Tu entends des pas dans le couloir. Tu ne reconnais pas cette démarche. Ce bruit qui t’intrigue te fais relever la tête. Il est 18h, plus personne n’est dans l’immeuble. Tu pensais au début que c’était une de tes collègues qui revenait. Mais non, cette démarche t’est inconnue. Tu te lèves pour aller fermer la porte. Mais avant de l’atteindre, la lumière de la pièce s’éteint brusquement. Une silhouette se tient dans l’embrasure de la porte. Un choc électrique te parcourt le corps. Tu me reconnais. Tu recules vers ton bureau sans me quitter des yeux, plus par surprise que par peur. Tu me vois avancer vers toi, d’un pas décidé, tu te colles à ton bureau, t’aimerais t’en aller, mais ton désir profond te fait rester. Je suis enfin devant toi, nous sommes enfin seuls, et tu n’as qu’une envie, savoir enfin ce qu’il va se passer, consommer ton envie la plus primaire, la plus animale. Je me rapproche de toi sans dire un mot. Tu as l’air pétrifiée d’excitation et de peur. Je m’arrête à une trentaine de centimètres, tu as la tête baissée. J’avance ma main vers ton menton pour relever ta tête. Tu plonges ton regard dans le mien. J’y vois de la détermination. C’était pour moi le feu vert qui me manquait. Sans bouger j’avance mes mains vers ton visage. Mes doigts vont a l’encontre de tes joues, de tes tempes, de tes cheveux, tes mains viennent me prendre les mains, enserrer mes poignets, comme dans une tentative de me repousser, mais la faible pression que tu exerces dit tout le contraire et m’encourage. Toujours mon regard plongé dans le tien j’approche mon visage, tu fermes les yeux et doucement tu sens ma bouche qui vient se coller à la tienne. Le contact de nos lèvres déclenche en toi un puissant courant électrique. Comme suspendu dans le temps tu as l’impression que ce moment dure des heures. Tu ressens absolument tout ton corps, tu sens mes mains de part et d’autre de ton visage, mes poils sous tes mains qui se sont hérissés, mon corps qui s’est collé au tien, tes fesses qui sont appuyées au bureau, tes jambes qui tremblent d’excitation, ton cœur qui s’emballe, tes tétons qui durcissent, ton ventre qui se tort, et ton bas-ventre envahi par une magnifique vague de chaleur. Alors, le plus naturellement du monde, tu entrouves la bouche et sens ma langue venir chercher le contact de la tienne. Tu me réponds aussitôt et laisses ta langue partir explorer la mienne. Le baiser est langoureux, passionnel, puissant. Nos lèvres sont collées, nos langues se dévorent. La pression de mon corps sur le tien se fait plus importante et te plaque littéralement contre le bureau. Nos mains commencent à s’aventurer sur le corps de l’autre. Tout en t’embrassant, mes mains descendent de tes joues vers ta nuque et ton cou. La passion et l’envie qui m’animent me font exercer une légère pression sur ta peau. Tu relèves la tête, fermes les yeux et soupire de désir. Mes mains quittent ton cou pour descendre doucement sur tes seins. Ma bouche et ma langue viennent remplacer mes mains, je t’embrasse le cou en remontant doucement jusqu’à ton oreille. Tu entends ma respiration fébrile, perturbée et irrégulière due à mon excitation. Mes mains s’aventurent maintenant sur tes seins. Au début tu sens seulement mes doigts hésitants caresser le haut de ta poitrine puis en faire le tour. Puis les caresses se font plus précises plus fermes jusqu’à ce que j’empoigne et presse doucement tes seins. Mes doigts cherchent tes tétons au travers de ta robe. Au moment même où ils les trouvent, tu sens un léger pincement effectué par mes doigts. Je joue avec, je te presse les seins, je remonte une nouvelle fois ma bouche à ton oreille. Au moment où j’empoigne un peu plus fort ta poitrine, au moment où je pince plus fort tes tétons, au moment où tu sens mon sexe durcir contre ton ventre, au moment où tu sens que tu commences à couler, au moment où cette délicieuse douleur te fait perdre pied, tu m’entends dire doucement "j’ai envie de toi Alix". Je te sens littéralement fondre, tu te jettes sur moi pour m’embrasser à pleine bouche. Tu sens mes bras t’enserrer la taille. Mes mains sous tes fesses, je te soulève, tu viens aussitôt entourer mon bassin de tes jambes. Je sens que ton envie est en train de monter, tu sens mon sexe au niveau du tien au travers de nos vêtements. Tu te sens prête à m’accueillir, tu ne veux que ça, mais patience, je dois d’abord jouer un peu avec ton corps. Je te pose sur ton bureau. Assise face à moi, je me recule pour t’admirer, profiter de la vue de ton état déchaîné. Tu me regardes avec envie, ça me plaît, ça m’anime, et je bande encore plus fort. Je m’approche alors de toi, pose ma main sur le côté de ta nuque, mes doigts partent dans tes cheveux pour les saisir doucement. Tu sens une légère pression qui te fait lever la tête, je repars à la rencontre de ta bouche et t’embrasse de plus belle. Mon autre main saisis ta cuisse et l’écarte fermement. T’es surprise mais m’embrasse de plus belle. Je me recule une nouvelle fois, et mes yeux dans les tiens, j’écarte ta robe, dévoilant ainsi ton corps en sous vêtements. Je prend une chaise pour m’assoir face à toi. Tu vois alors mes mains tenir tes cuisses, ma bouche les embrasser de l’intérieur et mon souffle effleurer ta peau. Je me rapproche de ton intimité, je sens à quel point tu es remplie d’excitation. Je te retire le bout de tissu qui se dressait entre ma bouche et ton sexe. Te voilà nue face à moi, offerte à ma langue qui ne demande qu’à te goûter. Tu te couches un peu et te met en appui sur les coudes pour me faciliter l’accès. Tu sens d’abord un souffle s’approcher de tes grandes lèvres, puis une bouche effleurer ta peau, et enfin une langue se poser sur ton intimité. Elle est douce, chaude, elle glisse tout doucement. D’abord sur les grandes lèvres, tu la sens les explorer, les ouvrir pour goûter à tes petites lèvres. Je prend mon temps, te fait languir jusqu’au moment fatidique. Je joue avec puis, avec la pointe me langue je me rapproche de ton clitoris sans le toucher. Je le contourne, m’éloigne pour un plus me rapprocher. Après quelques secondes de ce supplice, tu sens ma langue sur ton clitoris. Tu lâches un gémissement de plaisir. Tu coules littéralement, ma langue te fouille alors un peu plus et plonge à la découverte du moindre recoin de ton intimité pour revenir sur ton clitoris. Je te dévore le sexe, ma main quitte ta cuisse et mes doigts viennent explorer ton intimité pendant que ma langue s’attarde sur ton clito. Tu sens un doigts pointer à l’entrée de ton sexe, puis s’enfoncent, suivi rapidement par un deuxième. La pénétration est douce et facile. Après quelques légers va-et-vient, j’entreprends des mouvements un peu plus grands, mes doigts explorent maintenant l’intérieur de tes cuisses pour stimuler chaque nerf à stimuler. La langue se fait plus précise. Ton clitoris est entièrement sorti, offert aux supplices que je lui inflige en le mordillant et le suçotant. Tu commences à te sentir remplie par mes doigts qui s’activent, tu perds de plus en plus le contrôle et te couches sur le bureau, les jambes totalement écartées, les pieds sur le bureau, me laissant quartier libre sur ton entrejambe. J’enlève mes doigts et plonge ma bouche son ton sexe, je commence aussi à perdre contrôle et lèche tout ce qui me passe sous la langue. J’empoigne le haut de tes cuisses et niveau de l’aine pour écarter un peu plus ce que tu m’offres. Je me régale de cette vue. Les grandes et les petites lèvres sont ouvertes, ton clito découvert et tes fesses légèrement écartées. Je replonge dans ton sexe ma langue qui te pénétre pendant que mes doigts sont venus t’exciter le clitoris. Ma langue te fouille un peu plus, mon autre main écarte encore ton entrejambe. Ma langue glisse doucement et va se perdre plus bas, entre tes fesses pour stimuler la partie la plus intime de ton corps. Tu sens mon nez dans ton sexe, mes doigts qui pincent délicieusement ton clito et ma langue qui joue avec tes fesses et qui les pénètre doucement. Tu m’excites à un point où je perds le contrôle. Je te fais descendre du bureau, te retourne brusquement et par une pression de mes bras te fais te pencher sur le bureau. Placé derrière toi je relève ta robe et te fais cambrer. Je te claque une fesse, puis l’autre, elles rougissent. Je m’agenouille derriere toi, écarte tes fesses et plonge une nouvelle fois ma langue à l’intérieur pendant que mes doigts reprennent possession de ton clitoris et te pénètrent. Je te sens te dilater de partout, couler de plus belle. Je me lève pour me déshabiller... Et tu te fais réveiller par ta collègue qui était revenue chercher ses clefs. Tu t’étais assoupie sur ton bureau. Il est 18h, il faut que tu rentres.
