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J'allais célébré le mariage d’une amie

Chapitre 1

Hétéro
C’était un jour magnifique. J’allais célébré le mariage d’une amie. IL y avait énormément de monde. La chaleur était étouffante. Les jus d’honneur servi après furent une bénédiction pour nos palais assoiffés. Je contemplais cette foule bigarrée quand mon regard fut attiré par une personne, je ne la connaissais pas. Sentant certainement la brûlure de mon regard sur lui, il se retourna et me fixa. Par gène je détournais mon regard du sien ; Mais entre temps j’avais pu remarquer que cet homme entre 41 et 45 ans était magnifique. Ses cheveux courts et peu grisonnant lui donnaient de l’allure, le sourire qui étirait ses lèvres était très sensuel. Devant son regard interrogateur, j’avalais péniblement ma salive. J’ai cru me sentir devenir rouge comme une tomate. L’embarras certainement. J’avais l’impression que la chaleur ambiante devenait plus suffocante.
La robe bustier que j’avais mise me collait comme une seconde peau. Mes mains étaient moites, L’inconnu se retourna pour discuter avec son vis-à-vis, ouf j’étais libérée de son regard. Je pris un verre d’eau pour me donner une contenance et je devisais avec des personnes que je connaissais. Puis vint le tour où je vis que les mariés étaient enfin libres alors je m’avançais vers eux pour les féliciter à mon tour. Après nos effusions, la mariée se retourna et me dévoila la personne qui m’avait tant troublée tout à l’heure. Mon amie fit les présentations et je sus qu’il s’appelait Fayçal. Il me dédiait son plus beau sourire et je me sentais fondre sous son regard perçant et amusé. IL devait sentir mon embarras. Je tendis ma main qu’il se saisi, sa paume était fraîche contre la mienne et il la garda plus que de raison dans la sienne. Il la lâcha enfin doucement et ses doigts glissèrent sur celle-ci comme une caresse. Je retourna aux autres invités, puis quand vint l’heure du repas quelle ne fut pas ma surprise de le voir assis en face de moi, je vérifiais quand même si c’était bien ma place qui se trouvais là et pas d’erreur c’était bien l’emplacement qui m’étais désigné. « comme on se retrouve » me dit il dans un grand sourire. Je ne sus que répondre et je me trouvais gauche. Il avait beaucoup d’humour, et au fur et à mesure que passait la soirée je sentais des picotements dans le bas de mon dos signes précurseurs d’excitation.
Puis quand vint le bal il me tendit la main pour m’inviter à danser. Chaque fois l’occasion lui permet qu’il s’approche de moi il pressa son corps contre le mien. Je pu sentir à travers sa chemise ses muscles durs. Il était adroit danseur. Il rapprocha son corps un peu plus du mien et posa sa main dans mon dos. J’avais l’impression que sa main me brûlait le dos. Je n’osais pas le regarder dans les yeux. Il tenta même à glisser sa jambe entre les miennes afin de pouvoir mieux suivre le rythme lent. Sa main vient renforcer ses appuis dans la chute de mes reins accentuant la pression de mon bassin contre le sien.
Hummmm l’ambiance du lieu aidant, la danse langoureuse, mon corps pressé contre le sien faisaient augmenter mon rythme cardiaque. Mais je ne devais pas être la seule à être excitée je ressentais contre ma cuisse le renflement de son sexe ma fois bien raide. Quand la danse fut terminée, nous retournâmes à notre place L’ambiance étaient à la rigolade et notre voisin de table racontait à merveille plusieurs histoires drôles. Mais sous la table je sentais quelque chose frôler ma cheville.
Je redressais la tête et vis le sourire complice de mon partenaire. Son pied remontait le long de ma jambe avec délicatesse. Comme un effleurement. Puis arrivé à la hauteur de mes genoux il hésita et remonta encore plus son pied sous ma robe. Je ne pu me retenir d’ouvrir mes jambes lui facilitant le passage vers mon entre cuisse. Cette caresse dura un bon moment, un jeu de séduction langoureux. Quand vint une autre danse, il m’invita encore en se rechaussant discrètement. Quand je me retrouvais dans ses bras je sentais la caresse de sa main qu’il faisait aller et venir dans mon dos. Son souffle chaud effleurait ma nuque, me donnant des frissons de plaisir la danse me paraissait interminable. Il me murmura à l’oreille tout doucement : « j’ai terriblement envie de te faire l’amour veux tu m’accompagner dehors afin que nous soyons seuls ? » je ne répondis pas la gorge serrée par l’émotion mais je me saisi de sa main et l’entraîna vers les portes battantes. L’air du dehors était fraîche, la nuit étant tombée. Il m’entraîna dans un coin sombre loin de la salle derrière un petit bosquet sur un banc dans le jardin. Nous étions seuls éclairés seulement par la lune.
Il s’approcha de moi me saisi entre ses bras et vint poser sa bouche sur la mienne. Elle s’ouvrit sous la pression de sa langue. Au contact de sa langue humide, je frissonnais, il me dévasta la bouche dans un long baiser pressant, son corps rivet au mien. Mon corps ne m’obéissait plus et lascivement mon bassin ondulait contre le sien lui imprimant déjà les rythmes de l’amour. Il passa sa main dans l’échancrure de ma robe et en sorti mes seins. Il recula pour admirer ma poitrine. Avec un gémissement étouffé il revint poser sa bouche sur mes tétons. De sa langue il en caressait la pointe qui se tendait. Il se saisi de mes mamelons entre ses lèvres et vint les lécher délicatement. Je sentais mes seins durcir. Puis de ses mains il remonta ma robe le long de mes cuisses. Je sentais l’air frai dessus mes fesses. Sa main vint effleurer mon pubis sur mon string. Je ne pu retenir un gémissement. De ses doigts habiles il écarta le tissu et il vint caresser ma vulve. Ses doigts se posèrent sur mes pétales de mon intimité, mon bouton s’érigeait sous la pression de son index. Puis son majeur entra dans ma fente humide; et telle une fleur je m’ouvrais à lui, prête à me donner. Je l’embrassais à perdre haleine. Puis il me repoussa tendrement et sans dire une parole s’agenouilla entre mes cuisses, descendit mon string qu’il mit dans la poche de son pantalon puis il vint me lécher de sa langue. Il était habile et su rapidement me faire venir à l’orgasme sous l’effet des coups rapides de sa langue sur mon clitoris.
Quand il senti mon orgasme venir, il introduisit sa langue dans mon vagin et vint boire toute ma liqueur qui coulait. J’étais tendue, je m’accrochais à ses épaules et retenais mes cris de plaisir. Quand lentement je repris mes esprits je le redressais et à mon tour voulu lui pratiquer la même caresse. Je défies son pantalon et sorti son sexe érigé, tendu comme un arc. Je posa mes mains de chaque côté et le fit rouler entre mes doigts. Ma langue vint ensuite se poser sur son gland déjà baveux de son liquide clair. J’en goûtais la texture, la douceur. Puis de ma langue je fis le tour de son gland lentement prenant un malin plaisir à l’exciter, puis ma langue s’aventura sous le gland, le long de sa hampe pour venir ensuite lécher ses testicules. Je l’entendis grogner de plaisir je me saisis d’une main de ses bourses et je les malaxais entre mes doigts.
Pendant ce temps je pris sa verge dans ma bouche et je la léchais tout en la suçant et de mon autre main je venais le masturber dans ma bouche. Mes doigts coulissant le long de sa queue. Je le sentis prêt à exploser. Alors je cessais et me releva. Il s’assied sur le banc les fesses bien en avant, et il m’entraîna avec lui. Après lui avoir posé un préservatif, Je sentais sa queue coulisser en moi dure comme du bois. Je montais et descendais mon bassin au rythme de mes vagues de plaisir et de mon envie. Puis je ne puis plus me retenir, je me sentais partir. Mon ventre se crispait de jouissance, mes seins étaient tendus durs de désir ma tête ne me contrôlait plus et là j’explosais dans un orgasme inouïs. Ma cyprin coulait sur ses testicules, sur sa queue étant toujours raide et n’ayant pas encore jouis. Ma bouche se posait sur la sienne dans un long baiser afin de le remercier de mon plaisir. Puis il se releva, me fit m’appuyer contre le banc les fesses relevées à sa hauteur. Sa bouche vint laper ma jouissance et de ses doigts qu’il enfila dans un premier temps dans ma chatte il les retira et vint tâter mon anus. Il me caressa ne força pas et petit à petit mon cul aspirait ces doigts les réclamaient. Sous l’effet de ses doigts et de sa langue je jouis une nouvelle fois inondant sa bouche de ma rosée de plaisir. Il présenta ensuite, son gland à l’entrée de ma chatte, puis il s’enfonça. Sa colonne de chair n’avait aucune difficulté à entrer tellement j’étais mouillée. Il me saisi les hanches et allègrement me pilonna. Puis il sorti de mon vagin et vint se présenter à mon anus. Lentement et avec patience il s’enfonça dans ce rempart de chair. Jusqu’au fond. Il ne bougea plus pendant un petit moment tout en continuant de me caresser le clitoris de ses doigts. « Allez viens ma chérie encore une fois », me murmura t-il à l’oreille. Sa queue se mit lentement à évoluer dans mon conduit anal. Puis de plus en plus vite. Ses doigts s’agitaient avec la même régularité. Je le sentais grossir dans mon anus. Il me pinçait et me frottait le clitoris comme un malade. Il était hypertendu sous ses doigts je sentais la jouissance venir. Je le lui dit et il me répondit « laisse toi aller mon ange, laisse couler ton plaisir laisse le t’envahir » et là aussi soudainement qu’un ouragan, le plaisir me saisi, et je ne pu qu’ accélérer mon derrière à sa rencontre pour le sentir encore mieux. Mes cris se mêlèrent au siens. Ses doigts étaient couverts de ma mouille. Et pendant ce temps lui explosait dans de longues saccades de sperme. Après s’être retiré et enlevé son préservatif on se prodigua encore quelques caresses. Puis nous décidâmes de retourner à la fête avant que l’on ne se pose trop de questions.
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