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J'allume le boucher et son fils

Chapitre 2

Avec plusieurs hommes
Après une nuit salvatrice, je me réveille en pleine forme. Quand je me lève enfin du canapé, la moiteur entre mes cuisses est encore présente. Je me dirige vers la salle de bain pour me rafraîchir et prépare un bain bien chaud.
Toute fraîche, revigorée et imberbe, je m’affaire aux tâches quotidiennes. Le repas fini, j’appelle mon meilleur ami pour faire les boutiques de fringues. Il a de bons goûts et me prête souvent une oreille attentive, avec toujours un petit mot bienveillant pour m’encourager dans mes choix. Nous nous sommes retrouvés dans la rue piétonne. Et dire qu’au bout de la rue, mes douces proies m’attendent au frais, ne sachant pas comment je vais les manger, la prochaine fois…

— Salut Anaïs, alors explique moi tout ! S’exclame t’il, me pressant dans le bar d’en face. — Relax, je vais tout t’expliquer.

Je m’installe calmement à une table, il me suit sans rien dire… Nous commandons des kirs Royaux, histoire de briser la glace et je lui conte mes aventures d’hier.

— Woh! Mais c’est sérieux ? Je ne te connaissais pas comme ça. Et tu comptes faire quoi ? — Je leur ai promis de revenir. Je compte bien découvrir son secret !— Et dans tout ça, je sers à quoi moi ? Questionne t-il, un brin désemparé par ma réponse.— Il faut que tu me trouves une tenue complète, bien coquine. Du genre que tu offres à tes maîtresses, pour ne pas qu’elles ne se sentent délaissées lors de ton départ. Tu vois le genre ?— Je t’imagine parfaitement ! Tu vas le faire craquer sûr.

Dirigés par Franck, nous allons dans une partie de la ville que je connais pas, pour m’habiller de la tête au pied. Des tenues plus sexy les unes que les autres sont exposées un peu partout, une ambiance sexuelle émane de cet endroit. La vendeuse est très accueillante avec mon ami, visiblement habitué des lieux.

— Bonjour, quel plaisir de vous revoir, vous cherchez quelque chose en particulier ? — Bonjour, il me faudrait la tenue la plus sexy que vous ayez, je souhaite la voir plus sensuelle que jamais !
Quelques heures plus tard me voilà fine prête! Je sors de la cabine : talons hauts, bas, mini jupe, porte-jarretelles en dentelle assortie au soutien-gorge et un décolleté plongeant. La tenue parfaite pour mes plans. Je me sens si femme, si sensuelle en prenant des poses sexy dans le miroir. En me voyant, il s’immobilise un instant. Ma sonnerie de téléphone retentit, je me baisse pour attraper mon sac, en oubliant complètement ma tenue. C’est un SMS de mon patron me sommant de venir au plus vite. Je relève la tête et remarque que mon ami a le regard sous ma jupe, avec une envie folle voulant sortir du pantalon. Ce spectacle me ravit.

— Je suis désolée, je dois partir. Mon patron me demande de venir. Il a des questions à me poser sur le plat du jour de la semaine prochaine.— Ok je t’emmène si tu veux ? Demande-t-il, à peine remis de sa vision.

Galant et aisé, il m’offre même le relooking, malgré de vaines tentatives de ma part pour refuser son cadeau. Dans la voiture, voulant tester mon pouvoir de séduction, je me laisse aller à écarter les cuisses doucement. Sa respiration s’accélère et d’un regard en coin, il observe ma jupe se relever. Satisfaite du résultat, mon envie naissante croît. Nous arrivons enfin, il m’accompagne jusqu’à la salle afin d’évacuer les boissons. Je rentre dans son bureau exigu, trouvant l’alcoolique vautré sur sa chaise, une bouteille de whisky à moitié vide dans les mains.

— Je n’ai pas trop le temps chef, faisons vite.— Tu n’as pas trop le temps d’aller où comme ça petite traînée ? Allez à quatre pattes que je te baise ! Exige t-il d’un ton sévère.— Sérieux, je t’ai dit que j’avais pas le temps. — Ça tombe bien je n’ai pas le temps non plus !— Je ne veux pas !— Quoi ? Tu veux jouer les saintes nitouches après t’être fait baiser comme une putain hier. En plus, vu comme t’es fringuée tu ne cherches que ça, crie t-il, en se rapprochant de moi.— J’ai dit non…
Il me plaque sans douceur contre le mur, son monstre entre mes fesses, ses mains parcourant tout mon corps. Il me tord le sein et de l’autre main, il soulève ma robe pour plonger ses paluches crasseuses sur mon intimité.

— En plus, tu as pas de culotte et ta chatte est toute épilée. Je vais me régaler !
— S’il-te-pl… suppliais-je, brisée par une voix tranchante.
— Ta gueule la pute ou tu vas manger ma main ! M’intimide-t-il, me montrant du doigt.
— Arrête, je t’en prie… m’égosillé-je, interrompue par un grand fracas.
— Lâche la tout de suite gros pervers, sinon je te démonte ! Ordonne sèchement Franck.

Il stoppe net et me libère de son emprise. Je m’enfuis loin de ce lieu, suivie bientôt par mon sauveur.

— Il a compris et ne t’embêtera plus.— Merci mille fois ! Tu es arrivé juste à temps !- Je t’en prie, j’ai eu la chance de pouvoir intervenir et je suis heureux de l’avoir fait !

Ces paroles victorieuses m’ont bien détendue. Une fois de plus, il a su trouver les mots pour m’apaiser.

— Peux- tu me raccompagner chez moi, s’il-te-plaît? Dis-je, en entrant dans la voiture.
— Ok princesse, en route.

Sur la route, je contemple mon beau et valeureux prince. Ses veines ressortent de ses bras agrippant fermement le volant. Son membre est tout gonflé et il a l’air encore énervé. Je veux le détendre un peu et commence à glisser mes mains sur son pantalon de jogging. Il soupire de plaisir,

— Arrête ! je ne veux pas profiter de la situation ! Me commanda-t-il.

N’écoutant que mes envies, sans prêter attention à sa remarque, je passe ma main dans son pantalon, et pratique un va et vient régulier sur son pénis, abondamment irrigué. Je me rapproche et lui chuchote à l’oreille.

— Tu me donnes tout depuis des années, sans rien attendre en retour. Encore aujourd’hui, tu me l’as prouvé. Tu es particulièrement frustré depuis que tu m’as vue dans cette tenue, ce n’est pas grand chose que je t’offre. J’ai très envie de goûter ce que je tiens dans mes mains. Puis-je te remercier ?— J’en ai très envie oui... mais si… haleta t-il. — Chut ! Ordonne ai-je, en mettant mon doigt sur sa bouche.
Je me couche dans la voiture et m’affaire sur ce phallus dressé. Je lui lèche l’extrémité passant sur son urètre pour attirer sa semence. Ma main presse doucement ses bourses, quand je le prends enfin en bouche. Je lui suce le gland langoureusement et commence ma descente. Je m’arrête à mi-hauteur et ma main branle la partie restante. Ma bouche se met à suivre la cadence, aidée par les mouvements de son bassin. J’avale son chibre de plus en plus, bientôt ma paume va se retrouver sur ses sacs plissés. Son gourdin se contracte et son bassin se verrouille. Son orgasme est proche…
J’enfonce son membre au plus profond, mon menton touchant sa cuisse. Ma main posée sur ses sacoches les enlacent et ma gorge se serre, affligée par cette bite cognant dans le fond et me coupant la respiration.

— Arrête, je vais … s’essouffle-t-il, sans finir sa phrase.

De vives secousses surviennent, plaquant par saccades ses couilles dans le creux de ma main. Ma langue discerne les accoups caractéristiques d’une jouissance frénétique. Ma gorge est noyée par des jets chauds et abondants… J’en peine à avaler tout ce foutre divin. Il râle de plaisir jusqu’à la fin de ses battements, délivré par l’exquise succion que je lui prodigue.

— C’était trop bon, jamais une femme ne m’a pompé aussi bien...— Merci, ton jus est divin, m’exclamai-je, en nettoyant de ma langue les quelques gouttes qui m’ont échappées.
Je relève la tête et constate qu’on est garé devant chez moi.
— Je ne veux pas te laisser toute seule ce soir ...— Je ne veux pas trop sortir… dis-je, ne voulant pas insister sur la méprise que cette fellation peut engendrer.— Allez on va aller manger quelque chose de sympa comme d’habitude, je viens te chercher dans une heure ?— Bon d’accord, tu as raison je vais me préparer, acquiesçai-je, convaincue en sortant de la voiture.

Est-ce lui mon prince charmant ? Pourtant il me semblait qu’il était gay. Une heure plus tard, le voilà tout pimpant à ma porte, un bouquet de fleurs à la main, des perles de pluie dans les cheveux. Il arbore un large sourire et me presse à entrer dans sa voiture. Arrivés au resto, comme d’habitude, la même table nous est réservée. Sous l’effet de la faim, mon ventre grogne un gros coup, la serveuse s’empresse de nous apporter nos commandes. Nous parlons de tout et de rien, tellement passionnés que nous ne remarquons même pas le dessert se finir, qui hélas signe l’arrêt de ce moment.

— Demain que vas-tu faire du coup ? -Je n’ai pas envie de lâcher l’affaire. Je l’ai gardé, vu grandir et devenir bel homme, je veux aussi l’aider à conquérir le cœur qu’il convoite. Désolée je dois m’absenter un moment…
De retour des toilettes, il m’attendait devant la table. Arrivée à sa hauteur, il m’a tendu ma veste.
— C’est moi qui paie ! Proclamé-je, en m’empressant de ramasser mon sac.— Pas assez rapide ! Se vante-t-il, en me tendant victorieusement la note.

Il pleut toujours en sortant du resto, nous nous précipitons dans la voiture. Le trajet est étrangement silencieux, je perçois une gêne en lui. Peut être ne sait t-il pas quoi faire, après tout il n’y a pas si longtemps, j’étais couchée sous son volant. Après ce moment ambigu, il se gare et s’empresse d’ouvrir ma porte. Il tombe des seaux, le pauvre est déjà douché. Il claque la porte derrière moi, et s’empresse de me suivre. Franck est si attentionné avec moi que je me prends à l’imaginer aimer les femmes. Mais je ne l’aime pas et je ne veux pas gâcher une amitié si belle.

— J’ai passé une bonne soirée, merci pour cette journée. Dis-je, en me couvrant sous le petit porche.— Le plaisir a été pour moi, ne veux tu pas qu’on prenne une dernière coupe ? Sollicita t-il, en se serrant vers moi pour être à l’abri.— Non merci… j’ai les jambes en compotes avec ces foutus talons !— Tu sais je t’ai dit que j’étais gay, mais tout à l’heure, la pipe que tu m’as fait était transcendante. Je ne suis plus sûr de rien…— Et ben ça pour une nouvelle et si on allait testé ça à l’intérieur ?— Merci de faire ça pour moi.— Tais-toi, viens et baise moi, dis-je, en passant la porte.

Plus tard, assise sur le bord du lit, je me rhabille un peu vexée. Frank, après sa prestation catastrophique se confond en excuses et tente de me redonner le sourire.

— Vraiment désolé, je pensais vraiment pouvoir aimer les femmes. Mais popol ne se manifeste qu’en présence de ses semblables.— Frank, de toute façon je ne voulais pas ça. J’aime notre amitié comme elle est.— Pas de souci, appelle moi si tu as besoin de quoi que ce soit !

Enfin seule, je ferme la porte, retire ces maudites chaussures et me dirige droit dans le lit en me débarrassant de mes vêtements. Je m’écroule jusqu’au lendemain matin, l’esprit occupé par tous ces hommes que j’ai croisés aujourd’hui et qui ont voulu me croquer. Le lendemain je me suis réveillée de bonne heure, le soleil venant me lécher le visage. Je reste affalée sur le canapé toute la matinée, nue à regarder des séries, en mangeant diverses cochonneries. Mes idées se bousculent. Ai-je vraiment croisé ma moitié avant hier ? Une chose de sûr cependant, je suis curieuse. L’envie de découvrir l’amante cachée qui procure à Guillaume tant de retenue est trop forte. Il faut bien que je me l’avoue, je suis jalouse de cette jeunette, qui ne doit certainement pas être assez bien pour lui.
Quoi qu’il en soit, je leur ai déjà fait faux bond hier, pas question de manquer à ma promesse aujourd’hui. J’ai envie de leur montrer ma tenue, achetée spécialement pour eux. J’enfile mes vêtements affriolants, me pomponne et admire le résultat : j’en ferai bander un eunuque ! J’enfile un grand imperméable crème et mes talons rouges.
Sept heures moins cinq, j’entre dans la boucherie tenant la porte au dernier client de la journée.

— Alors, je vous ai manquée hier ? Questionnai-je, d’un air enjôleur.

Je retourne l’écriteau doucement, le plaçant sur fermé, en lâchant la porte derrière moi. Je fais tomber négligemment mon blouson sur le sol. Je me retourne lentement enclenchant soigneusement le verrou en galbant les fesses au maximum.

— Ce n’est rien de le dire ! Qu’est ce que je vous sers aujourd’hui ? Enumera le boucher, pour se donner une contenance.— Aujourd’hui ! Heu… rien ! Enfin rien de payant ! Guillaume ? Sommé-je, en le foudroyant du regard. — Ou... oui, balbutia-t-il, détournant les yeux de mon regard.— Je t’avais dit que je reviendrais pour te faire craquer mon lapin.— Oui… tu me l’avais promis, murmura-t-il, en regardant ces chaussures.— Alors, tu vas me le dire sagement ? Dis-je, un poil déçue.— Non… Ça ne sert à rien de le dire de toute façon.— Et pourquoi ça ? Lancé-je en passant derrière le comptoir poussant la petite porte, en faisant attention à bien creuser les épaules, pour dévoiler le maximum que mon décolleté peut proposer.

Le père, effacé, s’est assis au fond de la pièce, bras croisés, jambes écartées. Ses yeux avides dévorent la moindre partie de ma peau, que le tissu de ma robe laisse apparaître par intermittence. Je me dirige vers le jeune étalon, jouant avec mes anglaises entre mes seins.

— Tu veux les raisons ? Contra t-il, sa vision attiré par les spirales de mes pointes bouclées, égalant le pendentif qu’un collier invisible soutiendrait.— Je suis toute ouïe ! Chuchoté-je, m’agrippant à son coup.— Tout simplement, elle est inaccessible...— Tu sais, toi aussi tu peux paraître inaccessible pour elle ! M’exclamé-je faisant danser ces mèches en tire-bouchon ensorceleuses.
Le père commence à masser sans gêne ses parties à travers son pantalon, en me fixant intensément. Mon spectacle à l’air de lui plaire. Je me rapproche à un demi mètre de lui, soulève délicatement ma robe jusqu’aux jarretelles tenant les bas. Puis, je me dandine légèrement en me retournant pour laisser paraître par intermittence ma nudité. Le fils, visiblement excité, ne perd pas une miette de ce spectacle. Il essaie de cacher son désarroi derrière sa main, en les mettant dans ses poches. Ce n’est que peine perdue, il ne peut dissimuler une bite pareille !

— Gamin tu crois que cette femme paraît innaccesible ? Regarde moi profiter de son corps ! Proféra-t-il, avant de me mettre une bonne fessée.

Le claquement résonne fort contre les murs en carrelage blanc de la pièce. La surprise de cette main ferme, qui, après m’avoir asséné un coup, me caresse le derme endolori, déclenche en moi une bourrasque de plaisir se canalisant dans mon antre. Je tortille les fesses et me penche en avant pour en redemander. Je pointe du doigt Guillaume en lui suggèrant de se rapprocher de la scène. Il ne se fait pas prier, happé par l’envie que je lui suscite.

— Pourquoi me le caches-tu à la fin ? Elle est mariée ? Elle a quelqu’un ? Suggèré-je, tirant sur mon haut, dévoilant mon soutien-gorge rouge transparent.— Non eu… je ne crois pas. Elle est trop âgée et trop belle pour moi ! Souffla-t-il, le regard plein de regrets.

Je libère complètement la dentelle de ce décolleté et commence à jouer avec mes seins. Guillaume me dévisage, mais il ne peut s’empêcher de malaxer sa verge à travers le tissu fin de sa poche. Cela ne fait que décupler mon désir de le sentir enfin craquer. La deuxième main s’abat sur moi, me prodiguant encore plus d’effet sur ma peau nu. Daniel me masse en m’écartant bien la proue lui dévoilant mes trous avides.

— Sors moi cette trompe toute timide, tu ne veux pas qu’elle s’en occupe de toute façon, laisse moi faire !

Son visage se détend et une lueur lubrique s’allume dans son regard. Sa respiration s’accélère, Guillaume m’obéit sans rétorquer, sort sa matraque. Sa verge me tapote le visage et ses mouvements deviennent assurés. Il m’observe avec une envie folle, une main agitant son sexe, l’autre passant dans mes cheveux pour les rassembler. Il me bloque la chevelure et me pousse en bas me collant ses testicules dans la bouche. Agréablement surprise par une telle poigne, je les gobe fougueusement et les recrache doucement. Il me tire les cheveux, me remontant le visage contre son phallus et enfourne doucement sa verge au fond de ma gorge. Une troisième fessée sur ma paire de fesses retentit à nouveau, suivi de mon cri de plaisir étouffé, par un gland lotis confortablement contre mes cordes vocales.
Je ne tiens plus en place... me reculant doucement, en emportant mon jeune homme en bouche, jusqu’à noyer mon assaillant sous les torrents de cyprine, que me procure l’émoi de ces effets combinés. Il me martèle la bouche, pendant qu’une langue fougueuse déguste tous les plis de ma chatte gorgée, cherchant quelque chose. Il le trouve enfin, ce bourgeon tout tendu et le pince de ses lèvres. Puis avidement, il commence à le lécher en appliquant une succion intermittente, ce qui décuple mon plaisir. Des doigts s’égarent dans mon sillon, me titillant la vulve. Ces doigts tous mouillés remontent jusqu’à mon anus et appliquent une pression variable. J’en veux plus…

— À moi de me faire sucer, viens à ma place et écarte-lui le trou à cette salope !

Guillaume se place derrière moi et vient plaquer sa bite contre mon anneau distendu. Il rentre enfin… C’est si bon, chaque centimètre que son gigantesque manche gagne en moi en me déchirant n’est que régal. Il arrive enfin dans mes tréfonds, et me donne des accoups vigoureux, qui me font engloutir de plus en plus, l’imposant dard qui m’est présenté.

— Assis toi sur la chaise que ton père puisse me prendre ma petite chatte ! Réclamé-je, en retirant le chibre luisant de ma bouche.

Il me prend par le bassin et me soulève comme une poupée de chiffon, s’asseyant adroitement sur la chaise le sexe encore au chaud.

— Je vais te baiser comme une chienne avec mon fils, dit-il, en ajustant sa position pour entrer. — Ho oui… je veux vous sentir en moi !

D’un coup de reins puissant il rentre dans mon antre étroite. Arrivé au fond, il marque une pause avant de commencer de longs mouvements. Son fils bouge le bassin, imitant la cadence du père qui s’accélère. Les deux phallus enfin en moi, je suis remplie et je sens l’orgasme monter.

— Vas y mon fils donne lui tout à cette salope !— Ho oui… hummm… comme ça ! Oui donnez moi votre foutre. Je les veux bien au fond.— Ho oui Anaïs… jouis avec moi !

A ces mots, des spasmes simultanés m’écartent les trous, suivis de râles en canon. Ils inondent mes trous de leurs semences, en martelant mes orifices avec détermination. Le temps s’arrête quand un orgasme furieux me prend, qui me fait convulsionner. Je m’égosille tellement mon plaisir est immense.
Ils se retirent doucement, et laissent mes antre béants, goûtant sur le sol un mélange de nos fluides. Je regarde mon prétendant, il est tout penaud et attend me regardant fixement. Je me rapproche lentement de lui, lui rendant son regard. Nos souffles se chevauchent.

— Tu vas me dire qui est la fille maintenant ? Que je l’envie... Le questionnai-je, en me mordant les lèvres.
— C’est à toi que je pense tous les soir avant de m’endormir ! Tu m’as toujours attiré, depuis la première fois, cette fois où tu nous as gardés avec ma sœur, ados.

Cela fait six mois déjà que j’ai lâché mon boulot. Maintenant je vis une vie de rêve, aux côtés de Guillaume, faisant de temps en temps quelques repas de famille bien remplis… Daniel, quant à lui m’a embauchée pour créer la partie traiteur de sa boucherie.
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