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Alphonse du gros caillou

Chapitre 3

Erotique
TROISIEME COUPLET
« Tout prospéra, mes sœurs aidant ma mère « Car elles eur’nt vite fait leur chemin « Moi-même aussi, et quelque fois mon père « S’il le fallait, nous y prêtions la main « La clientèle était assez gentille « Car elle avait grande confiance en nous « Ils s’en allaient en disant « quelle famille )« Que la famille Alphons’ du Gros Caillou » ) (bis)

Avant l’ouverture, Papa passa une dernière inspection. Il était très élégant dans son costume trois pièces. Maman avait confectionné pour elle et mes sœurs, des robes fluides dans du tissu presque transparent qui laissaient deviner la forme de leur corps. Lorsqu’elles se déplaçaient, on avait l’impression qu’un nuage les accompagnait. Je ne me lassais pas de les admirer. Pour ma part j’arborai une chemise à jabot et une culotte de velours…
« - Je crois que nous sommes prêt. Ah ! J’oubliais. Un point très important les enfants : tout le temps que la maison reste ouverte aux visiteurs vous ne devez pas nous appeler moi et votre mère autrement que « monsieur Alphonse » et « madame Thérèse ». J’y tiens beaucoup, c’est compris ? — Oui Pap… Oh pardon ! Oui monsieur Alphonse, répondit Mariette. Et nous ? Comment qu’on s’appelle ? Par nos prénoms ? — Entre-vous, je m’en fiche mais quand vous parlez de l’une d’entre vous à la clientèle, dites Mademoiselle Mariette ou Mademoiselle Claudine ou Mademoiselle Claudette. — Et moi ? interroge-je. — Toi mon petit, tu es encore un jeune garçon, on continuera à t’appeler par ton prénom, sourit Maman. — Bon, tout est en ordre ? J’ouvre les portes. Claudine et Claudette, venez avec moi. Maman, Mariette et moi attendons dans le salon. Elles sont assises sur un sofa face à la porte. Je reste debout, n’osant m’enfoncer dans un fauteuil réservé à la clientèle. Des bruits de voix. Papa fait entrer deux hommes. — Entrez messieurs, entrez. Prenez place. Je vous présente Madame Thérèse, la maîtresse de maison et mademoiselle Mariette. Avec mesdemoiselles Claudine et Claudette que vous avez vues elles forment le personnel de la maison en plus du jeune Alphonse junior ici présent. — Si je comprends bien, dit un des hommes, vous êtes ici en famille. — Oui, répondit mon père, c’est un gage de sérieux dans les prestations que nous pouvons offrir.
— En effet, en effet, très bien vu ! Vous avez parfaitement raison. Il s’installe à coté de Mariette, tandis que son compagnon s’assied à coté de Maman. — Alphonse s’il te plait, apporte à boire à ces messieurs, me demande mon père. Je me précipite à la cuisine et remplis deux verres du punch préparé par Maman, que je pose sur un plateau. A mon retour au salon, les mains du monsieur de Mariette disparaissent sous le tissu de la robe. — Pose la boisson sur le guéridon petit, me dit-il. Le second monsieur me prend le verre des mains. — Merci mon garçon, tu es très gentil. Claudine et Claudette entrent à leur tour accompagnant un monsieur avec qui elles s’installent sur un sofa. Je m’empresse de chercher un autre verre. Je le tends au nouvel arrivant pendant que le monsieur de Mariette enfouis la figure dans les voiles qui couvrent les seins de ma sœur. Papa intervient en fronçant les sourcils. — Je crois comprendre que monsieur désire avoir un entretien particulier avec mademoiselle Mariette. Nous sommes à votre entière disposition. Nous pouvons vous proposer nos cabinets particuliers pour une… Euh… Conversation superficielle ou une chambre pour une entrevue, disons plus approfondie. Voici la liste de nos cabinets et de nos chambres avec pour chacun la participation à nos frais d’entretien. — Qu’entendez-vous par conversation superficielle ? demanda le bonhomme en étudiant la liste. Papa se pencha à son oreille. — C’est tout ? — Je le crains monsieur. Si vous désirez plus, je vous conseille de monter dans une de nos chambres… Celle-là, par exemple ? ajouta-t-il en désignant une ligne sur la liste… Oui ?… Mademoiselle Mariette ! Conduisez Monsieur à la chambre bleue. — Tout de suite, monsieur Alphonse. Elle se lève avec vivacité. — Si monsieur veut bien me suivre. Elle précède l’homme dans l’escalier. Arrivé en haut des marches, il la rattrape. Je ne sais ce qu’il lui fait, mais Mariette pousse un petit cri suivi d’un rire coquin qui fait froncer les sourcils à Papa. A ce moment le monsieur de Maman se lève et entraîne celle-ci vers l’escalier. Le monsieur assis entre Claudine et Claudette étudie à son tour la liste. — Euh… Je crois que pour ce premier jour, je vais me contenter d’une petite conversation avec mesdemoiselles dans un cabinet. — Pardon monsieur, rectifia mon père, une seule demoiselle par cabinet. Ou alors, ce sera double participation. — Non, non, une seule me suffira. Je vous choisis vous, dit-il en désignant Claudine. Excusez-moi mademoiselle Claudine, en se tournant vers l’autre jumelle, de ne pas vous élire. — Je suis Claudette. C’est mademoiselle Claudine qui vous accompagnera. — Pardon pour la méprise, vous vous ressemblez tellement. Je vous réserve pour une prochaine fois. — Ce sera avec plaisir. Nous regardâmes le couple refermer la porte d’un des petits salons du rez-de-chaussée. La sonnette de la porte d’entrée retentit. — Va vite, pardon allez vite ouvrir mademoiselle Claudette ! Elle revint avec un monsieur, un vieux de cinquante ans au moins. — Prenez place monsieur. Je me précipite avec un verre. — Tu es gentil mon petit, approche-toi. Il me passe la main dans les cheveux et dans le dos, insistant sur mes fesses. Je regarde mon père, incertain sur l’attitude à prendre. Il ne dit rien. Sachant qu’il ne faut pas mécontenter la clientèle je laisse le bonhomme me caresser le cul. Sa main glisse sur mes cuisses et veut remonter sous la culotte courte. A ce moment là Papa intervient. — Pardon monsieur, dit-il en m’écartant, le petit Alphonse ne fait pas encore parti du personnel actif de la maison. D’après les autorités il est un peu jeune ajoute-t-il à voix basse, mais dans quelques temps il saura vous satisfaire au mieux, ce que mademoiselle Claudette s’empressera de faire dès aujourd’hui si tel est votre désir. Asseyez-vous à coté de monsieur, mademoiselle et soyez gentille avec lui. A ce moment la porte du petit salon s’ouvre. — Pap… Monsieur Alphonse ! crie Claudine, le monsieur, il veut me… Papa se précipite et referme la porte derrière lui. — Que se passe-t-il ? demande le vieux monsieur. — Sûrement le monsieur demande quelque chose qui est pas permis, le renseigne Claudette. — Ah ! Parce que tout n’est pas autorisé dans cet établissement ? — Ce n’est pas ce que je voulais dire monsieur, il y a des choses qu’on peut pas faire dans les salons particuliers. Pour cela il faut monter dans une chambre au premier étage. — Et quelles sont les « choses » comme vous le dites si joliment, autorisées en cabinet particulier ? — Euh… Je sais pas bien… Vous comprenez, ce n’est que le premier jour. Vous devriez demander à mon… Euh… A monsieur Alphonse. — Vous êtes charmante mademoiselle. Pour ne pas vous créer d’ennuis, je choisis une chambre. Ainsi je ne prends pas le risque de me voir refuser une « chose » non autorisée. — Vous vous moquez de moi, ce n’est pas bien. — Pas du tout ! Vous êtes charmante et je serais ravi que vous m’accompagniez à l’étage. Il va se lever quand mon père et le client de Claudine sortent du salon. Celui-ci s’excuse la tête basse. — Je vous assure que je ne ferai plus. S’il vous plait, ne me refusez pas l’entrée de votre établissement. — Comme c’est notre premier jour d’ouverture, je veux bien passer l’éponge cette fois et vous dispense de l’amende qui est prévue dans ce cas , mais que je ne vous y reprenne pas. Le client glisse quelques billets dans la main de Papa et sort un peu confus. — C’est votre père n’est-ce pas ? — Monsieur Alphonse ?… Euh … Oui avoue Claudette. — On voit qu’il est strict sur la discipline, cela me plait ! C’est la marque d’une bonne maison. Montrez-moi le chemin mademoiselle. Ma sœur précède le vieux monsieur qui souffle en grimpant les marches. Au sommet ils croisent les deux premiers arrivants. — Tient bonjour cher ami ! Comment allez-vous ? Vous aussi avez voulu inaugurer cette nouvelle maison ? etc. etc. Les deux hommes descendirent les marches, Papa se précipita à leur rencontre. — Ces messieurs désirent-ils autre chose ? Mademoiselle Claudine va venir dans une seconde. — Non-merci, nous partons. Nous ne voudrions pas abuser pour une première rencontre. — Si ces messieurs veulent passer dans mon bureau. Ils disparaissent dans la pièce que s’est réservée Papa. Quelques instants plus tard, ils ressortent tous les trois. — Nous sommes enchantés de notre visite, monsieur Alphonse. Nous recommanderons votre sympathique établissement à nos amis et nous reviendrons, ajoute le monsieur de Mariette en souriant à Claudine qui nous avait rejoint. — Je vous en remercie à l’avance. Mademoiselle Claudine, ordonne Papa, veuillez rendre leur vestiaire à ces messieurs. — Si ces messieurs veulent bien me suivre. Maman et Mariette, fraîches et pomponnées descendent les marches. — Est-ce que ça s’est bien passé ? interroge Papa. — Vous savez ce qu’il m’a demandé de faire ? commenta Mariette d’un ton gourmand. — Tst ! Tst ! Tst ! l’interrompt Papa. Ne dévoile pas tes secrets de métier ! — Ton pè… Monsieur Alphonse a raison, Mariette. Il est bon que chacune d’entre vous cultive une particularité… »
L’arrivée de nouveaux visiteurs arrêta le dialogue. Je me précipitais à chaque fois pour apporter le verre de punch de bienvenue. En milieu d’après-midi, Papa m’expédia dans la chambre verte apporter une bouteille de Champagne dans un seau rempli d’eau fraîche. Le monsieur était nu sur le lit allongé sur le dos et Claudette nue également, le chevauchait avec ardeur…
« - Ne t’arrête pas ! commande l’homme quand ma sœur voulut se retirer à mon arrivée. Merci petit… Aah !… Pose le seau… Aah !… Sur la table. Je ne peux détacher le regard de la queue que Claudette découvre lorsqu’elle se soulève. Elle était aussi grosse que celle de Papa ! — Tu peux rester… Aah !… Si tu veux, m’invite le bonhomme. J’aurai bien aimé mais à ce moment je croise le regard courroucé de Claudette. — Ce serait avec plaisir, mais d’autres tâches m’attendent, dis-je en refermant la porte… »
Je ne regrette pas de les avoir laissé. D’ailleurs Papa n’aurait pas été content. Jusqu’à la fermeture, tard dans la soirée, j’ai eu l’occasion de voir ma mère ou mes sœurs agenouillées entre les jambes d’un monsieur lui suçant la queue et d’admirer des couples sur le lit, généralement l’homme dessus. J’ai vite remarqué que dans les chambres verte, bleue et rouge, mes sœurs et ma mère sont entièrement nues et retroussent leur robe dans les chambres rose et jaune. Ce qui m’a le plus surpris c’est de voir dans la chambre verte, Maman nue, tête bêche sur un monsieur nu également. Que fait-elle ? Je n’ai pas compris pourquoi elle s’était placée comme ça. A un autre moment, Maman et mes sœurs étaient occupées, il n’y que Papa et moi pour recevoir le client qui entrait. Celui-ci m’a regardé en souriant mais Papa s’est interposé…
« - Non, monsieur, dit mon père. Dans quelque temps, oui, il sera opérationnel mais aujourd’hui ce n’est pas possible. Si vous voulez nous pouvons monter. Etonné, je les regarde grimper à l’étage. Que vont-ils faire ? Vont-ils dans une des chambres occupées par mes sœurs ou ma mère ? Au bout d’un bon quart d’heure, le monsieur redescend en compagnie de mon père. Il me flatte les cheveux. — A bientôt mon garçon. — Monte avec moi, me dit mon père, quand le monsieur est parti, nous allons aider à faire les chambres. Il rentre dans la chambre bleue. Maman, défait les draps. — Descends Thérèse, des clients attendent, je refais le lit avec Alphonse… »
Plusieurs fois dans l’après-midi et la soirée, mon père et moi avons remplacé ma mère ou mes sœurs dans ce travail. Lorsque la porte se referma sur le dernier visiteur, Maman et mes trois sœurs s’affalèrent sur le grand sofa, l’une contre l’autre. Leurs belles robes étaient toutes chiffonnées et elles avait les traits tirés. — Je suis content de vous, les félicita Papa. Notre journée d’inauguration est un succès. Passons dans la cuisine pour une collation puis nous irons nous coucher pour un repos bien mérité. — J’ai trop sommeil, gémit Claudette, je monte tout de suite dans ma chambre. — Non, ma fille, il faut que tu manges. Sinon, tu ne résisteras pas longtemps. Un peu de courage. Le lendemain matin, nous entassâmes tous les draps sales dans une carriole et Mariette et moi la tirâmes chez la lavandière. Le reste de la semaine fut plus calme. Beaucoup moins de visites dans la journée. Le soir apportait un peu d’animation et Papa était satisfait en faisant les comptes après la fermeture. Mes sœurs prenaient le rythme des visites et sur les conseils de Maman, apprenaient à ménager leurs forces. Tous les matins, Mariette et moi transportions le linge sale et rapportions les draps lavés et séchés. Le dimanche venu, nous assistions à la messe à la Cathédrale où nous priions que le Seigneur nous donne la volonté de faire bonne figure malgré la fatigue. Sur le chemin, de nombreuses personnes nous saluaient. Je reconnaissais des visiteurs de la semaine écoulée…
A suivre…
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