin de me montrer digne de cette attention, j’intensifiai encore le pilonnage du cul de la pauvre Alison. Mais ces bonnes intentions furent vite contrariées par la surprenante initiative que prit ma s?ur : quand je la sentis s’emparer à pleines mains de mes couilles, je poussai un ’Oh!’ puissant, tout à la fois de surprise et de plaisir. Ali se retourna et comprit immédiatement la gravité de la situation. Caroline flattait maintenant mes bourses de ses tendres doigts. Inutile d’ajouter que cette manipulation m’avait conduit au bord de l’explosion, ce qui poussa Alison à sermonner son amie et à lui enjoindre de venir la rejoindre. Ma s?ur s’installa docilement à quatre pattes aux côtés de son amie. Les deux filles s’amusaient maintenant à un très excitant jeu de langues, se léchant, se caressant, s’agaçant mutuellement en un ballet délicieusement pervers. Ayant abandonné depuis longtemps toute retenue, Caroline offrait à mon regard concupiscent le spectacle de ses fesses rebondies, joliment moulées dans son petit slip blanc. J’avais souvent rêvé, adolescent, de ce superbe cul, qu’à l’époque je m’amusais bien souvent à peloter pour taquiner sa propriétaire, en cachette de nos parents. J’avais bien sûr depuis longtemps abandonné ce jeu puéril, mais à cette occasion je ne pus m’empêcher d’y porter ma main baladeuse. Loin de s’en offusquer, Caro ondula de sa croupe généreuse. Encouragé par cette réaction sympathique, je fis glisser la petite culotte et dévoilai à nouveau le superbe entrecuisse de ma s?ur. Afin de lui rendre la tendre caresse qu’elle m’avait octroyée peu auparavant, je pris à pleine main sa luxuriante touffe blonde, que je flattai avec douceur de la paume de ma main, me réjouissant de la sentir si brûlante et humide. Alison, qui avait tourné la tête et nous regardai avec amusement, intervint alors : - Tu devrais lui mettre un doigt dans le cul. Tu vas voir, elle adore ça ! Je me ralliai sans hésiter à cette suggestion et, après l’avoir bien humidifié dans son con, je glissai mon index dans le trou du cul de ma s?ur. Celui-ci était heureusement bien souple et lui aussi assez humide et mon doigt s’enfonça sans problème. La salope, même s’il ne s’était jamais fait enculer, avait néanmoins découvert l’intérêt de cette partie de son anatomie, seule ou avec l’aide d’Alison. ’Plus vite, plus profond...’, implorait ma s?ur qui, pour me faciliter la tâche, avait cambré les reins et écartait à deux mains les deux globes de sa large croupe. Tout occupé à ce petit jeu, j’avais ralenti mon va-et-vient dans le cul d’Alison qui manifesta à bon droit son mécontentement. Elle prit donc l’initiative du changement de position qui s’imposait. Quand je fus ressorti de son cul, la jeune anglaise me fit coucher sur le sol et elle plaça Caroline à cheval sur mon visage. Quant à elle, elle se plaça face à son amie, dans la même position qu’elle. Je pensai qu’elle allait enfiler ma queue dans sa chatte, ce en quoi je me trompais : elle empala en effet avec facilité son joli trou du cul sur ma bite. Je n’avais jamais pratiqué la sodomie dans cette position, qui se révéla finalement très agréable. Ainsi positionné, je n’avais pas à bouger, puisque c’était Alison qui imprimait le rythme de notre chevauchée. Mais, la révélation pour moi à ce moment, c’était la moule luxuriante que m’offrait Caro, que je tenais fermement par les hanches au-dessus de ma bouche. Sans cesse sollicitée, depuis déjà un long moment, par son amie et moi-même, elle ruisselait véritablement. Elle me demanda de ne pas lui sucer le clito, qui était trop excité par ces attouchements et de me concentrer sur sa fente. Quelques coups de langue sur ses grandes lèvres suffirent à les entrouvrir suffisamment pour que je m’introduise dans le vagin. Je la bouffais ainsi pendant un long moment. Ma s?ur avait bon goût et je buvais sans retenue sa mouille savoureuse. Tous les petits jeux que nous avions pratiqués ensemble auparavant avaient assurément contribué à la rendre si délicieuse. Les deux sublimes créatures, tout heureuses de me dominer ainsi, laissaient libre cours à leur plaisir. Penchées en avant, elles frottaient avec délectation leurs nichons les uns contre les autres, tout en poussant des gémissements à vous fendre l’âme, interrompus seulement par les profonds baisers qu’elles échangeaient. Ce spectacle, ainsi que les incessants va-et-vient de l’anus d’Alison sur ma queue m’avaient, on s’en doute, amené tout près de l’explosion. Même si je sentais que mon anglaise chérie ne m’en voudrait pas de me laisser aller, tant elle avait déjà joui intensément, je me retenais encore, car je voulais que ma petite s?ur conserve un souvenir impérissable de mon cunnilingus. La pauvre avait bien du retard en ce qui concerne la jouissance par rapport à nous, et j’attendis qu’elle prenne son pied et m’inonde le visage de son jus pour enfin éjaculer à grandes giclées dans le cul d’Alison. Epuisés, nous nous étions effondrés tous les trois sur le sol, les uns auprès des autres. Un profond engourdissement lié au plaisir que j’avais ressenti s’était emparé de moi, quand je sentis un corps chaud et parfumé se glisser sur moi. Sacrée Alison, pensai-je alors, elle était donc inépuisable ! La vivacité de sa langue dans ma bouche me confirma cette impression. Je caressai avec délices la tendre créature qui s’agitait sur moi. Ma main s’égara rapidement sur ses fesses que je pelotai sans aucune retenue. Puisque je savais désormais que la coquine appréciait cette attention, je n’hésitai pas à pousser plus loin mon investigation, et je lui glissai un doigt dans le trou du cul. Je m’attendais à entrer sans aucun problème, tant j’avais inondé l’endroit peu de temps auparavant. Mais, oh surprise !, mon index fut confronté à une résistance inattendue : la petite pastille ne céda après que j’eus insisté un bon moment à son entrée. Intrigué, le doigt toujours étroitement serré dans son cul, j’ouvris les yeux, pour constater que ma vicieuse s?ur avait profité de ma faiblesse momentanée pour prendre la place de l’anglaise ! Pas plus troublée que cela, Caroline continuait à malaxer ma pauvre langue de son propre appendice déchaîné. Rapidement séduit, j’oubliai mes réticences et rendis à ma s?ur son baiser fougueux. Alison, ravie de ce dénouement, nous encourageait avec son enthousiasme habituel : - Come on, Christophe! Fuck her ! Je ne demandais bien sûr pas mieux et je le fis savoir à ma petite s?ur en frottant ma queue à nouveau dressée contre son bas-ventre. Mais Caro, interrompant notre baiser, nous fit connaître son refus : - Non, je ne veux pas que tu me baises ! Tu es quand même mon frère, après tout ! - Dans le cul, alors, proposa Alison. C’est le moment idéal pour toi, ma chérie. Christophe encule très bien et je sais que tu as très envie d’essayer. Jamais tu ne retrouveras quelqu’un aussi doué que lui ! Caroline me regarda dans les yeux et y lut mon désir intense. Je constatai le sien en retour. Cet émouvant échange fraternel la convainquit de s’abandonner. Avant l’instant de vérité, Alison proposa une douche commune, où elle se révéla être une organisatrice hors-pair et prit en main la préparation de la sodomie de Caroline. Elle se chargea tout d’abord de savonner énergiquement puis de rincer ma queue à nouveau en érection, ainsi que la moule et le cul de ma s?ur. Elle ordonna ensuite à celle-ci d’emboucher mon sexe, tandis elle-même plaçait sa jolie tête entre les fesses de son amie. Quant à moi, inutile de préciser que j’étais très bien dans la bouche de Caro, qui se démenait afin de me démontrer l’étendue de ses talents. Elle ne perdait pas non plus de vue que sa fellation avait pour but de faciliter l’introduction de mon gros chibre dans son petit anus et en conséquence, elle commença intelligemment par enduire mon gland d’une épaisse couche de salive, en bavant abondamment dessus, tout en me fixant avec insolence de ses jolis yeux bleus. Afin de l’encourager dans son ?uvre, je posai ma main sur sa tête et caressai son opulente chevelure blonde, tandis qu’elle étalait à grands coups de langue sa salive sur la totalité de ma bite. Tout en savourant le plaisir de cette fellation, je ne quittais pas des yeux le splendide tableau vivant qui s’offrait à moi et je n’en croyais pas ma chance de vivre une expérience aussi unique. Comment aurais-je pu penser que cette innocente excursion s’achèverait par ces débordements incroyablement torrides ? Je n’aurais même jamais pensé vivre un jour une situation érotique si troublante : me faire sucer par ma petite s?ur, qui se faisait elle-même bouffer le cul par une fille superbe, en attendant de se faire sodomiser pour la première fois par moi ! J’avais de plus en plus de mal à dissimuler l’impatience extrême qui s’était emparée de moi à la pensée de cette dernière dépravation. Caroline la ressentit sans doute aux tressautements qui agitaient ma bite et, cette légitime excitation étant contagieuse, elle écarta de ses deux mains ses fesses charnues et exprima ses désirs d’une façon éloquente : - Encule-moi vite, j’ai envie ! Je veux te sentir dans mon cul ! Défonce-moi l’anus... Je ne pouvais bien sûr pas refuser plus longtemps à ma s?ur la satisfaction d’un souhait formulé d’une façon aussi charmante et en conséquence je demandai à Alison, comme elle en avait manifesté le désir, de m’introduire dans le tunnel étroit de son amie. La belle anglaise, qui pistonnait de son doigt gluant de salive le cul de Caroline, prit alors ma queue entre ses doigts, et plaça mon gland à l’orée de la pastille mauve, qu’elle força avec délicatesse. Nous étions tous les deux tellement mouillés que celle-ci céda rapidement, et l’extrémité de ma bite se retrouva enserré dans une bague de chair délicieusement étroite. Caroline sembla apprécier autant que moi cette intrusion : - Oh oui, je te sens en moi ! Ca fait du bien ! Plus profond, maintenant... Alison me fit donc pénétrer plus avant. Quand je fus introduit à moitié, elle me permit d’entamer un lent et prudent va-et-vient. En dépit de son étroitesse, je glissai sans aucun problème dans ce tunnel chaud et lisse, et le contact de ses muqueuses délicates me grisa à un tel point que je perdis tout contrôle et, échappant au contrôle d’Alison, je pris Caroline par les hanches et m’enfonçai d’un coup au fond de son rectum. La fille poussa un cri, inquiétant ainsi son amie qui l’interrogea : - Tu as mal, ma chérie ? - Oui, un peu. Mais c’est bon quand même ! Tournant sa tête vers moi, elle ajouta : Tu peux bouger plus vite si tu veux... Je ne me le fis pas dire deux fois et tout en lui assenant des coups de boutoir de plus en plus rapides, je l’interpellai sans vergogne : - Tu la sens bien dans ton cul , tu sens comme je te ramone ! - Oui, j’aime encore plus comme cela... - Alors ouvre-moi tes fesses, que j’aille plus profond ! Caroline s’étant exécutée, je ressortis de son cul et, prenant mon élan, je m’enfonçai puissamment entre les deux globes charnus. Quand je fus tout au fond, ma s?ur poussa un long gémissement de contentement, qu’elle accompagna de vigoureux mouvements de son fessier, qui nous informèrent, Alison et moi, de la frénésie qui s’était emparée d’elle. L’anglaise, tout à fait rassurée désormais sur le déroulement de la sodomie de son amie, en vint à s’intéresser à son propre plaisir et, après avoir caressé pendant quelques instants de concert mes couilles émues et la moule de ma s?ur, elle se releva et s’asseyant devant Caroline, elle prit doucement la tête de celle-ci et lui demanda de la lécher. La vue de la joie intense ressentie par mon anglaise adorée accrut encore mon propre désir et je fus bientôt au bord de l’orgasme. J’accentuai donc le pilonnage du cul de ma petite s?ur, qui bien que rendue momentanément silencieuse par la chatte d’Alison n’en manifestait pas moins la proximité de son orgasme par les amples mouvements latéraux qui agitaient ses jolies fesses. Ceux-ci finirent par avoir raison de moi et j’éjaculai dans l’étroit tunnel de Caro à grandes giclées de foutre, dont je déposai après être sorti de son cul les dernières gouttes sur la petite pastille de l’anus désormais entrouverte, qu’Alison vint goutter avec délectation à grands coups de langue. Quand Caroline, sous l’effet des léchouillages de son amie, eut ressenti un nouvel orgasme, les deux filles vinrent me rejoindre, chacune de leur côté, sur la fourrure sur laquelle je m’étais affalé, épuisé, et se serrèrent bien fort contre moi. Je m’endormis ainsi presque sur le champ, aux anges entre la chaleur des deux filles. Je fis dans ces conditions de nombreux rêves torrides dans lesquels, on s’en doute, mes deux compagnes intervenaient et participaient activement. Mais les fantasmes qui m’assaillirent à cette occasion se révélèrent encore bien fades en comparaison des débordements érotiques que nous partageâmes tous les trois après notre retour à la maison, au cours de la semaine qu’il restait à Alison à rester en France. Afin de profiter au maximum du peu de temps qui nous restait, la jeune britannique et moi passions l’essentiel de notre temps à baiser, jusqu’à la limite de nos forces. Chaque soir, Alison venait donc me rejoindre dans mon lit et nous entamions une longue nuit de débauches, qui ne se limitaient d’ailleurs pas à cela, puisque fréquemment dans la journée la jolie garce m’allumait afin que je la prenne dans des endroits parfois insolites, comme la cuisine de mes parents alors que ceux-ci et Caroline prenaient leur repas dans la salle à manger, ou bien sur les fauteuils d’une salle de cinéma. Caro, au cours de ces ébats improvisés, nous fut d’un grand secours puisque, à plusieurs reprises, quand nous baisions en différents endroits de la maison, alors que nos parents étaient présents, elle s’arrangea pour nous permettre d’?uvrer en toute tranquillité, en retenant ceux-ci le temps qu’il fallait ou en venant nous prévenir quand ils s’approchaient dangereusement. Mais après quelques jours, ma s?ur ne put supporter plus longtemps être une simple complice lointaine de nos amours, si bien que, je crois que c’était le troisième soir après notre retour du chalet, Alison me confia que son amie désirait au moins une fois se joindre à nouveau à nous. J’hésitai un instant car, étant très amoureux j’étais bien sûr devenu jaloux mais, me souvenant du plaisir intense que m’avait procuré la sodomie de ma s?ur, je finis par accepter et Alison fit entrer dans ma chambre Caroline qui, ne doutant apparemment pas de ma réponse, attendait à la porte ! Nous reprîmes à cette occasion nos amusements à trois, qui se révélèrent encore plus excitants que la première fois, puisque nous trouvâmes au fur et à mesure de nouvelles positions, comme celle où les deux filles se faisaient face sur le lit et se caressaient mutuellement tandis que je les prenais en alternance, Alison dans le con et Caroline dans le cul. Celle-ci continuait en effet à exiger que je la pénètre ainsi, malgré mes tentatives de plus en plus pressantes pour qu’elle me permette aussi de lui mettre ma bite dans sa chatte. je me consolai en me régalant les yeux - et la bite - du spectacle des deux salopes en train de se gouiner. Même si elles étaient toujours ravies de s’enfiler mon membre, elles étaient devenues des lesbiennes convaincues et pouvaient passer des heures à me raconter les jouissances incomparables qu’elles en retiraient. Je n’avais guère de mal à les croire, à la vue de leurs visages rayonnants, notamment lorsque, emportées par la passion, elles en venaient à s’écarter mutuellement les cuisses, pour s’installer vulve contre vulve, réjouissance spectaculaire, que ma s?ur, entre deux gémissements de bonheur, me présenta, non sans logique, comme la seule qu’un homme ne pourrait jamais offrir à une femme... Mais, les meilleures choses ayant une fin, à la suite de la délicieuse semaine que nous avions passée tous les trois, les deux filles repartirent à Londres, où leurs études les attendaient avec impatience. Environ trois semaines plus tard, Caroline revint en France pour un week-end, à l’occasion d’un important repas familial. J’étais jusqu’alors resté fidèle à Alison, ne m’autorisant pour calmer mes ardeurs que des séances de masturbation, au cours desquelles l’anglaise, bien qu’absente, participait activement, puisque son corps de rêve, ses seins, sa croupe, sa chatte occupaient à ces moments totalement mon esprit. Mais dès le soir de son retour, Caroline me rejoignit dans mon lit, avec la bénédiction d’Alison, qui savait que j’avais des exigences importantes en la matière et préférait que je les satisfasse avec son amie plutôt qu’avec une autre fille. Pendant les trois nuits où elle fut chez nous, je sodomisai donc à plusieurs reprises ma s?ur, avec une immense satisfaction, et sans aucun remords. La jeune salope, depuis qu’elle avais pris goût à cette pratique, ne pouvait plus s’en passer et elle m’avoua qu’elle avait déjà trouvé plusieurs camarades de jeu pour mettre en application et approfondir ses récentes connaissances, si bien que son anus se révéla bien plus facile d’accès que les premières fois où je l’avais enculée. Elle n’avait en effet plus besoin désormais d’être longuement léchée et se contentait de quelques mouvements d’un de mes doigts dans son anus avant que je la prenne. Je n’en continuais pas moins à lui bouffer, pour le plaisir cette fois, le cul, caresse qu’elle adorait autant que moi. Caroline aimait également que je lui lèche à la fois le con et le cul, quand elle s’offrait à quatre pattes sur le lit, les cuisses et les fesses largement écartées. Elle perdait alors totalement le contrôle d’elle-même et plusieurs fois je lui manifestai mon désir en frottant ma queue contre sa moule trempée mais, à ma grande déception, elle reprit toujours ses esprits juste à temps pour me guider entre ses fesses. L’événement tant désiré se déroula finalement dans des conditions assez surprenantes, tout à fait conformes à l’esprit vicieux de ma s?ur, et alors que j’avais abandonné tout espoir qu’il se réalise, du moins dans un délai raisonnable. En effet, c’est à l’occasion du trajet dans ma voiture vers Lyon, où elle devait prendre son avion pour Londres, que Caroline se décida enfin à m’offrir cet ultime cadeau. Pendant le voyage, ma passagère était en train de m’assurer que, comme je lui avais demandé, elle ferait tout ce qui était en son pouvoir pour qu’Alison me reste fidèle et qu’elle n’hésiterait pas s’il le fallait à épuiser amoureusement son amie. A cet effet, Alison avait d’ailleurs prévu l’achat d’un godemichet, qu’elle devait effectuer pendant l’absence de ma s?ur, qui comptait bien, m’affirma-t-elle, l’essayer sur ma maîtresse le soir même. Ces révélations eurent sur moi l’effet que l’on imagine et Caro, qui s’en aperçut rapidement, en profita pour poser sa main sur la braguette de mon pantalon. - Tu bandes, mon grand frère, me semble-t-il ! Tu as peut-être besoin d’aide ? me demanda-t-elle, d’une voix faussement candide. A mon air penaud, ma charmante passagère comprit que je n’étais pas en mesure de refuser ses services et, avec empressement, comme si elle n’attendait que cela, elle baissa ma braguette, glissa sa main dans mon slip, et en sortit ma queue. Je n’avais pas encore eu l’occasion de tester les talents de masturbatrice de ma s?ur, qui avait jusqu’ici offert directement à mon sexe sa bouche ou son cul. je ne fus pas déçu par sa technique volontaire, mais néanmoins respectueuse de cet objet fragile, et en quelques secondes je me retrouvai totalement dans l’impossibilité de conduire. Afin de permettre à Caroline d’achever son ?uvre en toute sécurité je m’arrêtai sur le bas-côté, à quelques kilomètres de l’aéroport de Satolas. Nous étions partis largement en avance, craignant des encombrements qui ne s’étaient pas produits, et cet arrêt inopiné ne risquait donc pas faire rater son avion à ma s?ur. Celle-ci put donc, après que j’ai repoussé au maximum mon siège, prendre ses aises et emboucher enfin ma bite, qui ne s’attendait pas à être à pareille fête en cette soirée hivernale. Caroline, excitée par cette situation pour le moins originale, releva après quelques instants la tête et me demanda de la caresser, pendant qu’elle continuait à me sucer. Elle portait elle aussi un jean assez serré, si bien que son déboutonnage, dans la position où elle était, se révéla assez délicat. Quand enfin j’y parvins, je glissai deux doigts dans la chatte bien humide de ma s?ur. Ma progression fut d’abord difficile, jusqu’à ce que Caro se décide à écarter ses cuisses le plus qu’elle pouvait. Dans l’état d’excitation où nous nous trouvions tous deux, nous étions maintenant obligés, malgré l’exiguïté de l’habitacle de la voiture, d’aller jusqu’au bout, si nous ne voulions pas partir chacun de notre côté insatisfait. C’est pourquoi Caroline, abandonnant momentanément ma queue, vint s’asseoir sur mes genoux et plaça celle-ci entre ses cuisses. Tandis que je lui pelotais sans vergogne le fessier à travers son jean, puis sa petite culotte, quand j’eus abaissé davantage celui-ci, elle fit glisser habilement mon membre contre les lèvres chaudes de son con, caresse dont je ne m’émus pas outre mesure, car ma vicieuse s?ur me l’avait déjà infligé, sans aller plus loin, quand nous étions avec Alison. Ma surprise fut donc grande quand, sans que j’y sois pour rien, je me sentis enfin pénétrer dans la caverne étroite et brûlante de Caroline. Ainsi, la petite garce avait fini par céder à cette envie qu’elle ressentait sans doute autant que moi. Caro commença à s’agiter au-dessus de moi, d’abord lentement, puis de plus en plus vite quand, la prenant par les hanches, je lui imprimai mon propre rythme. Nous étions à l’étroit ainsi positionnés, ce qui limitait l’ampleur de nos mouvements, mais ne faisait que renforcer la tendre intimité que nous ressentions ma s?ur et moi pour la première fois à ce point. Notre coït fut malheureusement de courte durée en raison du désir intense qui nous possédait tous deux et j’éjaculai rapidement à grands jets, non sans m’être bien sûr assuré auparavant que Caroline ait joui abondamment. Même si nous avions pris nos précautions en partant en avance de la maison, à la suite de notre divertissement improvisé nous avions juste le temps de gagner l’aéroport, ce qui nous empêcha de discuter longuement de l’événement. Je me contentai donc d’embrasser ma s?ur et de la jeter dans son avion, et revint directement chez mes parents. Environ deux heures après mon retour, Caroline téléphona comme prévu à la maison pour rassurer notre mère, toujours inquiète quand un de ses enfants prenait l’avion, du bon déroulement de son voyage. Elle demanda alors à me parler et, après avoir échangé quelques mots, elle me passa Alison, qui me fit alors une révélation, qui me fit aussitôt fermer le haut parleur du téléphone : - My darling , me dit-elle d’une voix langoureuse, tu as bien fait de baiser Caroline tout à l’heure. Grâce à elle, j’ai encore le goût de ton sperme dans ma bouche ! A la suite de mon silence interloqué, elle ajouta : - Et oui, comme je me languissais de ton foutre, c’est moi qui lui ai demandé de te laisser l’enfiler juste avant son départ, pour que je puisse la lécher dès qu’elle arriverait, ce que j’ai fait dans la voiture, dès que nous avons quitté l’aéroport. Tu sais, Caro a été un très bon récipient : ton sperme était encore bien chaud quand je l’ai goûtée ! Ooooh... - Alison, qu’est-ce qui se passe ? l’interrompis-je en entendant cet étrange gémissement. - Oh, excuse-moi, my darling, ce n’est rien. C’est seulement ta salope de s?ur qui vient de m’enfiler son petit godemichet dans le cul, et cela me fait beaucoup de bien ! Ces deux sacrées femelles avaient-elles donc décidé de me rendre dingue ? Où s’arrêterait enfin leur délire sensuel ? A vrai dire, ces réflexions outrées sont un peu hypocrites de ma part : je participais en effet activement moi-même aux dépravations de ma s?ur et de son amie et j’en tirais sans doute un plaisir égal, voire supérieur, au leur... Les deux garces eurent d’ailleurs une nouvelle preuve de ma bonne volonté pendant le séjour que je fis en Angleterre lors des vacances universitaires qui suivirent, au cours desquelles ma puissance virile fut encore une fois mise à rude épreuve ! Malgré le mauvais temps qui régnait en ce mois de février sur la Grande-Bretagne, Caroline était partie pour quelques jours au Pays de Galles avec Peter, un ami d’Alison, avec qui elle sortait depuis quelques semaines. C’était son premier flirt sérieux depuis qu’elle avait quitté la France et Alison m’apprit que ma s?ur semblait très amoureuse. Je l’étais beaucoup moi-même et j’entrepris de le montrer à mon anglaise adorée pendant les premiers jours de mon séjour, au cours duquel nous eûmes donc la chance de nous retrouver seuls dans le petit studio. Dans le même temps, je découvrais à quel point celle-ci était merveilleusement vicieuse : elle acceptait avec enthousiasme toutes mes propositions et me surprenait même par ses propres initiatives, qui pour certaines étaient pour moi inédites. Ainsi, Alison était très habile à se servir de ses gros seins laiteux et elle me faisait particulièrement craquer quand, allongé sur le ventre, elle se glissait sur moi et me massai le dos de ses obus jumeaux aux pointes dressées, qui agaçaient délicieusement ma peau. De façon plus perverse, l’anglaise savait que ses nichons étaient idoines à accueillir une bite bien raide et avait découvert que cette manipulation déclenchait invariablement chez moi une éjaculation copieuse. Elle m’invitait donc fréquemment à me placer à cheval sur elle et à glisser ma queue entre ses deux globes qui, étroitement pressés l’un contre l’autre par leur propriétaire, formaient un merveilleux réceptacle, à l’intérieur duquel je faisais longuement coulisser mon membre. Cette position avait en outre l’incomparable avantage de me permettre d’envoyer les giclées brûlantes de ma jouissance sur le visage angélique de la superbe garce, que j’adorais contempler souillé de cette manière. Mais ce qui me troubla le plus au cours de mon séjour londonien fut sans aucun doute ce qui se déroula le deuxième soir de mon séjour, au cours duquel Alison me présenta d’un air mystérieux le godemichet qu’elle avait acheté, afin de compenser l’absence de ma bite. Caroline m’avait parlé de cette acquisition et tandis qu’en France je me branlais en pensant à mon anglaise chérie, des images de celle-ci baisée par ma s?ur à l’aide de ce gode m’étaient apparues à plusieurs reprises. L’objet en question était une bonne imitation d’un phallus viril, doté d’attaches qui permettaient à une fille de se transformer momentanément en étalon. Alison ne put s’empêcher de le comparer au mien qui, heureusement pour mon amour-propre, l’emporta légèrement, en longueur comme en diamètre. Quoiqu’il en soit, mon amie avait parfaitement appris à maîtriser cette bite en caoutchouc, comme elle me le prouva en s’en pistonnant longuement la moule et le cul en alternance. A la vue de ce spectacle il me vint une rafale d’idées vicieuses, parmi lesquelles une d’entre elles était facile à mettre en ?uvre immédiatement : à un moment où Ali avait placé le gode dans son anus, je lui demandai de venir me chevaucher, tout en laissant l’objet là où il était, que j’empoignai fermement. Ainsi, en faisant aller et venir parallèlement ma queue et le simulacre dans les deux trous de ma partenaire, je m’offris un aperçu assez exact d’un de mes fantasmes favoris, la double pénétration, dont je confiai ensuite à Alison à quel point je brûlais du désir de le concrétiser. C’est ainsi que nous passions l’essentiel de nos journées à baiser, ma copine et moi, tendance naturelle qui était encore accentuée par le temps exécrable qui régnait sur Londres en ce mois de février. C’est d’ailleurs pour la même raison que Caroline et son copain revinrent plus tôt que prévu de leur voyage au Pays de Galles. Quand ils firent leur entrée dans l’appartement, j’étais occupé à suçoter le clitoris d’Alison, désir qui s’était emparé de nous d’une façon irrépressible au retour d’une courte sortie en ville, si bien que nous n’avions pas pris la peine de nous déshabiller entiè
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