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Aller simple vers la docilité

Chapitre 3

SM / Fétichisme
Quelques minutes plus tard, le jeune homme sortit en serviette de la salle d’eau. Il se dirigea vers sa chambre en vérifiant d’un coup d’œil la position de son invitée. Vêtu d’un débardeur, Anais pouvait apercevoir ses longs bras fins aux muscles saillants. Le garçon s’approcha de nouveau de la jeune femme et stimula de nouveau le sexe trempé d’Anais. Celle-ci était dans un état second, toute proche de l’explosion. Elle répondait de plus en plus bruyamment aux stimulations du jeune homme. Apparemment mécontent, il la gratifia de deux claques sur chacune de ses deux fesses. Anais se calma en conséquence.
— Tu n’es pas là pour prendre du plaisir, salope. S’exclama froidement le jeune homme. Tu es d’un égoïsme incroyable. On va voir si tu sais te rattraper.
Il la prit par le dessous du bras et la fit se mettre à genou. Il baissa son short et présenta son sexe durci encore moulé par son caleçon devant le visage d’Anais. Celle-ci comprit qu’elle devait agir. Elle baissa lentement le sous-vêtement du jeune homme jusqu’à ses chevilles. Ses ongles manucurés sillonnaient les jambes du grand brun, augmentant significativement son érection. Elle se retrouva en face d’un sexe d’une taille importante. 18 ou 19 cm à vue d’œil mais surtout épais. Elle leva les yeux vers son hôte. Celui-ci lui conseilla :
— Tu sais ce qu’il te reste à faire. Et fais-moi le plaisir de ne pas me lâcher du regard.
La jeune femme obéit, le cœur battant et les joues toutes roses. Elle était rentrée dans son jeu et ne pouvait plus revenir en arrière, pensait-elle. Elle était allée trop loin pour se le permettre. Mais à ce moment précis, elle n’en avait pas envie. Son excitation avait été décuplé lors des dernières minutes et elle voulait répondre positivement à tous les désirs du beau garçon. Elle se saisit alors du sexe du jeune homme, le masturba quelques fois et le libéra de son capuchon. Elle posa timidement les lèvres sur son gland puis en fit le tour avec sa langue. Elle prit enfin en bouche son sexe épais et commença ses vas et viens. Elle ne pouvait aller pas beaucoup plus loin que la base du gland du garçon. Celui-ci tenta de l’encourager par des coups de reins. Toujours les yeux rivés sur ceux de son hôte, le jeune homme lui lança, sans aucune légèreté :
— Alors tu te régales, petite trainée ?
Ses paroles appuyèrent un peu plus sa soumission et, par la même occasion, son excitation.
— Oui…— Oui, ce n’est pas suffisant.— Oui… Monsieur ?— Exactement. Et dès à présent, je souhaite que tu finisses chacune de tes phrases par ce mot.— Bien… Bien monsieur, balbutia Anais.
Cet homme avait-il des limites, se demanda Anais. C’était l’inconnu total et elle adorait ça. Cela faisait à peine deux heures que la jeune femme avait franchi le pas de la porte et elle se retrouvait à genou, le sexe de son hôte en bouche à se faire traiter de « trainée » tout en prenant le soin de répondre par un « monsieur ». Elle était folle mais voulait découvrir la suite. Elle reprit de plus belle sa fellation et le grand homme devant elle répondait à présent par des râles graves et virils. Anais ne put s’empêcher de placer sa main droite sur son abricot et se mit à le stimuler de plus en plus vite. Quelques secondes plus tard, le désormais « Monsieur » retira subitement son sexe de la bouche d’Anais et lança d’un ton sévère :
— Tu te fous de ma gueule ? Je t’ai fait une réflexion il y a deux minutes et tu recommences à faire passer ton plaisir avant le mien. On ne pas te faire confiance en fait ? Je ne sais pas pourquoi je perds mon temps à essayer de t’éduquer si tu n’en fait qu’à ta tête. Putain sérieusement !
Le jeune homme s’était mis dans une colère qui avait impressionné la jeune fille. Le grand brun s’affala dans le canapé où était assise Anais lors de l’apéritif et il la fixa. Anais n’osait pas bouger le petit doigt, elle baissa même les yeux pour essayer de se faire pardonner, avant d’ajouter :

— Je suis désolé. Je ne recommencerai plus, monsieur.
Le grand brun pris près d’une minute pour se calmer. Puis il se leva d’un coup, comme si une idée lumineuse venait de lui parvenir. Il s’approcha alors de nouveau du visage d’Anais et lui ordonna de placer ses mains dans le dos. Ordre qu’elle exécuta au plus vite de peur de raviver sa colère. Elle était inquiète. Le jeune homme ne releva pas l’état de la jeune fille et enfourna son sexe qui n’avait pas perdu de sa longueur dans la bouche d’Anais. Il se saisit alors de la tête de son invitée pour appuyer ses vas et viens dans la bouche d’Anais. Celle-ci eu le réflexe de relever les bras pour contrôler les coups de reins du jeune homme, mais elle se ravisa rapidement. Le garçon allait de plus en plus loin dans la bouche de la jeune femme pour finalement fleureter avec sa glotte. Elle manqua de s’étouffer à plusieurs reprises. Elle était humiliée.
Pourtant, la chaleur caractéristique de ses dernières journées refit son apparition dans son bas ventre. Elle sentait son vagin s’humidifier de plus en plus. Il était évident qu’elle ne pouvait pas se soulager et se chargea de contrôler avec sa bouche comme elle le pouvait les assauts du sexe de ce mâle au bord de l’explosion. Une explosion qu’il atteignit rapidement du fait de cette situation excitante. Avant d’atteindre un point de non-retour, le garçon se retira de la bouche d’Anais, dirigea son sexe vers le visage de la jeune femme. Anais anticipa en fermant les yeux avant de sentir 5 grandes giclées chaudes se déposer verticalement entre son front et ses lèvres fermées. Pour signifier qu’elle avait retenu la leçon, Anais déposa ses lèvres sur le gland du grand brun pour le débarrasser des fluides restants à sa surface.
— C’est fini pour ce soir, clama avec satisfaction le jeune homme.
La jeune femme était complétement souillée de sperme. Les giclées de son amant du soir dégoulinaient à présent sur son menton et prenaient la direction de sa grosse poitrine. Elle ne pouvait pas rentrer comme ça. Alors qu’Anais pensait qu’elle se verrait proposer une douche, son conseil fut tout autre :
— Etale donc ma semence sur ton visage. Tu pourras te rhabiller et t’en aller lorsque ce sera sec. Tu n’auras pas besoin de mettre de crème hydratante ce soir avant de te coucher, s’amusa le jeune homme.
Anais reprit une couleur rouge écarlate. Elle n’était plus surprise par l’originalité mais son humiliation sortait dorénavant du cadre privée. Elle devait prendre le risque de rentrer tard chez elle, recouverte du sperme à l’odeur forte. Tout de même rassurée d’être arrivée au bout des attentes de ce monsieur, elle se mit à étaler le liquide sur son visage. Geste qu’elle réitérera jusqu’à ce que la semence se mette à sécher. En attendant, elle enfila son tanga, son legging et ses sandalettes. Puis elle enfila son soutien-gorge et son t-shirt en faisant bien attention de ne pas rentrer en contact avec son visage. Elle demanda alors :
— Est-ce que je peux m’en aller ?... monsieur.— Oui bien sûr, passe une bonne soirée. Je te laisse jusqu’à demain midi pour que tu me confirmes ou non ton désir de continuer ?
Le grand brun avait repris le ton aimable qui avait accueilli Anais trois heures plus tôt. La jeune femme l’imita en répondant :
— Oui ça me va monsieur. Bonne soirée monsieur.
Sur le trajet du retour, Anais accéléra le pas. Elle sentait la couche de sperme sur son visage se durcir de plus en plus. Son rythme cardiaque s’accélérait encore une fois et atteignit des sommets lorsqu’elle aperçut au loin deux hommes qui paraissaient un peu éméchés. Elle préféra changer de trottoir avant que les deux individus se rendent compte de sa présence. Elle traversa en trottinant. Plus elle approchait de son appartement, plus elle sentait la couche étalée sur son visage se durcir de plus en plus. Cette couche était en train de s’écailler, elle en était sûre.
La peur ne voulait donc plus la quitter. Elle fut tout de même rassurée lorsqu’elle aperçut son immeuble. Elle s’y infiltra sans faire de bruit et grimpa avec le plus de légèreté possible le seul étage qui séparer son studio du rez-de-chaussée. Après avoir ouvert son appartement, son premier réflexe fut de se diriger vers la salle de bain pour observer l’état de son visage. Ses prédictions étaient bonnes et elle ouvrit la bouche de surprise lorsqu’elle vit le fluide du grand brun totalement séché et formant des écailles visibles sur le visage d’Anais.
Elle resta plusieurs minutes devant le miroir en repensant à toutes les dégradations qu’elle avait subies lors de cette soirée. Logiquement, Anais enjamba sa baignoire pour prendre une douche qu’elle méritait bien. Mais quelques secondes après avoir pris en main le pommeau de douche, elle fit le chemin inverse et se replaça devant le miroir pour observer à nouveau son état.
Gagner par l’excitation de se savoir ainsi soumise à un homme et dégradée de la sorte, elle prit place sur son lit. Les fesses pointées vers le plafond et cambrée au maximum, Anais commença à se masturber à l’aide d’un de ses sextoys. Elle ferma les yeux et sentit son sexe s’humidifier à vitesse grand V. Les doigts de sa main libre frôlant le relief de son visage, Anais fut prise d’un violent orgasme en moins de deux minutes. Elle s’écroula sur son lit. Après quelques minutes, elle se décida enfin à prendre sa douche. Elle resta longtemps sous l’eau à réfléchir et repensa à cette soirée, l’excitation étant retombée.
Elle fit le constat qu’elle venait de vivre la soirée la plus forte en émotion de toute sa vie. Et de loin.
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