A 20 ans, Camille était une jeune femme ravissante, elle avait toujours été d’un naturel optimiste, et son physique agréable l’aidait grandement à faire des rencontres inattendues. Il faut dire que du haut de ses 1,60m pour 51 kg, elle savait mettre en valeur sa magnifique poitrine de 95D, bien ferme et dont les tétons étaient particulièrement sensibles, et pour parfaire sa plastique de rêve, elle possédait un superbe petit cul merveilleusement bombé.Jusqu’à ces dernières semaines, Camille vivait une vie heureuse et épanouie. Elle était en couple avec un superbe garçon, qu’elle aimait beaucoup, avec lequel elle avait découvert son corps, et tout ce qu’il pouvait lui apporter comme plaisir.Même si habituellement, Camille n’était pas une fille facile, et s’était toujours fixée pour principe de ne pas coucher au premier rdv. Pourtant, dès le premier jour de leur relation, elle s’était laissée abandonner aux douces caresses d’Antoine. Elle avait alors ressenti une sorte de communion, lorsqu’ils avaient joui presque simultanément, et elle avait adoré cela. Mais, bien qu’au début de leur relation, elle avait trouvé que la fougue que lui vouait son chéri, était plutôt excitante et très enivrante. Au fur et à mesure que leur relation avançait, elle avait vite compris qu’Antoine était complètement addict au sexe, ils baisaient ensemble au moins 5 fois par jour.
Même si Camille y prenait beaucoup de plaisir, elle avait du mal à suivre, car même les semaines où elle avait ses règles, elle se la prenait dans le cul. Heureusement pour elle, Antoine avait fait d’elle une véritable adepte de la sodomie, et elle jouissait beaucoup à se faire enculer.
Toutefois, au bout de deux ans de baise acharnée, elle avait ressenti le besoin de calmer un peu toute cette fougue. Elle prétendit donc devoir se rendre auprès de sa grand-mère, parce qu’elle avait des soucis de santé, afin de voir comment se comporterait Antoine. Elle l’appelait tous les soirs, pour avoir des nouvelles, et tout semblait bien se passer.
Durant ces quelques jours de célibat, elle constata qu’elle avait déjà une semaine de retard sur ses règles, elle alla tout de suite acheter un test de grossesse, et lorsqu’elle découvrit le résultat positif, elle ne sut comment annoncer la nouvelle à Antoine. Il était hors de question, pour elle, de continuer à baiser comme des bêtes pendant sa grossesse. Elle décida donc d’attendre d’être retournée chez elle, pour lui annoncer de vive voix, et voir sa réaction. Mais, elle était tellement impatiente de lui annoncer, qu’elle décida de rentrer chez elle, plus tôt.
Il se passa exactement ce qui se passe lorsqu’un conjoint découvre que son compagnon couche avec un autre, ou plutôt ce fut pire pour Camille. Lorsqu’elle arriva chez elle, elle entendit des gloussements et des gémissements féminins, qui la firent frémir. Elle lâcha sa valise et fonça dans la chambre, elle se figea sur place, lorsqu’elle découvrit Antoine, complètement nu, allongé sur leur lit. Même si jusque-là, ça aurait pu l’exciter, la présence de ses deux meilleurs amies la contraria énormément. Surtout que ces deux garces, étaient également totalement nues, l’une d’elle chevauchait la bite d’Antoine, tandis que l’autre se faisait bouffer la chatte. ces deux salopes se roulaient une pelle, en se pelotant les seins, et en jouissant avec la bite ou la langue d’Antoine.
En les regardant baiser, Camille s’en voulut d’avoir été trop prolixe en détail avec ses amies, lorsqu’elles discutaient de leurs relations sexuelles avec leur copain. Elle se souvenait également qu’Antoine lui avait proposé un plan à trois, avant qu’elle ne lui annonce son séjour chez sa grand-mère. Ce salaud avait fini par trouver deux salopes prêtes à assouvir son fantasme.
Elle sentit les larmes lui monter aux yeux, et alors qu’elle enfermait sa colère au plus profond d’elle-même, elle alla chercher une plus grosse valise, et lorsqu’elle entra dans la chambre pour récupérer ses affaires, ses deux amies, ou plutôt ex-amies, sursautèrent en s’écriant :— Camille !!
Mais celle-ci les ignora complètement, elle déposa la valise sur le lit pour l’ouvrir, et tandis que les deux filles libéraient Antoine d’entre leurs cuisses, Camille remplissait sa valise. Antoine bafouilla un semblant d’excuse, prétendant que c’était la première fois, qu’il ne recommencerait jamais plus…
Camille restait impénétrable, complètement impassible à ce qui se déroulait autour d’elle, elle referma la valise et passa dans la cuisine, pour écrire un mot à Antoine, comme s’il n’était pas derrière elle à l’implorer de lui pardonner.Ce dernier tomba à la renverse, lorsqu’il lut :— Je reviendrais chercher mes affaires plus tard, je préférerais que tu ne sois pas là, et sinon je suis enceinte de toi, mais malheureusement, tu ne connaîtras jamais ton enfant.
Camille prit sa voiture et partit. Mais, alors qu’elle sentait toute cette tristesse et cette colère remonter en elle, elle s’arrêta sur le bord de la route et se mit à pleurer à grosses larmes.Son téléphone ne cessa de sonner, Antoine essaya de la joindre plusieurs fois, mais comme elle ne voulait plus entendre parler de lui, elle bloqua son numéro. Pourtant, alors qu’elle avait les joues couvertes de larmes, elle vit que son père avait tenté de la joindre. Elle fit son possible pour retrouver un peu son calme, et le rappela :— Coucou papounet.— Ça va ma puce, Antoine vient de nous appeler, tu veux venir à la maison ?
Camille ne put retenir ses pleurs, dès qu’elle entendait ce prénom, elle pleurait, alors son père tenta de la consoler au téléphone :— Calme-toi ma puce, c’est un gros abruti, il ne te mérite pas, viens à la maison, on prendra soin de toi.
Camille attrapa un mouchoir, pour se moucher et répondit :— Merci, papa, j’arrive.
C’est ainsi que Camille retrouva sa chambre d’ado, chez ses parents, et ne voulant pas retourner sur les lieux du crime, elle demanda à son père d’aller récupérer ses affaires et rendre les clefs à Antoine. Comme sa fille était en pleine dépression, Patrick s’en chargea volontiers, mais lorsqu’il arriva à l’appartement, il fut surpris que la porte ne soit pas fermée à clef, pensant qu’il y avait quelqu’un, il entra en s’annonçant.La seule réponse qu’il eut, fut des cris de plaisir provenant de la chambre. Il se dit que ce salaud d’Antoine n’avait pas perdu de temps pour remplacer sa fille. Alors, même si les cartons des affaires de Camille avaient été déposés dans l’entrée, prêt à charger, il s’avança doucement vers la chambre. Il fut surpris de trouver Antoine, seul, la bite à l’air, en train de se branler, devant l’écran de la télé. Mais Patrick fut encore plus abasourdi de voir que c’était sa fille à l’écran, ils avaient sans doute fait une sextape, lorsqu’ils étaient ensemble, et ce salaud se branlait en se remémorant ce moment intime.
Patrick ne put détacher son regard de l’écran, et bien qu’il eût terriblement honte, il se mit à bander en regardant sa fille, écarter ses fesses et demander à Antoine de l’enculer. Sa femme n’ayant jamais accepté qu’il l’encule, Patrick ne put se retenir de se branler en regardant sa fille jouir avec une bite dans le cul. Mais plus il la regardait, plus il se disait qu’il ne pouvait pas laisser cette vidéo entre les mains d’Antoine, s’il se mettait à la diffuser à ses amis, ou pire, sur internet, la vie de sa fille serait détruite.
Il fit son possible pour retrouver son calme, et surprenant Antoine en pleine branlette, il vint récupérer la clé usb branchée à la télé, en lui disant :— Je récupère ça aussi, tu n’en auras plus l’utilité.
Abasourdi, par l’arrivée impromptue de son ex-beau-père, Antoine ne put que le laisser partir avec la clé USB en bafouillant :— Mais, c’est la seule que j’ai.— Ravi de l’apprendre.
Patrick glissa la clé dans la poche et commença à charger les cartons. Quelques minutes plus tard, il fut rejoint par Antoine, qui l’aida à charger les cartons, en tentant de négocier pour récupérer la clé :— Rendez-moi la clé, s’il vous plait, il n’y a pas que cette vidéo sur cette clé.— Tant pis pour toi, tu aurais dû réfléchir avec autre chose que ta bite, avant de tromper ma fille.
Patrick claqua la porte de sa voiture et partit. Lorsqu’il arriva chez lui, Camille vint l’aider à décharger et lui demanda :— Ça a été, tout s’est bien passé ?— Oui, parfaitement, il n’était pas là, j’ai tout récupéré.
En disant cela, Patrick posa la main sur la clé USB, et alors qu’il s’apprêtait à la donner à sa fille, il la laissa dans sa poche et la garda pour lui. Il la rangea précieusement dans son bureau, et à chaque fois qu’il était en télétravail, seul dans son bureau, il la sortait et la regardait en repensant aux images, à jamais gravées dans sa mémoire.
Pendant plusieurs mois, il s’en contenta et n’osant jamais la brancher pour voir ce qu’il y avait dedans. Jusqu’à un certain soir, sa fille était au 8eme mois de grossesse, elle avait maintenant un ventre bien rond, mais surtout elle avait énormément gonflé des seins, passant de son, déjà énorme, 95D, à un 110 F hallucinant. Elle venait de prendre sa douche, elle était dans peignoir habituel, et s’était assoupie sur le fauteuil. Il remarqua alors deux taches humides, au niveau des tétons, il devina que ses seins devaient commencer à suinter du lait.
Sans savoir pourquoi, Patrick avait toujours été très excité par le lait maternelle, il avait d’ailleurs souvent bouffé les seins de Patricia, sa femme, lorsqu’elle allaitait Camille, allant même jusqu’à la baiser pendant la tété.
Au début, elle avait trouvé le regard pervers de son mari, très gênant. Mais dès qu’elle posait Camille dans son berceau, il lui sautait dessus et la baisait sauvagement. Alors, comme elle jouissait comme une folle, après chaque tété, elle avait eu l’idée vicieuse de lui proposer son autre sein, pendant que sa fille tétait. Il s’était alors jeté dessus et tout en lui bouffant le sein, il lui avait même fouillé la chatte et Patricia avait joui si fort, qu’après coup, elle en avait eu un peu honte. Pourtant, ils recommencèrent la fois suivante, et cette fois, il la baisa pendant qu’elle donnait le sein à sa fille. Elle avait alors joui si fort, qu’elle lui ouvrait les cuisses à chaque fois que sa fille réclamait son sein.Il la baisait tellement souvent, qu’elle ne fut pas très surprise d’apprendre quelques semaines plus tard, qu’elle était de nouveau enceinte, même si leur petit manège reprit lorsqu’elle accoucha de nouveau, quelques mois plus tard. Cette fois-ci, elle prit ses précautions pour ne pas retomber enceinte, encore une fois.
Donc, en voyant les seins de sa fille suinter du lait maternel, Patrick sentit sa bite se redresser, il eut un peu honte de désirer autant les seins de sa fille. Pourtant, alors qu’elle était assoupie, presqu’offerte à ses caresses, il profita que sa femme soit déjà partie se coucher, pour s’approcher doucement de Camille. Mais, tandis qu’il allait ouvrir les pans de peignoir pour dégager la vue sur son énorme poitrine, elle se réveilla. Elle fut un peu surprise de trouver son père juste à côté d’elle, et un peu confus, Patrick trouva comme excuse :— J’ai vu que tu dormais, je voulais te mettre au lit.
Camille sourit et lui répondit :— Comme quand j’étais petite ?— Oui, mais tu n’es plus aussi légère.— Surtout avec ce que j’ai dans le ventre.
Ils rirent ensemble, et Camille se leva pour aller se coucher. Frustré, et se trouvant particulièrement méprisable, Patrick partit dans son bureau, pour se vider la tête dans un de ses jeux de combat en ligne. Mais, alors qu’il cherchait sa souris dans son tiroir, il tomba sur la fameuse clé USB qu’il avait récupéré chez sa fille. Il se souvint des images obscènes de sa fille, en train de baiser avec son ex.Sans vraiment pouvoir s’en empêcher, il brancha la clé et commença à fouiller dedans. Il fut abasourdi par le nombre de fichier hallucinant qu’il y avait, certains portaient des noms très explicite comme : Tout dans le cul, ou encore En plein air.Mais la plupart ne portait que des noms génériques, composés de la date et de l’heure à laquelle ils avaient été fait.
Patrick ne sut trop par lequel commencer, il en lança un au hasard. Il fut surpris de voir Camille à genou entre les cuisses d’Antoine, en train de lui pomper la bite. Il eut un peu honte de la voir sucer si goulument la queue de son ex, et s’apprêta à refermer la vidéo. Mais, ce salaud avait dû la filmer avec des lunettes caméras, car Patrick avait l’impression d’être à sa place. Il sentit sa bite se redresser, alors tout en la laissant se poursuivre, il ouvrit son pantalon et sortit sa queue pour se branler.Il s’imagina facilement à la place d’Antoine et ne put résister très longtemps, lorsqu’il vit sa fille se redresser et glisser la bite d’Antoine entre ses gros seins pour la branler avec. En même temps qu’Antoine giclait sur les seins de sa fille, Patrick gicla tout son sperme sur son bureau. Il en eut un peu honte, mais alors qu’il fermait la vidéo, il se dit qu’il devait prévoir du sopalin la prochaine fois. Il se branla ainsi tous les soirs, s’imaginant fourrer sa bite dans la bouche, dans la chatte ou même dans le cul de sa fille.
Cependant, un soir, Camille fut troublée de surprendre le regard lourd de son père sur ses seins. Il les regardait comme tous les hommes qui désiraient coucher avec elle. Était-ce les hormones, qui la faisait ressentir des choses totalement contradictoires, ou bien simplement son manque de sexe depuis des mois ? Elle ressentit une profonde excitation. Un peu honteuse, Elle avait, tout de même, ouvert un peu plus son décolleté. Pourtant, lorsqu’elle avait vu son père se lécher les lèvres d’envie, elle avait senti sa chatte se mettre à couler abondamment.Mais, alors qu’elle était en train de s’exhiber devant son père, et qu’elle avait même surpris sa main se caresser la bite, elle se rendit compte que sa chatte coulait vraiment énormément, elle baissa la tête pour voir ce qui se passait et découvrit qu’elle perdait les eaux. Elle poussa un cri de surprise lorsqu’elle eut la première contraction.
Le regard vicieux de son père se transforma aussitôt, et le désir obscène et incestueux laissa place à la panique totale. Patrick appela sa femme, et comme toutes les affaires étaient déjà prêtes, ils prirent la direction de la maternité, quelques minutes plus tard.Karine, sa femme, accompagna sa fille, dans la salle de travail. Tandis que Patrick restait dans la salle d’attente. Il eut alors tout le temps de repenser à la scène avant la panique. Il lui avait semblé que Camille dévoilait ses énormes seins de plus en plus. Il se dit alors, qu’il devait vraiment arrêter de regarder les vidéos où sa fille se faisait baiser et enculer, il ne pensait plus qu’à une chose : la baiser.Heureusement qu’elle avait perdu les eaux, sinon il aurait pu se jeter sur elle, pour lui fourrer sa bite entre ses deux énormes nichons. Patrick décida donc que dès qu’il serait rentré, il jetterait la clé USB à la poubelle.
Malheureusement, ou heureusement pour lui, il fut tellement occupé à préparer l’arrivée de son petit-fils, qu’il en oublia presque cette fameuse clé. Il n’y repensa plus pendant quelques jours. Jusqu’à ce que sa fille rentre enfin de la maternité, et qu’elle donne le sein à son fils. Totalement accaparée par la naissance de son fils, Camille avait également oublié l’étrange épisode, où son père fixait ses seins avec un regard vicieux. Mais lorsqu’elle remarqua de nouveau les yeux lubriques de son père sur son sein, elle se demanda ce qu’il lui prenait. Elle n’osa pourtant pas lui demander directement, et préféra attendre d’être seule avec sa mère, pour lui en toucher deux mots :— Dis, maman, quand tu m’allaitais, ça ne te dérangeait pas que les autres hommes voient tes seins ?— Eh bien, ma puce, en général, tu allaites ton enfant chez toi.— Et tu faisais quoi, si vous receviez de la visite ?— Oh, en général, les hommes sont gênés, et détournent vite le regard.— Et s’ils ne le font pas ?
Intriguée par les questions de sa fille, et surtout se rappelant parfaitement l’ardeur qu’avait pu avoir son mari lorsqu’elle allaitait Camille, elle lui demanda :— C’est ton père, qui te mate les seins ?— Euh, eh bien, …— Ne t’en fais pas, ma puce, il n’est pas méchant, et si tu veux tout savoir, ton père était très, mmmm, disons entreprenant, lorsque je t’allaitais, et c’est même un peu pour ça que ta sœur est née moins d’un an après toi.
Un peu gênée d’apprendre que son père était excité par les seins des femmes, et en particulier par celles qui allaitaient. Elle n’osa pas dire à sa mère, qu’elle était troublée par son regard, et qu’après les années de sexe intensif, qu’elle avait vécu avec Antoine, elle n’aurait jamais imaginé être à ce point en manque de bite.
Même si la période de l’accouchement avait un peu calmé ses humeurs érotiques, le regard de son père les avait réveillés de nouveau. Alors, lorsqu’elle allaita de nouveau son fils, et qu’elle remarqua sa présence discrète dans l’embrasure de la porte de sa chambre, elle osa découvrir doucement son second sein. Elle n’arrivait pas à voir son visage, mais elle eut tout de même un peu honte, de sentir son entrecuisse frétiller, en l’imaginant se branler derrière la porte.Camille n’avait pas totalement tort, depuis que Patrick avait vu sa fille allaiter son enfant, il avait retrouvé sa fougue d’antan. Mais, ne pouvant pas se jeter sur sa fille, comme il se jetait sur sa femme, à l’époque. Il s’était contenté de visionner des vidéos d’elle, en train de se faire prendre par la bite d’Antoine, dans tous les sens, par tous les trous, et dans des endroits plus ou moins glauques.Bien entendu, il se branlait à chaque fois, et jouissait sur son bureau. Mais, plus il regardait sa fille se faire défoncer par Antoine, plus il s’imaginait à sa place, et plus il la considérait comme une grosse salope. Elle aimait la bite, ça se voyait, elle l’avait même avoué à Antoine sur une vidéo, où elle lui gémissait :— Je veux ta bite dans n’importe quel trou, tu peux me baiser où tu veux et quand tu veux, je suis une grosse salope.
Alors, ce soir-là, tandis que sa femme était à la cuisine, il avait profité que la porte de la chambre de Camille soit mal fermée pour venir l’épier, en espérant apercevoir un sein. Il n’avait pas été déçu, et lorsqu’il l’avait vu libérer son autre sein, il avait aussitôt sorti sa bite et s’était branlé en la regardant allaiter. Mais, même s’il mourrait d’envie de se jeter sur elle, il n’avait pas osé franchir le pas de la porte. II avait fini par éjaculer sur la porte, et n’ayant rien pour nettoyer, il s’était enfui silencieusement, en espérant que personne ne remarque quoique ce soit.Pourtant, Camille avait cru entendre l’ombre derrière la porte, grogner de jouissance, et une fois qu’elle eut disparu, elle profita que son fils se soit endormi pour le déposer dans son berceau, afin d’aller vérifier si elle n’avait pas tout simplement fantasmé tout cela. Curieusement, elle fut profondément excitée de voir une longue trainée gluante couler doucement sur sa porte, elle n’avait aucun doute sur l’origine et la nature de cette substance. Alors, comme cela faisait des mois qu’elle n’en avait pas gouté et même si ce sperme appartenait à son père, elle s’agenouilla au pied de la porte et se mit à lécher le sperme paternel.Elle avait toujours aimé le gout du sperme de ses amants, et même si celui-ci n’appartenait pas à l’un de ses amants, elle se mit à délirer qu’elle adorerait pomper tout ce jus à la source. Après avoir parfaitement nettoyé sa porte de chambre avec sa langue, elle entendit sa mère l’appeler pour le diner. Elle se releva et reprit un peu ses esprits. Mais, alors qu’elle avait encore le gout du sperme de son père sur la langue, elle se dit qu’elle devait cesser de divaguer de la sorte. Les relations incestueuses étaient immorales, jamais son père ne cèderait à cette tentation.Malgré cela, tout en rejoignant ses parents dans la salle à manger, elle se demanda si elle, elle serait tentée par une bonne baise avec son propre père. Ils dinèrent donc tous les trois, discutant de choses et d’autres. Mais, même si Camille remarqua quelques regards appuyés de son père sur son décolleté, ils n’avaient rien à voir avec les yeux lubriques qu’il avait lorsqu’elle allaitait. Alors, curieusement, elle ressentit une étrange impatience d’allaiter de nouveau devant lui.Cela ne tarda pas. Tandis qu’ils étaient en train de regarder une émission à la télé, tous les trois, elle entendit son fils pleurer. Elle partit le chercher, en leur disant :— Je reviens, je veux regarder la fin de l’émission.
Elle vit alors dans les yeux de son père, une lueur lubrique, qui l’excita énormément. Elle se dépêcha de revenir avec son fils, et voyant que sa mère s’était absentée, elle se rassit dans le fauteuil, et plutôt que de ne libérer qu’un seul sein, elle dévoila les deux. Sous le regard intensément lubrique de son père, elle sentit son entrecuisse fondre comme neige au soleil, alors prise d’un élan monstrueusement incestueux, elle osa lui dire :— Si maman revient, je vais devoir le recouvrir, alors profites-en.
Patrick fut affreusement confus, mais il était tellement excité par cette situation, qu’il n’osa rien dire, et se contenta de sentir sa bite durcir dans son pantalon, en regardant les énormes seins de sa fille. Il mourrait d’envie d’être à la place de son petit-fils, et de lui bouffer les tétons, qu’ils voyaient pointer fabuleusement.Malheureusement pour lui, sa femme revint quelques minutes plus tard. Sa fille dut recouvrir son second sein, et même si Camille avait parfaitement remarqué la belle bosse que formait sa bite, Karine ne remarqua rien d’inhabituel.Pourtant, lorsqu’elle se retrouva dans son lit avec son mari, elle dut soulager son excitation débordante, et tandis que Camille se caressait, seule dans son lit, elle entendit les cris de jouissance de sa mère. Elle en fut particulièrement jalouse, elle aurait tant aimé être à sa place. Cela faisait tellement longtemps qu’elle n’avait senti une bonne bite lui ramoner la chatte, qu’elle crut devenir folle en entendant sa mère jouir.
C’est ainsi qu’ils plongèrent tous les trois dans les bras de Morphée, et que deux d’entre eux, s’imaginaient déjà coucher avec l’autre.Dès le lendemain, tandis que sa mère était partie travailler, Camille se retrouva seule avec son père, qui télétravaillait de la maison. Comme par hasard, elle remarqua qu’il était souvent dans le coin lorsque son fils pleurait et qu’elle devait l’allaiter, et comme la veille, elle découvrait son second sein, et le laissait lui manger la poitrine des yeux.
Mais elle mourrait d’envie qu’il ose venir lui pétrir les seins, qu’il lui mange les tétons, qu’il la baise enfin. Elle eut alors une idée affreusement immorale, et lui dit :
— Ooooh, j’ai vraiment mal aux seins, avec ces montées de lait, je crois que j’ai des engorgements.
Patrick, bavant et bandant devant l’incroyable poitrine de sa fille, lui répondit :— Ta mère avait ça aussi, je lui faisais des petits massages pour la soulager.— Elle a de la chance, de t’avoir sous la main, moi je suis toute seule.
Comprenant à peine, qu’elle lui tendait une perche, Patrick répondit :— Tu veux que je te masse un peu, ça te fera du bien.— Ooooh, ouiiii, tu feras ça après la tété.
Elle avait dit cette phrase avec un ton si voluptueux, que ça ne laissait aucun doute sur ses intentions. Alors, une fois son fils rassasié et endormi, elle le déposa dans son berceau et se rassit sur le fauteuil, les seins à l’air, et dit à son père :— A ton tour, papa, ils sont tout à toi.
N’en croyant pas ses yeux, Patrick se plaça derrière le fauteuil et commença par masser les épaules de sa fille, il descendit ensuite doucement vers ses énormes mamelles. Cela faisait si longtemps que Camille n’avait pas senti des mains d’homme sur elle, qu’elle ferma les yeux, et soupira à son père :— Mmmm, continue, papa, ça me fait tellement de bien.
Patrick continua à glisser ses mains sur la peau douce des seins de sa fille, ses doigts glissèrent sur ses tétons bien durs, la faisant geindre doucement de plaisir. Mais, alors qu’il essaya de prendre chacun de ses énormes seins dans chacune de ses mains, il fut encore plus impressionné par leur taille, ils débordaient de chaque côté. Alors, tout en geignant de plaisir, Camille lui demanda :— Tu aimes les grosses poitrines, papa ?
Patrick n’eut pas le temps de lui répondre, ils entendirent la porte d’entrée s’ouvrir, signe que Karine rentrait du travail. Camille se dépêcha de recouvrir ses seins, et Patrick s’enferma rapidement dans son bureau. Il avait la bite tellement dure, qu’il cliqua sur la première vidéo de la clé d’Antoine, et tout en se branlant, il reconnut la fille qui était en train de le sucer.Ce n’était autre qu’isabelle, sa seconde fille, des seins aussi gros que ceux de sa sœur, du moins avant la grossesse, et à voir comment elle suçait la bite de son beau-frère, elle semblait aimer autant la bite que sa grande sœur. Tout en se branlant, Patrick en voulut terriblement à Antoine. Ce salaud avait baisé ses deux filles, et maintenant, il se branlait en imaginant sa seconde fille lui pomper la bite. Il s’en voulut, mais il jouit prodigieusement en regardant Isabelle pomper la bite d’Antoine, et en repensant à la douceur et à la grosseur des seins de Camille.
Après avoir joui, il nota la date et l’heure de la vidéo, et constata que ce salaud avait baisé avec Isabelle, le jour de l’anniversaire de Camille. Il avait très envie de lui défoncer la tronche, pas seulement parce qu’il avait trompé Camille, avec sa propre sœur, le jour de son anniversaire. Mais, surtout parce qu’il lui avait fait découvrir, à quel point, ses filles étaient de grosses salopes, et qu’il avait joui en s’imaginant les baiser.Une fois, qu’il s’eut soulagé, il reprit son calme et se dit que Camille ne devait pas l’apprendre, si elle savait que sa propre sœur avait couché avec son ex, qui plus est, le jour de son anniversaire. Elle lui en voudrait à jamais. Patrick garda donc le secret, mais se dit qu’il en toucherait tout de même quelques mots à Isabelle, lorsqu’elle rentrerait pour les vacances.
Il finit par rejoindre sa femme, dans la cuisine, il l’embrassa tendrement, et tout en lui caressant amoureusement les fesses, il se demanda d’où est-ce que leurs filles pouvaient tenir leur côté salope, est-ce que ça venait de lui ou de leur mère ?Certes, il avait un certain attrait pour le sexe, mais il se dit que sa femme n’était pas non plus, la dernière à se lancer dans les aventures coquines, il se souvenait qu’au début de leur couple, ils baisaient au moins trois par jour, et cela presque n’importe où. Si sa vieille voiture avait pu parler, elle en aurait fait rougir plus d’un. Il se souvenait surtout de cet incident particulièrement gênant et dangereux, où Karine et lui étaient assis sur le canapé de ses parents. Excitée par leurs baisers et les caresses, elle avait osé sortir sa bite pour le branler. Une chose en entrainant une autre, elle avait fini par se placer devant lui, avait soulevé sa minijupe, écarté son string et tout en lui tendant son magnifique petit cul, elle lui avait dit :— Vas-y, mets-la moi, j’en ai trop envie.
Patrick avait alors tenu sa bite bien droite, et Karine avait descendu sa chatte dessus, elle avait poussé un long gémissement en sentant sa queue lui remplir le vagin. Mais, alors qu’il était au fond de sa chatte, et prenait un plaisir fou, ils avaient entendu des pas approchés. Il avait d’abord cru, que Karine allait se retirer, mais elle resta bien empalée sur sa bite et se contenta de cacher ses fesses et sa bite avec sa jupe. Patrick vécut alors le pire malaise de sa vie. Il serra la main de son beau-père, tandis qu’il avait la bite au fond de la chatte de sa fille. Mais, heureusement, ce dernier ne sembla rien remarquer de spécial, et s’installa dans son fauteuil habituel. Comme son père avait le regard plongé sur la télé, Karine avait alors commencé à faire des petits sautillements sur sa bite. Elle avait dû se mordre les lèvres pour ne pas gémir de plaisir, et Patrick n’avait pas pu s’empêcher de glisser ses mains sous sa jupe, pour lui peloter ses superbes fesses.Mais, la situation particulièrement embarrassante les excita tellement, tous les deux, que Karine accentua davantage ses va-et-vient sur sa bite, et Patrick finit par jouir au fond de sa chatte. Comme elle n’avait rien pour s’essuyer la chatte, elle lui en voulut un peu. Néanmoins, elle lui avoua bien plus tard, qu’elle avait adoré sentir son sperme couler le long de ses cuisses, le restant de la journée.En repensant à tout ça, Patrick fut convaincu que le côté salope de leurs filles venait de leur mère. Mais, alors qu’il la laissait cuisiner tranquillement, pour le diner, il retrouva Camille en train d’allaiter dans le salon. Suivant leur nouveau rituel particulièrement immoral, il la vit libérer son second sein, pour l’offrir à ses yeux pervers. Il sentit aussitôt sa bite se redresser, en repensant au moment où il avait pu caresser cette énorme poitrine. Mais Karine apportait déjà l’entrée, et Camille dût recouvrir son sein.Le diner se passa tranquillement. Même s’il y avait une étrange tension indécente entre Patrick et sa fille, Karine ne remarqua rien d’inhabituel, et lorsqu’elle partit prendre sa douche, laissant Patrick et Camille, seuls sur le canapé, celle-ci lui demanda alors :— Tu pourrais venir dans ma chambre, pour continuer ton massage de tout à l’heure ? j’ai encore un peu mal.
Sentant déjà sa bite palpiter à cette idée, Patrick lui répondit sans hésiter :— Bien sûr, ma chérie, je viendrais quand ta mère sera endormie.
Camille sentit une certaine impatience, s’emparer d’elle. Alors, voulant profiter d’être seule avec son père, elle commença à déboutonner sa chemise de nuit, en lui disant :— Tu ne veux pas commencer maintenant ?
Mais, avant que Patrick ait eu le temps de répondre quoique ce soit, Camille avait son énorme poitrine à l’air, et il ne sut quoi dire. Alors, voyant son père hypnotisé par ses énormes seins, Camille lui demanda :— Ils te plaisent, tu ne les trouves pas trop gros ?
Sentant sa bite gonfler dans son caleçon, Patrick répondit :— Ils sont magnifiques— Alors, viens t’occuper d’eux, j’ai encore très mal, tu sais.
Patrick ne chercha même pas à savoir si sa femme avait fini sa douche ou non, il se leva et passa de nouveau dans le dos de sa fille. Camille bascula la tête en arrière, offrant ainsi totalement sa poitrine à son père. Mais, alors qu’il posait directement ses mains sur ses seins, et se mettait à les pétrir, plus qu’à les masser. Camille sentit une belle bosse contre sa tête, elle se rendit compte qu’elle avait la bite de son père contre son crâne. Elle se mit alors à la masser avec, et tandis qu’il lui pelotait les seins vigoureusement, elle se mit à gémir de plaisir.Elle avait hâte de se retrouver seule avec lui, dans sa chambre. Mais, encore une fois, ils furent dérangés par sa mère. En entendant la porte de la salle de bain s’ouvrir, Patrick abandonna les seins de sa fille et se dépêcha de reprendre sa place. Tandis que Camille eut tout juste le temps de refermer sa chemise de nuit, avant que sa mère ne réapparaisse.Mais, Camille avait été trop excitée par les caresses de son père, et surtout par sa bite qu’elle avait senti bien dure contre sa tête. Alors, elle se leva et leur dit :— Je vais me coucher, je suis crevée.
Ses parents lui souhaitèrent bonne nuit, mais Patrick la suivit de yeux, en se demandant s’il devait vraiment la rejoindre dans sa chambre. Il se doutait que ça risquait de déraper, mais n’avait-il pas déjà été trop loin ?Il se branlait devant les vidéos pornos de ses filles, il pelotait les énormes seins de son ainée, et s’apprêtait même à la rejoindre dans sa chambre. Qu’allait donc devenir sa famille, s’il continuait à se laisser aller ?
Toutefois, lorsqu’il reçut un SMS de sa fille, comprenant une photo de ses gros seins, et lui disant :[SMS]<Ils t’attendent, papounet.
Patrick sut qu’il allait franchir un seuil interdit. S’il allait au-delà, sa vie de famille en serait à jamais bouleversée. Pourtant, il répondit :
[SMS]>Je viens dès que ta mère part se coucher.Cela ne tarda pas tellement, car Karine était épuisée de sa journée de travail, et le film à la télé l’ennuyait profondément, alors elle se leva et embrassa son mari, en lui disant :— Je vais me coucher aussi, ce n’est vraiment pas terrible comme film.— Ok, ma chérie, je vais finir quand même et je te rejoins
Trop impatient, Patrick attendit à peine 5 min, avant de se lever et de se diriger vers la chambre de sa fille, il laissa tout de même la télé allumée au cas où sa femme se relève. Mais, lorsqu’il arriva devant la porte de la chambre de Camille, il hésita. Se disant que s’il franchissait cette porte, il mettait fin à une vie de famille heureuse, et surtout vertueuse. Il allait la faire plonger dans l’inceste et la débauche, sans aucune possibilité de retour en arrière. Pourtant, il appuya sur la poignée et poussa la porte doucement.
Même s’il faisait très sombre, sa fille étant juste éclairée par une petite veilleuse, il la vit, allongée sur son lit, la poitrine à l’air, une main entre les cuisses. Comme par reflexe, elle la retira rapidement, et le laissa approcher sans dire un mot. Mais avant qu’il ne pose, de nouveau, ses mains sur ses seins, elle lui chuchota :— Le petit dort, il ne faut pas le réveiller.
Patrick se contenta d’hocher la tête et posa ses mains sur les seins de sa fille. A chaque fois, il était impressionné par leur taille, ils débordaient de partout, et tandis qu’il se mettait à les peloter doucement, il entendit sa fille commencer à geindre de plaisir. Comme pour être certaine qu’ils n’allaient être une nouvelle fois interrompu par sa mère, Camille lui soupira :— Maman dort ?— Oui, ne t’inquiète pas, elle ne se réveillera pas.
Alors, prise d’une envie irrépressible d’en offrir plus à son père, elle lui dit :— Appuie plus fort, papa, il faut faire sortir le lait.— Je ne vais pas te faire mal ?— Non, vas-y, ça me fait déjà beaucoup de bien, continue.
Obéissant à la demande de sa fille, Patrick se mit à les pétrir plus fermement. Il fut surpris d’être particulièrement excité, lorsqu’il vit des petits jets de lait sortir de ses tétons. Alors, voyant combien ça excitait son père, Camille glissa doucement sa main derrière son cou, et l’attira lentement vers elle, en lui disant :— Approche, papa, goute-le, si tu veux, je suis sûre que tu vas l’adorer.
Patrick ne résista pas, et tout en continuant à faire sortir le lait de sa fille, il plongea littéralement sur son téton, et se mit à lécher son lait, avec gourmandise. Sa langue et sa bouche prirent rapidement possession de son téton, et il se mit à la téter comme le faisait son petit-fils. Mais, contrairement à ce qu’elle ressentait avec son fils, Camille se mit à gémir de plaisir, sous les succions de son père. N’écoutant plus que son plaisir, elle glissa sa main sur l’entrejambe de son père et sentit sa bite bien dure contre ses doigts. Alors, tandis que son père passait à l’autre téton, elle glissa sa main dans son pantalon et commença à lui branler la bite.
Mais, alors qu’il sentait la main de sa fille glisser sur sa queue et qu’il buvait son lait avec un appétit féroce, il sentit le point de non-retour approché. Alors, après toutes les vidéos où il l’avait vu se faire souiller par le sperme d’Antoine, il ne résista pas. Il se releva, sortit sa bite et se branla au-dessus de ses énormes seins. Quelques secondes après, il giclait tout son sperme dessus, en grognant de jouissance. Cela faisait si longtemps qu’elle n’avait pas senti le sperme chaud d’un homme sur elle, qu’elle devint complètement ivre de plaisir en sentant celui de son père sur ses seins. Elle se mit alors à l’étaler dessus, en jouissant à son tour.Les giclées de sperme taries doucement, et la jouissance estompée, les gémissements et les grognements se calmèrent à leur tour, laissant place à un silence très gênant. Patrick eut terriblement honte de s’être laisser ainsi aller, mais Camille lui sourit et lui dit :— Merci beaucoup, papa, ça m’a fait énormément de bien.
Sans trouver quoi répondre, Patrick entendit le petit se réveiller. Il se dépêcha de remballer sa bite, et de laisser sa fille s’occuper de son fils. Il prit une douche, en repensant à tout ce qu’il venait de se passer, et se demanda s’il n’avait pas été trop loin. Il rejoignit sa femme, qui dormait profondément, et eut de nouveau honte de ce qu’il venait de faire. Mais, après toutes les vidéos pornos qu’il avait vu de ses salopes de filles, il se dit que c’était un peu de la faute de leur mère, si elles étaient si bandantes. Il s’endormit et sa nuit fut emplie de rêves incestueux, où il se faisait pomper la bite par ses deux filles, en même temps.
A SUIVRE….
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